Capitolo 12 :: X.Y.Z.!

Pubblicato: 19-06-07 - Ultimo aggiornamento: 19-06-07

Commenti: Boonjouurrr!!! Ah ça faisait longtemps que je n'allais pas sur ce bon vieux site que j'aime tant!^^ Mais bon les examens sont enfin terminés je peux donc reprendre mes bonnes vieilles habitudes..! Voici donc mon 12em chapitre!! J'ai été très contente d'apprendre que certaines personnes attendaient la suite de mon histoire (merci encore Phineas! :) )! Malgré mon absence, j'espère en tout cas que vous n'avez pas trop oublié ce qui s'est passé enfin je sais que c'est ma faute! :) Sinon, je tiens aussi à vous prévenir que je ne vous ai pas oublié et que je lirai vos fic! Comme toujours laissez-moi des commentaires!! :) A la prochaine!! Bises pour tous!!

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16

- Kaori! Kaori réveille-toi!  

Mais rien. La fatigue et le gaz soporifique étaient parvenus à endormir Kaori. Voyant qu’elle était hors de danger, Ryô se précipita à la sortie de secours pour tenter de rattraper les malfaiteurs.  

D’un coup de pied, il ouvrit violemment la porte et aperçu une camionnette qui démarrait. Par le rétroviseur, le conducteur vit Ryô et fit signe à ses complices d’entrer en action. Une fusillade commença alors.  

Seul contre deux mitraillettes, Ryô n’eut d’autre choix que de battre en retraite et de se cacher derrière une poubelle. Toutefois, à l’aide de son Python, il tira une unique balle qui alla se loger sur un côté du véhicule. Puis il les laissa filer, un léger sourire aux lèvres.  

*-*-*-*-*  

Bien que les malfaiteurs se soient échappés, Ryô était assez fier de sa partenaire. Toutefois, il resta inquiet en voyant qu’elle s´était blessée délibérément dans l’espoir de mener à bien sa mission.  

Après qu’il ait vu partir la camionnette, Ryô se précipita au musée pour récupérer Kaori afin de l’amener à l’hospital. Il avait également pris soin de d’appeler son inspecteur préférée pour lui donner rendez-vous à l’hôpital, après qu’elle ait appelé une ambulance pour tous les invités de l’exposition. Il ajouta également qu’il fallait qu’elle fasse attention aux agents de sécurité de la salle de contrôle.  

C’est de manière protecteur, comme s’il ne voulais pas casser de la porcelaine qu’il pris Kaori dans ses bras pour l’amener jusqu’à la voiture. Il s’en contrefichait des tableaux volés (en quelque sorte), à présent il souhaitait uniquement revoir le plus rapidement possible le sourire de sa partenaire.  

Il la posa sur le siège côté passager et lui mis la ceinture. Puis il s’installa à son tour.  

Progressivement, Kaori repris connaissance et sentit tout de suite un énorme mal de tête. Elle se rendit vite compte qu’elle se trouvait dans la voiture en compagnie de son partenaire.  

« Ryô ! s’exclama-t-elle en se relevant soudain, se remémorant les événements passés. « Le tableau…Je me suis trompée c’est…  

- C’est bon ne t’inquiètes pas pour ça…tu es blessée je t’emmènes à l’hôpital…  

- Mais ce n’est pas la peine, je vais bien Ryô… J’ai échoué…  

- Je t’ai dit de ne pas t’en faire… On en reparlera plus tard… J’ai déjà appelé Saeko et elle doit déjà être en train de prendre les mesures nécessaires…  

*-*-*-*-*  

Au musée Chô-Ku, les sirènes de la police et des ambulances retentissaient comme un orchestre. Saeko avait été une des premières à se présenter sur les lieux.  

Dans la salle d’exposition, elle découvrit les personnes étendues au sol, quelques une reprenant lentement conscience. Elle fut surprise de découvrir que deux tableaux manquaient. Puis, sur une table, elle vit un mot écrit de la main de Ryô.  

Salut Saeko-chan !  

Comme tu peux le constater, la « mission » ne s’est pas exactement déroulée comme prévu. Comme je te l’ai dit, je suis tout de suite parti car je suis allé amener Kaori à l’hospital. T’en fait pas, ce n’est rien de grave. Je t’expliquerais tous les détails, je t’attends à l’hôpital.  

PS : Ne t’en fais pas, un seul tableau a été volé. Regarde sous la table tu seras surprise.  

Ton Ryô-chou !  

Pendant que les brancards défilaient, Saeko souleva la nappe de la table et découvrit avec surprise « le Printemps » de Botticelli, le tableau qui était justement celui qui était supposé être volé.  

« Je n’y comprend vraiment rien » pensa-t-elle déboussolée.  

Après avoir donné quelques instructions aux policiers, elle alla rejoindre au plus vite Ryô. Elle souhaitait absolument savoir ce qu’il s’était réellement passé.  

*-*-*-*-*  

Kaori se trouvait á présent dans une salle de repos. Le coup qui lui avait été porté à la tête n’eut aucune conséquence désastreuse, et sa jambe fut désinfectée profondément puis bandée. Le médecin ne lui prescrit que du repos, du moins pendant quelques heures.  

Ryô lui tendit un verre d’eau. Il devait être environ minuit mais personne ne trouvait le sommeil. Personne ne voulait dire quoique ce soit d’ailleurs.  

Kaori, furieuse et déçue ne voulait pas trop engager la conversation et Ryô justement ne savait pas comment l’engager. Ils restèrent donc silencieux jusqu’à l’arrivée de Saeko.  

« Tu vas bien Kaori ? demanda-t-elle en entrant. Que s’est-il passé avec le tableau ? Vous les avez laissé partir et maintenant comment on va faire pour les arrêter ?!  

- Oula ma grande ! Chaque chose en son temps. Chaque question a une réponse ça vient. Répondit Ryô. Bon d’abord, c’est surtout Kaori qui pourra tout te raconter. Mais je peux te dire une chose, tout n’est pas encore perdu. Tu ne crois plus en City Hunter ou quoi ?  

- Pourquoi c’est Kaori qui peut tout me raconter ? Qu’est ce qu’il s’est passé ? Enfin.. En te connaissant, je peux imaginer ce qu’il s’est passé… »  

C’est ainsi que Kaori commença doucement son explication. Dès qu’elle expliqua l’incident avec Ryô, Saeko fut sur le point de trucider ce dernier mais s’abstient pour se concentrer sur le rapport de Kaori : comment « ils » ont endormi la salle, le fait qu’ils aient volé un autre tableau que celui qui était prévu, leur filature et enfin le final misérable.  

- Mais ce n’est pas de ta faute Kaori, dit soudainement Ryô. Tu ne pouvais pas les battre tous… surtout dans ton état…  

Saeko et surtout Kaori se retournèrent vers Ryô, leurs yeux comme des billes. Depuis quand Ryô prenait la défense de Kaori ?  

- Somme toute, repris Saeko, ils ont filé avec un tableau de grande valeur. C’est foutu maintenant.  

- Et moi je te dis que j’ai plus d’un tour dans mon sac ! s’exclama Ryô d’un ton victorieux. Tu as bien pris soin de t’occuper comme je te l’ai dit de ceux qui se trouvaient dans la salle de surveillance …?  

- Evidemment ce sont aussi des victimes ! Quelqu’un les a violement assommé !  

- Détrompes-toi ! A ton avis, comment les voleurs ont pu infiltrer le bâtiment aussi facilement ? Ils avaient un complice. Et je peux même te dire le nom de l’individu en question. Je te conseilles d’appeler tout de suite des policiers pour l’arrêter avant qu’il ne reprenne connaissance et prenne ses jambes à son coup… Mais bon avec le coup que je lui ait porté, je doute qu’il se réveille si tôt… ajouta Ryô, l’air pensif.  

Saeko ne perdit pas une seconde et s’exécuta. Elle se dit qu’elle irait l’interroger le plus tôt possible.  

-Ah en fait Saeko, j’ai encore une autre piste dans le cas où l’imposteur ne voudrait pas parler tout de suite, ou si il n’est au courant de rien. Avant que la camionnette des voleurs ne s’en aille, j’ai pu sans qu’ils s’en aperçoivent mettre un émetteur. Tout n’est donc pas perdu puisque grâce à ton homme préféré on peut découvrir où ils se cachent…  

- Mais t’aurais pas pu le dire plus tôt espèce d’abruti !? Dirent en cœur Saeko et Kaori.  

- Ok dans ce cas, dit Saeko, je reviendrais plus tard pour qu’on sache où ils sont et on élaborera une stratégie.  

Sur ce, elle les laissa se reposer, elle allait en faire autant. Elle se dit qu’elle devait impérativement être en forme pour pouvoir interroger de faux policier.  

*-*-*-*-*  

Quelques heures plus tard, toujours à l’hôpital, le soleil se levait déjà, et Kaori n’avait toujours pas fermé l’œil. Elle n’arrêtait pas de se poser des questions sur les événements passés et s’en voulait de n’avoir rien pu faire. Puis, soudain, elle se souvint d’un détail. Brusquement, elle se leva. Ravie de ne plus trop avoir mal à la jambe, elle sortie silencieusement de sa chambre.  

« Que faites-vous Mademoiselle ? »  

La concernée sursauta surprise, et se retourna vers son interlocuteur qui n’était d’autre que Mick, assis sur une chaise près de la porte de la chambre d’hôpital de Kaori.  

« Mick ?!  

- Alors comme ça on allait s’enfuir alors que le médecin avait dit qu’il fallait encore rester au lit… »  

Mick tentait d’être le plus sérieux possible mais il ne pouvait s’empêcher d’imaginer des choses en voyant son « amie » en pyjama.  

« C’est bon je ne me suis rien cassé, je ne suis pas invalide ! Mais… qu’est-ce que tu fais là ?  

- J’ai appris ce qu’il s’est passé hier à l’expo et comme Ryô devait partir, je suis resté ici.  

- Ok. Heu… Il faut que j’aille parler avec quelqu’un je reviens…  

- Tu ne veux pas que je t’accompagne ?  

- Non merci ça ira, Dit Kaori avec son plus beau sourire.  

- Bon d’accord… Fais attention…  

Elle se dirigea à l’accueil, où une secrétaire tapait une série de données du son ordinateur.  

« Excusez-moi madame, j’aimerais savoir si des personnes victimes d’un vol dans une salle d’exposition se trouvent ici ?  

- Je m’excuse mais je ne suis pas autorisée à vous divulguer ce genre d’information…  

- Oui je comprends mais si c’est le cas, je fais également partie des victimes et j’aurais absolument besoin d’aller visiter un ami qui était avec moi lors de l’incident…  

- Ah très bien dans ce cas… Quel est le nom de votre ami ?  

- Jonathan Gardner. »  

La secrétaire tapa le nom et le prénom dans son ordinateur afin d’indiquer à Kaori ne numéro de sa chambre.  

« Voici. Chambre numéro 403, quatrième étage.  

- Très bien. Je vous remercie beaucoup madame !  

- Je vous en prie. »  

Kaori pris alors l’ascenseur jusqu’au quatrième étage. Sans trop de difficultés, elle parvint à la chambre 403. Tout doucement, comme hésitante, elle frappa à la porte. Une voix lui permis d’entrer.  

« Bonjour monsieur Gardner vous vous souvenez de moi ?  

- Evidement mademoiselle Kaori comment allez-vous ?  

- Ça peut aller mais vous comment allez-vous ?  

- Etourdit, triste mais également extrêmement en colère. Sans même m’en rendre compte, je me suis évanoui et on m’a volé mon bien le plus précieux, mon tableau… Et je n’ai rien pu faire !!  

- Je suis vraiment désolée… dit Kaori, qui commençait de nouveau à se sentir coupable.  

- Et pourquoi cela mademoiselle Kaori ? Vous avez également été victime de ces voleurs…  

- Oui peut-être mais je me sens responsable pour ce qui est arrivé à votre tableau.  

Monsieur Gardner, je vais vous avouer quelque chose.  

Kaori prit une profonde inspiration et commença son récit. Quant à lui, Jonathan semblait surpris, et curieux de savoir ce qu’allait lui dire Kaori.  

« Voilà. En réalité, je n’étais pas venue à l’exposition pour assister à cette exposition mais justement pour empêcher qu’un vol ne se produise. Malheureusement, les voleurs nous ont trompé et ont volé votre tableau à la place de celui que la police avait prévu.  

- Vous êtes de la police alors ! S’étonna Jonathan.  

- Non ce n’est pas exactement ça. En fait, mon partenaire et moi sommes des sortes de détectives. City Hunter pour vous servir.  

- Vous êtes City Hunter !?  

- Quoi vous nous connaissez ?!  

- Evidement, repris Jonathan. Vous êtes connu partout dans le monde ! Seulement jamais je n’aurais pensé qu’une jeune femme tel que vous pouvait être un membre de City Hunter !  

- Oui mais seulement vous devez me promettre de ne dire à personne que la police peut se faire aider par City Hunter…  

- Ne vous en faites pas… »  

Un silence s’installa. Mais rapidement Jonathan le brisa.  

« Mademoiselle. Dans ce cas, j’aurais un service à vous demander.  

- Lequel ? dit Kaori.  

- Je souhaiterais vous engager pour que vous retrouviez mon précieux tableau.  

- Heu… Très bi…  

-Kaori je t’ai déjà dit que je n’accepte de travailler que pour les jolies femmes !! S’exclama Ryô qui venait de faire subitement son entrée dans la chambre de Jonathan.  

A leur tour, Kaori et Jonathan furent surpris de voir entrer son partenaire ou un parfait étranger dans le cas de Jonathan.  

- Ryô mais qu’es-ce que tu fais ici ?! Et qui t’as permis d’entrer ? Oh pardon Jonathan ; je vous présente mon partenaire Ryô Saeba.  

- Enchanté. Dit Ryo. Puis, comme si de rien n’était, il poursuivit.  

« Je t’ai vu prendre l’ascenseur quand je suis revenu et donc j’étais curieux de savoir ce que tu pouvais bien mijoter. Et j’avais raison !! Je refuse ce travail ! On en a déjà un en ce moment !  

- Mais ça ne coûte rien de l’aider ! Ça fait en quelque sorte partie de notre travail puisqu’on doit retrouver tous les tableaux volés ! Et je lui dois bien ça ! Si tu veux savoir c’est grâce à lui que j’ai pu entrer dans la salle d’exposition après que tu t’es fait stupidement renvoyé ! »  

Coincé, il n’avait plus de raisons de ne pas accepter de l’aider. C’est avec résignation qu’il dit tout bas « ok j’accepte… »  

A peine avait-il terminé sa phrase que ton téléphone portable sonna.  

-Allo ?  

- Allo Ryô ? C’est Miki. Est-ce que Kaori est là ? Est-ce qu’elle va mieux ? (Les nouvelles circulent vite^^)J’aurais besoin de lui parler…  

- Oui oui elle est à côté de moi je te la passe… tiens c’est pour toi, dit-il à Kaori en lui passant son téléphone.  

- Ah merci Excusez-moi Jonathan… Allo Miki ?  

- Kaori ? Ça va ? Ryô nous a raconté ce qu’il s’est passé.  

- Oui ça va aller merci. Tu voulais me dire quelque chose ?  

- Oui Kaori j’ai une mauvaise nouvelle… Heu en fait…. Oh je suis vraiment désolée Kaori mais… Yûsuke a disparu…"  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16