Capitolo 13 :: On intervient demain soir!

Pubblicato: 28-06-07 - Ultimo aggiornamento: 28-06-07

Commenti: Bonjours à tous!! Sans trop de retard, voici mon chapitre 13!! Je suis hyper contente des review que vous m'avez posté!! Ca ma fait super plaisir et je vous en remercie!!! J'espère donc que la suite vous plaira...! Là, on fait une sorte de pause dans le sens où il y a surtout des dialogues... Mais chapitre suivant --> de l'action!! Va faloir s'appliquer!!^^ Sinon, pour ceux qui sont aussi fan de One Piece que moi (Vive One Piece!!!^^), j'ai fait aussi un ptit clin d'oeil à ce superbe manga!^^. Bon, je vous souhaite à tous une bonne lecture et oubliez pas les commentaires! :)

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“Désolée Kaori mais...Yûsuke a disparu...”  

Kaori n’en croyait pas ses oreilles. Horrifiée, elle lâcha subitement le téléphone que Ryô, par réflexe, se précipita de rattraper pendant sa chute.  

« Eh tu pourrais au moins faire attention ! s’exclama Ryô.  

- Mademoiselle Kaori, vous allez bien ? S’inquiéta Jonathan.  

- Pardon mais… je dois y aller ! »  

Sur ce, Kaori quitta précipitamment la chambre 403 et se dirigea vers la sortie de l’hôpital, bien qu’elle n’ait pas eu encore l’autorisation.  

« Allo Miki ? C’est Ryô. Mais qu’est-ce que tu lui as dit pour qu’elle réagisse de cette manière ?  

- Oh Ryô, c’est terrible ! Yûsuke est parti…  

- Il manquait plus que ça maintenant… Je parie qu’elle est partie te rejoindre ! Miki j’arrive tout de suite !  

- Pardonnez mon indiscrétion, commença Jonathan ; mais que c’est-il passé monsieur…heu ?  

- Saeba. Je n’ai pas le temps de vous expliquer et cela ne concerne pas les tableaux… Désolé monsieur je dois partir maintenant…  

- Attendez je vous donne mes coordonnées. J’aimerais bien que vous m’appeliez si vous avez du nouveau…  

- D’accord… Merci.  

Ryô se précipita à son tour vers la sortie pour tenter de rejoindre Kaori. Comme il l’avait pensé, elle avait pris un taxi. Il se dirigea donc à son tour vers sa mini et alla au Cat’s Eye.  

Ryô, qui connaissait la ville comme sa poche pris plusieurs raccourcis et arriva quelques secondes après sa partenaire. Cette dernière, épuisée, ouvrit violemment la porte du café, dès qu’elle sortit du véhicule.  

« Miki ! s’écria-t-elle désespérément.  

- Kaori je ne sais absolument pas ce qu’il s’est passé !  

- Explique-moi s’il te plait…  

- Avant, assis-toi tu est complètement essoufflée. »  

Kaori s’exécuta, suivit de Ryô qui était entré en silence, allumant une cigarette. Puis, Miki commença son récit.  

« Hier, j’ai fait mon possible avec Falcon pour le mettre à l’aise. J’ai donc pensé au bout d’un moment qu’il était parvenu à s’habituer à la présence de Falcon. Nous avons dînez tranquillement et tout était normal lors du coucher. Ce n’est que ce matin quand j’ai voulu le réveiller que je me suis aperçue qu’il n’était plus dans son lit ! C’est arrivé peu après le moment où Ryô nous avait appelé pour nous parler de ce qu’il t’était arrivé…  

« J’aurais pas dû mais j’ai paniquée, j’ai cherché avec Falcon dans toute la maison, pour ne pas que tu t’inquiètes mais j’ai fini par appeler Ryô.  

- Ne t’en fais pas ce n’est pas de ta faute Miki. Dit Kaori qui tentait de consoler son amie.  

- Dans un sens oui ! J’aurais dû faire plus attention ! Tu m’avais prévenue pour son comportement ! »  

Quant à Ryô, il n’écoutait déjà plus la conversation et se mis à réfléchir sérieusement sur le cas de Yûsuke. Il l’avais déjà suivit un soir et avait trouvé son comportement très suspect. Mais il n’avait pas voulu en parler à Kaori pour ne pas l’inquiéter davantage. Maintenant, il voulait bien savoir pourquoi était-il parti ? Et surtout où est-il dorénavant ? Le mystère planait sur cet enfant qui était refermé sur lui-même. Toutefois, cette histoire commençait à l’embêter sérieusement.  

« Je vais faire quelques recherches dans la rue…commença Kaori.  

- Attends Kaori. Ryô pris la parole pour la première fois depuis qu’il était entré dans l’établissement.  

« Avant que tu n’ailles où que ce soit, il faudrait peut-être que tu retournes à l’hôpital, au moins pour signer ton autorisation de sortie. De plus, je te rappelle que nous sommes en ce moment sur une affaire très importante et j’ai besoin de toute ta concentration pour la mener à bien. Nous allons bientôt intervenir.  

- Et tu oserais laisser tomber un gosse, un pauvre gosse qui vivait dans la rue ?! C’est impensable !  

- Tu ne peux pas obliger une personne à rester dans un endroit où elle n’a pas envie d’être…Yûsuke n’avait aucune raison de rester avec toi.  

- Tu es insupportable quand tu le veux Ryô Saeba ! s’exclama Kaori. »  

Elle se leva, sortit du café, et repris un taxi pour retourner à l’hôpital. Elle était furieuse contre son partenaire mais d’un autre côté, elle savait pertinemment qu’il n’avait pas tout à fait tord. Elle ne pouvait l’obliger à rester avec elle, même pour quelques jours, le temps de trouver une solution. Pourtant, elle voulait absolument l’aider. Elle n’avait juste pas eu encore le temps d’avancer sur son enquête, de savoir pourquoi il lui a mentit concernant l’orphelinat.  

Elle décida tout de même de chercher un peu parmi les rues de Shinjuku et aux alentours avant d’aller rejoindre Ryô à l’appartement pour connaître la suite des événements. Elle souhaitait également retrouver ces bandits qui avaient osé voler des œuvres, de retrouver le père d’Haruka, même si ce dernier n’était qu’un malfrat.  

*-*-*-*-*  

A l’hôpital, Kaori rencontra de nouveau Mick qui –apparemment- l’attendait.  

« Salut Mick…Tu sais tu peux rentrer chez toi maintenant…  

- Qu’est-ce qui ne va pas tu n’as pas l’air d’être dans ton assiette…  

- T’en fais pas… Je rentrer à l’appartement je n’ai plus rien à faire ici…  

- Ok c’est toi qui décides. »  

Kaori commençait à ranger les quelques affaires qu’elle avait laissé dans sa chambre lorsqu’elle eu une idée.  

« Dis Mick, tu es venu en voiture ? »  

Le concerné acquiesça.  

« Ça te dérangerais de me rendre un petit service ? »  

*-*-*-*-*  

Après avoir signé l’autorisation de sortie, Kaori, qui avait rapidement raconté à Mick les derniers événements à Mick, arpenta les rues de Shinjuku avec ce dernier pour tenter de retrouver Yûsuke. Elle chercha dans les endroits des plus probables mais sans succès. Elle se résigna et décida de rentrer. Ryô devait sûrement l’attendre.  

Et elle eut raison. Après être entrée, elle vit Ryô assis dans le salon devant un ordinateur en compagnie de l’inspecteur Nogami. Elle les regarda d’un air suspicieux.  

« Ne t’en fais pas Kaori dit Saeko. Je viens juste d’arriver. Comment va ta blessure ?  

- Ce n’est rien. Des nouvelles ?  

- Oui. Repris Ryô qui avait oublié la discussion quelques heures auparavant. On sait enfin où ils se cachent. Ils n’ont même pas remarqué que j’avais mis un émetteur sur leur camionnette ces abrutis. Ça va être facile.  

- Et où sont-ils donc ? demanda Kaori curieuse en s’installant à son tour sur le sofa.  

- Comme je m’en doutais grâce à mes indics, leur QG se trouve dans un des entrepôts à l’aéroport d’Haneda.  

- Dans ce cas, dit Saeko, ils n’ont pas encore l’intention de les vendre ou les emmener à l’étranger vu que c’est un aéroport national.  

- Evidement confirma Ryô. Sinon, ils seraient à Narita.  

- Bon et maintenant que fait-on ? demanda Kaori.  

- C’est simple dit Ryô. Il nous faut un plan. Dès demain soir, nous irons leur donner une petite visite. Kaori et moi s’occupions de les coincer et ensuite tes forces spéciales interviendront. Mais il faut être prudents. Saeko. Tu penses pouvoir nous trouver les plans des entrepôts ?  

- Ça doit se trouver…  

- Ok merci.  

- Bon ce n’est pas tout mais je dois travailler. J’essaierais de te trouver les plans le plus tôt possible.  

- Mais avant, commença Ryô avec sa tête de pervers, laisse-moi t’embrasser !!!  

- Tu rêves mon pauvre vieux !! » S’écria Kaori qui avait anticipé le geste de son partenaire. Saeko en profita pour s’éclipser.  

Elle lui lança une énorme massue qui le cloua sans problème au sol. En même temps, un morceau de feuille s’envola de la poche de Ryô.  

« Tiens tu as d’autres choses que des soutien gorge dans tes poches ?! Dit Kaori ironiquement. C’est quoi ?  

- Vas-y inquiètes toi pour ma santé ! s’exclama Ryô qui tentait tant bien que mal de se remettre sur pied.  

- Tu l’as bien mérité ! Comme toujours… » Ajouta-elle plus bas.  

Elle reporta son attention sur le morceau de papier. Elle pu y lire le nom de Jonathan Gardner, son adresse et son numéro de téléphone à Tôkyô.  

« Oh non Jonathan je l’ai complètement oublié ! Il faut que j’aille lui parler ! »  

Sans même faire attention à son partenaire qui se massait maintenant la tête, Kaori sortit précipitamment de l’appartement.  

En chemin, elle téléphona sur le portable de Jonathan et appris qu’il avait quitté l’hôpital, et qu’il était à présent à son hôtel. Elle alla donc le rejoindre.  

*-*-*-*-*  

« Re-bonjour Jonathan. Vous allez mieux ?  

- Ça peut aller… Les effets du gaz se sont complètement dissipés. Qu’est-ce qui vous amène ?  

- J’ai des nouvelles. Nous avons enfin trouvé la cachette de ces bandits !  

- Et bien on peut dire que vous êtes efficaces !  

- Vous ne croyez pas si bien dire ! Sourit Kaori. Je voulais juste vous prévenir que nous allons bientôt intervenir pour retrouver en partie votre tableau mais aussi toutes les autres œuvres qu’ils ont volés.  

- Je vous remercie infiniment de vous préoccuper ainsi de mon tableau…  

- Il n’y a vraiment pas de quoi ! C’est vous qui m’avez aidé à entrer dans le musée et j’ai bien vu à quel point vous appréciez votre métier…  

- C’est exact. Je m’identifierais presque au peintre. Ma femme s’appelle également Clara…  

- Votre femme ! Et elle n’est pas avec vous en ce moment ?  

- Non elle a aussi son métier… Elle est restée un moment en Angleterre là où je l’ai rencontrée. Elle aime presque autant que moi les œuvres de Vladimir Radskin. C’est pourquoi je veux absolument retrouver celui que l’on m’a dérobé.  

- Comptez sur moi, je ferais mon possible ! Maintenant reposez-vous j’ai encore du travail… Au revoir.  

- A bientôt !  

*-*-*-*-*  

Sur le chemin du retour, Kaori se souvint qu’il fallait aussi qu’elle prévienne son autre cliente. Dans une cabine téléphonique, elle composa le numéro d’Haruka et elle combina de se retrouver au Cat’s Eye.  

« J’espère que Ryô n’y sera pas… » Pensa Kaori.  

*-*-*-*-*  

De son côté, Ryô arpentait les rues à la recherche de ses indics, pour tenter de trouver l’identité du « patron » qui planifiait tous ces vols.  

Dans une ruelle, il trouva un homme allongé sur le sol. Il paraissait ivre. Il s’agenouilla pour le réveiller.  

« Franky ? Réveille-toi ! C’est moi Ryô !  

- Hein… ? Ryô ? Répondit l’homme.  

- Tu as pu avoir les informations que je t’ai demandées ?  

- Un jeu d’enfant ! De nos jours, tout le monde est corrompu. Il y a eu des fuites. Je sais qui c’est le « Big Boss »…  

Franky faillit se rendormir mais se repris rapidement.  

« Il s’appelle Spandam. Du moins, c’est son nom dans le milieu. Apparemment, il faisait déjà partie d’une bande de trafiquants à Taiwan mais il a décidé de venir « s’installer » ici, à Tôkyô. En gros, on ne connaît pas grand-chose à son sujet. C’est un peu un nouveau du milieu mais il se débrouille bien… si tu le cherches c’est que ce n’est pas du gâteau…  

- Sans commentaire Franky. Je sais déjà où il se trouve avec ses hommes. Bref. Je te remercie beaucoup. Tiens. Dit Ryô en lui donnant quelques billets.  

*-*-*-*-*  

Kaori attendait déjà depuis quelques minutes que sa cliente se présente au Cat’s Eye. La cloche retentit, Haruka apparu.  

« Pardon mademoiselle Kaori pour mon retard. Alors quelles nouvelles ?  

- Nous savons à présent où se trouve le repère des malfaiteurs et nous allons intervenir demain soir.  

- Puis-je venir avec vous ?!  

- Je ne pense pas que cela soit une bonne idée Haruka. Ce genre d’intervention peut être dangereux… enfin pas peut-être c’est même sûr. Mais ne vous inquiétez pas, nous veillerons sur votre père. Nous avons toujours la photographie que vous nous aviez donnée…  

- Oui bien sur… dit Haruka d’un air triste. »  

Au loin dehors, une ombre étrange s’approchait dangereusement du café.  

« Cachez les couverts ! Dit Umibôzu à sa femme.  

- Hein ?! Répondit cette dernière.  

- Ne soyez pas triste Mademoiselle Haruka ! Je suis là pour vous consoler !!  

- Ryô c’est pas possible ! T’en as pas marre à la fin de faire le pitre ?! » S’énerva Kaori qui avait déjà ressortit sa massue.  

Mais cette fois, Ryô fut plus rapide. Ill arrêta la massue Net avant qu’elle n’atteigne son objectif.  

« Là c’est moi qui proteste! Dit Ryô le plus sérieusement possible. Depuis quand tu invites les clients à boire un café sans m’inviter !  

- C’est pas tes oignons je voulais juste rassurer notre cliente concernant son père !  

- Je suis pas d’accord! En fait personne ne m’aime… ! Sanglota Ryô accroupit dans un coin de la pièce, attendant que quelqu’un daigne venir le consoler à son tour.  

- C’est ça reste dans ton coin. N’ayez crainte Haruka. Tout se passera bien. Je vous en donne ma parole…  

- Je sais que je peux compter sur City Hunter. Dit Haruka avec son plus beau sourire.  

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