Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: amarina

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 21 capitoli

Pubblicato: 30-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-04-06

 

Commenti: 54 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Après 6 ans de collaboration sans nuages ( mais pas sans massues!! ) Kaori voudrait bien que Ryo se décide! Entre enquêtes et week-end romantique, nos deux amoureux terribles finiront-ils par concrétiser?!!!

 

Disclaimer: Les personnages de "Chacun pour soi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Chacun pour soi ( partie I): La fin d'une légende.

 

Capitolo 15 :: Besoin de réconfort.

Pubblicato: 09-04-06 - Ultimo aggiornamento: 09-04-06

Commenti: Et voilà, comme d'habitude, nos deux amoureux terribles n'ont pas su profiter de l'occasion pour concrétiser!!! Et c'est pas faute d'avoir tout essayé!!! Voici donc l'heure du bilan. Bonne lecture, et à très très vite, promis!!!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21


 

Chapitre 15 : Besoin de réconfort.  

 

 

 

Le retour à l’appartement et à la routine c’était fait sans trop de mal pour Ryo, tout heureux de retrouver son quartier préféré, son frigo toujours bien rempli, grâce aux bons soins de sa partenaire, sans oublier ses précieuses petites revues coquines.  

Mais il en allait tout autrement pour Kaori, car pour elle, ce retour à la « normal » symbolisait parfaitement leur incapacité à communiquer.  

 

En réalité, que savaient-ils l’un de l’autre ? Que connaissaient-ils, au fond, des envies et des désirs de chacun ? Se comprenaient-ils vraiment ?  

 

Après ce week-end, Kaori en doutait sérieusement. Elle en voulait à Ryo de l’avoir déçu, et encore plus à elle-même d’avoir cru que les choses étaient possible entre eux.  

 

Quelle pauvre idiote elle avait été de s’imaginer qu’un séjour dans un lieu romantique suffirait à faire disparaître, comme par magie, les défauts et la maladresse de Ryo, et sa timidité. Le mieux était de se rendre à l’évidence, il n’y avait plus rien à faire, ni à espérer.  

 

Et tous les regrets du monde n’y changeraient rien. Les coups de massues non plus.  

 

Kaori était d’humeur mélancolique, et Ryo se sentait coupable, aussi, l’ambiance dans l’appart’ s’en ressentait, et c’est à peine s’ils avaient échangé deux mots depuis leur départ de l’hôtel.  

 

Ce matin là, Ryo se réveilla très tard. Il était près de midi, et il s’étonna que Kaori ne soit pas encore venue le tirer du lit. Pourtant un bon coup de massue l’aurait certainement soulagé du poids qui lui pesait sur le cœur depuis quelques jours ( tiens, tiens, sa conscience le travaillerait-elle ??!!). Il sortit de sa chambre, mais ne détecta aucun signe de la présence de Kaori.  

 

Arrivé dans la cuisine, il vit qu’elle lui avait néanmoins préparé le petit déjeuné, mais les tartines et le café étaient froid depuis longtemps. Posé à côté de sa tasse, un petit mot de Kaori l’informait qu’elle était sortie voir s’il y avait des messages au tableau et de ne pas l’attendre.  

 

Ryo s’assit lourdement et se prit la tête entre les mains. Bien qu’il n’ait pas prit une seule goutte d’alcool, il avait l’impression d’avoir la plus belle gueule de bois de toute sa vie.  

 

Aucun message n’étant inscrit sur le tableau, Kaori, qui ne désirait pas rentrer tout de suite à l’appartement où elle avait l’impression d’étouffer, décida d’aller au Cat’s eye. Elle voulait passer un savon à Miki pour lui avoir mit cette idée de week-end dans la tête, mais surtout pour se faire remonter le moral par son amie.  

 

Dès qu’elle poussa la porte du café, Kaori se sentit apaisée par l’atmosphère qui y régnait. Umi servait du café aux quelques rares clients, hormis les habitués et les gens du quartier qui s’étaient accoutumés à cette présence, qui n’avaient pas fait demi-tour en voyant l’imposante carrure du patron. Miki, essuyait des tables, tout en finissant de les débarrasser.  

 

Ici aussi, rien ne changerait jamais, mais ça c’était plutôt rassurant.  

 

Dès que Miki vit Kaori, elle lui adressa le plus chaleureux des sourires. Elle était très pressée de savoir comment c’était passé ce week-end qu’elle avait aidé à organiser.  

 

« Bonjour vous deux ! » salua Kaori.  

 

« Bonjour Kaori » répondit Umi, tout en tentant de percevoir la présence de ce pervers de Ryo qui ne manquait jamais une occasion pour sauter sur sa compagne dès qu’il franchissait la porte. Mais Umi savait toujours comment le recevoir ( c’est vrai qu’un bon coup de bazooka, à défaut d’une massue, ça vous r’met les idées en place !!!).  

 

« Ryo n’est pas avec toi ? » s’étonna Miki  

 

« Non. » dit simplement Kaori.  

 

Immédiatement, Miki sut que quelque chose n’allait pas. Gentiment, elle entraîna son amie vers une table à l’écart des autres clients, et de l’ouïe, un peu trop fine, de son « nounours » adoré.  

Elles s’installèrent l’une en face de l’autre.  

 

« Alors, racontes. Comment ça c’est passé ? » interrogea Miki qui, dévorée par la curiosité, ne tenait plus en place.  

 

« Toi j’te r'tiens avec tes idées de voyage romantique à la campagne !! »  

 

« Ca c’est passé si mal que ça ?!! »  

 

Mais Kaori se retrouva dans l’incapacité de répondre à cette question. Une boule douloureuse, montée de son cœur, venait de se former dans sa gorge, et des larmes commençèrent à couler sur ses joues.  

 

Miki quitta la banquette et vint s’asseoir à côté de son amie. Elle passa les bras autour de ses épaules, secouées par les sanglots.  

 

« Oh, ma chérie, ne pleure pas. Calme toi. » répétait doucement Miki, tout en lui caressant le dos.  

 

Peu à peu, le chagrin de Kaori s’atténua. Miki l’embrassa et lui tendit un mouchoir qu’elle prit dans la poche de son tablier.  

 

« Maintenant, racontes moi tout ce qui c’est passé. » l’encouragea Miki.  

 

Les mains serrées dans celle de son amie et la respiration encore un peu saccadée, Kaori commença à raconter son week-end. Quand elle eut fini, Miki, furieuse, se fit la promesse que Ryo ne perdrait rien pour attendre.  

 

« J’ai jamais vu un mec aussi stupide que ton Ryo !! » s’exclama Miki.  

 

« Ce n’est pas MON Ryo !!! » gronda Kaori.  

 

« Oui, pardon tu as raison. Que comptes tu faire maintenant ?!! »  

 

« Je n’en sais rien. Tout est si compliqué. Pourquoi n’est ce pas aussi simple que ça l’est pour toi et Umi ? » se lamenta Kaori.  

 

« Peut-être que Ryo a plus de scrupules pour te séduire que n’en avait Umi, n’est-ce-pas mon chéri ?!!! » s’exclama malicieusement Miki, tout en jetant un regard pétillant et amusé sur Falcon qui se mit à rougir derrière le comptoir.  

 

« Ca lui apprendras à écouter nos conversations privées !! » dit Miki en lui faisant un clin d’oeil.  

 

Kaori sourit timidement, puis, contaminée par la bonne humeur de son amie, elle rit à son tour.  

 

Miki insista pour que Kaori reste manger avec eux, ce que cette dernière accepta de bon cœur. Le repas se passa joyeusement, surtout que Miki, décidée à taquiner Falcon, asseyait, avec la complicité de Kaori, de lui faire perdre son célèbre flegme.  

 

C’est d’un cœur un peu plus léger, que Kaori quitta le Cat’s eye. Mais elle ne voulait pas encore rentrer. Pour l’instant, elle n’avait aucune envie de voir Ryo, ni de penser à lui. Elle s’obligea à fixer son attention sur l’animation des rues de Tokyo et sur les belles vitrines des magasins. Peut-être y trouverait-elle quelque chose de plaisant à acheter.  

 

Elle marchait depuis un moment, s’arrêtant ou entrant dans les boutiques qui lui plaisaient, quand elle vit une femme âgée, les bras chargés de sacs à provisions. Elle paraissait essoufflée et sur le point de se trouver mal. Kaori s’approcha rapidement de la dame afin de lui proposer un coup de main.  

 

« Vous avez besoin d’aide madame ? »  

 

La vieille femme se retourna, visiblement soulagée qu’on le lui propose.  

 

« Merci, ce n’est pas de refus. Ces sacs pèsent une tonne !!! » répondit-elle en souriant.  

 

« Madame Pony ?!!! » s’écria Kaori, toute surprise de se trouver face à son ancienne institutrice. ( NDA : je fais ici un petit clin d’œil à tous ceux qui se souvienne, avec nostalgie, d’un autre D.A. Vous voyez lequel ?? Non ?!! J’vous donne un indice : l’héroïne est une charmante petite blondinette aux yeux verts. Ca y est, vous avez trouvé ?!! Réponse au chapitre suivant….)  

 

 

 

 


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