Capitolo 21 :: Mais qui est maudit, le téléphone ou Ryô??

Pubblicato: 12-08-04 - Ultimo aggiornamento: 12-08-04

Commenti: COUCOU!! comme promis fidèles lectrices une maj plus longue, plus rapide et peut-être agréble à lire ?? Il est 4H43 du mat j'y ai passé ma nuit!!! alors pour les fautes pardonnez-moi!! Je suis creuvée mais têtue comme je suis je voulais le terminer ce soir enfin ce matin!!MDr Enfin j'ai essayé de tenir mes promesses!!! LOL!!! Bonne lecture!!!!

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Kaori émoustillée, les joues encore rosâtre, en profita pour réajuster cette petite serviette qui avait bien faillit glisser avec elle. Elle laissa Ryô à sa conversation et s’éclipsa sur la pointe des pieds, à pas de velours dans sa chambre.  

_Bonjour Monsieur Saeba, Monsieur Sakaï à l’appareil !  

Quelques minutes auparavant Ryô était dans un état second, perturbé par cette étreinte inattendue entre lui et sa partenaire. Voilà que tout à coup il retrouvait tous ses esprits à l’énonciation de ce nom « monsieur Sakaï, encore lui ! ».  

_Hum! Hum! Bonjour. Fit-il s’éclaircissant la voix, guère enchanté de devoir converser avec cet homme. « Qu’est-ce qui me vaut votre appel ? »  

_Je souhaitais simplement m’entretenir avec Mademoiselle Makimura !  

_A quel sujet ? Se surpris t-il à demander.  

_Un dernier détail à régler !  

Ils se répondaient au tac au tac en mettant les formes. Monsieur Sakaî était très fort a ce petit jeu. Aucun des deux ne desserraient les dents.  

_De quel détail s’agit-il ? Répondit Ryô calmement mais fermement.  

_Mademoiselle Makimura s’est occupée de fixer les honoraires et d’établir les paiements. C’est ce dernier détail là que nous devons régler. C’est une terrible femme d’affaire, vous savez ?!  

Oh qu’oui, Ryô le savait. Kaori n’arrêtait pas de lui faire la morale quant il dilapidait l’argent gagné dans les cabarets au bras de charmantes hôtesses les une plus délicieuses que les autres.  

_Oui effectivement ma partenaire est une terrible femme d’affaire comme je le suis dans mon domaine ! Mais ça vous le saviez déjà en engageant City Hunter.  

Le nettoyeur avait compris ce que sous-entendait Monsieur Sakaï : qu’ils feraient de parfait associés si City Hunter venait à se séparer. Ryô Saeba avait répondu subtilement qu’elle était sa partenaire, formaient une équipe et qu’il était le meilleur nettoyeur. Ne devait-il pas lui aussi craindre Ryô Saeba, comme tous ses ennemis. Monsieur Sakaï ne l’était pas à proprement dit mais il était un excellent rival ou l’enjeu était de taille. Mais après tout un homme amoureux peut affronter toutes les situations aussi difficile soit-elles, pour celle qui l’aime.  

_Oui je le savais mais ce que j’ignorais à ce moment là et l’heureux hasard que j’ai eu de rencontrer Mademoiselle Makimura. Je vais être honnête avec vous Monsieur Saeba, j’ai eu quelques doutes concernant la nature de vos relations mais à présent je suis soulagé de vous entendre dire qu’elle n’est que votre partenaire. Enfin, trêve de bavardages. Puis-je parler à Mademoiselle Makimura ou bien devrais-je me déplacer, se serait sûrement mieux !?  

Il narguait habilement Saeba en faisant preuve de courtoisie. Sean acquis la certitude depuis l’altercation dans le yacht que le nettoyeur éprouvait bien plus qu’une simple affection ou une quelconque amitié envers Kaori. Il ne saisissait pas pourquoi il mentait à vrai dire il s’en contre fiché tout ce qui l’importait était de conquérir le cœur de cette magnifique femme, Kaori Makimura.  

Ce gars là l’enrager intérieurement : « Je vais te refaire ta face oui !! A coup de poing si tu te pointes ici, on verra si après ça tu l’as ramènes autant avec une gueule de mérou ! »  

_Je vous arrête tout de suite Monsieur Sakaï. Je vais remettre les choses à leurs places. Je ne suis pas psy et encore moins votre ami. Je me fous royalement de ce que vous pensez. Kaori est libre de faire ce qu’elle veut. J’espère mettre bien fait comprendre !  

Ryô visiblement irrité éloigna le combiné de son oreille et s’écria:  

_Kaori !!!!!!!!!  

A l’autre bout du fil un sourire narquois se dessina sur les lèvres de son interlocuteur. « Si vous le dite Monsieur Saeba, vous ne vous opposerez pas à moi. Mais permettez-moi d’en douter !! »  

L’appel de son nom la fit sursauter. Une fois encore elle manqua de se retrouver le nez parterre devant la porte de sa chambre. « Mais qu’est-ce qui lui prends de hurler comma ça ? Je ne suis pas sourde ! Pffff ! Je ne comprendrais jamais ses changements d’humeur ! » Songea t-elle.  

_Oui !! Qu’est-ce qu’il y a ?  

_On te demande au téléphone !  

«C’est sûrement Eriko. Voilà pourquoi Ryô est énervé. Il pense que je vais trop dépenser et le privée de sorties. C’est vrai que chaque week-end elle me traîne pour faire les boutiques…. »Supposa t-elle. « ATCHOUM ! » Eternua t-elle. « Oh, je vais finir par attraper froid, moi ! »  

_J’arrive !! Deux minutes !  

Elle entra dans la pièce en vitesse, enleva sa serviette qu’elle jeta négligemment sur son lit. Mis un dessous en dentelle blanc puis fouilla dans son armoire. Elle pris sur le premier cintre suspendu le vêtement le plus facile à enfiler, une chemise blanche vaporeuse appartenant à son défunt frère qui lui arriva bien au-dessus du genou.  

Ryô ne bouillait rien qu’à l’idée d’imaginer sa partenaire tombé dans les bras de ce dont juan, Sean le mettait hors de lui. Il maîtrisait son agacement ou bien peut-être sa jalousie grandissante. Il attendit le combiné en main que sa partenaire réapparaisse. Les minutes s’écoulaient lentement, il s’impatienta tournant la tête plusieurs fois en direction du couloir. Finalement il se retourna vers le meuble en bois auquel était apposé le téléphone pour déposer sur le côté le combiné. Il repartit en direction du canapé repris le journal qu’il froissa nerveusement entre ses mains. C’est à ce moment là que Kaori arriva.  

_Allô !?  

Il crût devenir fou, son sang ne faisait plus qu’un tour. Il déglutit et se mit à souhaiter de pouvoir devenir aveugle en cet instant précis. Mille et une vision se mirent à danser dans sa tête. ( Et oui on peut dire aussi mille et une nuit en sa compagnie ! hihihi !!)  

Il pouvait observait cette chemise beaucoup trop grande pour elle mais à la fois si sexy. Elle était de dos avait d’une main le combiné collé à l’oreille et l’autre, posée sur sa hanche. Elle inclina une jambe contre le meuble et étira l’autre ce qui fit pour effet de remonter sa chemise et de laisser entrevoir beaucoup trop de choses pour l’imagination débordante de Ryô.  

Des jambes galbées, des fesses à croquer, une taille à enlacer. La lumière du séjour rendait transparente la chemise. Il regarda son entre-jambe et devina un dessous en dentelle blanc. Il découvrait de multiples facettes de cette femme qu’il ne soupçonnait pas. Conditionner à ne pas toucher au fruit défendu revient à susciter encore plus de désir.  

Son « troisième bras » ne se fit pas attendre, ni prié non-plus pour se lever.  

Etait-il donc maudit ? Non, martyre condamné à subir les souffrances infligées par son tendre tortionnaire, Kaori Makimura.  

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