Capitolo 18 :: Dénouement

Pubblicato: 16-03-04 - Ultimo aggiornamento: 22-04-04

Commenti: Merci!! Merci!! Merci!! Les filles grâce à vos reviews j'ai eu envie de continuer à écrire un "peu plus vite". Melu, awax, Natsu, Coolcath, Ayumi, Soso, Kairi, Kaori-h et toutes les autres......... Je vous ai écris ce chapitre pour répondre à vos attentes!! Merci encore je sais je me répète c'est le vieillesse comme dirait ME !!! Alors je vous souhaite bonne lecture!! PS:je compte sur vous pour me donner votre avis!!

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Notre nettoyeur suivit de son client arrivèrent sur le pont. Les convives s’en étaient allés et Monsieur Cartigny était sur le point de déserter la soirée. Il se tenait de dos prêt à descendre sur la passerelle. Monsieur Sakaï l’interpella :  

_Monsieur Cartigny !!! Où allez-vous ?!  

_Vous nous quittez ? Demanda Ryô qui se rapprocha.  

Monsieur Cartigny se retourna pris de cours. Il tenta une réponse bégayant :  

_Euh ….C’est à dire que….  

Saeba le coupa :  

_Vous vouliez vous enfuir peut-être ?  

_M’enfuir, moi, mais enfin que voulez dire ? Je n’apprécie guère les plaisanteries !  

_Vraiment !! Alors expliquez-nous pourquoi avoir envoyé trois plaisantins pour s’emparer  

d’un million de dollars appartenant à votre « ami » Monsieur Steiner ??!!  

Des gouttes de sueur commençaient à perler sur le front de Monsieur Cartigny qui essayait de trouver une échappatoire coûte que coûte :  

_Comment ça ? Vos affirmez des choses à m’en encontre sans fondement !! Je vous conseille de surveiller vos paroles !  

_Je peux affirmer que vos sbires vous vendront certainement à la police en échange d’une remise de peine, je pense ! Ils sont toujours à l’intérieur bien au chaud. Votre plan tombe à l’eau ! Fit Ryô d’un ton monocorde.  

_Je ne comprends plus rien !! Pourquoi avoir fait tout cela!! Alors les menaces s’étaient donc vous ? S’exclama Monsieur Sakaï abasourdi par les proportions qu’avait pris cette histoire.  

Monsieur Cartigny démasqué, voulut sortir une arme de la poche intérieure de sa veste mais notre nettoyeur fut bien plus rapide. Ce type commençait à l’agaçait, il dégaina et pointa son magnum en sa direction :  

_Je vous conseille de vous tenir tranquille ! Lança Ryô d’un ton menaçant.  

Mais Monsieur Cartigny ne s’avoua guère vaincu. Il tenta en vain de s’enfuir. Malgré l’avertissement il sortit un barreta mais avant qu’il n’ait eu le temps d’en faire usage, une détonation résonna. Son arme fut violemment propulsée et tomba à l’eau. Ryô venait de tirer. Monsieur Cartigny un instant, crut être touché. La peur se lisait sur son visage déconfit. Affolé, il leva les mains au ciel et s’écria :  

_S’il vous plaît, ne me faite pas de mal !!  

Monsieur Sakaï regarda Monsieur Saeba et fut étonné d’une telle précision. Cet homme était imbattable dans son domaine pensa t-il. Monsieur Cartigny repris : « J’avoue j’ai tout organisé. Je voulais surenchérir la transaction pour dissuader Monsieur Sakaï d’acquérir ma société. Mais.. »  

_Mais voyant que l’argent n’était pas un problème vous avez opté pour une méthode plus radicale, en essayant de l’éliminer ! N’est-ce pas ? Rétorqua Ryô.  

_Oui ! Je voulais l’intimider. Qu’il renonce ! Vous ne comprenez pas. Cette entreprise s’est toute ma vie !! Et avec un million de dollars j’aurai pu la garder !  

Monsieur Cartigny était obnibulé par l’argent et le sens même de la vie n’avait plus aucune importance à ses yeux. Il avait perdu la raison et était prêt à tuer pour cela. Ce type était lamentable. Pensèrent Sean et Ryô.  

_Moi ce que je comprends c’est que vous allez croupir en prison mais avant….  

Monsieur Sakaï interrompit Monsieur Saeba et reprit la parole comprenant ou il venait en venir :  

_Vous n’allez pas vous en sortir à si bon compte ! Vous allez respecter vos engagements !! Sean sortit le contrat de sa poche.  

_Vous pouvez signer, Monsieur Cartigny ! Vous avez perdu. Répliqua Ryô.  

Et voilà le document fut signé et à ce moment là Kaori apparut sur le pont annonçant que la police était en chemin. Elle comprit tout de suite que cet homme bedonnant au bord du gouffre était l’investigateur de cette sombre affaire.  

Monsieur Cartigny fut ligoté en attendant les forces de l’ordre. Comme d’habitude, nos deux acolytes quittèrent les lieux juste avant l’arrivée des autorités. L’inspectrice Nogami interrogea Monsieur Sakaï.  

Comme prévu, les policiers ramassèrent les trois malfrats ainsi que le commanditaire. Monsieur Steiner, sous le choc, fut emmené à l’hôpital pour un examen de contrôle. Sean suivit l’inspectrice de choc au poste pour enregistrer sa déposition.  

Celui-ci ne lui était pas indifférent. C’est un bel-homme et un bon parti ! Papa serait comblé. Songeait-elle.(Quelle croqueuse d’homme cette femme !! )  

Ce soir là, Monsieur Sakaï fut escorté à son hôtel par Saeko. Toutes ses pensées étaient dirigées vers Kaori. L’inspectrice avait beau jouer de ses plus beaux atouts, Sean était bien trop absorbé pour regarder autour de lui. Il la remercia avec une très grande politesse. Elle resta médusée de voir que ses charmes n’opérés pas sur cet homme. Elle fut néanmoins agacée. C’était bien la première fois qu’elle se faisait remballer gentiment. (Elle s’est prise une veste quoi !! Bien fait pour elle !! Cette femme elle m’enerrrrrrve !!)  

Dans l’Austin mini, durant les premières minutes du trajet, Kaori interrogea Ryô sur les motivations de Monsieur Cartigny. Notre nettoyeur employa un ton sec pour lui résumer brièvement l’affaire. Et le reste du chemin s’effectua dans un silence de mort.  

Une fois le travail terminé, une question demeurait pour chacun d’entre eux :  

_Où était passé le million de dollars ???????  

Ryô et Kaori arrivèrent à l’appartement. La tension était à son comble. Ils étaient dans le séjour. Sa partenaire se tenait derrière lui. N’y tenant plus, elle engagea la conversation :  

_Ryô ! Elle resta un moment hésitante voyant que son coéquipier ne répondait rien. Il commençait à monter les escaliers. Elle continua tout de même « Je.. Je voulais m’excuser pour… »  

Sans se retourner, il la coupa :  

_Tu n’as aucune excuse à me faire et puis tu n’as aucun compte à me rendre. Toujours de dos, il lança d’un ton amer : « Mais pour une professionnelle tu devrais savoir qu’on ne mélange pas les sentiments avec le travail ! »  

Il savait comment atteindre sa partenaire. Surprise d’entendre de telles paroles venant de son coéquipier, elle resta pétrifiée. Après tout elle se sentait coupable. Dans le fond il n’avait pas vraiment tord. Mais comment pouvait-il lui parler ainsi. Au bord des larmes, elle resta plantée là dans le salon sans mot dire l’esprit embrouillé. Son partenaire à l’étage referma la porte de sa chambre. Dans le noir, il s’allongea sur son lit les mains derrière la tête. Au fond de lui-même il mourait d’envie de lui demander des explications. Que s’était-il passé ? Pourquoi ? Comment ? Il n’avait fait que supposer jusqu’à présent.  

Encore cette même sensation l’envahissait, il s’était emporté et les mots avaient dépassés sa pensée. Mais trop fière pour montrer quoi que se soit, il s’enfonçait un peu plus chaque minutes.  

Mais tôt ou tard ils devraient aborder le sujet et cela n’allait pas tarder…….  

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