Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Kaori_2

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 18-03-04

Last update: 30-06-04

 

Comments: 39 reviews

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ActionGeneral

 

Summary: Un homme croit City Hunter responsable del amort de ses parents.....

 

Disclaimer: Les personnages de "l'homme que je veux tuer" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'homme que je veux tuer.

 

Chapter 4 :: Le phalaenopsis blanc.

Published: 30-03-04 - Last update: 30-03-04

Comments: désolée de vous avoir fait attendre. Tout d'abord il y a eut qq petit pb, ensuite j'ai dû rester alitée 3/4 jours à cause d'un petit 40 de fièvre. (Bon maintenant que ça va mieux je vais tenter de garder mon temps de MAJ habituel. :op

 


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« Kaori ? » Fit Ryô interloqué se rapprochant d’elle et posant une main sur son épaule.  

 

Elle craqua alors. Se jetant dans les bras de Ryô elle se mit à sangloter.  

 

« Ryô j’ai eu si peur. »  

« Chh sugar boy. C’est fini. Je suis là... Qu’est-ce qui s’est passé ? » Demanda-t-il inquiet.  

« Je… A la gare… Des types en noirs me sont tombés dessus. J’étais en train de descendre les deux sacs du train… Le contrôleur avait Sayuri dans les bras. Avant qu’il n’ait eu le temps d’avertir la sécurité j’avais déjà reçu un coup… Ils ont pris la fuite… C’est Saeko qui m’a ramené… Elle est restée un peu, pour ma déposition… cinq minutes après son départ le téléphone a sonné… C’était les mêmes types… Ils ont proféré des menaces sur toi, sur moi et sur la petite… J’ai fermé à double tour partout… Je n’arrivai pas à trouver le sommeil… Je t’ai attendu Ryô…J’ai si peur… »  

 

Ryô resserra son étreinte autour de Kaori qui laissa évacuer davantage sa tension. D’habitude Kaori ne se laissait pas faiblir moralement mais là… Il y avait aussi la petite Sayuri maintenant âgée de six mois. Avec le consentement de Ryô, Kaori avait ainsi nommé leur petite fille, en hommage à la grande Sayuri. Ryô sentit la tension de son épouse diminuer.  

 

« Ca va mieux ? »  

« Maintenant que tu es là oui. » Fit-elle séchant une dernière larme et le regardant avec amour.  

 

Ryô lui sourit avant de l’embrasser avec passion. Ryô pensa cacher les événements de cette nuit à Kaori mais… Tandis qu’elle remontait ses mains le long des bras de Ryô, Kaori sentit un contact humide et poisseux sur ses doigts. Perplexe elle porta d’abord sa main devant ses yeux… Du sang… Ryô était blessé. Elle le regarda inquiète, étonnée, cherchant une réponse à ses questions.  

 

« C’est superficiel. » Dit-il simplement avant de continuer : « Un jeune homme, du moins je pense, a voulu essayer une première fois. Lui je l’ai désarmé. J’ai tenté de le suivre mais cinq types sont apparus. C’est le cinquième qui m’a fait ça… après ce que tu viens de dire je ne pense pas que cela soit une coïncidence. Je te promets que rien ne nous arrivera. Ni à toi, ni à Sayuri, ni à moi. Ils n’ont pas le niveau… »  

« Tu as pourtant été blessé ! »  

« …Je n’étais pas à cent pour cent. Et… J’avais bu un ou deux verres… »  

« De trop. » Soupira Kaori en lui retirant sa veste.  

« Qu’es-ce que tu fais ? »  

« A ton avis ? Tu ne vas pas rester comme ça. Retire ta chemise ! »  

« … »  

« Ryô soit sérieux… Les câlins viendront après. » Rougit Kaori avant d’aller à la salle de bain silencieusement. Lorsqu’elle revint au salon, Ryô était assis sur le sofa, lui tournant le dos.  

 

‘Dieu qu’il est beau… et c’est mon mari !’ pensa Kaori en le regardant. Elle posa ensuite le kit de soins sur la petite table et regarda la plaie. Effectivement c’était superficiel. Elle désinfecta quand même et plaça une compresse et un bandage.  

 

« Ryô ? A ton avis qui est derrière tout ça ? »  

« Je ne sais pas. Mais lorsque je le serai fais moi confiance ils n’oseront plus rien tenter. »  

« Je ne sais pas si ça t’aidera mais… Un des types qui m’a agressé a fait tomber un mouchoir. Seulement… C’est Saeko qui l’a… Preuve à conviction oblige… J’ai eu le temps d’y voir une broderie… Une fleur blanche. »  

« Tu ne sais pas de quelle fleur il s’agit ? »  

« Il me semble que c’est une variété d’Orchidée… Mais il y en a tellement que… »  

« Ma foi. C’est un bon début. A mon avis tout le monde ne se promène pas avec un tel accessoire… Bon si on allait se coucher ? »  

« Oui c’est une bonne idée. »  

« Kaori une dernière chose ! Désolé de ne pas être venu te chercher. »  

« C’est bon Ryô. Ne t’en fais pas… tu viens ? » L’invita-t-elle à la joindre.  

 

Il lui sourit et attrapa la main qu’elle lui tendait. Il l’attrapa ensuite par la taille et l’embrassa avant de la prendre dans ses bras. Kaori étouffa un rire. Ce n’était pas le moment de réveiller Sayuri. Ils rejoignirent alors leur chambre. ( Heu ! Petite annotation vu qu’ils sont mari et femme, ils font chambre commune.) Kaori se blotti dans les bras chaleureux de Ryô et s’endormit tandis qu’il jouait avec ses cheveux. Il lui embrassa le front et s’endormit à son tour…  

 

…7h du matin Cabine téléphonique quelconque…  

 

« Oui chef mais… »  

…  

« Mais chef ce type est… »  

…  

« Bien chef ! Nous allons nous y mettre dès aujourd’hui.  

…  

« Bien sûr ! Nous n’oublierons pas de signer nos forfaits. »  

…  

« A vos ordres monsieur. »  

 

9h du matin. Une première attaque de banque a lieu. La police n’a rien pu faire.  

Midi. Second braquage de banque, autre quartier.  

15h. Troisième vol à main armées. Cette fois c’est une bijouterie qui a été la cible.  

18h. Dernier braquage de la journée. La police est sur les dents. Seul piste, seul indice, seul point commun : Un Phalaenopsis blanc en guise de signature.  

 

19h Commissariat principal de Tokyo. Saeko est dans son bureau, perdue dans ses réflexions.  

 

« Le phalaenopsis blanc. Pourquoi avoir attendu si longtemps avant de refaire surface ? Et les points d’impact. Un python 357 n’aurait pas fait mieux ! Qu’est ce que ça veut dire ? Demain j’avertis Ryô… Ce sont les mêmes qui s’en sont pris à Kaori… »  

 

…  

 

9h ce même jour. Hôtel où loge Kaoru.  

 

Le serveur avait beau tapé à la porte, le téléphone avait beau sonner, Kaoru resté désemparé. Il resta cloîtré dans sa chambre toute la journée. Pensant à peine à se doucher et à manger un bout. Shinji l’avait averti. Ce type était un professionnel. Mais un homme a toujours une faiblesse, professionnel ou non. Et cet homme, ce City Hunter devait en avoir une lui aussi. Toute la journée Kaoru ressassa cette idée dans sa tête. Il n’allait pas arrêter à cause d’un type comme lui. Après tout c’était un homme…  

 

…  

 

Le lendemain matin.  

 

9h30. Papa, maman et bébé Saeba allèrent à la gare voir les messages. Il y avait un rendez-vous pour 10h30 au Cat’s eye. Il n’y avait pas de signature mais Kaori avait reconnu l’écriture. C’était Saeko. Hors justement Kaori avait pris rendez-vous chez le docteur pour la petite Sayuri. Elle incita donc Ryô à accompagner sa fille chez le docteur. Bien que celui-ci joue des pieds et des mains, Kaori resta de marbre.  

 

« Ryô ! prends un peu ton rôle de père au sérieux ! »  

 

Vaincu, Ryô abdiqua avec ironie.  

 

« Oui maman ! Mais laisse moi au moins t’accompagner jusqu’au café. »  

« Ok papa ! »  

 

Ils se sourirent alors et se mirent en marche direction le Cat’s eye. Bien qu’ils soient un peu en avance, Ryô ne pu rester. De dehors il salua l’éléphant et Miki avant de continuer avec la petite dans les bras. De toute manière le médecin n’était pas très loin et le rendez-vous était surtout pour un contrôle de routine et pour vérifier si la petite ne faisait pas d’allergie au lait maternel. (Si si c’est possible… j’ai regardé dans le dictionnaire médical :op )  

 

Il était 10h15. Kaori entra dans la café. Il y avait là un jeune homme perdu dans la lecture du journal.  

 

« Bonjour Miki, Bonjour Umibozu. Comment vas le petit Kaoru ? »  

 

Le client leva la tête croyant s’être fait appeler. (Logiqe… :||--- J’aurai dû appeler ce personnage autrement… tant pis c’est fait c’est fait ! >o(-- )  

 

« Il va bien. Il est dans son parc en train de jouer. On le surveille à distance. »  

 

Le client s’attarda sur Kaori. Il l’avait déjà vu…  

 

« Et comment va Sayuri ? »  

« Son père l’a emmené chez le médecin pour un petit contrôle. »  

« Non ! Tu as réussi à l’envoyer à ta place ? » Fit Miki étonnée.  

« Pas forcément à ma place. Il doit aussi assumer son rôle de père. Après tout je suis certaine que Falcon pourrait faire pareil non ? »  

« Il a déjà peu de faire du mal à Kaoru rien qu’en le prenant un peu dans ses bras alors le conduire chez le médecin tu penses… »  

 

Les deux jeunes femmes pouffèrent de rire devant un Falcon confus. Puis la sonnette tinta. Saeko arrivait.  

 

« Miki tu peux m’amener une limonade s’il te plaît. Je vais m’asseoir à une table avec Saeko. »  

« Ca marche. Saeko je t’offre quelque chose ? »  

« Un verre d’eau suffira merci. »  

« Bien. »  

 

Le client regarda ces personnes avant de retourner dans sa lecture. Ce devait être soit des amies, soit des clientes habituelles. Une certaine chaleur amicale flottait dans l’air ambiant.  

 

« Alors quelle est ta demande cette fois ? »  

« Tu vas droit au but Kaori ! » Dit Saeko en lui faisant un clin d’œil ironique.  

 

Le client releva la tête ( de nouveau) … Ce prénom… Il l’avait déjà entendu… Non ce ne pouvait pas être la même personne.  

 

« Disons que j’ai reconnu ton écriture sur le tableau. »  

« … Dis moi ta joue a l’air d’aller mieux ! »  

« Oui. Mais ça reste douloureux… Alors ? »  

« Tu as lu la presse aujourd’hui ? »  

« Oui pourquoi ? Non attends je vois… C’est à cause des braquages c’est ça ? »  

« bingo. Nous avons un début de piste. A chaque fois les voleurs ont signé leur forfait en laissant une fleur derrière eux… La même qui se trouvait sur le mouchoir qui… »  

« Je vois. » L’interrompit-elle. « Quelle était cette fleur ? »  

« Un phalaenopsis blanc ! De plus il y a aussi une personne qui laisse traîner des impacts de 357 à chaque fois »  

 

Le client releva la tête subitement. Ce nom… Phalaenopsis blanc ! Il n’avait jamais pu l’oublier. Même si quinze années s’étaient écoulées, Kaoru gardait un souvenir amer de ces types. Il se fixa alors sur la conversation des deux jeunes femmes.  

 

« Des impacts de Python ? Qu’est ce ça veut dire ? »  

« Je ne sais pas. Peut-être est ce pour nous mener sur une fausse piste. Rare sont les personnes à se balader avec un 357 n’est ce pas. »  

« Je vois. »  

« A propos, j’ai revu des souvenirs, en rêve de la période où Hideyuki et moi étions sur une affaire. Le phalaenopsis blanc était alors en cause. Cette affaire a été confié à un autre inspecteur tandis qu’Hideyuki et moi devions travailler sur un trafique de femmes… »  

« Tu penses qu’il s’agit des mêmes personnes qui ont fait ces cambriolages et qui en ont après nous ? »  

 

 

Kaoru sentit soudain un regard menaçant sur lui. Il tourna la tête livide et se décomposa davantage en voyant la mine du patron. Il se sentit soudain de trop et paya subitement sa note avant de sortir. Il en avait entendu plus qu’il ne fallait. Si ces filles connaissaient l’existence du phalaenopsis blanc, elles connaissaient forcément l’existence de City Hunter. Pensif il marcha un bon moment avant de s’arrêter sur les marches d’un perron d’un immeuble à Shinjuku…  

 

Saeko remercia Umibozu d’un signe de la tête. Elle avait noté la curiosité du jeune homme.  

 

« Kaori…Tu diras à Ryô que ces hommes ne s’arrêteront pas tant qu’ils n’auront pas terminé leur mission. Je ne sais pas pourquoi ils en ont après vous mais pour ma part… »  

« Que veux-tu dire par pour ma part ? » Demanda soudainement Kaori avec un mauvais pressentiment.  

« Hier soir une voiture a tenté de me renverser. La plaque d’immatriculation avait le même motif que sur le mouchoir. Comme j’ai déjà travaillé sur cette affaire je pense que ça doit être lié mais pour toi et Ryô peut-être veulent-ils éliminer ceux qui peuvent les arrêter… »  

« C’est quand même trop de coïncidences pour une même journée. D’abord moi à la gare. D’ailleurs comment savaient-ils que j’arrivais ce jour là par ce train là… Ensuite toi et Ryô aussi. »  

« Ryô aussi s’est fait agressé ? »  

« Oui. Mais tu le connais. Il y a eut d’abord un type isolé puis un groupe de cinq individus. Ce qui a permis au type isolé de prendre la fuite. Je suppose que le travail que tu nous demandes est de démasquer qui ce cache derrière le Phalaenopsis blanc n’est-ce pas ? »  

« Du moins faire stopper les braquages de banques mais pour le reste ce n’est pas une mauvaise idée. »  

« Bien. Bon j’y vais. Il va falloir que je prépare les repas de mes enfants.. »  

« Mes ? Sayuri d’accord mais… »  

« Voyons… Ryô est un éternel gamin tu devrais le savoir. » Ironisa Kaori  

 

Saeko se mit à rire et fut suivi par Kaori et Miki.  

 

Falcon lui regardait la rue d’un air mauvais. Il y avait une tension certaine dehors. Pas proche mais…  

 

 


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