Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Kaori_2

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 18-03-04

Last update: 30-06-04

 

Comments: 39 reviews

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ActionGeneral

 

Summary: Un homme croit City Hunter responsable del amort de ses parents.....

 

Disclaimer: Les personnages de "l'homme que je veux tuer" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'homme que je veux tuer.

 

Chapter 9 :: deuxième essai

Published: 03-05-04 - Last update: 03-05-04

Comments: voilà en attendant les deux prochains . Il faut que je les recopie sur le PC en fait :op

 


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Kaoru passa une bonne partie de la nuit à mettre un plan sur pied. Se basant alors sur l’obsession extravagante de Ryô pour les femmes.  

 

Dans la matinée, il passa plusieurs coups de fil à droite et à gauche parmi les serveuses qu’il connaissait, masquant toutefois sa voix. Plusieurs refusèrent de jouer, même une simple farce à Ryô. Il faut dire que le grand Saeba avait son fan club (^_-). Kaoru commençait à en avoir plus qu’assez. Il avait encore deux numéros à faire, sans grand espoir pourtant… Les deux dernières acceptèrent… en fait pour elles leur interlocuteur voulait jouer une farce rien de plus.  

 

La première jeune femme était assez grande, svelte, style top-modèle. Elle avait des yeux bleus perçants et une longue chevelure de couleur rousse. La seconde était non moins grande. Elle avait les yeux verts finement finis. Et sa chevelure ondoyante châtain tombait jusqu’à mi-dos. Kaoru leur expliqua clairement ce qu’elles devaient faire tout en demeurent le mystérieux monsieur R. Il fallait qu’elles draguent Ryô et elles devaient l’emmener loin de la foule. Là, elles feraient semblant de lui tirer dessus. Kaoru prétexta que Ryô avait peur des armes à feu. ( Faux bien évidemment.) Avec en fait des pistolets à confettis. En échange de quoi elle recevraient de l’argent. Kaoru leur avait aussi dit de le veiller dans le parc vers 10h30/11h.  

 

Ensuite, continuant de masquer sa voix au téléphone, il appela city hunter. Bien évidemment il tomba sur Kaori.  

 

« Allô ! »  

« Pourrais-je parler à Monsieur Saeba ? » Demanda Kaoru d’une petite voix.  

« Qui le demande ? »Questionna Kaori perplexe.  

« Monsieur Ryosukè. » Répondit Kaoru pensant alors à son oncle soudainement.  

« Je vous le passe. »  

 

Kaori, une main sur le combiné passa le téléphone à Ryô. Ce dernier était affalé sur le sofa.  

 

« Qui est-ce ? » Demanda-t-il à sa femme.  

« Un monsieur Ryosukè… Il a une drôle de voix je trouve. »  

 

Ryô tiqua. Ce nom lui était familier.  

 

« Ryô Saeba j’écoute. » Dit-il alors une fois le téléphone en main.  

« Ai-je l’honneur de parler au grand city hunter ? » Fit la voix masquée et moqueuse de Kaoru.  

 

Le visage de Ryô se durcit alors. Il n’aimait pas le ton employé par son interlocuteur.  

 

« C’est à quel sujet ? » Demanda-t-il froidement.  

 

Kaoru sourit narquoisement bien qu’un frisson glacial parcouru son dos.  

 

« Si ta partenaire sort de chez toi c’est une femme morte ! » Lança sèchement Kaoru non moins froidement que Ryô. Il sentit cependant son cœur se briser après avoir prononcé ces mots. Comment osait-il penser ça ? Il avait déjà une grande sympathie pour Kaori mais le peu qu’il avait pu voir d’elle durant son séjour lui avait élargi son opinion… Il en était tombé amoureux malgré lui et malgré le fait de la savoir marié.  

 

‘Pardon Kaori’ pensa-t-il aussitôt.  

 

« C’est toi qui est mort ! » Fit Ryô durement avant de raccrocher le combiné brutalement.  

 

Le bip résonna alors aux oreilles de Kaoru encore pantois… Saeba allait-il mordre à l’hameçon et sortir de chez lui pour se changer les idées et observer les environs ? Soudain une terrible pensée lui traversa l’esprit… L’avait-il reconnu… Et sa réaction… Il s’attendait à un truc du style mais pas si ferme, pas si glacial… Il déglutit péniblement et se décida enfin à reposer le téléphone encore collé à son oreille. Ensuite il se leva mais manqua de tomber tant ses jambes flageolaient. ( Heu bon là je sui morte de rire et c’est nerveux… J’écoute Chi Maî, le thème du film le professionnel composé par Ennio Morricone… Au cas où c’est aussi le thème que l’on entend pour Royal Canin. Excusez la publicité, désolée je suis… Bon c’est peut-être pas drôle au final mais … :op )  

 

Kaoru sourit, malgré lui il avait peur. La réputation de City Hunter n’était pas usurpée loin de là. Il se força une rapide séance de yoga pour se calmer. Il devait toutefois se dépêcher pour ne pas louper son coup.  

 

Parallèlement…  

 

« Ca va Ryô ? »  

« Non ! » Répondit-il un peu durement.  

« Je vois ça… Tu… »  

« Je vais faire un tour. » La coupa-t-il en se levant.  

 

Kaori demeura interdite elle avait rarement vu Ryô aussi… tendu ( dirons nous simplement.) Elle savait qu’il était tourmenté et qu’il ne servait à rien de le faire changer d’avis dans ce cas là. Elle soupira alors et abaissa son bras droit. Ryô s’approcha d’elle et l’attrapa par les épaules.  

 

« Désolé Sugar boy… Je n’en ai pas pour longtemps. » Dit-il plus tendrement avant de l’embrasser.  

 

Il sortit alors et alla espionner les environs à la recherche d’un cafard.  

 

…  

 

Dans le parc les deux jeunes femmes surveillaient leur homme toute guillerette à faire leur farce. Elles se trouvaient à côté d’une fontaine d’eau potable et s’amusaient à s’arroser.  

 

Leurs cris aigus et leurs rires ne passaient pas inaperçus. Finalement, Ryô n’avait rien remarqué de suspect dans les environs immédiats et s’était calmé un tantinet. De plus il avait était voir Mick avant d’aller faire vraiment le tour du quartier. Ryô décida de prolonger quelque peu sa sortie et fit un crochet par le parc. Alors qu’il allait draguer une première femme, le rire des jeunes filles arriva à ses oreilles de chasseurs. Se frottant les mains avec .. ; appétit… il s’approcha d’elles avec sa face lubrique. Il repris néanmoins son visage charmeur à proximité et commença à dialoguer avec elles. Convaincus de participer à une farce les jeunes femmes entraînèrent Ryô à l’écart en rigolant franchement. Quant à lui un doute subit le prit. N’était ce pas un moyen de l’éloigner plus de chez lui ? Ou ces jeunes filles acceptaient réellement ses avances ? Intrigué, il les suivit sur le qui vive.  

 

Kaoru était déjà à l’affût, un masque sur le visage, cachant sa présence. Les filles s’arrêtèrent dans une cours continuant à draguer Ryô. Mais celui-ci sentait au fond de lui qu’il devait rentrer au plus vite. Quelque chose se tramait plus loin.  

 

« Bon les filles ! Si vous me disiez directement ce que vous voulez ! » S’exclama Ryô subitement jetant un froid dans l’ambiance.  

 

Elles demeurèrent saisies un instant et reculèrent surprise. Il y eut un silence tendu de façon brève. Savait-il qu’il était l’objet d’une farce ??? Elles s’échangèrent un regard tandis que Ryô croisa les bras et attendait. Il y avait effectivement quelque chose de louche. Soudain elles sortirent leurs « armes et visèrent Ryô. Celui-ci eut un rictus narquois.  

 

« Quoi !!! Vous pensez m’abattre avec ces jouets ? C’est ridicule… »  

 

Les jeunes femmes hésitèrent… Cependant il y eut un bruit fort, un choc, une collision brutal… Une des jeunes femmes dont l’index était sur la gâchette tira en sursautant. Ryô roula sur le sol sous une pluie de confettis…  

 

« Qu’est-ce que ça veut dire ? » S’étonna-t-il alors tandis que la seconde, voyant l’étonnement de Ryô appuya à son tour sur la gâchette.  

 

Il y eut une double détonation et Ryô dégaina son arme. Il avait senti une animosité soudaine, bref, et avait évité un tir… Sous le regard sévère de Ryô les jeunes femmes prirent la fuite, paniquées… Ryô n’était pas censé porter une arme.  

 

« Je sais que vous êtes là ! » S’exclama Ryô ne sentant cependant plus la présence de son adversaire.  

 

Malgré son apparente sérénité Kaoru avait du mal à calmer ses émotions. Il sortit une première bille de plomb de sa poche et la lança sur la droite de Ryô. Le bruit le fit pivoter instantanément… Kaoru en profita alors et changea de place… In extremis…  

 

« Et alors le chasseur aurait-il peur de sa proie ? » Fit Ryô moqueur qui commençait à deviner la présence de son ennemi encore invisible.  

 

Il n’y eut aucune réponse seulement une tension légère qui diminua subitement. Le chasseur était doué pour effacer sa présence. Ryô sourit. Le chasseur demeurait débutant mais il avait de la suite dans les idées. Il sortit une deuxième et dernière bille de plomb de sa poche et la lança à gauche de Ryô. Ce dernier détourna les yeux un instant.  

 

Kaoru, toujours masqué, se leva, visa et tira… Il y eut une double détonation, une arme tomba au sol. Stoïque, hagard, le chasseur pris finalement la fuite. Ryô demeura sur place. Il n’avait pas de temps à perdre à courir derrière ce type… Il devait rentrer, il le sentait. Il rangea son arme et pris le chemin du retour. A cinquante mètres de l’immeuble la voix familière et inquiète de Mick lui parvint. Il leva la tête et pressa son allure.  

 

« Ryô !!! »  

« Salut Mick ! » Fit-il sous la fenêtre.  

« Il faut que tu montes ici Ryô ! »  

« Pourquoi Kaori m’attend ! »  

« Kaori et Sayuri sont ici. »  

 

Le regard de Ryô se fit dur. Sans demander plus d’explications il gagna l’appartement de Mick à vive allure.  

 

« KAORI !!! » Fit-il en entrant dans l’appartement.  

« Du calme Ryô. » Fit la douce voix de Kazue.  

« Où sont elles ? »Demanda-t-il.  

« Sayuri est avec Mick. Kaori est dans la chambre d’amis. Viens. »  

 

Plus calme Ryô demanda alors :  

 

« Que s’est il passé ? »  

« Je ne sais pas trop. Mick voulait te parler. N’entendant pas de réponses hormis les pleurs de la petite il s’est permis d’entrer. Kaori était au sol, inconsciente, en bas des escaliers… Il m’a appelé de suite. »  

 

Tandis qu’ils entraient dans la chambre d’amis, Kazue continua.  

 

« Elle n’a aucune blessure apparente si ce n’est quelques bleus. Quand je l’ai ausculté, elle avait plus moins repris ses esprits. Elle dit avoir perdu l’équilibre dans les escaliers. Alors qu’elle était presque en bas ? En voulant se rattraper elle s’est fêlée le poignet droit. La douleur et le choc lui ont fait perdre conscience. Comme il était préférable de l’avoir sous surveillance médical, nous l’avons fait venir, jusqu’à ton retour. Mon matériel n’est pas transportable. D’après les radiographies que j’ai faites il n’y a pas de lésions donc… »  

« Merci Kazue. »  

« C’est Mick qu’il faut remercier, même q’il s’est fait une joie d’aider Kaori à marcher. »  

« C’est pour ça que je t’ai demandé d’utiliser ma massue ! » Lança la voix claire de Kaori.  

« Tu te sens mieux ? » Demanda Kazue souriante.  

« Oui. Merci encore. »  

« Bon je vous laisse je vais voir comment s’en sort Mick avec Sayuri. »  

« Et alors Kaori, on fait des acrobaties ? » Ironisa Ryô une fois Kazue sortit.  

« Tu sais je ne sais pas ce qu’il s’est passé au juste, mes jambes m’ont lâché sans prévenir. »  

« J’ai eu une explication ne t’en fais pas… dis… j’espère que Mick n’en a pas profité. » Dit Ryô semi-menaçant.  

« Non ! » Ria Kaori.  

 

…  

 

Beaucoup plus loin, Kaori, qui avait abandonné son masque, entra dans sa chambre d’hôtel et fit ses valises. Il avait beau être le meilleurs selon les dires de son oncle, il estimait être moins que ça, surtout face à City Hunter. Il avait raté son coup par deux fois. Seulement, il pouvait s’estimer heureux d’être encore en vie à l’heure actuelle. Une fois ses valises faites, il descendit et régla sa note avant de demander un taxi. Même s’il pensait que faire un crochet par chez City Hunter était dangereux il le décida. Au moins pour dire au revoir à Kaori. Hors, une fois sur place il ne trouva personne. Il accrocha alors un mot et parti par le prochain train.  

 

Un homme le vit et sourit. C’était déjà un soucis de moins. Plus tard, Ryô, Sayuri et Kaori rentraient chez eux. Malgré le fait que Kaori devait encore demeurait sous surveillance médical. Le poignet droit de Kaori était entourée d’un joli bandage signée Kazue. Ryô, devant la porte avant Kaori vit le message et le lu à haute voix :  

 

« Kaori , Ryô. Je voulais vous remercier de votre accueil si chaleureux. Je dois cependant regagner mon habitation. Mes jours à Tokyo sont momentanément suspendus. J’aurais préféré vous le dire de vive voix mais le destin en a voulu autrement. J’espère vous revoir un jour.  

Bien amicalement.  

Kaoru. »  

 

« Dommage que nous n’étions pas là. » Dit Kaori.  

« Oui dommage. J’aurai bien eu quelques mots à lui dire. »  

« Ah bon ? »Fit Kaori interloquée en commençant à monter les escaliers.  

« Oui. Tant pis ce n’est pas très important. »  

« Dis Ryô ! Je te rappelle que demain je dois aller à la banque. Je ne pourrais pas prendre Sayuri avec moi… »  

« T’inquiètes je m’occuperai de la petite. » Répondit en lui lançant un clin d’œil.  

 

…  

 

Bien loin de Tokyo et bien plus tard.  

 

« Déjà de retour Kaoru ? »  

« Oui mon oncle. »  

« Ton travail t’a pris plus temps ou en as-tu aussi profité ? »  

« Un peu les deux mon oncle. Mais si vous permettes je vais aller me reposer. »  

« Comme tu voudras Kaoru. »  

 

Kaji Ryosukè regarda son neveu monter dans sa chambre. Il semblait encore préoccupait mais aussi fatigué.  

 

 


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