Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 30-07-19

Ultimo aggiornamento: 15-08-19

 

Commenti: 29 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Une nouvelle mission pour nos deux nettoyeurs va semer le trouble.

 

Disclaimer: Les personnages de "Le coeur et ses raisons" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le coeur et ses raisons

 

Capitolo 15 :: Chapitre 15

Pubblicato: 13-08-19 - Ultimo aggiornamento: 13-08-19

Commenti: Bonjour, la suite de l'histoire. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

Chapitre 15  

 

Ryo soupira, attendant la première salve. Il voyait Mick serrer et desserrer les poings contenant sa colère difficilement. Il savait qu’il allait attaquer : il ne pourrait pas se retenir, Kaori était trop importante pour lui.  

 

- Vas-y., lui lança-t-il.  

- Tu lui as fait un gosse ?, gronda Mick.  

- Oui. Apparemment elle est enceinte.  

- Tu as eu la présence d’esprit de te protéger ou même ça, ça t’est passé au dessus de la tête ?  

- Je ne suis pas un idiot, Mick. Je ne veux pas avoir d’enfant, je prends mes précautions., répondit Ryo.  

 

Il vit Mick poser une main sur l’épaule de Kaori. La jeune femme était blême.  

 

- Tu devrais aller te faire soigner, Kaori. Viens., dit-il, lui tendant la main.  

- Reste ici pour Sasha. Mick, tu m’accompagnes ?, lui demanda-t-elle.  

 

Il acquiesça, lançant un regard mauvais à son ami. Il posa une main dans le bas du dos de son amie, l’amenant jusqu’à Kazue.  

 

- Cesse de t’attaquer à Ryo, Mick., lui demanda-t-elle, fatiguée.  

- Il a fait une connerie, il en paye les conséquences. Il a plus besoin de soutien que de reproches.  

- Et toi, tu lui dis de veiller sur ta rivale ?, constata-t-il, ne comprenant pas.  

- Ce n’est pas ma rivale et elle a besoin de soutien. Si je le pouvais, je resterai mais il paraît que j’ai reçu un coup à la tête que je dois faire soigner., répondit-elle, ironique.  

 

Mick la regarda s’installer sur le lit qu’on leur avait indiqué. Il l’observait, les sourcils froncés.  

 

- Comment tu fais, Kaori ? Tu devrais la détester pour ce qu’elle t’a fait, pour ce qu’elle a et toi, tu sembles juste vouloir lui venir en aide.  

- Mick…, soupira-t-elle.  

- A quoi ça m’avancerait ? Je veux aller de l’avant. Cette histoire nous a déjà suffisamment fait de mal.  

- Mais elle porte le bébé de Ryo, elle a couché avec lui., ajouta-t-il.  

- Ils ont agi sur des sentiments qu’ils pensaient avoir. Mick, je ne veux plus ressasser tout cela.  

- Mais le bébé, ce bébé que Ryo refusera d’avoir avec toi ?, insista-t-il, sentant quelque chose.  

 

Kaori détourna le regard mais ne put empêcher une larme de couler sur sa joue.  

 

- Il ne veut pas s’impliquer pour sa sécurité. Moi, je ne veux pas qu’il regrette.  

- Mais toi dans tout cela, Kaori ? Quelle est ta place ? Que ressens-tu ?, murmura-t-il, touchant sa joue du bout des doigts.  

 

Elle frémit au contact et sentit la colère monter en elle.  

 

- Tu veux que je te dise quoi, Mick ? Que je suis morte de jalousie, en colère, que je voudrais la tuer ? Non Mick, ce n’est pas moi. Ca m’a blessée qu’ils couchent ensemble mais à quoi ça va me servir de ressasser tout cela ? Je leur ai pardonné, tu comprends ?  

- C’est tout toi ça., laissa-t-il échapper.  

- Et la décision de Ryo de ne pas avoir d’enfant ?  

- J’aime Ryo. Je respecte ses choix même si j’aurais adoré avoir un enfant de lui., soupira-t-elle.  

 

Il l’enlaça tendrement pour lui apporter son soutien. Kazue entra dans la pièce : il fut un temps où elle aurait probablement été jalouse mais ce temps était révolu. Mick l’aimait et Kaori était avec Ryo enfin…  

 

- Je vous laisse seuls ?, plaisanta-t-elle.  

 

Mick s’écarta, la laissant approcher pour examiner leur amie. Elle nettoya la plaie, lui fit quelques points de suture et un pansement.  

 

- Voilà, dans quelques jours, les fils tomberont. Tu seras comme neuve. Tu as mal au crâne ?  

- Oui un peu.  

 

Elle lui donna un cachet et la libéra. Ils rejoignirent Ryo et Falcon qui attendaient patiemment. Kaori s’assit à côté de son partenaire qui lui prit la main après avoir jeté un œil à sa tête.  

 

- Ca va ?  

- Oui, ne t’inquiète pas. Des nouvelles de Sasha ?  

- Non. C’est long., soupira Ryo.  

- Patience. Elle est entre les mains du meilleur.  

 

Il leur fallut encore attendre une heure avant de voir le Professeur sortir de la salle. Préoccupé, il s’approcha du groupe.  

 

- Où est son compagnon ?, demanda-t-il.  

- Elle n’en a pas., répondit Kaori.  

- Le père du bébé ?, s’étonna le médecin.  

- C’est moi., murmura Ryo, baissant les yeux.  

 

Le Professeur regarda son protégé puis Kaori qui avait posé une main sur son genou en soutien. Il avait du mal à croire qu’il avait pu lui faire cela tellement le lien qui les unissait était fort. Mais apparemment il avait failli et cette femme était la femme dont il lui avait parlé quelques semaines plus tôt.  

 

- Comment va-t-elle ?, demanda Kaori, le ramenant à la réalité.  

- Elle a perdu beaucoup de sang. La balle a fait beaucoup de dégâts également. Ryo, j’aurai besoin de ton sang. Vous êtes du même groupe.  

- D’accord, je viens., répondit-il en se levant.  

- Professeur, le bébé ?, s’inquiéta Kaori.  

 

Le vieil homme s’immobilisa dans le couloir et lui jeta un regard navré.  

 

- Il a été touché par la balle. A ce stade, nous n’avons rien pu faire., répondit-il.  

 

Les deux nettoyeurs furent bouleversés par cette nouvelle mais l’exprimèrent de manière très différente : Ryo se referma, affichant un air impassible, Kaori posa une main sur sa bouche pour contenir sa tristesse, Mick l’attrapant pour la soutenir. Elle avait mal pour cet enfant qui avait été tué à cause de leur mode de vie, mal pour sa mère qui risquait de souffrir, mal parce que, même si elle n’en était pas la mère, c’était l’enfant de son compagnon et qu’elle avait déjà décidé de lui faire une place dans leur vie, d’une manière ou d’une autre. Elle l’aurait aimé, elle le savait. Elle vivait maintenant les raisons qui poussaient Ryo à refuser d’avoir d’un enfant et c’était difficile à assimiler. Elle sentit les bras de Mick se refermer sur elle alors qu’il lui disait des paroles réconfortantes et laissa sa douleur s’évacuer.  

 

Silencieux, Ryo s’allongea sur un lit et le Professeur mit en route le prélèvement. Il l’observait discrètement et sentait que, derrière cet air froid et distant, son patient devait avoir des pensées tumultueuses. Il le laissa donc tranquille le temps du don et ne revint qu’au bout d’un quart d’heure.  

 

Ryo ne savait dire ce qu’il ressentait. Si on lui avait demandé avant comment il réagirait, il aurait dit qu’il se sentirait soulagé, bon débarras, plus de marmot dont il aurait dû se préoccuper… Mais contre toute attente, il ressentait une certaine douleur et de la colère. Il se sentait coupable parce que c’était à cause de lui que Kaori avait été enlevée et donc Sasha blessée, à cause de lui qu’elle était tombée enceinte et donc qu’elle avait perdu ce bébé. Sans lui, tout cela ne serait pas arrivé. Et que dire de la douleur ? Il ne s’y était pas attendu. Pourquoi éprouvait-il de la douleur pour un bébé dont il ne voulait pas ? Parce que malgré tout, c’était son sang, se dit-il, et que c’était un être innocent qui n’avait rien demandé à personne.  

 

Il n’était même pas soulagé, c’était cela qui l’étonnait le plus, alors que ce matin, ce bébé lui faisait l’effet d’une tuile monstrueuse, l’avait poussé à être dure avec deux jeunes femmes aussi douces l’une que l’autre. Il avait même presque envie de pleurer.  

 

- Ca va, Ryo ?, lui demanda le Professeur alors qu’il rentrait dans la pièce.  

- Oui. Tu devrais virer ta femme de ménage : c’est bourré de poussières ici. J’en ai choppé une dans l’oeil…, répondit d’un air mauvais Ryo, essuyant une larme.  

- Tu trouves ?, demanda la médecin qui n’était pas dupe.  

- Tu as aussi le droit d’être triste d’avoir perdu un enfant., continua-t-il, faisant mine de veiller attentivement ces gestes alors qu’il retirait l’aiguille de sa veine.  

- Ne dis pas de connerie. Je ne veux pas de gamin, bon débarras., répliqua le nettoyeur d’un ton méprisant.  

 

Il se releva et partit vers la sortie.  

 

- Et si ça avait été, Kaori ?, lança soudain le Professeur.  

 

Ryo s’immobilisa avant de sortir, tournant légèrement la tête vers lui mais sans le regarder. Il avait le regard dur mais contenait difficilement les émotions qui l’animaient.  

 

- Kaori sait qu’on ne peut pas avoir d’enfant. J’espère que le destin ne nous jouera pas un mauvais tour., répondit-il sombrement.  

 

Si ça avait été Kaori, il aurait pourchassé tous ses ravisseurs survivants et les auraient littéralement étripés. Il serait allé jusqu’en enfer pour tuer une deuxième fois le chef. Il avait déjà mal pour le bébé qu’il avait fait à Sasha mais pour leur enfant, il ne pouvait imaginer ce que ça aurait été et il n’avait pas envie de le savoir… Quand il retrouva le groupe et vit Kaori livide, les yeux rougis, ce sentiment se renforça. Il lui tendit les bras et elle s’y réfugia.  

 

- Je suis désolée, Ryo.  

- Ne le sois pas. Ca règle le problème., dit-il d’une voix dure.  

 

Ses deux compères le dévisagèrent surpris, prêts à bondir même, la fureur s’emparant d’eux. Kaori s’écarta de lui et le regarda droit dans les yeux pendant un long moment. Il aurait voulu détourner le regard mais n’y arriva pas. Il avait besoin de lire en elle pour se raccrocher à son humanité.  

 

- Ose me dire en me regardant dans les yeux que tu ne ressens rien., murmura-t-elle d’une voix où la colère était difficilement contenue.  

- Ose me dire que tout au fond de toi, tu n’as pas ne serait-ce qu’un peu mal que ton enfant soit mort. Ose me dire que je me suis trompée sur ton compte et que l’homme que j’aime n’existe pas., ajouta-t-elle.  

 

Elle le défia un long moment et il soutint son regard le plus longtemps possible puis baissa les yeux.  

 

- Je ne peux pas., avoua-t-il.  

 

Elle l’enlaça à nouveau, la tension quittant son corps, tout comme leurs amis.  

 

- Je préfère cela. Que tu ne veuilles pas d’enfant ne doit pas signifier que tu doives jouer les gros durs sans coeur., lui dit-elle.  

- Tu as un coeur, Ryo. Laisse-le battre, ne l’étouffe pas. Il ne t’empêchera pas de faire ce que tu as à faire, comme lorsque tu as dû affronter Kaïbara., lui rappela-t-elle doucement.  

 

Il se souvint : il avait même pleuré ce jour-là, ce qui ne l’avait pas dévié de son objectif de tuer celui qu’il considérait comme un père et qui avait sombré dans la folie. Ils virent le Professeur passer avec des culots de sang dans la main et s’assirent en attendant d’avoir le droit de rendre visite à la blessée. Au bout d’un moment, ils furent autorisés à rentrer dans la chambre et Mick et Falcon les laissèrent.  

 

Sasha avait les yeux fermés et les traits tirés. Elle était pâle. Ryo prit une chaise et Kaori s’assit sur le bord du lit, posant une main sur celle de la jeune femme qui ouvrit les yeux, les regardant tour à tour, légèrement désorientée. Une larme coula sur sa joue.  

 

- Le problème est réglé. Nous allons tous pouvoir reprendre notre vie., murmura-t-elle, la voix douloureuse.  

- Chut, ne dis pas ça. Ce bébé n’était pas un problème en soi., murmura Kaori, la voix légèrement étranglée.  

- J’aurais été heureuse de le connaître.  

- Moi aussi même si je ne pouvais être son père. J’aurais aimé le voir., avoua Ryo.  

 

Sasha tourna la tête vers lui qui avait été si dur avec elle. A la lueur de ses yeux, elle ne douta pas de ses paroles. Elle éclata en sanglots, la douleur la submergeant. Ryo ne savait quoi faire : il commençait à savoir gérer les larmes de Kaori mais pas celles de beaucoup d’autres femmes. Mais Kaori savait et il la vit se pencher vers Sasha, la prendre dans ses bras en faisant attention aux tubes et fils pour la soutenir. Au début, elle ne dit rien, la laissant seulement évacuer, puis doucement il l’entendit murmurer sans bien comprendre ses paroles. Il fut admiratif de sa capacité à prendre sur elle pour soulager son prochain, de trouver les mots justes pour apaiser, d’être simplement là même pour une femme qui avait eu pour un temps ce qu’elle n’aurait jamais.  

 

Epuisée, Sasha finit par se rendormir. Kaori la reposa doucement contre son oreiller et remonta les draps sur elle. Elle la regarda un moment et eut pitié d’elle parce qu’une fois rentrée aux Etats-Unis, elle se retrouverait seule sans personne pour la soutenir quand la douleur referait surface.  

 

- Promets-moi qu’on ne la laissera pas seule après, Ryo. Il lui faudra du temps pour remonter la pente., lui demanda-t-elle.  

- On fera ce qu’on peut, si elle souhaite de notre aide., répondit-il.  

 

Le Professeur pénétra dans la chambre pour venir voir sa patiente.  

 

- Il va falloir la laisser se reposer et à en juger vos têtes vous en avez bien besoin également., leur affirma-t-il.  

- Vous pouvez repasser demain. Elle sera certainement plus éveillée. L’anesthésie doit encore faire effet.  

- Tu nous préviens s’il y a un problème., lui demanda Ryo.  

 

Il leur fit signe que oui puis de partir. Le couple regagna la voiture et repartit chez lui. A peine rentrée, Kaori monta dans sa chambre et s’assit sur son lit. Elle n’arrivait pas à croire à tout ce qui s’était passé en moins de quarante-huit heures : d’abord Ryo et elle qui passaient le cap, Sasha qui débarquait le matin même leur annonçant qu’elle était enceinte, Ryo lui rappelant qu’elle ne serait jamais mère, l’enlèvement et enfin… ça. Elle posa les coudes sur ses genoux et la tête dans ses mains. Elle était épuisée. Elle ne savait plus où elle en était.  

 

Ryo avait suivi sa compagne et la regardait, appuyé sur le chambranle de la porte. Ils en étaient tous deux au même point apparemment, perdus. Est-ce que tous ces évènements allaient venir perturber ce qu’ils étaient enfin devenus ? Est-ce que le fait qu’elle se réfugia dans sa chambre était un signe ?  

 

- Tu comptes dormir ici ?, lui demanda-t-il, tentant de maîtriser son appréhension.  

- Quoi ?, s’étonna-t-elle, n’ayant pas réalisé qu’il était là.  

- Tu vas dormir ici ou dans notre chambre ?, répéta-t-il.  

- Avec toi, si tu veux de moi., répondit-elle d’une voix lasse.  

 

Il s’approcha d’elle et s’agenouilla à ses pieds, prenant son visage entre ses mains.  

 

- Bien sûr que je veux de toi, idiote. Rien n’a changé pour moi en ce qui nous concerne.  

 

Elle posa une main sur la sienne un instant puis se leva, sortant une nuisette de son armoire.  

 

- Alors j’arrive., l’informa-t-elle simplement.  

 

Ryo se rendit dans sa chambre et se glissa dans le lit après s’être déshabillé. Quelques minutes plus tard, sa compagne le rejoignait et se collait contre lui. Pensifs, ils mirent un peu de temps à s’endormir mais la journée et son lot d’émotions eurent raison d’eux.  

 

- Quel empoté ! Ce ne sont pas les examens que j’avais demandé ! Ce n’est quand même pas compliqué de lire ce qui est écrit sur un papier !, s’énerva le Professeur, jetant les résultats d’examen qu’il avait sous les yeux.  

- Ca m’apprendra à déléguer aux autres, à vouloir former des incapables !  

- Ca va, Professeur ?, demanda Kazue, alertée par ses vociférations.  

- C’est Tomo. Il n’en a fait qu’à sa tête encore une fois. Il a fait des examens qui n’étaient pas nécessaires. Il va me ruiner celui-là.  

 

Kazue sourit et s’agenouilla, rassemblant les feuillets éparpillés par terre. Dans cette position, elle lui offrait une magnifique vue sur son décolleté et ses cuisses. Son esprit libidineux ne fit qu’un tour et il se leva discrètement, approchant de sa cible, le faciès pervers apparaissant progressivement.  

 

- C’est malin : vous avez mélangé tous les résultats. Il va falloir tout retrier maintenant, Professeur. Vous voulez de l’aide pour le faire ?, l’interrogea Kazue, relevant les yeux.  

 

Elle vit alors le vieil homme à cinquante centimètres d’elle, le regard lubrique, la langue pendante. Il se jeta sur elle mais elle fut plus prompte à dégainer sa massue et l’écrasa au sol, furieuse.  

 

- Vous n’êtes qu’un vieux satyre, un pervers dégoûtant. Pour la peine, débrouillez-vous avec vos examens., s’écria-t-elle en claquant la porte.  

 

Le vieil homme ne l’entendit même pas, les yeux rivés sur les résultats d’un des examens, réalisant la portée qu’ils allaient avoir. 

 


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