Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-12-20

Ultimo aggiornamento: 14-01-21

 

Commenti: 29 reviews

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Romance

 

Riassunto: A l'approche des fêtes de Noël, une nouvelle mission attend les City Hunter? Une mission peut-elle en cacher une autre?

 

Disclaimer: Les personnages de "Couches et culottes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Couches et culottes

 

Capitolo 20 :: Chapitre 20

Pubblicato: 14-01-21 - Ultimo aggiornamento: 14-01-21

Commenti: Bonjour, voici le dernier chapitre de cette fic de Noël. Un grand merci d'avoir suivi cette histoire jusqu'au bout et pour vos commentaires : Didinebis, ShaninXYZ, RKever et Minisoleil. Encore désolée pour la coupure involontaire. A demain pour un OS avant le début d'une mini songfic. Bonne journée, Bonne lecture et merci pour vos reviews^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Chapitre 20  

 

Jetant un dernier regard vers l’immeuble rouge, Monsieur Léon s’engouffra dans une ruelle sombre et rejoignit son véhicule.  

 

- Voilà ma chérie, nous sommes à l’abri des regards., dit-il, posant Mari sur le siège en cuir rouge.  

 

Une lumière scintillante entoura le bébé, l’enveloppa puis s’estompa en quelques secondes, laissant apparaître une jolie jeune femme aux cheveux blond vénitien et yeux bleus.  

 

- Bonjour Papa !, s’exclama-t-elle, l’enlaçant tendrement.  

- Tu m’as manqué, ma chérie, mais ce qui ne change pas, c’est la surprise que j’ai à te voir te transformer ainsi., s’amusa le vieil homme remettant sa veste et son bonnet rouges.  

- J’avoue que le mode bébé n’est pas mon préféré. J’ai fait une overdose de lait et de petits pots., grimaça-t-elle.  

- Mais quand j’arrive à mes fins comme aujourd’hui, je sais que ça en vaut la peine et que mon don peut me servir à faire le bien., ajouta-t-elle, jetant un regard tendre en direction de l’immeuble.  

- Tu penses que ce sera bon cette fois-ci ?, l’interrogea-t-il.  

- Oui. Ils sont ensemble et ils auront même un cadeau de Noël en commun l’année prochaine., lui apprit-elle, lui tendant un morceau de papier que son père prit et lut.  

- Eh bien, il était temps… Ca aura été un long combat pour ces deux-là., pipa-t-il, satisfait.  

- Yume était là. Elle a cherché à garder Ryo dans ses vieux travers mais elle n’a pas réussi., l’informa Mari.  

 

Claus Léon, plutôt connu sous le nom de Père Noël, fronça les sourcils, inquiet pour sa fille qui avait longtemps été dans une position dangereuse.  

 

- Elle ne t’a rien fait ?, s’inquiéta-t-il.  

- Non. Elle a beaucoup vociféré mais c’est plutôt moi qui lui ai fait du mal à lui vomir dessus., pouffa Mari, hilare.  

- Tant mieux. Je sais que vous vous combattez en bonne intelligence, façon de parler, mais j’ai toujours peur pour toi, ma chérie., lui expliqua-t-il, lui adressant un petit sourire.  

- Mais moi aussi, mon petit papa., lui assura-t-elle, déposant un baiser tendre sur sa joue.  

- Yume est dans les parages. Tu me donnes quelques minutes ?, lui demanda-t-elle.  

- Vas-y., la congédia-t-il en souriant.  

 

Les meilleures ennemies allaient se retrouver et ce ne serait pas la première fois, se dit-il. Mari disparut comme par magie et se retrouva assise sur le rebord d’un immeuble face à celui de briques rouges.  

 

- Pas trop déçue ?, demanda-t-elle à sa rivale.  

- Un peu., fit Yume, assise à ses côtés.  

 

Elles observèrent quelques instants le couple enlacé face au sapin illuminé.  

 

- Ca faisait quelques temps que c’était plus difficile de le garder, chaque année un peu plus même depuis qu’elle était là mais, bon, je dois m’incliner. Tu as été particulièrement créative., admit la jolie rouquine.  

- Ca fait des mois que je prépare le terrain. Moi qui pensais que l’affaire avec le général fou suffirait, j’ai dû payer de ma personne pour finaliser le travail., plaisanta Mari.  

- Te retrouver en couches avec un biberon à la bouche… Je savais que tu pouvais le faire mais de là à le faire vraiment…, pipa l’ex-cliente des City Hunter, amusée.  

- Il lui fallait cela et puis, ils sont beaux à deux., soupira la blonde.  

- T’aurais au moins pu me laisser une visite nocturne. Il est quand même super sexy…, se plaignit Yume.  

- Je ne pouvais pas. Ca aurait tout fait capoter. Et merci au fait d’avoir déréglé le programme séchage quand j’ai changé le programme lavage. Sans toi, mes vêtements n’auraient pas été si abîmés.  

- J’avais besoin de cette sortie pour ma couverture… mais ça n’a pas tourné comme je l’escomptais., grogna la rouquine.  

- Parce que j’avais le même objectif que toi sauf que c’était pour lui montrer ce dont elle était capable et une autre fois ce dont ils étaient capables même avec un bébé sans compter tous les aléas climatiques et techniques…, musa Mari.  

 

Elles retournèrent à la contemplation du couple.  

 

- Oh, papa est arrivé trop tôt, on dirait., souffla-t-elle, émue.  

 

Elle réalisa à quel point le couple s’était attaché à elle en voyant le doudou que Kaori venait de déballer.  

 

- Ca leur servira pour l’année prochaine., conclut-elle.  

- Yume, on peut faire un pacte ?, lui proposa-t-elle.  

- Lequel ?, lui demanda sa rivale.  

- On les laisse en paix toutes les deux. On n’intervient plus dans leur vie. Ils ont assez souffert pour pouvoir profiter., lui expliqua Mari, pleine d’espoir.  

- En échange, tu n’interviendras pas sur celui-là., lui montra-t-elle, faisant apparaître un photo dans le ciel obscur.  

- Lui… J’abandonne, il ne comprend rien à rien. Même avec un doigt en moins et une chance de changer de vie, il s’évertue à jouer les petits caïds. Tu peux garder le Renard, Yume., lui affirma-t-elle, se relevant.  

 

Elle descendit du rebord de l’immeuble, sa rivale l’imitant.  

 

- Dis-moi, ça fait quand même un moment que tu les suis ces deux-là. Une raison particulière ?, l’interrogea Yume.  

- Je rends service à un ami et je me suis attachée à eux. Je vais rejoindre mon père. A plus, Yume., la salua Mari.  

- A l’année prochaine !  

 

Les deux jeunes femmes s’évaporèrent dans la nuit étoilée.  

 

******  

 

Un an plus tard  

 

- Et voilà pour toi ! Continue à être un gentil garçon…, conseilla le Père Noël au bonhomme de huit ans sur ses genoux.  

 

Le gamin descendit de ses genoux après avoir balbutié un merci un peu ému et partit en courant vers ses compères. Ryo se retint de secouer la tête en revoyant le même gamin bravache affirmer un an plus tôt que le Père Noël n’existait pas. Ce n’était pas un mais deux ans qu’il avait réussi à gagner et où il pouvait voir cette petite lueur dans son regard.  

 

- Tous les enfants sont passés, Père Noël., lui apprit son assistante terriblement sexy dans son habit de lutin.  

 

L’envie était grande de demander au directeur d’emprunter les tenues pour la soirée rien que pour le plaisir de délacer le petit corset qui faisait ressortir sa magnifique poitrine. Il se concentra sur la suite alors que les premiers adultes arrivaient pour avoir leur petit présent à leur tour. Il les distribua avec tout autant de plaisir en repensant à l’année qui venait de s’écouler, une année pleine d’émotions, de découvertes et de sensualité. Il avait eu un an pour prendre confiance en eux, s’habituer sans trop de difficulté à la vie de couple et s’épanouir dans le rôle de conjoint. Il avait vu sa compagne s’embellir de jour en jour auréolée de cette sérénité que lui apportait leur couple, du bonheur fait de petites choses simples. Il n’aurait pas dû avoir peur de ne pas savoir la rendre heureuse parce qu’en fait c’était comme elle, simple, tout comme finalement, ça avait été simple de lui suggérer un mois auparavant de lancer leur projet bébé.  

 

- Je n’attendais que toi., lui avait-elle répondu avec un sourire, rangeant sa plaquette de pilules qu’elle allait entamer.  

 

Il réprima le sourire béat qui demandait à naître : il adorait les essais bébé. Il n’en ratait pas une opportunité et se sentait revenir aux premiers jours de leur couple après le départ de Mari. C’était beau, sensuel et intense, terriblement intense et il ne s’en lassait pas. Et lorsque la passion avait laissé un peu de place à la raison, il n’en avait pas eu assez non plus. Leur relation lui apportait tout ce dont il avait besoin, physiquement et moralement.  

 

- Mademoiselle, vous n’avez pas eu votre cadeau, il me semble., interpela-t-il sa compagne alors que tout le monde s’était rassis.  

 

Kaori approcha et il l’attira sur ses genoux, faisant rire l’assemblée.  

 

- Alors Mademoiselle, que souhaiteriez-vous pour Noël ?, lui demanda-t-il d’une voix suave.  

- De l’amour, beaucoup d’amour., répondit-elle avec un regard lumineux.  

- Rien d’autre ?, l’interrogea-t-il, ses prunelles gris onyx brillant d’une lueur chaude.  

- J’ai déjà tout ce qu’il faut., répliqua-t-elle, malicieuse.  

- Mais si vous voulez, juste un petit baiser là m’ira., lui proposa-t-elle, lui indiquant sa joue.  

- J’espère pouvoir te donner bien plus après., murmura-t-il contre sa joue avant de l’embrasser délicatement.  

 

Elle ne put réprimer le frisson qui la prit malgré le chaste baiser qu’il lui avait donné.  

 

- Tu as froid ? Je me dépêche de me changer et on pourra rentrer., lui dit-il à voix basse.  

- Je n’ai pas froid… jamais quand je suis avec toi., lui répondit-elle, se relevant.  

 

Le Père Noël échangea encore quelques mots avec les enfants avant de s’éclipser. Kaori regarda les orphelins être rassemblés pour regagner leurs chambres pour y ranger leurs jouets et se préparer pour le repas. Elle resta non loin du sapin, l’observant, un fin sourire aux lèvres, perdue dans ses pensées. Elle se sentait bien et heureuse et, surtout, elle sentait son compagnon à l’aise voire même épanoui dans leur relation, ce qui était le plus important pour elle. Sa crainte avait longtemps été qu’il ne prétende et un jour craque mais ça n’était pas arrivé et ça n’arriverait pas, elle en avait eu la certitude définitive un mois plus tôt quand il avait posé un regard serein et empreint de douceur et d’amour sur elle et lui avait demandé si elle voulait toujours ce bébé dont ils avaient parlé.  

 

L’année ne les avait pas épargnés en épreuves mais ils avaient tenu bon, ils s’étaient montrés forts et solides. Même quand elle avait failli être gravement blessée, il n’était pas revenu en arrière malgré son regard grave posé sur elle.  

 

- Je vais devoir t’entraîner encore plus durement., lui avait-il simplement dit, la soulageant d’un poids immense.  

- J’suis pas une mauviette., avait-elle répondu, malicieuse.  

 

Et il n’avait pas menti. Il ne l’avait pas épargnée, de longues heures d’entraînement, harassantes, sans pitié. Il s’était montré aussi exigeant qu’il l’aimait et ça avait porté ses fruits.  

 

- A quoi tu penses ?, demanda une voix chaude alors que deux bras l’enlacèrent.  

- A nous, à Noël dernier, à cette année., lui répondit-elle, posant ses mains sur les siennes.  

- Tu as raté le Père Noël., lui fit-elle savoir, un sourire aux lèvres.  

- Oh zut alors… Tu crois que je pourrais confier mes souhaits à son lutin., l’interrogea-t-il, son souffle chaud effleurant son oreille.  

- Je pense qu’elle saura répondre à tes demandes., affirma-t-elle.  

- Je n’en ai qu’une en fait., lui avoua-t-il.  

 

Elle s’écarta de lui et l’entraîna vers le siège sur lequel il était assis quelques minutes plus tôt. Elle y prit place et lui fit signe de venir sur ses genoux.  

 

- Tu plaisantes ? Je fais le double de ton poids., lui opposa-t-il.  

- Quand on soulève des millions de tonnes d’une main, ce ne sont pas quatre-vingt-dix kilos de muscles qui plus est très sexy qui vont m’écraser., lui retourna-t-elle, amusée.  

 

Riant légèrement, il s’assit sans faire toutefois reposer tout son poids sur elle et elle le sut, lui retournant un sourire aimant.  

 

- Alors, Ryo, que souhaiterais-tu en cadeau de Noël ?, lui demanda-t-elle, prenant une grosse voix et feignant de caresser sa barbe inexistante.  

- Je voudrais que le souhait que la femme que j’aime et moi avons fait l’année dernière se réalise., lui dit-il, son regard se faisant doux et rêveur.  

 

Kaori l’observa un moment en silence, réprimant les larmes qui lui montaient aux yeux.  

 

- Alors sache que je ne peux l’entourer d’un joli nœud mais je garde ton cadeau encore bien au chaud dans ma hotte pour les huit mois et demi à venir., lui annonça-t-elle, posant une main sur son ventre.  

 

Il la regarda avec des yeux ronds, pensant avoir mal compris avant de voir son sourire ému puis sa main sous laquelle leur bébé grandissait.  

 

- Tu es enceinte ?, lui demanda-t-il.  

- J’ai fait le test ce matin. Comme je savais que tu avais demandé au directeur de refaire le Père Noël, j’ai profité de l’occasion pour te l’annoncer., lui expliqua-t-elle, se demandant comment elle avait réussi à tenir le secret toute la journée.  

 

Il la fixa un moment du regard, n’osant y croire, avant de bondir sur ses pieds et de la soulever dans ses bras, la serrant à l’étouffer.  

 

- Je t’aime, Kaori. Si tu savais comme je t’aime., souffla-t-il avant de l’embrasser.  

 

Il sentit les larmes de sa belle à la commissure de ses lèvres et ne retint les siennes que de justesse. Ils étaient ensemble, s’aimaient et, comme ils l’avaient désiré, ils allaient devenir une famille heureuse malgré les dangers qui les entouraient.  

 

- Satisfait du dénouement ?  

 

Quelque part dans les environs, une jeune femme aux cheveux blond vénitien se tourna vers l’homme aux cheveux noirs qui remonta ses lunettes sur son nez.  

 

- Très. Ils sont heureux et ça me suffit. Tu verras, ça changera beaucoup de choses pour d’autres également., affirma-t-il, un sourire attendri aux lèvres.  

- Ca fait quoi de savoir que ta petite sœur va avoir un bébé, Hideyuki ?, lui demanda Mari.  

- Ca me rend vieux…, plaisanta-t-il.  

- Tu ne peux pas être vieux puisque tu es éternel…, lui rappela-t-elle, amusée, passant son bras sous le sien.  

 

Il rit doucement à la plaisanterie puis observa la scène encore un moment.  

 

- Ce bébé aura tout ce qu’ils n’ont pas pu avoir. Ce sera la concrétisation du chemin qu’ils ont parcouru chacun de leur côté puis ensemble., conclut-il.  

- Merci Mari de t’être battue pour eux., fit-il, reconnaissant.  

- De rien. Je les avais déjà remarqués avant qu’on se connaisse mais je ne pouvais rien tant qu’ils ne s’étaient pas rencontrés., se navra-t-elle, sachant que ce qui avait amené cette rencontre était ce qui les avait amenés Hideyuki et elle à se rencontrer également et lier d’amitié.  

- Le plus important, c’est que tout aille bien pour eux. Quand je pense que le maniaque de la culotte va devenir un manieur de couches…, se moqua l’ex-inspecteur.  

 

La remarque les fit rire tous les deux.  

 

- Tout le monde peut changer., admit Mari, obtenant son acquiescement.  

- Je dois te laisser. Papa aura besoin de moi cette nuit., le salua-t-elle, l’embrassant sur la joue.  

- Bonne nuit, Mari.  

 

Il la regarda partir puis se tourna pour voir le couple sortir de l’orphelinat.  

 

- Ca va ?, demanda Ryo à sa moitié tendrement.  

 

Elle s’était arrêtée et observait le ciel étoilé. Elle tourna un regard teinté de mélancolie vers lui.  

 

- Je pensais à Hideyuki., avoua-t-elle.  

- Tu te demandes ce qu’il penserait de tout cela ?, l’interrogea-t-il.  

- Oui., souffla-t-elle, posant la tête sur son épaule.  

- Il serait heureux pour nous. J’en suis sûr. Tant que tu es heureuse, il approuverait., lui affirma Ryo, posant un baiser dans ses cheveux alors que les premiers flocons de neige tombaient.  

- Je le sais mais je me demande quelle tête il ferait en sachant que le maniaque de la culotte allait devenir un manieur de couches., le taquina-t-elle, inconsciente de la résonance de ses paroles.  

 

Il ne put se retenir de rire à l’image.  

 

- En tout cas, je sais ce qu’il dirait en lui apprenant que j’ai mise enceinte sa petite sœur dès le premier mois., répliqua-t-il, hilare.  

- Ouais, je vois le genre…, pipa Kaori, fronçant les sourcils sur un regard pétillant malgré tout.  

- Quoi ? Je ne vais pas renier mes qualités de tireur d’élite. Je fais toujours mouche au premier coup., répliqua-t-il, malicieux.  

 

Il enlaça sa compagne pour l’embrasser, heureux, la protégeant de la bourrasque de neige soudaine alors qu’il n’y avait aucun souffle de vent, même le plus léger, quelques secondes auparavant.  

 

- Tu ne m’en épargneras jamais aucune., gronda Hideyuki, fourrant les mains dans son imper.  

 

Soulagé et heureux de les voir bien ensemble, il laissa un sourire aimant éclater sur ses lèvres et s’évanouit dans l’obscurité. Il n’interviendrait plus dans leur vie mais se contenterait de les observer grandir comme famille. Il vit ainsi le premier Noël de Kimi, petite fille aussi rousse que sa maman au regard sombre comme la nuit de son père, et, trois ans plus tard, celui de Kei, portrait craché de son père mis à part pour les deux fossettes qui creusaient ses joues au coin de ses lèvres. Il les regarda se serrer les coudes et continuer à s’aimer passionnément à travers vents et marées. La famille s’était formée et agrandie et, conformément au souhait du couple, le bonheur était au rendez-vous. 

 


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