Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: spot2001

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 29 chapitres

Publiée: 07-11-04

Mise à jour: 08-07-07

 

Commentaires: 150 reviews

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General

 

Résumé: Un bateau, une fine équipe, des méchants .... à vous de lire et de juger !

 

Disclaimer: Les personnages de "Croisière" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Croisière

 

Chapitre 2 :: 2

Publiée: 08-11-04 - Mise à jour: 08-11-04

Commentaires: merci pour vous encouragements ! j'espère que ça sera un peu plus agréable à lire cette fois ! un nouveau chap pour vous mettre en appétit. pour la suite faudra attendre : finies les vacances et reprise du boulot pour 6 merveilleux jours !!!

 


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Ryo avait regagné l’appartement selon le schéma traditionnel : il se ruait sur toutes les jolies jambes passant à sa portée, récoltant les gifles, coups de sacs et insultes avec une ténacité impressionnante.  

Mais son esprit était ailleurs et quand il arriva chez lui, ce fût pour trouver un message bien peu chaleureux :  

« Je pars avec Eriko. ».  

Cette fois, elle avait fait sa valise.  

Il était resté assis à regarder le bout de papier, sans vraiment le voir pendant un temps indéfini. Quand il avait émergé de sa léthargie, il faisait presque nuit. Attrapant sa veste, il était sorti.  

 

 

Et ce matin, l’esprit encore embrumé par les vapeurs d’alcool, Ryo se dirigeait en traînant les pieds vers le « Cat’s Eyes » : taquiner Umibozu et chahuter Miki lui changerait les idées.  

Il trouva le patron du café en train d’astiquer des assiettes. Le spectacle était des plus étrange : un géant de plus de 2 mètres , qui était l’un des meilleurs du milieu, même s’il était aveugle, sagement installée derrière le comptoir et affublée d’un tablier. Et cette alliance qui brillait à son doigt ! ! !  

« Arrête de frotter cette vaisselle : on l’entend gémir à l’autre bout de la ville. Et ça me donne mal à la tête. »  

« Je suis chez moi, je fais ce que je veux. Si tu es venu pour me faire des réflexions désobligeantes et m’enquiquiner, tu peux retourner d’où tu viens.  

Derrière son dos, Ryo lui tira la langue, comme tout digne gamin de 5 ans l'aurait fait.  

«Et si tu buvais moins, tu n’aurais pas la gueule de bois. Je peux arranger les choses en t’arrachant la tête si tu continues à faire l’idiot ! »  

En réponse à la nouvelle grimace de Ryo, l’assiette vola à travers la pièce. Elle aurait finit en morceaux si la patronne ne l’avait pas rattrapée.  

« Ça suffit vous deux. Vous vous comportez comme des gamins. »  

« C’est lui qui a commencé »  

« Il fait rien qu’a m’embêter »  

Les deux interpellés parlaient en même temps. Miki secoua la tête : elle était incapable de leur en vouloir et les soupçonnait d’en profiter.  

« Ryo est-ce que tu es venu pour que l’on se mette d’accord pour demain ? »  

« Qu’est-ce qui se passe demain ? »  

« On a été invité à passer quelques jours à la « Villa Paradise » qui appartient à monsieur White.  

« … »  

« Vu son comportement, ça ne m’étonne pas qu’elle ne l’ai pas invité ! »  

« Falcon ! ! ! »  

« Quel rapport avec Kaori ? »  

Le « jeune marié » arqua un sourcil :  

« Je n’ai pas prononcé de prénom ??!! »  

« Mais, je …. »  

Miki intervient, avant que ça ne dégénère de nouveau :  

« Le milliardaire Michael White possède des magazines, des chaînes de télévision et des centres commerciaux. C’est le sponsor de Eriko et ils sont en train de préparer leur campagne de publicité pour la nouvelle ligne de vêtements. L’équipe est en train de travailler là-bas. D’ailleurs des affiches sont déjà prêtes. »  

« Ah bon ? »  

« Oui. Et c’est bizarre que tu ne les aies pas remarquées. Son absence doit t’avoir vraiment perturbé ! »  

« Il y a une de ces affiches au coin de la rue. Depuis une semaine, elle a déjà provoqué deux accidents ! »  

« Vous racontez n’importe quoi. Je suis très bien seul : je peux faire ce que je veux sans craindre de recevoir des coups ! Si vous n’avez que des bêtises à me raconter, je préfère partir. Il y a tant de beautés dans cette ville qui n’attendent que moi.»  

Le nettoyeur passa en « mode pervers » et c’est le visage déformé et la bave aux lèvres qu’il tourna les talons.  

Quand la porte se fut refermée sur lui, Miki poussa un soupir exaspéré, comme de nombreuses autres fois !  

« Il m’énerve !! Il a toutes les cartes en main mais refuse d’agir. Cette fois elle était vraiment en colère et qui sait si elle lui reviendra ? »  

« Ai confiance. »  

 

 

Pendant ce temps, l’objet de leurs réflexions s’acheminait lentement vers son appartement.  

(Elle ne m’a pas invité. Elle n’a pas pensé à moi. Qu’est-ce qu’elle peut bien faire ? Qui c’est ce White ? Quand compte-t-elle revenir à la maison ? Oh ! Et puis zut !)  

Des coups de klaxons insistants le tirèrent de ses sombres pensées. Il vit des voitures immobilisées au milieu du carrefour. Suivant le regard des conducteurs, ses yeux tombèrent sur l’affiche dont avait parlée Miki un peu plus tôt : une femme, en sous-vêtements, dont on ne voyait pas le visage mais seulement le corps, un peu tourné de dos.  

Un corps parfait, recouvert, ou plutôt découvert par des bouts de tissus diaphanes. Il en resta bouche bée.  

Il fût pris d’une irrépressible envie d’arracher cette affiche, de tordre le cou à ses hommes qui la fixaient, avec dans les yeux une lueur qu’il n’appréciait pas. Vraiment pas du tout.  

(Comment a-t-elle osé faire ça ? Je parie que c’est encore une idée de Eriko. Elle ne me créera donc toujours que des problèmes ? Si Maki- Chan voit ça, son fantôme viendra me chatouiller les pieds jusqu’à la fin de mes jours ! Mais, mon dieu, qu’elle est belle !)  

 

Il grommelait encore quand il arriva enfin chez lui. La boîte aux lettres débordait de courrier. En y jetant un coup d’œil négligent, il monta péniblement les marches, quand son attention fut attirée par une lettre lui étant destinée (contrairement au reste qui était à l’attention de sa partenaire.) Son parfum.  

Il ouvrit l’enveloppe avec un sentiment qu’il préféra ne pas chercher à comprendre, tout comme il choisit d’ignorer le battement que son cœur manqua . Et fit la grimace.  

«Si tu arrives à dessaouler et à sortir des bras de ces hôtesses de cabarets, tu es invité pour quelques jours à la Villa Paradise. Ne te force surtout pas à venir, sans doute as-tu mieux à faire. Kaori. »  

(Elle me connaît décidément trop bien. Et on ne peut pas dire que l’invitation soit des plus chaleureuses.)  

L’image de cette femme sur l'affiche s'imposa à son esprit.  

(Je vais y aller. Pour lui remettre les idées en place. Son frère n’aurait sûrement pas encouragé ce genre de travail.  

(Oui, je dois y aller pour Makimura.)  

 

 

 


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