Capitolo 13 :: Tendres Partenaires

Pubblicato: 26-09-06 - Ultimo aggiornamento: 26-09-06

Commenti: Kikou tout le monde :) Bon voilà la suite, j'espère que ça vous plaira, merci encore et toujours pour vos reviews qui me boostent :) Bisous à ma béta Saintoise, le titre de cette maje est de son cru :) Lyo, j'espère que la suite de la fic sera toujours à ton gout, bises la miss :) Bonne lecture et à + :) ps: Laeti, j'espère que tu aimeras, tu vois ce que je veux dire ma belle :)

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Alors qu’ils s’apprêtaient à monter en voiture, une voix masculine que Ryo reconnut immédiatement s’éleva derrière eux :  

-Ryo ! Alors comme ça tu viens draguer de jeunes et jolies étudiantes ? Demanda Mick en donnant un coup de coude à son ami.  

Puis, il réalisa soudain la présence de Laëti.  

-Mais… qui est cette ravissante personne qui t’accompagne ?  

En un éclair, il s’empara de la main de la jeune femme et y planta un délicat baise-main, ses lèvres effleurant à peine la peau de cette dernière mais suffisamment pour que la jeune femme rougisse (ndb : Laëti, arrête de faire ta timide, on te connaît nous !)  

Mick la gratifia de son sourire le plus charmeur et déclara :  

-Mick Angel pour vous servir Mademoiselle !  

-Laëti, répondit-elle désarçonnée par l’attitude de l’américain.  

-Dis donc vieux frère, s’enquit Mick sans lâcher la main de sa nouvelle proie et en plantant son regard dans celui du japonais, ta douce moitié est-elle au courant de ton nouveau terrain de chasse ? Sacré dragueur. Je te laisse quelques jours et…  

-Tu fais fausse route, le coupa Ryo. Laëti est la cliente de City Hunter et c’est pour glaner des informations quant à la disparition de sa sœur que nous sommes ici.  

-Vraiment ?  

Mick passa son bras autour de l’épaule de Laëti et s’approchant de son oreille murmura :  

-Vous savez City Hunter n’est plus ce qu’il était. Et puis, vous a-t-il parlé de l’acompte en nature qu’il exige de chacune de ses clientes ? Par contre, moi…  

Un déclic caractéristique se fit entendre et Mick se figea sur place, un rictus idiot sur le visage. Ryo venait ni plus ni moins de le mettre en joug, comme le témoignait le museau froid du python qui était appuyé contre sa nuque. Mick libéra Laëti sur le champ et Ryo rengaina aussi sec.  

-Arrête tes conneries Mick. Laëti, venez, on a du pain sur la planche.  

Elle s’empressa de monter dans la Mini.  

-Je voulais seulement l’éclairer quant à tes méthodes de dragueur éternel, sourit l’américain.  

-Méthodes que tu partages je te le rappelle. On y va maintenant. Au plaisir Mick.  

-Elle me plait beaucoup cette cliente-ci Ryo. Si elle ne t’intéresse pas, laisse-moi au moins tenter ma chance avec elle.  

-Et Kazue ? Rétorqua Ryo en ouvrant sa portière et en s’installant derrière le volant. Tu as tendance à l’oublier un peu vite je trouve.  

Il démarra sans autre forme de procès, laissant son ami méditer ses paroles. Quand il jeta un œil dans le rétroviseur, il croisa le sourire énigmatique de l’américain qui semblait lui dire : « Je n’ai pas dit mon dernier mot » (ndb : wouh ! c’est que notre Mick compte se battre pour Laëti…). Ryo sourit et se concentra sur sa conduite.  

Sur le siège passager, Laëti se demandait si elle avait eu raison d’engager Ryo. L’échange avec son soi-disant ami lui avait confirmé une chose : Elle était tombée chez les dingues !  

Le nettoyeur sentit que sa cliente se posait des questions. Il pouvait lire l’expression de doutes qui se peignait sur son visage.  

-Posez la question qui vous brûle les lèvres, lui dit-il sans quitter la route des yeux.  

Laëti tourna son visage vers lui. Elle ne pensait pourtant pas être si transparente que ça. Elle hésita un instant puis lança :  

-Monsieur Saëba, pouvez-vous m’expliquer ? Je veux dire… C’est votre ami non ? Demanda-t-elle décontenancée.  

-Mick et moi avons toujours eu ce genre d’échange. Il essaie constamment de faire l’idiot mais c’est un bon privé. C’est un jeu entre nous. Je n’aurais jamais tiré.  

-Pourquoi a-t-il insinué que vous alliez me demander de vous payer en nature ? Cela ne plaide pas en votre faveur vous savez ?  

-Ha ha, ricana Ryo, il plaisantait voyons !  

-Vraiment ? Fit Laëti en levant un sourcil pas convaincue pour autant.  

Il reprit son sérieux :  

-Il fut un temps où je draguais mes jolies clientes c’est vrai, mais j’ai changé. Méfiez-vous du manège de Mick. Quelque chose me souffle qu’il n’a pas dit son dernier mot et qu’il va tenter de vous séduire.  

-Ma foi, je reconnais qu'il est plutôt bel homme, mais sa technique de drague ne me fait aucun effet, lâcha la jeune femme.  

-Il n'est plus célibataire mais a tendance à l'oublier quand ça l'arrange.  

-Alors, voilà qui est clair. Je ne fréquente que les célibataires, dit alors Laëti en s’enfonçant dans son siège.  

La Mini ralentit. Ils arrivaient en vue de la demeure du père de Nany. Ryo se gara et ils s’approchèrent à pieds de l’immense grille qui donnait sur la propriété. Deux gardes les stoppèrent.  

-Nous aimerions rencontrer les propriétaires, déclara Ryo.  

-La famille est en vacances à l’étranger. Personne ne peut vous recevoir. Désolé. Faites demi-tour.  

Il regarda l’homme qui avait pris la parole. Quelque chose dans son attitude ne collait pas. Et le ton dur qu’il avait employé ainsi que ses propos sonnaient faux.  

-Voilà qui est surprenant, partir alors même que les tournois vont commencer ?  

Les deux gardes se regardèrent tandis que Ryo détaillait leurs armes, il tiqua en voyant les fusils mitrailleurs que les hommes arboraient. Ça sentait mauvais.  

Laëti intervint et s’avança :  

-Ecoutez, je veux juste discuter avec les parents de la petite Nany. C’est très important. Ma jeune sœur Naomie qui faisait du baby-sitting pour eux a disparu et ils ont peut-être des informations qui m’aideraient à la retrouver, supplia-t-elle.  

-Puisqu’on vous dit qu’ils ne sont pas là ! Maintenant déguerpissez ! Répliqua le garde en portant la main à son arme.  

L’attitude menaçante de ce dernier fit prendre sa décision à Ryo. Autant faire semblant de n’avoir rien remarqué et s’en aller. Il reviendrait à la nuit tombée et s’infiltrerait dans la demeure. Il échangea un regard avec Laêti et dit :  

-Nous partons. Nous reprendrons contact avec eux lors du tournoi.  

-Voici mes coordonnées, déclara Laëti en tendant sa carte de visite à un garde. Puis nos deux compères remontèrent en voiture.  

-Ne vous en faîtes pas, la rassura le nettoyeur, on ne va pas en rester là.  

-Mais comment comptez-vous vous y prendre ? Ils n’ont pas l’air commode.  

-N’oubliez pas que je suis un professionnel, lui dit-il avec un sourire.  

-Peut-être devrait-on demander de l’aide à cet inspecteur Kobayashi ?  

-…..  

-Après tout, il est chargé de l’enquête non ?  

-Je vais contacter Saëko et lui demander de m’éclairer sur le profil de ce Kobayashi. Je l’ai déjà rencontré et je ne le sens pas. De plus, il m’a dit travailler dans les stupéfiants. Hors, je ne vois pas pourquoi il serait chargé de cette enquête. Cela sort de son domaine.  

-Vous croyez qu’il trempe dans tout ça ?  

-C’est possible. Téléphonez-lui au commissariat et demandez où il en est dans ses recherches, s’il a de nouvelles pistes. De mon côté, j’en parlerai avec mon amie.  

Laëti opina et composa le numéro du commissariat. Ce fut Kaori qui lui répondit et qui l’informa que Kobayashi n’était malheureusement pas là aujourd’hui, mais elle l’aiguilla sur son répondeur où Laëti lui laissa le message de la contacter le plus tôt possible. Ryo écouta la conversation puis il appela Saëko.  

Mais leur entretien fut bref. En effet, cette dernière ne pouvait pas vraiment lui parler : Elle était à un congrès politique, en charge de la sécurité d’un officiel. Elle lui apporta néanmoins les réponses qu’il attendait, à savoir que Kobayashi ne travaillait nullement sur l’affaire de la sœur de Laëti. La question de Ryo l’avait même surprise. Qu’est-ce que son subalterne trafiquait donc ? Ryo lui demanda de le surveiller et de lui dire s’il avait des raisons de tremper dans une affaire quelconque avec la pègre locale. L’inspectrice l’informa qu’il était fils de ministre et avait tout l’argent qu’il désirait mais qu’elle le tiendrait tout de même à l’œil.  

Elle avait du raccrocher mais lui avait promis de le rappeler plus tard. Ryo raccrocha le sourire aux lèvres.  

-Qu’y a-t-il ? Demanda alors Laëti.  

-J’avais raison, il ne travaille pas du tout sur cette affaire.  

-Mais alors…  

-Ne vous faites pas de soucis, je vous ramène à votre hôtel et vous appelle après ma petite virée nocturne.  

Ils arrivèrent devant son hôtel. Laëti descendit de la Mini et lui dit :  

-Je compte sur vous. Soyez prudent.  

-Toujours. A plus tard.  

Il démarra, laissant la jeune femme songeuse et inquiète. Toute cette histoire s’épanouissait et elle se demandait où tout ça les conduirait. Elle pria pour que Ryo lui rende sa petite sœur saine et sauve. S’il n’avait tenu qu’à elle, elle l’aurait accompagné cette nuit, mais il ne lui l’aurait certainement pas permis, et puis, elle l’aurait ralenti s’il se trouvait en situation dangereuse.  

« Il a promis de me tenir au courant. Je n’ai plus qu’à attendre son appel » Se dit-elle.  

Ryo rentra et prépara ses affaires pour s'infiltrer le soir même dans la propriété des parents de Nany puis passa le reste de son temps à s'exercer au tir. La journée défila à toute vitesse. Il s’octroya une pause bien méritée en lisant un des ses magazines de charme. L’heure de récupérer Kaori arriva et c’est tout guilleret qu’il prit la direction du commissariat.  

Cette dernière l’attendait sur le parking et, à la vue du nettoyeur, un immense sourire éclaira son visage. Ryo vint à sa rencontrer et elle lui sauta au cou. Il la serra contre lui et lui murmura :  

-Tu m’as manqué mon ange.  

-Toi aussi, je n’avais pas la tête à mon travail aujourd’hui, avoua-t-elle les joues en feu.  

Ryo lui sourit, ravi de la troubler autant et l’embrassa. Ils échangèrent un long baiser auquel Kaori mit fin, la main de son partenaire s’aventurant trop bas à son goût.  

-Tss Ryo… Sois gentil, dit-elle en se dégageant.  

-Kaori…  

-Non non. Tu vas trop vite en besogne.  

-Pfff, maugréa-t-il en lui ouvrant la portière passager. Mais je n’ai pas dit mon dernier mot.  

-Demain, je suis de repos, lança-t-elle alors qu’ils roulaient, que dirais-tu de passer la journée à la plage ?  

-Oh oui ! Des filles dénudées partout autour de moi ! Fit Ryo avec sa tête de pervers et un mince filet de bave s’écoulant de ses lèvres provoqué par les images qui défilaient dans son esprit.  

-J’amènerai la massue pour te tenir à l’œil, précisa sa partenaire.  

-Je plaisantais mon ange. Je ne compte pas regarder d’autres filles que toi, s’empressa-t-il de la rassurer.  

-Mouais, tu peux regarder tant que tu veux mais si tu tentes quoi que ce soit, gare !  

-Compris. Alors ta journée ? S’enquit-il désireux de changer de sujet.  

-Très bien. D’ailleurs à ce propos, nous sommes invités à dîner demain soir chez Ryan.  

-Quoi ? Ah non ! Pas question que j’y aille ! Bougonna-t-il. Dîner chez ce bellâtre ! Non mais t’es pas bien ?  

-Bon. Dans ce cas j’irai seule, répliqua-t-elle calmement.  

L’information fit son chemin dans le cerveau de Ryo. Non ! Très mauvaise idée de la laisser aller seule chez ce type ! Il en profiterait pour la draguer !  

-Tu as gagné. Je t’accompagne.  

-Vraiment ?  

Elle était plus que ravie que sa ruse ait fonctionné.  

-Oui. Je n’ai aucune envie qu’il profite de mon absence pour tenter de te séduire.  

****************************************************************  

Après un léger repas que Kaori avait préparé, elle se retira dans la salle de bains, laissant son partenaire vider quelques cartouches dans la salle de tir.  

La jeune femme se fit couler un bain qu’elle agrémenta d’huiles essentielles et se plongea avec délice dans les effluves de thé vert relaxant. La semaine avait été riche et éprouvante. Elle avait besoin de décompresser. Aussi ferma-t-elle les yeux et reposa sa nuque sur le rebord de la baignoire. Elle se laissa bercer par l’eau chaude bienfaisante.  

Elle entendit alors la porte de la salle de bains grincer et entrouvrit un œil. Non. Personne en vue. Mais elle sentit une présence auprès d’elle et soupira tout en rouvrant les yeux. Comme elle s’y attendait, Ryo se tenait debout devant elle, uniquement vêtu de sa serviette de bain nouée autour de ses hanches.  

Avant qu’elle n’ait pu ouvrir la bouche, il déposa sur le rebord de la baignoire, un verre de bourgueil.  

Kaori savait pertinemment qu’il ne renoncerait pas à prendre son bain avec elle. Ryo était Ryo et le resterait.  

-Ryo… Que t’ai-je dit ce matin ?  

-Euh… J’ai oublié, mentit son compagnon en se grattant la tête.  

-Pfff ! Merci pour le vin mais il n’est pas question que tu profites de ce bain avec moi, dit-elle avant de porter le verre à ses lèvres et de boire quelques gorgées du liquide rougeâtre.  

-Kaori, je te promets de ne rien tenter. Et puis, je te rappelle que moi aussi j’ai eu une semaine éprouvante. Etre la fée du logis c’est crevant. Il y a de la place pour deux dans cette baignoire, insista-t-il.  

-Ryo…  

-S’il te plait.  

Voilà que maintenant il faisait ses yeux de chien battu.  

Elle planta un instant son regard dans le sien avant de prendre une décision.  

-Et tu resteras de ton côté de la baignoire ? Tu te tiendras tranquille ? Demanda-t-elle méfiante. Bon, exceptionnellement, tu peux venir. Mais je préfère te prévenir que si tu tentes quoi que ce soit, mon amie la massue que voici, se chargera de te calmer.  

Elle brandit alors son instrument de torture.  

-Ha ha ha, rigola bêtement le nettoyeur, tu l’emmènes partout décidément.  

-Avec toi, il faut bien.  

Elle ferma les yeux et reposa sa nuque et tenta à nouveau de se détendre. Elle rabattit un peu de mousse vers elle et ramena également ses jambes afin de lui laisser un peu de place.  

Ryo sourit, satisfait d’avoir obtenu gain de cause. Sa serviette tomba au sol et il entra à son tour dans le bain.  

Le téléphone retentit.  

-Qui sort ? Demanda Ryo.  

-Pas moi  

-Moi non plus.  

La personne au bout du fil persistait et la sonnerie raisonnait dans l’appartement. Les deux nettoyeurs se regardèrent.  

-La messagerie va se mettre en marche, rétorqua Ryo en attrapant un des pieds de sa belle.  

-Kya ! Qu’est-ce que tu fais ? S’écria-t-elle surprise.  

Elle éleva sa massue et s’apprêta à le frapper.  

-Je t'avais prévenu  

-Attends ! Je voulais juste te masser le pied. C’est tout, je te jure !  

-Hein ?  

-Oui. Comme je te sens tendue, je me suis dit que ce serait un bon moyen de t’aider à te relaxer.  

La jeune femme le fixa un instant, il avait cette lueur dans le regard qui semblait dire "je vais te manger toute crue" qui la fit frissonner. Elle sentit monter une chaleur au creux de ses reins, et finit par s'enhardir.  

-Bon… D’accord. Mais je t’ai à l’œil.  

-Pas de souci, je serai sage comme une image dit-il taquin en exerçant une légère pression sur la voûte plantaire de la jeune femme.  

Au début, Kaori se raidit mais bien vite, elle dut se rendre à l’évidence. Ce qu’il lui faisait n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire.  

Ryo fit de même avec son autre pied.  

-Ryo…  

-Oui mon ange ? Demanda-t-il innocemment.  

-Mon pied est beaucoup plus bas. Là, c’est mon genou.  

-Ah tiens ? Oui. Tu as raison. Je ne m’étais pas rendu compte que j’étais remonté si haut.  

-Bon ça suffit, sors de là, j’ai apprécié le massage mais maintenant, j’aimerais me laver et…  

-Moi aussi j’aimerais te laver, proposa-t-il en saisissant le savon et le gant et en dévoilant une érection.  

-Ryo !  

La massue s’abattit. Ryo n’eut pas d’autre choix que d’obéir tout en geignant comme un animal blessé.  

Restée seule, Kaori attendit qu’il soit sorti pour se replonger dans l’eau chaude, énervée.  

Bon d’accord, elle appréciait qu’il soit au garde à vous pour elle, enfin façon de parler, mais il ne pensait qu’à ça ! Elle ronchonna un moment puis entama sa toilette.  

Quand elle sortit, elle tomba nez à nez avec Ryo en tenue de camouflage.  

-Je sors. Ne m’attends pas, dit-il en prenant son sac à dos et en ouvrant la porte d’entrée.  

-Mais où vas-tu ? Demanda-t-elle inquiète.  

-Je dois faire un peu de reconnaissance pour l’affaire dont je m’occupe, euh, dont on s’occupe, rectifia-t-il. J’ai préféré attendre que la nuit soit tombée pour cela.  

-Je viens avec toi, laisse moi juste enfile quelque chose et je te rejoins à la voiture.  

-Kaori…  

-Je peux faire diversion pendant que tu te faufiles à l'intérieur de la propriété.  

Et elle filant dans sa chambre sans demander son reste, plantant son partenaire dans le salon.  

-Bon, j'ai compris je n'aurai pas le dernier mot, maugréa-t-il en prenant les clés de la voiture.  

Et il prit la direction du garage tandis qu’elle revêtait un pantalon clair et un chemisier moulant.  

-Parfait, se dit-elle en se regardant rapidement dans la glace, Ryo va hurler mais bon il faut ce qu'il faut si je veux attirer l'attention des gardes.  

Elle dévala les marches pour le rejoindre.  

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