Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: leeloo

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 45 chapters

Published: 04-03-04

Last update: 19-10-07

 

Comments: 343 reviews

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ActionDrame

 

Disclaimer: Les personnages d' "Elle est d'ailleurs" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Elle est d'ailleurs

 

Chapter 21 :: Chapitre 21

Published: 01-07-04 - Last update: 19-04-05

Comments: Salut @ toutes et @ tous^^ !!! Et bah mes enfants, encore un peu... et po de MAJ cette semaine ! Vous vous rendez compte ? Monaco à faillit vous faire louper l'un des chapitres les plus importants de cette fics ! Mais bon, réjouissez vous, je suis là, et bien là (enfin, surtout le chap 21... moi c po bien grave loll) Par contre, je risque encore de connaître des blems de connections pendant ces deux mois d'été.. j'espère pouvoir vous fournir les chap chaque semaine. Cette fois-ci, ce sera po la faute de mon Matthieu qui me laisse po écrire mais à cause de monacon télécon^^ ! Vous devrez porter plainte chez eux !!!^^ Merci mes chéries revieweuses ! Je vous adooooore^^ Arf ma Mopsime, super revieweuse, merci pour tes messages, ça me va droit au coeur ! Et c pareil pour les autres !!! je cite : ma Mityukichan^_^, ma sek alcaline (oui oui^^), ma Mimochan (merciii^^) ma clo (kisuuu^^) ma Tamia (kisuuuu toi aussi^^) ma Yosei (toi aussi, allez lolll^^) ma Sophie !!!!! mais non ma soso, je t'en veux pas, comment t'en vouloir ??? t ma soso^^ ! et ma Kary !!! (gros kisuuu aussi^^).. wouah... ké distribution de bisous ! lolll^^ bise à tous !!!

 


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Le lendemain,  

Aéroport de Shinjuku  

10h  

 

-Merci, monsieur Saeba…  

 

Ryo sourit et s’accroupit face à Misaki. Elle n’avait pas besoins de le remercier car ses grands yeux parlaient pour elle. Ils respiraient la reconnaissance qu’elle avait pour lui de les avoir sauvées, elle et sa mère. Ryo accepta tout de même son remerciement en posant ses mains sur ses frêles épaules…  

 

-Prends bien soin de ta maman, lui intima-t-il avec un léger clin d’œil. Et travail bien à l’école.  

 

Misaki hocha la tête en signe d’acquiescement.  

 

-Promis, dit-elle tout simplement.  

 

-Au fait, continua-t-il en plissant les paupières, en parlant d’école. Hier, j’ai eu un entretient avec ta directrice au sujet de l’un de mes magazines… tu dois probablement savoir de quoi je parle…Elle m’a affirmé que c’était moi qui te l’avais mit dans les mains, pourquoi as-tu raconté ça ?  

 

-Parce que c’est vrai, déclara-elle, avérée.  

 

Une grosse libellule airbus A380 passa derrière la tête de Ryo…  

 

-Je… que… quoi ? bégaya-t-il. Jamais de ma vie je ne t’aurais donné ce genre de lecture ! Jamais !  

 

-Bin vous l’avez fait pourtant, se défendit la fillette. Un matin je ne trouvais plus mon cahier de vacances, je vous ai demandé si vous ne l’auriez pas vu et vous m’avez donné ce magazine, m’assurant que j’apprendrais plus de chose là dedans…  

 

Ryo colla une main à son front. C’était probablement le lendemain d’une longue beuverie…  

 

-Arghhh… se plaignit-il, soudain victime d’un violent mal de crâne.  

 

Misaki tira sur un pant de sa veste…  

 

-Mais ne vous en faite pas monsieur Saeba, maintenant, grâce à votre livre, je me suis faite plein de nouvelles copines ! s’écria-t-elle avec un large sourire. (tu m’étonnes)  

 

Ryo la regarda en coin. Tout compte fait, fallait bien qu’elle apprenne tôt où tard… le mal était fait et il ne pouvait pas retourner en arrière… Et puis, avec une mère comme la sienne, il était persuadé qu’elle apprendrait les choses de la vie bien assez tôt !  

 

Il se releva doucement et remonta ses manches jusqu’au coude, tandis que Mai s’approcha de lui.  

 

-A mon tour de vous faire mes adieux… déclara-t-elle. Merci pour tout et ne vous en faite pas. En Chine, nous serons bien. Le magasin où je travail a accordé ma mutation et Misaki ira dans l’une des meilleures écoles du pays, termina-t-elle en adressant un sourire à son enfant.  

 

-Parfait, dit-il. Je vous souhaite bon courage, à toutes les deux.  

 

-Vous allez me manquer !!! hurla-t-elle en se jetant dans ses bras.  

 

Ryo se déconcerta. Il lui tapota les épaules, gêné et légèrement pressé de mettre fin à cette étreinte. Mais la jeune femme ne lâcha pas prise pour autant. C’était la première fois qu’elle approchait Ryo de si près en l’espace d’un mois. Elle profita donc de cette situation pour descendre ses mains plus bas, et englober ses adorables petites fesses. Ryo sursauta instantanément et devint cramoisi.  

 

-Mai… je… euh… oui, oui moi aussi… déclara-t-il avec sa tête de taré. Maintenant, enlevez vos mains de là… viiiite, chuchota-t-il dans son oreille.  

 

La jeune femme sourit béatement en resserrant légèrement la pression de ses doigts, voulant profiter de la douce chaleur qui se diffusait dans ses mains. Ryo sursauta de nouveau. Elle s’approcha de son oreille à son tour et lui murmura :  

 

-Je reviendrai… mon Ryounet…  

 

-Quand vous voudrez ! Eh, eh, eh, s’écria-t-il avec un sourire forcé.  

 

«Il faut que je déménage… oui, demain je déménage, c’est décidé !» se dit-il en se grattant la tête, mine de rien.  

 

Mai se décrocha de lui lorsque retentit la voix d’une hôtesse dans le haut parleur, invitant tous les passagers à se retrouver devant la porte d’embarquement. La mère et la fille attrapèrent tour à tour leur valise et s’éloignèrent peu à peu de l’endroit où était resté Ryo, pour disparaître enfin au loin, dans le cœur de l’avion.  

 

Sans attendre le décollage de celui-ci, Ryo tourna les talons et abandonna le sol de l’aéroport pour se fondre dans les rues de Shinjuku. Tout en avançant droit devant lui, il fourra une main dans la poche intérieure de sa veste et en sortit un morceau de papier. Il le déplia délicatement et relut son contenu pour la seconde fois :  

 

«Monsieur Saeba,  

 

Nombreuses sont les personnes autours de moi à venter vos mérites. Vous êtes, selon source évidente, le meilleur enquêteur de tout le Japon. Pour me rendre enfin compte de leurs dires, je sollicite, Monsieur Saeba, vos services que j’estimes nécessaire à une enquête concernant l’un des membres de ma famille… mon fils pour ne rien vous cacher.  

 

Vous pourrez me contacter à l’adresse indiquée au dos de l’enveloppe.  

 

J’ai l’espoir de recevoir de vous, une réponse affirmative et immédiate afin que l’on puisse commencer mon enquête dans les meilleurs délais.  

 

Cordialement.  

 

Monsieur Hiroshi Takeniko»  

 

Il replia sa missive et la remit dans sa poche. La dernière fois qu’il avait décacheté une lettre, c’était celle de Kaori, pour ces vœux d’anniversaire, lui intimant au passage que tout allait bien.  

Dans moins d’un mois maintenant, ce sera déjà Noël… Ryo ressentit une pointe d’empressement à l’idée d’en recevoir une nouvelle de sa part... avec l’espoir fou et chimérique de la voir annoncer son prochain retour.  

 

Il contourna une rue et en traversa une autre pour s’arrêter enfin au cat’s eye. La clochette retentit lorsqu’il franchit la porte d’un pas décidé et s’installa au comptoir, en face de Falcon.  

 

-Salut l’ami…  

 

-Salut Ryo… je te sers quelque chose ?  

 

-Non merci. Je passais juste pour un truc…  

 

Falcon posa ses mains puissantes sur le comptoir. Ryo sourit et comprit qu’il attendait de lui quelques explications qu’il ne tarda pas à lui fournir en lui tendant la lettre. Falcon prit quelques secondes pour la parcourir et annonça :  

 

-Et qu’est-ce que tu comptes faire ?  

 

-C’est exactement la question que je me posais, ce matin… commença-t-il, le sourire en coin. Je pense que je vais y aller… ça me fera des vacances…  

 

-Mouais, si on veut… et tu pars quand ?  

 

-Je ne sais pas, je lui ai répondu ce matin, il devrait recevoir ma lettre dans la semaine normalement. Tout ce que je sais, selon Saeko, c’est que c’est assez bien payé… et j’ai vraiment besoin d’argent.  

 

-A qui le dis-tu… déclara Falcon, les yeux en l’air. Au fait, tu parles de Saeko… je croyais que tu ne devais plus accepter ses jobs…  

 

Ryo adopta sa face lubrique.  

 

-Oui… moyennant paiement…  

 

Son interlocuteur mit un court instant avant de comprendre où il voulait en venir…  

 

-Ryo… commença-t-il, énigmatique, ne me dit pas qu’avec Saeko, tu… tu…  

 

-Eh eh eh… ricana-t-il, la bave aux lèvres… SI !  

 

Falcon vira au rouge. Ryo mentait, il le savait, parce que Saeko se tenait juste derrière lui, brandissant une table basse au dessus de sa tête, prête à lui balancer…  

 

BAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMM  

 

La jeune femme se frotta les mains.  

 

-J’vais t’apprendre à raconter n’importe quoi !!! s’écria-t-elle tandis que Ryo se débattait pour sortir sa tête du plancher. Prends pas tes rêves pour des réalités !!!  

 

-Ryo s’il te plait, dit Falcon en croisant les bras. Arrête de faire l’autruche dans mon café. Et la prochaine fois, assure toi que Saeko n’est pas dans les parages… regarde ce qui t’arrive après…  

 

-Fais… fais f’était four flaisanfer… se défendit-il difficilement, en enlevant les morceaux de parquet collés à son visage. fêfe fas frôle… pffff…  

 

_____  

 

Quelques jours plus tard…  

Appartement de CH  

 

Ryo reçut enfin la réponse à sa lettre, demandant plus amples informations sur la durée de son séjour et les modalités de paiement. Lorsque sa lecture arriva au montant qu’il devait percevoir, il eu le souffle coupé. C’était fort plus qu’il ne l’aurait espéré. Cette affaire règlerait enfin toutes ses dettes, et bien plus encore. Quant au séjour, il apprit qu’il logerait dans sa demeure où une chambre l’attendait ainsi que tout le confort requis.  

Le soir venu, il prépara ses valises et prévint son entourage qu’il s’absentait pour un petit moment. En fait, il ne savait pas vraiment pour combien de temps il partait, Takeniko ne le savait pas vraiment lui non plus, puisque dans sa lettre, il mentionnait «deux ou trois mois». Ce n’était pas très précis mais il se contenterait de cela comme réponse. C’était le mieux qu’il pouvait s’accorder pour s’évader quelques temps de la routine qui peu à peu, recommençait à générer sa vie… Soudain, une sourde montée d’angoisse l’envahit… et si Kaori revenait ? Si elle revenait pendant qu’il était là bas ? Il fourra une main nerveuse dans ses cheveux et commença à tourner en rond dans la pièce.  

 

-Non… se sermonna-t-il, tout haut, inutile d’attendre un fantôme…  

 

Il se servit un verre de cognac et s’installa silencieusement sur le canapé. Il conclut que ce n’était pas le moment de douter car demain, à la première heure, il embarquait pour Aomori, au nord du Japon…  

 

_____  

 

Le lendemain…  

Gare d’Aomori  

11h  

 

Le train parcourut ses derniers mètres avant d’entrer en gare. Ryo se leva et attrapa ses valises lorsque le grésillement des freins sur les rails se mirent à résonner dans tout le compartiment.  

Le trajet lui parût affreusement long et il avait hâte d’arriver à destination, n’en pouvant plus de l’incommodité de son siège et de l’homme à côté duquel il avait voyagé car en effet, celui-ci avait profité de son épaule pour finir sa nuit. Il en avait d’ailleurs, le bras à moitié endolori à force d’être resté dans la même position pendant six heures...  

Quelques instants après, il sortit du train et se dirigea vers la sortie de la gare. Le soleil tapait relativement fort malgré le froid de décembre, et sa lumière se reflétait prodigieusement sur la neige fraîchement tombée. Il mit sa main en visière et plissa les yeux afin d’éviter d’être ébloui. Il regarda aux alentours avant de fixer son regard sur un homme qui venait à sa rencontre…  

 

-Monsieur Saeba ? demanda celui-ci, adroitement et visiblement sûr de lui.  

 

Ryo acquiesça simplement de la tête.  

 

-Je suis le chauffeur de Monsieur Takeniko. Suivez moi en voiture, je vous prie…  

 

Ryo resta sur place. Le scepticisme qui le caractérisait reprit ses droits et il prit soin de l’interpeller :  

 

-Une minute…  

 

-Oui Monsieur ?  

 

-Comment saviez vous que je devais venir aujourd’hui ? Je n’ai pas prévenu votre patron de mon arrivée…  

 

L’homme sourit.  

 

-Monsieur Takeniko est un homme très prévenant… pour être sûr de me pas vous manquer, il a fait venir spécialement sa voiture personnelle, et ce, tous les jours des la première heure jusqu’à tard dans la nuit…  

 

Ryo haussa un sourcil, stupéfait.  

 

-… et maintenant, veuillez me suivre Monsieur… termina le chauffeur en désignant la somptueuse rolls qui ronronnait sur la chaussée.  

 

Tout en s’avançant vers celle-ci, Ryo leva les yeux au ciel et marmonna dans sa barbe :  

 

-Seigneur… je paris que je suis encore tombé sur un dingue…  

 

_____  

 

Quelques minutes plus tard, la voiture entama son trajet sur un petit chemin privé. De part et d’autre, d’immenses chênes composaient de petites forêts qui assombrissaient quelque peu les lieux… donnant un aspect lugubre à l’ensemble qui apparaissait plus loin. Car en effet, le jardin, tel que la demeure étaient magnifiques. La dernière fois qu’il avait mit les pieds dans un pareil luxe c’était lors de l’affaire Azakura. Il sourit intérieurement car cette fois-ci, il allait goutter ce qu’était la vraie vie de château…  

La voiture s’arrêta devant l’entrée de la maison. Le chauffeur sortit en premier et fit le tour de l’automobile pour ouvrir la portière à son passager. (arf… il mérite pas tout ça) Ryo sortit et se dirigea vers la maison où un petit homme l’attendait. Celui-ci souriait, les mains dans les poches. Il devait avoir la soixantaine bien pesée, cheveux grisonnant, bien coiffé et impeccablement vêtu… c’était le maître des lieux, incontestablement… lorsque Ryo arriva à sa hauteur, l’homme lui tendit une poignée de main chaleureuse.  

 

-Monsieur Saeba… bienvenue chez moi.  

 

(non, ce n’est pas Florent Pagny… je vous vois venir, j’anticipe…)  

 

-Monsieur Takeniko, répondit Ryo en lui serrant fermement la main. Merci à vous de m’accueillir.  

 

-Tout le plaisir est pour moi… allons, rentrons, le hâta-t-il en lui emboîtant le pas, le voyage a dû vous fatiguer… venez vous installer au salon pendant que l’on monte vos valises dans votre chambre. Tsume ! appela-t-il, ensuite.  

 

Un jeune garçonnet, probablement l’enfant d’une employée, fit son entrée.  

 

-Oui Monsieur ?  

 

-Va en cuisine, dit à Kôsuké de préparer le déjeuner… Monsieur Saeba, continua-t-il en se retournant sur l’intéressé, venez avec moi, nous avons beaucoup à parler.  

 

Il n’avait pas l’air si fou que ça, pour le moment… C’était juste un aristocrate, un homme pressé qui n’avait jamais vraiment eu besoin d’attendre, tout lui était acquis, tout lui était dû, tout et tout de suite… Ryo n’aimait guère ce genre de personnage, mais il se devait bien de faire un effort… et puis tout compte fait, le cadre en valait bien la peine.  

Enfermé dans le petit salon, Takeniko s’assit derrière son imposant bureau et s’accouda sur celui-ci. Il invita Ryo à prendre place en face de lui. Les présentations furent assez courtes. Il ne voulait apparemment pas parler de lui, en tout cas pas pour le moment. Tout ce qui l’importait c’était ce drame qui était survenu quelques mois auparavant. Son fils avait perdu la vie dans un accident de voiture, subitement. Au début, tous pensait que c’était la faute de se stupide camion qui lui avait barré la route… oui mais, au fur et à mesure, les témoignages qu’il avait reçu démentait une partie de l’incident, apparemment, tout ceci n’était pas purement accidentelle…  

 

La lumière de la pièce était tamisée. Seule, la clarté des flammes qui s’élevaient dans la cheminée, éclairaient le petit salon. Takeniko se leva de son lourd fauteuil en cuir et s’avança vers le bar. Il prit deux verres en cristal qu’il remplit à moitié avant d’en offrir un à Ryo. Celui-ci le remercia et goutta le nectar cuivré qui se répandit instantanément dans sa poitrine.  

 

-Voyez vous, monsieur Saeba… mon fils était un brillant avocat, il a eu deux charmantes épouses et de merveilleux enfants… et je ne veux en aucun cas qu’ils leur arrivent du mal, vous comprenez ? Je vous demande donc d’éclaircir cette affaire et par le biais, de protéger ma famille…  

 

-Très bien. Ne vous inquiétez pas… le rassura Ryo avant de reporter son verre à sa bouche.  

 

Soudain, le regard de Takeniko s’illumina. Ryo s’arrêta net dans son geste, ne comprenant pas pourquoi il souriait ainsi.  

 

-Tenez… déclara le vieil homme, le regard fixé, droit devant lui. Je vous présente ma belle fille…  

 

Ryo se retourna et croisa le regard de la jeune femme. Son verre éclata en poussière d’étoile sur le parquet… toute vie s’était arrêtée de respirer, à cet instant…  

 

-… Kaori…  

 

 

 


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