Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: chibiusa

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 38 chapters

Published: 14-07-06

Last update: 02-01-08

 

Comments: 185 reviews

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GeneralDrame

 

Summary: Un souvenir intarissable...

 

Disclaimer: Les personnages de "Remember me" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo - les personnages extérieurs m'appartiennent !

 

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   Fanfiction :: Remember me

 

Chapter 35 :: Douce vengeance

Published: 22-05-07 - Last update: 22-05-07

Comments: Hello tous ^^ ! Voici le chapitre 35 ! j'espère qu'ils vous plaiera ! je remercie mes reviewers ça fait plaisir de lire vos commentaires ^^ ! Bon on approche doucement de la fin, les chapitres sont plus courts peut être un peu plus dynamique ! mais j'avance vers la fin, comme on dit, j'aperçois le bout du tunnel ^^ ! Bonne journée et n'oubliez pas la review :)

 


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Ce dernier l’amena dans la chambre et discrètement ferma à clé la porte, afin d’éviter la crise cardiaque. Délicatement il la fit s’allonger sur le lit et approfondit le baiser. Ensuite sa bouche dévia sur le cou ou il titilla un nerf. Dans un élan passionné il lui enleva le pull, il découvrit dessous un tricot aux bretelles fines, il regarda la jeune femme avec admiration et murmura :  

 

- Tu es si belle, mon ange.  

 

La jeune femme touchée par la déclaration sourit enchantée, à son tour elle toucha le visage de son homme de ses doigts, ces derniers allèrent toucher les cheveux, découvrirent une cicatrice, puis une autre enfin ses doigts tracèrent des parcours sur le cou et d’instinct elle passa ses mains sous la chemise du jeune homme. Elles rencontrèrent un pansement puis frôlèrent les abdominaux et enfin les pectoraux de son homme. Elle le sentait frémir à ses caresses. Elle passa ses bras sur son dos et déclara :  

 

- Tu n’as pas dû avoir la vie simple depuis ta disparition, murmura-t-elle.  

 

Pour toute réponse il se pencha sur elle et prit sa bouche avec tendresse et volupté.  

 

- Je veux tout oublier de ces moments difficiles et consacrer le reste de ma vie à tes côté mon amour murmura-t-il.  

 

Sa bouche alla titiller son oreille gauche et glissa sur la peau, il était tendre et doux à la fois.  

Nicolas sourit intérieurement, il sentait son amie frémir, et naturellement sa bouche vint à la rencontre du ventre de la jeune femme, il déposa ses lèvres sur son nombril. Il remonta le tricot et aperçu les sous-vêtements violets tout en lycra et dentelle. Il déclara :  

 

- Cela n’a plus rien avoir avec les brassières que tu mettais avant ! même si la brassière avec un nounours restera un souvenir intarissable ainsi que la petite culotte avec le petit nœud !  

 

Il se reçut des coups sur les épaules et il éclata de rire et se redressa pour affronter le regard noir de la jeune femme.  

 

- Tu étais quand même bien content de moi malgré mes sous-vêtements, répondit la jeune femme.  

- Je n’ai jamais dis que je n’avais pas apprécié te faire l’amour Haruka, fit-il sérieusement. Je regrette que de ton côté tu n’aies pas eu beaucoup de plaisirs.  

- On mettra ça sur le compte de mon age répondit-elle doucement. Comme je l’ai dis à mon père, j’aurai probablement davantage apprécié si j’avais eu alors plus de sensualité.  

- Je n’aurais jamais dû te faire l’amour, tu n’étais pas prête…  

- C’est moi qui te l’ai demandé, répondit-elle doucement.  

- J’aurais dû refusé.  

- C’est ce que tu as fait.  

- Et tu m’as dis que je ne t’aimais pas et que j’allais t’abandonner moi aussi.  

 

Il caressa son front.  

 

- Je n’avais ni l’envie ni le désir de te quitter, je voulais attendre…  

- Et je ne t’ai pas laissé faire, je t’ai dis que si tu m’aimais tu devais me faire l’amour…  

- Je n’avais qu’une envie te prouver mon attachement à toi. Mais je n’aurai pas dû…  

- Je ne t’ai pas laissé le choix, et puis… si on ne l’avait pas fait, on aurait pas Tomas. Il m’a aidé à surmonter beaucoup de choses le savoir en moi m’a aidé à avancer.  

 

Nicolas s’installa à côté d’elle et l’attira contre lui et murmura :  

 

- Raconte moi ce qu’il s’est passé. J’ai vu qu’ils t’avaient blessé, j’ai senti ta blessure.  

- J’ai eu de la chance, sans quoi ils auraient pu faire du mal au bébé.  

- Que s’est-il passé ?  

- Tu m’as laissé toute seule, je n’avais plus personne, maman, tata et toi m’aviez laissé. J’étais comme folle. Alors on m’a donné un soutient psychologique…  

- Quel genre ?  

- J’ai été pendant quelques temps en hôpital psychiatrique, murmura-t-elle. Jusqu’à ce que je prenne conscience que j’allais être maman – elle sourit tendrement – alors pour ce petit bout à venir j’ai repris le dessus. Puis j’ai été mise dans un foyer pour mère adolescente, ils ne voulaient pas que je donne des idées aux autres filles.  

- Oh ma chérie…  

 

Il la serra davantage contre lui, jusqu’à ce qu’un bruit sourd se fasse entendre. Haruka se redressa et descendit du lit, elle eut du mal à ouvrir la porte de la chambre et alla dans le salon et demanda d’une voix anxieuse:  

 

- Tom ?  

 

Haruka s’approcha et le petit garçon se mit à pleurer. Elle le prit contre elle et demanda :  

 

- Qu’est ce qui s’est passé ?  

 

Au milieu d’un reniflement le petit garçon lové contre sa maman :  

 

- L’étagère est tombée sur moi !  

- Tu t’es fait mal ? demanda Haru inquiète.  

 

Nicolas arriva et remarqua un trou béant dans la paroi, il cligna des yeux et déclara :  

 

- mais comment que…  

- Nico, au lieu de te poser des questions philosophique peut-être pourrais-tu regarder si Tom n’est pas blessé ? l’interrompit la jeune femme.  

 

Aussitôt le papa après avoir mis une veste de jogging sur les épaules de la jeune femme. Il prit le petit garçon dans ses bras et le posa sur la table en bois et il regarda attentivement.  

 

- Une petit bosse, répondit-il.  

 

Haruka était mit la veste et la ferma cachant ainsi son tricot à fines bretelles. A cet instant le nettoyeur arriva et regarda le mur, perplexe et cligna des yeux.  

L’étagère une fois tombée avait entraîné une partie du mur, et derrière apparaissait une cachette qui appartenait à Kaori car il y avait là : un bazooka, des marrons et des massues par dizaines.  

Ryo rigola bêtement et murmura :  

 

- Même après tout ce temps je découvre de ces trucs !  

- Qu’est ce que c’est ? demanda Haruka postée près de son fils.  

- Il semblerait que ta mère ait mis dans la double cloison du mur quelques unes de ces armes préférées : le bazooka, les marrons et des massues ! Je m’étais toujours demandé comment elle pouvait avoir tant de stock ! maintenant je sais !  

- Et comment l’étagère est-elle tombée ?  

- C’est que tout ce barda doit commencer à peser lourd sur le mur qui a fini par céder sous le poids de la collection d’encyclopédies !  

- Au risque d’avoir l’air stupide demanda Nicolas, comment se fait il que le mur soit si « fragile ».  

- Facile ! je me prenais tellement de massues dans une journée que la plupart de nos revenus passaient dans la réfection de l’appartement ! avec le temps…  

- Très logique en effet, murmura le jeune homme.  

 

Haruka caressa le visage de son petit garçon et lui dit en l’embrassant sur le front :  

 

- Tu as eu de la chance mon chéri.  

 

Tom secoua la tête et déclara :  

 

- Je suis tombé du canapé quand ça à fait du bruit…  

 

Ryo réprima un sourire amusé et déclara :  

 

- Alors tu as doublement plus de chance car si non tu aurais été en bas de la pyramide ! et pour l’avoir expérimenté un certain nombre de fois cela fait très mal !  

- Pourquoi papy il a été souvent sous une pyramide ? demanda le petit garçon en fronçant les sourcils. Les pyramides c’est pas en Egypite ?  

- Egypte mon chéri, reprit sa maman. En fait ce que papy voulait dire c’était qu’il avait l’habitude d’être sous une massue, il embêtait mamy et elle répondait de manière très tendre…  

- Ironique toi…  

- L’amour vache c’est génétique ? intervint Nicolas avec un sourire amusé.  

- Maman !  

- Papy faisait beaucoup de bêtises et mamy le grondait et généralement il était ensevelis sous un monticule de choses diverses et variées, principalement des massues, tu comprends mon petit bout ?  

 

Tomas fronça encore les sourcils et finit par déclarer :  

 

- Je crois. Toi aussi maman tu punis papy… pourtant c’est les parents qui punissent les enfants non ?  

- Ton grand-père est un peu un enfant déclara Haruka fataliste.  

 

La tête de Ryo s’enfonça dans ses épaules mais il jugea que c’était de bonne guerre.  

 

- Papa intervint Haruka, occupe-toi de ça au plus vite. Et je t’en pris fait en sorte que les murs ne s’effondrent pas sur mon fils.  

 

Sur ce, elle prit le petit garçon dans ses bras et sans un regard monta à l’étage dans la chambre du petit garçon et lui fit choisir un livre, elle lui lut et à la fin caressa la joue douce et tendre de son petit bout.  

 

- Mets lui ça sur son front, murmura Ryo.  

 

La jeune femme hocha la tête et appliqua doucement le baume sur le front rougi. Tomas bougea et marmonna quelque chose d’inintelligible et se tourna sur le côté en prenant son éléphant en peluche et continua à dormir.  

Elle se releva et embrassa son père sur la joue et déclara :  

 

- Il grandit vite…  

- Tu as encore quelques années de câlins avec lui quand même, fit Ryo. Moi j’ai plus souvent droit aux massues qu’aux câlins !  

- A qui la faute ? marmonna Haruka en redescendant.  

 

Deux jours plus tard, Ryo avait rendez-vous avec Eriko pour le cadeau d’anniversaire de sa fille, il voulait lui offrir une robe et pour cela il avait besoin de l’aide de la styliste. Il voulait qu’elle lui fasse une tenue jolie mais correcte pas comme les vêtements que Vanessa avait tendance à tester sur sa fille. Il se souvint du jour ou elle avait mis un déshabillé presque transparent, il secoua la tête.  

Si encore il avait été le seul, mais l’autre andouille – dont il ne se souvenait pas du nom - avait regardé sa fille avec un regard avide. Au moins son futur beau-fils avait une circonstance atténuante, il avait quitté une enfant et il s’était retrouvé face à la jeune femme.  

Il en était là de ses pensées quand à quelques rues de sa destination une voix qu’il connaissait bien se fit entendre :  

 

- Papy !!!! – Ryo tourna la tête pour voir ou se trouvait son petit fils – Papyyy !  

- Tom ?  

- Papyyyyyyyy !  

 

Il avait l’impression bizarre que cela venait de sa poche intérieure… il se demanda s’il n’avait pas un talkie-walkie ! et il trouva son portable et il fut assommé par un corbeau :  

 

- Papyyyyy ! Papyyyyyyyyyyyy ! y’a le téléphonne qui sonne !!!!!!! décroche ton portable !!!!  

 

Les passants tombèrent à la renverse, c’était la « musique du portable » et Ryo cligna des yeux et en reconnaissant le numéro de sa fille décrocha.  

 

- Haruka ?  

- Tu aimes ta nouvelle sonnerie de téléphone ? demanda la jeune femme avec une voix doucereuse.  

 

Sur ce, la jeune femme raccrocha.  

 

« les chiens ne font pas des chats » songea-t-il amusé. Mais une fois de plus il était le dindon de la farce…  

 

 


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