Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Author: cecoola

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 22 chapters

Published: 26-08-03

Last update: 22-11-03

 

Comments: 27 reviews

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RomanceAction

 

Summary: Un étrange morceau de son passé retouche à nouveau Ryô. Avec Kaori, il fera tout pour retrouver sa fille...

 

Disclaimer: Les personnages de "Histoire passée, espoir avenir" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Histoire passée, espoir avenir

 

Chapter 17 :: Chapitre 17 : Quand arrive une fin...

Published: 11-11-03 - Last update: 11-11-03

Comments: Coucou! Oulàlà... je suis vraiment navrée pour tout ce retard, vraiment. Je promets de faire de mon mieux pour que la suite arrive au plus vite. Car après tout, moi-même je suis toujours impatiente de découvrir les nouvelles MAJ, alors... courage Cecoola et grouille-toi. Ok, je suis motivée. Merci pour toutes vos review et surtout n'hésitez pas à en rajouter plein! Bonne lecture!

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22


 

* Ryô resserre la main de sa fille encore plus fort que précédemment. Un vague sourire apparaît sur son visage, mais il ne s’agit pas là d’une pointe de bonheur, plutôt une démonstration de sa débilité.  

- Mais comment ai-je pu être aussi stupide ? Comment ai-je fait pour ne pas te reconnaître alors que tu es restée si près de moi durant tant de temps ? Quel père as-tu eu la malchance de dénicher là ?  

Emeraude est toujours endormie. Ca lui fait mal de l’admettre, mais McCorner a raison : elle est tout à fait sublime, divine, merveilleuse… et d’une ingéniosité sans pareil…*  

 

Ils courent sans cesse, sans même reprendre leur souffle. Car le moindre centième de seconde leur est désormais aussi précieux que l’oxygène qu’ils respirent. Il faut à tout prix qu’ils sortent de cette baraque, avant que celle-ci ne se transforme en véritable Enfer.  

Emeraude se tient l’épaule, où une balle d’assez gros calibre s’est installée et a refusé de s’en aller. Ryô, quant à lui, ne cherche même plus à arrêter l’hémorragie coulant de son œil gauche, on s’en chargerait plus tard. Il jette plutôt un coup d’œil en direction de son ami que les balles n’ont pas épargné également.  

- Par ici, crie soudain Falcon. Et grouillez vous, c’est pas le moment de visiter.  

- Dommage, la déco mériterait vraiment d’être arrangée, ironise la jeune fille.  

- Dépense inutile, ajoute Ryô. Avec les kilos de TNT qu’il a enclenché, ça ne risque pas de servir à grand-chose. Gaffe !  

Tout trois sautèrent d’un bond au-delà d’un des nombreux pièges qui s’est enclenché.  

- Ah, mais il n’y a que ça dans ce foutoir.  

- Tu aurais du te plaindre au propriétaire avant de l’envoyer rôtir dans les flammes, se plaint le jeune capitaine.  

- Je te signale bien gentiment que c’est ta balle qui l’a envoyé dans l’au-delà !  

- Oui, mais moi je me posais pas de question à propos des petites surprises de sa demeure.  

- Mais vous avez pas fini de vous disputer ? Vous aurez tout le temps pour ça dès qu’on s’en sera sorti.  

- Si on s’en sort, songe l’ange. Mais je crains fort que nous manquerons de temps pour nous échapper assez loin du cœur de l’explosion. Surtout que tel que je connais, ou plutôt connaissais Black Spy, la première bombe ne sera que le détonateur d’un sacré feu d’artifice en chaîne.  

Tous trois s’engouffrent dans un trou de service et glissent jusqu’au sous-sol. Ils espèrent sincèrement qu’ils pourront prévenir les autres à temps pour qu’ils puissent s’éloigner assez rapidement des environs.  

L’étau se resserre rapidement, et la pression qui flotte autour d’eux devient vraiment oppressante. Pourtant, aucun n’y prête attention. Ils ont tous trois été formés dans le plus rude des buts : survivre.  

 

Dehors, le tintamarre des diverses explosions a enfin cessé. Tous sont à bout de souffle. Kaori elle-même peut être fière d’elle car elle a veillé bravement à la santé de Miki. Tous se sont assis au centre du terrain dévasté, là où les trois autres membres du groupe devraient les rejoindre. Kaori enlace en vain les mains de Mick qui ne cessent de trembler. Même si les paroles qu’il avait prononcées avaient sacrément endommagé sa fierté, au moins, il avait pris la bonne décision. Car son handicap leur aurait très certainement apporté beaucoup trop d’ennuis.  

- Ca va aller, Kaori, la rassure-t-il. Merci bien.  

- Non, non, attends.  

En fait, la jeune femme a absolument besoin d’un prétexte pour empêcher son esprit de se focaliser sur son partenaire, Falcon et Natsumi… du moins, elle ignore encore que cette dernière n’existait plus et avait rendu sa place à Emeraude Saeba…  

- Ne vous en faites pas, mademoiselle, souffle Julian entre deux coups de hoquets nerveux. Je suis persuadé que tout ira pour le mieux. Black Spy a quand même choisi les meilleurs comme adversaires.  

- Je ne voudrais pas rendre l’atmosphère pessimiste, murmure doucement Saeko, mais à mon avis, votre capitaine ne fera pas le poids très longtemps. Comparé à Ryô et à Falcon, qui eux ont eu de vraies expériences de ce genre, je ne crois pas qu’elle puisse tenir la route.  

- Oh, mais elle la tient très bien, gronde Robin. Je suis navré de vous contredire ainsi, mademoiselle, mais je crois qu’elle a la trempe innée des meilleurs professionnels.  

- Je ne mets absolument pas ses talents en doute, rassure l’inspectrice. Je veux simplement dire qu’une gamine de quinze ans sera toujours moins… moins professionnelle que deux hommes qui ont déjà bien vécu et débuté leur histoire dans une guerre sans merci.  

- A mon tour d’intervenir, miss, la coupe Matt. Mais, je dirais que tous les trois sont bien plus proches qu’aucun de nous peut y penser. Je crois que moi-même suis très loin de la réalité…Pourtant, elle m’a déjà raconté une infime partie de son histoire…  

Le suspense de cette conversation reste et restera encore très longtemps en suspens, car au loin, la maison commence déjà son auto destruction.  

 

Trois silhouettes de gabarits très différents se dessinent petit à petit au sein des flammes. Peu importe si elles sont blessées et que l’une d’entre elles boite sérieusement, elles courent, se démènent contre la mort.  

Tous attendent. L’esprit complètement abasourdi, leur corps refusant carrément de se mouvoir tant qu’elles ne seront pas devant eux.  

Soudain, une voix perçante semble vouloir percer le vacarme assourdissant mais n’atteint que le lieutenant.  

- Bon Dieu, mais remuez-vous bon sang ! jure le jeune capitaine. D’ici deux minutes à peine, une explosion telle que nous serons tous carbonisé en moins de deux secondes va nous sauter à la gueule (désolée pour le langage, mais je trouve qu’il se prête assez bien au moment) Allez, foutez moi le camp et plus vite que ça.  

Quel ordre inconcevable ! Comment pourraient-ils abandonner ces trois soldats, alors qu’ils sont encore très loin derrière eux ; trop loin même… Ils n’arriveront jamais à temps. Si seulement ils pouvaient tous aller les rejoindre, pour au moins les soutenir. Mais en quoi cela les aiderait-il ?  

- Lieutenant ! Je vous donne l’ordre de rassembler toute la troupe et de rejoindre les véhicules sur le champ !  

Emeraude a les cordes vocales en feu à force de hurler pareillement. A vrai dire, c’est sûrement plus par habitude que Matt arrive à déchiffrer les quelques gammes de voix qui atteignent ces oreilles.  

- Qu’a-t-elle dit ? demande les autres en cœur.  

- Que la fin du spectacle sera si sensationnelle qu’on risque d’avoir du mal à l’apprécier jusqu’au bout.  

Un frisson de terreur parcourt la petite assemblée. Par besoin de faire plus de dessins, ils ont tous bien compris ce qui va se produire très prochainement.  

- Mais ?? Il n’arriveront jamais à… le temps… constate Carl avec effroi.  

- C’est pour cela qu’elle nous ordonne à filer de ce foutoir en quatrième vitesse.  

- C’est hors de question, objectent immédiatement les trois femmes présentes.  

- Elles ont raison, Matt, avoue timidement Robin. On peut quand même pas les laisser là !  

- Non, on ne peut pas, soupire l’homme. Mais qu’avons-nous encore le droit et la capacité de faire ?  

Silence…  

- Retournons aux voitures, propose Abel. Et revenons les chercher. Je suis persuadé que nous aurons une chance supplémentaire de…  

- Impossible, le coupe Julian. Avec tous les trous qu’on a soit creusé soit provoqué, même nos bagnoles de terrain ne passeront pas.  

- Alors on n’a plus trop le choix, je crois, conclue tristement Saeko. S’en aller et croiser les doigts pour eux…  

 

Le départ des autres rassure fortement Emeraude et la détend un tant soit peut. Ils ont enfin pris la décision d’échapper de cet Enfer ; tant mieux !  

Soudain, une douleur intense surgit d’un coup sec dans son épaule. Cette fois, elle est complètement bousillée : la balle s’est enfoncée davantage dans le cœur du membre. Sa main droite commence à lui faire défaut également ; certainement que le système nerveux passant par son épaule est endommagé.  

- Ca ira ? s’inquiète Ryô. Tu penses pouvoir tenir le coup ?  

- J’en sais rien. Mais comme je n’ai en aucun cas le choix, j’espère simplement que mes jambes continueront leur course sans broncher.  

Instinctivement, le nettoyeur le plus délicatement possible sa main sur le membre ensanglantée de sa fille. Le visage de cette dernière dévoile une douleur lancinante mais elle ne crie pas. A présent, il en est certain : cette blessure est bien plus grave qu’elle ne semble le prétendre. Mais que peut-il dire, lui, qui ne voit plus de l’œil gauche si ce n’est qu’un flot de sang rouge ? Pourtant, la jeune fille lui tend un magnifique sourire, comme pour le remercier de cette attention qu’il lui porte.  

Falcon boite de plus en plus mais comme ses deux compagnons d’armes, il ne laisse rien paraître.  

 

(Auteur : bon, je suppose que vous désirez savoir ce qui c’est passé pour que nos héros soient amochés à ce point. Donc, voici un petit résumé bien léger peut-être, mais qui devrait suffire amplement pour le reste de l’histoire)  

Emeraude n’en revient pas des dernières minutes qu’elle vient de vivre. Comment, en si peu de temps, peut-elle se retrouver sur le champ de bataille le plus dangereux qu’elle n’ait jamais vu en compagnie de son père ?  

Elle n’arrive pas à comprendre la réaction de ces deux hommes. Pourquoi l’ont-ils sauvé ? C’est par sa faute qu’ils sont en si piteux état. Et son esprit est si sonné que ce ne sont plus que des flashs back qui lui reviennent en souvenir.  

Elle se rappelle comment Black Spy perdit patience et actionna la mise en marche de son supplice. Elle revoit l’acte héroïque de Ryô qui s’était élancé vers elle pendant que Falcon visait la chaîne qui la retenait suspendue au dessus de la marmite.  

Puis, le reste devient de plus en plus confus.  

McCorner en perdit complètement la raison et s’est mis à viser les trois compagnons qui étaient à découvert. C’est ainsi qu’une balle vint se loger dans l’épaule de la jeune fille et que trois autre s’enfoncèrent dans la jambe de l’Eléphant.  

Elle entend encore son père la suppliant de se cacher puisqu’elle ne possédait aucune arme pour se défendre, mais elle voyait surtout les deux objets posés sur la table aux côtés de Black Spy : son Anaconda et son précieux bijou. L’homme n’y prêtait plus attention, sa haine étant principalement focalisée sur les deux nettoyeurs.  

Il ne lui restait plus qu’une seule solution : s’approcher le plus lentement possible et les récupérer.  

C’est ainsi qu’une folie pourtant bien compréhensible lui donna l’adrénaline nécessaire pour se rapprocher aussi dangereusement de son ennemi juré. Il ne lui restait plus que quelques pas à faire quand McCorner la regarda et lui sourit.  

- Tu seras la première à crever, mon ange ! avait-il dit en ajustant son armé pour être certain de ne pas la rater.  

Mais la jeune fille n’en avait que faire de ses menaces, elle était près du but. Ryô, voyant au loin le spectacle, a aussitôt accouru alors que l’ennemi commençait déjà à appuyer sur la gâchette.  

Emeraude ne comprend toujours pas par quel prodige ils sont toujours en vie tous les deux.  

Ryô n’ayant plus le temps de désarmer l’ennemi s’est jeté désespérément en avant alors que la balle sortait du revolver adverse. Son œil encaissa le coup et la balle fut miraculeusement déviée. La jeune fille avait réagi en un tour de main et, saisissant sa propre arme, tua son adversaire. Et c’est dans un dernier souffle de vie que l’ennemi enclencha la mise en marche de l’auto destruction de son bâtiment…  

 

- Ryô, hurle-t-elle. J’aimerais que tu m’expliques pourquoi tu as fait ça ? Parce que je te signale que tu es très bien parti pour rester borgne ta vie entière.  

- S’il n’y a jamais qu’un seul œil de mauvais, je crois que je pourrai m’en tirer facilement.  

- C’est pas le moment de placer ton humour de lâche et réponds à ma question !  

- Je te promets de te le dire quand on s’en sera sorti.  

- Et si on ne s’en sort pas, justement ?  

Pour toute réponse, il lui prend la main et augmente sa vitesse de course.  

 

* - On est toujours en vie, Emeraude, prononce tout bas Ryô. Il faut que toi aussi tu te réveilles. Je t’ai fait la promesse de tout te révéler, et je n’ai pas envie de fuir cette promesse… je n’ai pas envie de te la cacher à toi !  

La jeune infirmière est restée à ses côtés. Elle avait changé le pansement du nettoyeur. Son était l’inquiète énormément car l’hémorragie ne veut pas se calmer facilement et elle craint fort que son œil soit définitivement perdu. Elle aimerait tant le persuader de consulter l’oculiste de la clinique, le meilleur de toute la région soit dit en passant, mais elle ne peut pas prononcer un mot. Ryô est auprès d’elle, pourtant c’est comme s’il était ailleurs en même temps. Comment pourrait-elle, ne serait-ce que le songer, obliger ce père à quitter son enfant ?*  

 

Kaori refuse catégoriquement de monter dans l’une des voitures. Pourtant, même Miki s’est résolue à obéir.  

Aller, Koari, la supplie Mick. Tu ne peux rien faire pour les aider, ça ne sert à rien de rester plantée là. Que dirait Ryô s’il savait ça ?  

- Que dirait-il s’il était à ma place ? rétorque mélancoliquement la jeune femme. City Hunter, c’est lui et moi, Mick. Il me l’a dit un jour… Il m’a promis que j’étais un membre intégrant de l’équipe City Hunter, que ce nom ne le désignait pas personnellement mais moi aussi par la même occasion. Ce qui signifie qu’en ce moment même, City Hunter n’est pas unis puisqu’un des membres n’a que peu de chance de survivre tandis que l’autre s’enfuit déjà loin devant.  

- Ecoute, Kaori, je crois comprendre ce que tu ressens, mais…  

- Non, tu ne comprends pas, Mick. Tu ne peux pas te mettre à ma place tout simplement parce que toi tu… tu n’aimeras jamais Ryô comme moi je peux l’aimer, explique la jeune femme les larmes aux yeux.  

L’américain est déstabilisé. Il a lui aussi porté le nom de City Hunter, durant un temps relativement bref d’accord, mais quand même…de là à penser d’une telle façon… Pourtant, la jeune femme a raison. L’équipe des chasseurs de ville a pris tout son sens avec ces deux êtres qui la compose : un homme au sombre passé et une femme dont la pureté reste indescriptible puisqu’on en découvre une nouvelle facette à chaque épreuve nouvelle.  

- Ryô, espèce d’abruti, songe-t-il. T’as intérêt à revenir entier, ne serait-ce que pour dévoiler, franchement et directement pour une fois, tes sentiments envers cette femme si extraordinaire. Oh et puis zut, si tu ne reviens pas, je largue Kazue et je te chipe Kaori, OK ? Quoique Kazue est vraiment quelqu’un d’exceptionnelle et puis… Pfff, je m’embrouille là ! T’as vraiment intérêt à revenir. Un point c’est tout !  

- Mick…  

- Hum ?  

- Et si on essayait quand même d’aller les chercher ? Ne serait-ce que les attendre avant les crevasses pour les prendre en toute hâte dès qu’ils seront sortis de l’ancien champ de mines.  

La seule réponse qui lui parvient aux oreilles est les hurlements de Matt qui attend toujours les deux compères.  

- Les deux autres voitures sont déjà en route, il faut vraiment que vous vous grouillez maintenant.  

- Mais comment pouvez-vous abandonner votre capitaine dans une telle situation ? demande désespérément Kaori.  

- Croyez-moi que si je pouvais échanger ma vie contre la sienne, je le ferai, mademoiselle Makimura, dit tristement le lieutenant. Mais dans le cas présent, tout acte serait pris pour pure folie et non pour geste héroïque. Nous sommes dans l’incapacité la plus lamentable de les aider, et je regrette.  

- Il a raison, Kaori. Viens  

Et Mick l’emporte en la poussant par la taille. La jeune femme est comme demi-consciente et ne répond plus vraiment.  

- Si vous voulez, miss, nous allons nous arrêter dans un lieu que je jugerai assez sécurisé. Et quand tout sera fini, nous reviendrons sur nos pas… pour…  

Qu’ajouter à cette phrase ? Pour récupérer leur cadavre ? Pour espérer retrouver en eux une petite trace de vie ? Pour tout simplement les aider car ils seront aux bords de l’épuisement ? Ou pour leur empêcher une fatigue inutile après tous leurs efforts ?  

Personnellement, Matt aimerait tant que cette dernière solution soit la bonne… Il aimerait tant revoir son cher capitaine…  

 

Et l’instant T arriva… la plus gigantesque explosion qu’on ait jamais vu depuis les dernières années de guerres retentit peu avant le lever du jour. Nous sommes samedi matin… Qu’est-il arrivé à nos trois soldats encore situés au cœur de l’Enfer ?  

Au loin, neuf personnes insistent impuissantes à ce spectacle déchirant. Mais comment peut-on imaginer un seul instant que certains hommes sont assez fous pour… pour ainsi jouer avec des vies innocentes ? Dans les trois voitures, personne ne parvient à retenir ses larmes. Certain pleure un ami, un frère, un amour perdu…  

Qu’est-il arrivé aux trois soldats encore situés au cœur de l’Enfer ? Quel espoir reste-t-il quand arrive ainsi une fin tragique ?  

 

 


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