Capitolo 7 :: XYZ à la rescousse !

Pubblicato: 08-11-05 - Ultimo aggiornamento: 08-11-05

Commenti: Coucou tout le monde, voilà le chap 7, et J'espère qu'il vous plaira. Je tiens à remercier mes revieweuses de chocs; Chibiusa, Fan2CH, Nanou et Moon. N'hésitez pas à me laisser vos impressions. Bonne lecture et Bizzzz à tous.

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30

-« Kaori! Est-ce que tout va bien? », hurla Ryo tout en ouvrant précipitamment la porte de la salle de bain.  

Mais, au moment où la porte s’ouvrit, il sentit que plus aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Il déglutit avec difficulté alors qu’il commençait à sentir sa température corporelle monter d’un cran. Les battements de son cœur avaient soudainement pris, un rythme beaucoup plus effréné que d’ordinaire. Il était, à cet instant précis, comme hypnotisé par ce qui se trouvait sous ses yeux. Il avait devant lui, la plus belle vision qu’il n’ait jamais vu. Kaori était étalée sur le ventre, là, nue, sur le sol de la salle de bain. Les courbes de son corps étaient si harmonieuses… Cette peau avait l’air si douce… Elle ressemblait à ce moment, à une déesse sortie des eaux pour tenter les pauvres mortels de goûter au fruit défendu.  

Les mains et les doigts de Ryo ne l’avaient pas trahit lorsqu’il avait porté la jeune femme dans ses bras, elle avait vraiment un corps magnifique. Il eut bien du mal à détourner ses yeux de cette vision si envoûtante, et à reprendre ses esprits. A cet instant, il lui semblait qu’aucun corps de femme ne pouvait rivaliser face à celui de Kaori. Pour lui, la vraie beauté se trouvait là, étendue sur ce sol glacial. Face à cette vision de rêve, Ryo eut toutes les peines du monde à contrôler son meilleur « ami » qui ne demandait qu’à se manifester dans toute sa splendeur.  

La chute avait du être rude pour Kaori, car elle se trouvait un peu sonnée. Elle n’avait pas entendu, ni même remarqué l’arrivée précipitée de Ryo. Reprenant quelque peu ses esprits, elle remua légèrement en soupirant de douleur.  

-« Ouh la… » , gémit-elle en essayant de se tourner pour se mettre dans une position assise.  

Son dos lui faisait de plus en plus mal, et ses bras étaient de plus en plus faibles. Il lui semblait que tout son corps pesait des tonnes. C’est alors, qu’elle leva la tête en direction de la porte, sentant une présence, et surtout deux yeux qui l‘observaient. Réalisant la présence de Ryo, Kaori ouvrit grand ses yeux, et vira en une seconde au rouge écrevisse.  

-« AAAAAAAAHHHHHHHH!!!!!! SORS D’ICI IMMEDIATEMENT ESPECE DE VOYEUR!!!!! », hurla-t-elle comme une furie tout en essayant tant bien que mal, de cacher sa nudité à l‘homme qui se tenait dans l‘embrasure de la porte.  

Si elle avait eu un objet à porté de main à cet instant, elle le lui aurait jeté sans problème au visage. Comment osait-il rentrer dans la salle de bain alors qu’elle était complètement dévêtue ? Oh la gêne qu’elle ressentait à ce moment était inexprimable. Jamais elle ne s’était trouvée dans une situation aussi embarrassante.  

De son côté, Ryo sortit de sa contemplation et resta abasourdi devant une telle puissance vocale provenant d’un si petit corps.  

-« Mais non… euh…, ria-t-il bêtement en se grattant l’arrière de la tête. Je t’assure que je n’ai rien vu… », dit-il en refermant précipitamment la porte, (NDA : il veut faire croire ça à qui ?).  

Il ne s’éloigna pas pour autant de celle-ci, car il se doutait bien que Kaori aurait, à coup sûr, besoin de lui.  

Les joues en feu par la colère, mais surtout aussi par la gêne, Kaori attrapa son drap de bain et s’enveloppa dedans tant bien que mal. D’une nature très pudique, elle ne pouvait supporter l’idée qu’il ait pu la voire toute nue et dans une position si grotesque. Etendue, là, sur le sol après avoir bêtement glissé de la baignoire.  

Puis, levant son regard vers son fauteuil, elle sût par avance qu’elle n’aurait plus la force de se soulever pour s’y installer. Soupirant de fatigue, et aussi de douleur, elle se décida à appeler Ryo pour qu’il vienne l’aider à se remettre dedans.  

-« Heu… Hum… Ryo?… Est-ce que t’es là? », demanda-t-elle d’une toute petite voix, alors que le rouge montait à nouveau à ses joues.  

Elle attendit que celui-ci entre dans la pièce. Mais, alors qu’elle croyait qu’il ne l’avait pas entendu, au moment où elle s’apprêtait à réitérer sa demande, la porte s’ouvrit sur le nettoyeur.  

-« J’aurais… Hum… Besoin que tu m’aides à me remettre dans mon fauteuil, s’il te plait », demanda-t-elle, sans pour autant oser regarder Ryo.  

Elle était encore beaucoup trop gênée de la situation dans laquelle il l’avait découverte, pour qu’elle puisse posait son regard dans le sien.  

Comprenant son malaise, Ryo ne fit pas plus de commentaires, et s’avança vers elle, qui était toujours par terre. Lorsque il l’a prit dans ses bras, Kaori ne pu s’empêcher d’esquisser une petite grimace de douleur dans le bas de son dos. Remarquant la situation, Ryo ne la réinstalla pas dans son fauteuil, mais l’emporta directement dans sa chambre, et la déposa délicatement sur son lit.  

-« Habilles-toi pendant que je remet un peu d’ordre dans la salle de bain, dit-il doucement à l’adresse de la jeune femme. Je reviendrais te masser le dos avec une crème aux plantes pour éviter que la douleur n’augmente ».  

Avant qu’elle n’ait pu émettre le moindre signe de protestation, Ryo avait quitté la pièce laissant une Kaori toute désappointée face à cette situation et par l’attitude du nettoyeur. Alors que son dos se fit à nouveau ressentir, elle dût reconnaître que Ryo avait bien raison, et qu’un petit massage ne pouvait pas lui faire plus de mal. Si elle ne faisait rien pour soulager cette douleur, elle risquait de ne pas pouvoir fermer l’œil de la nuit.  

Regardant autour d’elle, elle remarqua que son sac contenant ses affaires avait été posé sur son lit. Elle prit donc, un pyjama qu’elle enfila le plus vite qu’elle put, de peur de voir à nouveau, Ryo débarquer alors qu’elle était encore dénudée.  

S’allongeant sur son lit après s’être préparée pour la nuit, Ryo vint frapper à sa porte quelques minutes plus tard.  

-« Tu peux entrer Ryo, je suis prête », indiqua Kaori à Ryo qui attendait son accord pour pénétrer dans la pièce.  

Celui-ci entra avec son fauteuil. Il lui demanda où est-ce qu’il devait le mettre, et elle lui indiqua la place à côté de son lit. Puis s’approchant de la jeune femme…  

-« Ton dos te fait souffrir, n’est-ce pas? »  

-« Oui, un peu », reconnut Kaori faiblement.  

-« Alors met toi sur le ventre pour que je puisse t’appliquer cette crème. Tu verras tu te sentiras mieux après ».  

Kaori obéit aux recommandations de Ryo, non sans se sentir un peu embarrassée, et puisa dans ses dernières forces pour se retourner sur le ventre. Une fois la jeune femme en position, Ryo souleva légèrement le haut du pyjama de Kaori, pour commencer à lui appliquer la crème. Au moment où, Ryo souleva son haut, il remarqua les cicatrices qu’elle avait le long de sa colonne et dans le bas du dos. Il ne lui fit pourtant aucun commentaire, ni ne lui posa aucune question sur leur provenance. Il se doutait bien, qu’elle avait du les obtenir à l’issue des nombreuses opérations chirurgicales qu’elle avait dut subir dans sa petite enfance.  

Il commença donc, à lui masser le bas de son dos qui était devenu un peu rouge suite au choc. Sous l’effet de la douleur lorsque Ryo appuya ses doigts, Kaori ne pu s’empêcher d’avoir un sursaut et de pousser un petit gémissement.  

-« Excuses moi si je t’ai fait mal ».  

-« Non ne t’inquiètes pas ça va aller », répondit-elle, les larmes aux yeux, alors que Ryo continuait de lui appliquer doucement la crème qui commençait à dégager une chaleur réparatrice.  

Mais, malgré la douleur, Kaori ne pu s’empêcher de ressentir un immense bien-être dans tout son corps, au contact des doigts de Ryo. Elle se surpris à s’imaginer quelle sensation pourrait-elle bien ressentir si il lui caressait avec cette même douceur le reste de son corps. Elle se mit immédiatement à rougir, tout en se maugréant d’avoir de telles pensées, et, elle fut heureuse de pouvoir cacher son visage dans ses bras, pour éviter que Ryo ne s’aperçoive de son trouble. Que lui arrivait-il, c’était bien la première fois qu’elle ressentait un tel plaisir à se faire masser par un homme. Elle qui avait toujours eu horreur de devoir prendre des séances de rééducation, et de devoir se faire « tripoter » par tant de mains d’hommes. Pourtant, celles qui se trouvaient actuellement sur son dos, ne lui occasionnaient aucune gêne. Ou tout du moins, pas de la même façon…  

Ryo de son côté, était tout aussi troublé que pouvait l’être Kaori. Il ne se reconnaissait plus. Elle n’était entrée dans sa vie que depuis quelles heures seulement, et le voilà qu’il s’occupait avec le plus grand soin de ce petit bout de femme.  

Malgré les cicatrices qu’il pouvait sentir sous ses doigts, il trouva la peau de Kaori très douce. Et lui aussi, fut assaillit de tout un tas de pensées les plus érotiques les unes que les autres. Face à ce toucher, et surtout à ses images qui dansaient dans sa tête, il eut toutes les peines du monde à se concentrer pour éviter que son mokkori ne montre le bout de son nez. Il ne voulait pas l’effrayait dès le premier soir par sa virilité légendaire.  

C’est avec regret, qu’il constata que la crème avait entièrement pénétrée dans la peau de Kaori. Il rabaissa alors délicatement son haut de pyjama.  

-« Voilà j’ai terminé, dit-il doucement d’une voix rauque qui trahissait quelque peu son trouble. Je pense que ça va te faire du bien, et qu’elle va te soulager un petit peu pour cette nuit ».  

Intrigué par le manque de réponse de la jeune femme, il s’approcha du visage de Kaori, et, constata que celle-ci s’était endormie un sourire se dessinant sur ses lèvres. Ému par l’innocence qu’elle dégageait dans son sommeil, il lui caressa tendrement la joue. Elle réagit légèrement au contact de cette caresse, et émit un petit soupire de plaisir et de satisfaction. Dieu qu’elle était belle, endormie innocemment sur ce lit. Personne à ce moment, n’aurait pu imaginer la vie qu’elle avait dut subir toutes ces années auparavant…  

-« Dors bien, bel ange », murmura-t-il avant de quitter la chambre de la jeune femme.  

De retour dans la sienne, Ryo eu du mal à trouver le sommeil cette nuit-là. Beaucoup trop d’images, beaucoup trop de sensations se bousculaient dans sa tête pour qu’il puisse s’endormir. Comme il s’en doutait bien, Kaori avait un corps magnifique, il en avait eu la preuve un court instant ce soir. Elle était si douce, si belle…  

Enervé contre lui-même, il ne comprenait pas pourquoi, elle lui faisait autant d’effets. Lui, qui avait connu beaucoup de femmes auparavant, n’avait jamais été aussi troublé comme il l’avait été avec Kaori en quelques heures.  

-« Ah Kaori, sous cette beauté d’ange, tu es un vrai petit démon tentateur », se murmura Ryo, qui, se demandait bien comment, il arriverait à tenir pour ne pas succomber à son charme durant ces prochaines semaines.  

La fatigue le gagnant progressivement, il s’endormit dans un sommeil troublé par les visions de Kaori.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30