Capitolo 22 :: De l'espoir au cauchemar...

Pubblicato: 09-06-06 - Ultimo aggiornamento: 09-06-06

Commenti: Bonjour à tous !! Enfin un nouveau chap, et je suis vraiment désolée de cette attente... Mais beaucoup de choses en très peu de temps du coup c'est pas facile de tout gérer... Maintenant nous entrons dans une nouvelle phase de cette fic et j'espère que cela vous plaira toujours autant... Merci à toutes les personnes qui se prennent le temps de me donner leur avis c'est très encourageant !!! Alors surtout continuez ^___^. A très vite pour la suite Bonne lecture et Bizzzz à tous !!

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Lorsque Ryo ouvrit la porte de son appartement, tenant toujours Kaori dans ses bras, il fut étonné d’y voir Hideyuki installé sur le canapé semblant l’attendre le visage grave.  

-« Oh Hide !!, s’exclama Kaori avec un sourire. Tu es déjà là !! »  

Déposant la jeune femme sur le canapé à côté de son frère, Ryo ressortit chercher son fauteuil. Lorsqu’il remonta, il les trouva tous les deux entrain de discuter sur la journée de Kaori. Celle-ci lui expliquait comment était son ensemble que Ryo lui avait offert. Bien que le partenaire de Ryo ne fit aucun commentaire sur le fait que celui-ci ait acheté des habits à Kaori, Hideyuki en était cependant surpris.  

-« Ahh voilà !!! Regarde-moi ça !! », fit-elle en lui montrant la tenue.  

-« Je suis certain que tu dois être très belle dedans », répondit son frère avec affection.  

Elle rougit légèrement face au compliment, mais surtout elle se rappela la scène de l’essayage et sentit à nouveau son cœur battre la chamade… Puis se tournant légèrement vers Ryo, Hideyuki continua.  

-« Merci pour aujourd’hui… Et merci d’avoir fait ce cadeau à Kaori ».  

-« De rien mon vieux… », répondit-il tout en se dirigeant vers la cuisine.  

Hideyuki et Kaori restèrent encore un long moment à parler de tout et de rien. Ryo leur déposa alors une tasse de thé à chacun, et préférant les laisser seuls un moment descendit dans la salle de tir.  

Une fois seul, il repensa à cette journée riche en évènements et émotions de tout genre. Pour la première fois, il réalisait vraiment ce qu’était le monde de l’handicap. Un monde bien différent de celui de tout un chacun… Un monde, où il fallait se battre deux fois plus pour avoir droit aux mêmes avantages qu’un valide. Et puis la différence, celle qui se voit et que l’on ne peut cacher… Cette différence qui fait que lorsque l’on se promène dans la rue, ils semblent appartenir à un autre monde…  

Mais il n’y avait pas que cela que Ryo avait découvert. Il avait une découverte bien surprenante pour un homme comme lui… Pour la première fois, il avait ressenti un désir tout autre… Le désir de vraiment aimer une femme… De l’embrasser afin de goûter à ce bonheur subtil et sucré… Plus il se rapprochait de Kaori, et plus il sentait sa résistance fondre comme neige au soleil. Oui… Depuis qu’elle était entrée dans sa vie, elle était devenue le soleil de ses jours… A cette idée, son cœur bondit de joie, tout en se serrant de douleur. Il n’avait pas le droit de penser à cela. Car bientôt elle quitterait à nouveau sa vie…  

Pour se calmer un peu et penser à autre chose qu’à Kaori, il se mit à tirer sans s’arrêter. Lorsqu’il se sentit un peu mieux, il remonta alors à l’appartement, voyant que l’après-midi tirait à sa fin. Lorsqu’il pénétra chez lui, il trouva encore Hideyuki et Kaori au salon, visiblement, trop absorbés dans leur discussion, ils n’avaient pas fait attention à l’heure.  

-« Il faudrait peut-être que tu commences à préparer tes affaires », déclara alors Ryo.  

Posant leur regard sur l’horloge du salon, Kaori s’exclama surprise de l’heure ;  

-« Oui c’est vrai !!! Il serait plus que temps !! »  

-« Allez au boulot !!, décréta Hideyuki en portant sa sœur dans sa chambre. Ryo… Tu peux prendre le fauteuil ?... »  

Le nettoyeur acquiesça et monta à la suite de son partenaire. Kaori eut vite fait de préparer ses affaires. Elle emporta avec elle du nécessaire de toilette, des sous-vêtements de rechanges, des pyjamas, et sa robe de chambre, plus deux tenues au cas où. Lorsqu’elle boucla sa valise, elle regarda l’heure qui lui indiquait 17H07. Il était plus que temps pour elle de partir pour l’hôpital.  

Au moment de sortir de l’appartement, elle stoppa son frère qui la portait.  

-« Attend Hide !!! »  

-« Pourquoi tu as oublié quelque chose ?... »  

-« Non… C’est juste que… C’est la dernière fois que passe ce palier ainsi… La prochaine fois ce sera debout… »  

Son frère sourit à cette remarque. C’était bien vrai… Et il l’espérait aussi de tout cœur pour elle… Lui faisant signe de continuer, ils descendirent au garage où ils montèrent dans la voiture de Ryo. Après avoir installé sa sœur sur la banquette arrière, Hideyuki monta aux côtés de son partenaire, et ils partirent…  

Une certaine tension était palpable dans la petite mini rouge. Personne ne parlait, car personne ne savait quoi dire. Kaori sentait la peur et une certaine appréhension grandir dans son cœur au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient de l’hôpital. Tant de choses allaient à présent changer… Mais plus que jamais elle savait qu’elle aurait enfin la vie qu’elle avait toujours attendue. Hideyuki se faisait aussi quelque peu du souci. Surtout avec l’affaire qui les préoccupait, il espérait pouvoir être le plus présent possible pour sa sœur.  

Lorsque la voiture de Ryo s’immobilisa sur le parking visiteurs de l’hôpital, Kaori sentit son cœur battre la chamade. Même si elle avait décidé que cet endroit deviendrait un lieu d’espérance, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir de la peur face à cette bâtisse.  

Une fois installée dans son fauteuil, Kaori avait les yeux rivés sur l’entrée. Elle était prise entre l’envie d’y pénétrer, et celle de fuir cet endroit. Elle se sentait totalement perdue à cet instant. Cherchant un soutien autour d’elle, elle croisa alors le regard de Ryo. Celui-ci ayant compris le combat intérieur qu’était le sien, lui fit un clin d’œil afin de lui donner du courage et de lui faire comprendre qu’elle n’avait rien à craindre. Curieusement, ce simple regard redonna de la force à la jeune femme, qui savait qu’elle n’affronterait pas cette épreuve toute seule.  

A l’accueil de l’hôpital, on lui fit remplir encore une foule de papier attestant son entrée, mais aussi demandant des renseignements sur d’éventuels médicaments qu’elle prenait ou était allergique.  

-« Une infirmière viendra vous présenter votre chambre et vous expliquer le déroulement de la soirée. Veuillez patienter dans la salle d’attente en attendant », expliqua la personne qui se trouvait à l’accueil.  

Kaori et les deux partenaires prirent place en attendant que l’on vienne les chercher. Pour faire passer le stress à sa petite soeur, Hideyuki lui serra la main. Cette douce chaleur fraternelle fit du bien à la jeune femme qui le remercia d’un sourire.  

Quelques minutes plus tard, une infirmière d’une trentaine d’années, vint chercher Kaori. Après avoir arpenté de longs couloirs et monté deux étages, elle lui présenta sa chambre.  

-« Vous avez de la chance, c’est une chambre simple. Le docteur lui-même a demandé à ce que vous soyez seule. Il passera d’ailleurs plus tard dans la soirée ».  

Elle ressortit alors, laissant la jeune femme ranger ses affaires et prendre ses marques.  

-« Elle est pas si mal cette chambre », fit Hideyuki pour lui changer les idées.  

-« Ca peut aller… Pour moi elles sont toutes pareilles alors je ne m’en formalise plus… », répondit-elle le cœur lourd.  

-« T’en fais pas… Tout passera très vite et bientôt ce ne sera plus qu’un lointain souvenir… », continua son frère.  

-« Oui, tu as raison… », finit-elle avec un léger sourire.  

Quelques secondes plus tard, on frappa à la porte. La même infirmière entra et commença à prendre la tension de la jeune femme, ainsi que le pouls et lui proposa quelques petits décontractant.  

-« Le repas sera bientôt servi, déclara-t-elle tout en notant sur la fiche médicale les différents résultats. Puis se tournant vers les deux hommes, je suis désolée, mais les visites vont se terminer. Ne vous en faites pas, on prendra soin d’elle… »  

Les deux partenaires hochèrent la tête en signe d’accord. Regardant l’infirmière sortir, Hideyuki s’approcha de sa sœur.  

-« On va te laisser. S’il y a quoique ce soit, n’hésite pas à téléphoner d’accord ?... »  

-« Mhm, affirma Kaori, compris… »  

-« Courage tout ira bien… », termina-t-il en embrassant sur le front la jeune fille.  

A cet instant, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir les larmes aux yeux. Trop de choses se passaient en même temps, elle se sentait submergée par un flot d’émotions…  

-« Courage ma belle… », lui murmura Ryo au creux de l’oreille lorsqu’il l’embrassa sur le joue.  

-« Ryo… Tu… Tu seras là pour moi ?... », réussit-elle à demander.  

Devant le stress de la jeune femme, et son inquiétude, il n’avait qu’une envie à ce moment la serrer dans ses bras. Mais devant Hideyuki, il se retint de faire le moindre geste. Il se contenta de la regarder dans les yeux, et de lui sourire.  

-« Je te le promets… »  

Cette simple phrase redonna de l’aplomb à la jeune femme, et l’assurance d’être à l’abri quoiqu’il puisse arriver. Avec un ultime regard, les deux hommes quittèrent la pièce laissant aux mains du destin le futur de Kaori…  

Lorsqu’ils se retrouvèrent dans le parc de l’hôpital, Hideyuki interpella son partenaire.  

-« J’ai quelque chose à te dire… »  

-« Je m’en suis douté depuis que je t’ai vu à l’appartement… Et je suppose que ça concerne notre affaire ?... »  

-« Oui et non…, répondit Hideyuki. Disons… Qu’elle semblerait mêlée à une nouvelle affaire que Saeko traite en ce moment ».  

-« Du genre ?... »  

-« Trafic d’être humain… De jeunes femmes apparemment… Il semblerait qu’on les enlève pour ensuite les droguer et les soumettre à des clients ». Hideyuki omit toutefois volontairement de dire à Ryo que cette drogue n’était autre que le PCP, ne voulant pas rouvrir d’anciennes blessures.  

-« Et d’après toi, Keiko aurait été enlevé par ces gens là ?... »  

-« D’après Le Sage, les deux affaires seraient liées… Mais surtout, les types de cette organisation seraient des gens de la bonne société… »  

-« Je vois le genre…, fit Ryo pensif. Dès demain je me mets sérieusement au boulot… Toi il faudra que tu restes auprès de Kaori ».  

Son partenaire le remercia d’un signe de tête. Avec beaucoup de chance, Ryo trouverait quelques indices pour avancer dans cette histoire…  

************************************  

Seule dans sa chambre, Kaori essayait de restée le plus calme possible. Elle savait que le docteur Mitana n’allait pas tarder à venir la voir pour lui expliquer un peu le déroulement du lendemain.  

Afin de se changer un peu les idées, elle alluma le petit poste de radio qui se trouvait sur un petit meuble dans le coin de la chambre. Une douce chanson aux notes nostalgiques envahit alors la pièce et le cœur de Kaori… Ouvrant alors le tiroir de sa table de chevet, elle sortit la photo d’elle et de son frère qu’elle avait pris soin d’emmener…  

I close my eyes, only for a moment and the moment's gone. (Je ferme mes yeux, juste pour un moment, et ce moment a disparu)  

All my dreams pass before my eyes in curiosity. (Tous mes rêves défilent devant mes yeux en une curiosité).  

Dust in the wind. (Une poussière dans le vent)  

All they are is dust in the wind. (Nous ne sommes tous qu’une poussière dans le vent).  

Same old song. (La même vieille chanson)  

Just a drop of water in an endless sea. (Comme une goutte d’eau dans une mer infinie)  

All we do crumbles to the ground, though we refuse to see. (Nous tombons tous sur le sol, bien que nous refusons de le voir).  

Dust in the wind. (Une poussière dans le vent)  

All we are is dust in the wind. (Nous ne sommes tous qu’une poussière dans le vent).  

Don't hang on, nothing lasts forever but the earth and sky. (Ne nous accrochons pas, rien ne dure jamais sauf la terre et le ciel).  

It slips away and all your money won't another minute buy. (Tout s’éclipse et tout ton argent n’achètera jamais une autre minute).  

Dust in the wind. (Une poussière dans le vent)  

All we are is dust in the wind. (Nous ne sommes tous qu’une poussière dans le vent).  

Dust in the wind. (Une poussière dans le vent)  

Everything is dust in the wind. (Tout n’est que poussière dans le vent).  

Curieusement, ces paroles firent du bien à la jeune femme, et l’aidèrent à relativiser ce moment de stress. Elle était bien placée pour savoir que dans ce monde, tout finissait par passer quoiqu’il puisse arriver, et que celui-ci continuait de tourner quelques soient les évènements…  

Un peu fatiguée de la journée qu’elle avait passée, elle s’allongea sur le lit d’hôpital. Fixant un point au plafond, elle essaya d’imaginer à quoi ressemblerait sa vie une fois l’opération accomplie. Elle avait beau essayé de toutes ses forces, elle ne pouvait savoir comment ça serait. Quelle serait sa vision du monde, le regard des gens, tout cela restait encore un point d’interrogation pour elle.  

Elle fut interrompue dans ses pensées par des coups frappés à la porte. Deux hommes portant une blouse blanche, entrèrent alors. Kaori fut étonnée de les voir arriver, elle qui s’attendait à voir le docteur Mitana. Mais elle se dit qu’ils devaient sûrement s’agir de médecins internes ou infirmiers.  

-« Savez-vous quand est-ce que le docteur Mitana doit venir me voir ? », demanda-t-elle alors.  

-« Mais très bientôt… », répondit l’un des hommes avec un rictus mauvais.  

Cette attitude troubla immédiatement Kaori qui se douta tout de suite, qu’ils n’avaient rien à voir avec le corps médical. Elle voulut alors attraper la sonnette au sommet de son lit afin d’appeler de l’aide, mais ayant comprit le désir de la jeune femme, l’un des deux homme l’en empêcha. Elle voulut alors crier, mais immédiatement on lui fit respirer du chloroforme. Se débattant encore un peu, elle fit tomber la photo de son frère, dont le verre se brisa en mille morceaux. Alertée par le boucan qui semblait se passer dans la chambre de Kaori, une infirmière pénétra au moment où les deux hommes emportaient Kaori avec eux. Elle tenta à son tour de pousser un cri, mais fut projetée au sol par un violent coup qui l’étourdit quelques minutes.  

Afin de ne pas se faire repérer, les deux hommes prirent l’escalier de secours pour accéder à leur voiture...  

Hideyuki et Ryo allaient reprendre leur route, quand ils furent stoppés par un cri strident qui provenait de l’hôpital. Comprenant que quelque chose de grave se passait, ils pénétrèrent en courant dans l’enceinte, juste au moment où Ryo vit une voiture blanche démarrant en trombe. Il n’eut malheureusement pas le temps de relever le numéro entier de la plaque, mais mémorisa la marque.  

Affolée, l’infirmière agressée arriva à l’accueil priant qu’on appelle la police. Hideyuki et Ryo s’approchèrent alors d’elle.  

-« Que s’est-il passé ? », demanda Hideyuki.  

-« C’est… C’est… Mad… Mademoiselle Makimura… Deux hommes sont venus l’enlever !!! », répondit-elle totalement déboussolée.  

Cette annonce résonna comme un glas aux oreilles des deux hommes. Ryo revoyait au ralentit cette voiture blanche avec à son bord son ange qu’on avait osé enlever. Comme un lion sortit de sa cage, Hideyuki courut en direction de la chambre de sa sœur, suivit de près par Ryo. Lorsqu’ils ouvrirent la porte, une des premières choses qu’ils remarquèrent fut la photo brisée. Le cœur du détective se serra alors comme jamais.  

-« Où se trouve le docteur Mitana », demanda-t-il alors.  

-« Quel docteur Mitana ?, répondit une autre infirmière. Il n’y a aucun médecin de ce nom je suis désolée… »  

-« Comment ?... », murmura-t-il comprenant alors que la solution se trouvait là.  

Tout était bel et bien lié, comme l’avait fait remarqué le vieux Shin. Et Kaori était la prochaine victime…  

-« Ryo il faut la retrouver au plus vite c’est une question de vie ou de mort !!! », hurla Hideyuki laissant échapper toute sa rage.  

-« T’en fais pas… On va tout faire pour la retrouver saine et sauve… »  

Ils entendirent alors les sirènes des voitures de police retentirent au loin. Les deux partenaires allèrent à la rencontre de Saeko lorsqu’ils la virent arriver avec sa porche.  

-« Ils ont enlevé Kaori…, déclara Makimura. Et il semblerait que ce soit le même réseau que ceux qui ont commis tous ces enlèvements ».  

-« Ohhh Mon Dieu !!! Fit Saeko en apprenant la nouvelle. On vient justement aujourd’hui de retrouver le corps d’une nouvelle jeune fille… »  

-« Aurais-tu par hasard une photo de cette jeune fille ? », intervint alors Ryo.  

-« Pas sur moi mais au commissariat oui… »  

Hideyuki sortit alors la photo que Shinoka, la sœur de Keiko avait laissé. Il la montra alors à Saeko en lui demandant ;  

-« Cette jeune fille c’était elle ? »  

-« Oui…, répondit Saeko en ayant un mouvement de recul. Oui c’est bien elle que l’on a retrouvée… »  

-« Il n’y a pas une minute à perdre !!!, déclara Ryo le regard plus dur que jamais. Maki va avec Saeko et essaye de trouver le maximum d’informations sur ce docteur Mitana. Tu es le seul à l’avoir vu avec Kaori peut-être qu’il possède déjà un casier. Voici la couleur et la marque de la voiture qui a emmenée Kaori ainsi qu’une partie du numéro de la plaque minéralogique. Je n’ai pas eu le temps de la voir en entier mais les deux derniers chiffres semblent être ceux-ci, continua Ryo en tendant le bout de papier à l’inspectrice. Moi je m’occupe de prévenir Falcon et Mick et de faire encore une fois le tour des indics ».  

-« Très bien, acquiesça Hideyuki, le premier qui a du nouveau tient l’autre au courant ».  

-« Mhm, fit Ryo, puis se retournant encore une fois avant de partir il s’adressa à son ami, je te jure qu’on la retrouvera… »  

Chanson interprétée par Sarah Brightman  

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