Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Mercury80

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 48 chapters

Published: 01-05-20

Last update: 17-06-20

 

Comments: 35 reviews

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HumourRomance

 

Summary: La naissance et l'évolution d'une colocation un peu spéciale... (AU)

 

Disclaimer: Les personnages de "Friends Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Friends Hunter

 

Chapter 48 :: Chapitre 48

Published: 17-06-20 - Last update: 17-06-20

Comments: Bonjour voici la fin de cette histoire. Merci de l'avoir suivie jusqu'au bout. Merci à Rkever, ShaninXYZ, Sofia, hcity, Minisoleil et KAori chan pour vos commentaires qui sont toujours un plaisir à lire. Pas évident de retranscrire un soap télé en écrit, j'espère que ça vous aura plu malgré tout. A bientôt pour une prochaine histoire. Je vais devoir faire l'impasse de celle qui suivait normalement et qui ne correspond pas à la ligne éditoriale du site. Bonne lecture et merci pour vos reviews^^

 


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Chapitre 48  

 

Debout, à côté du berceau où dormait paisiblement Kei, Ryo réfléchissait. Cela faisait un mois que son fils était né aujourd’hui, un mois de questions, de doutes et d’angoisse et pourtant, dès qu’il le regardait dormir, que ce soit dans ses bras ou dans son lit, tout cela s’évaporait au profit d’un sentiment de tendresse et d’amour infinis. Il ne cessait de se demander s’il serait un bon père, s’il ne fauterait pas comme il l’avait fait avec sa femme. Avant sa naissance, il s’était demandé s’il était à la bonne place… Ce sentiment s’était estompé avec la présence de sa femme mais était revenu le tarauder depuis qu’il savait pour le bébé. Etonnament, le mettre au monde avait balayé ça d’un coup de pied. Il avait été là pour lui et pour elle et il avait su. Tout ce qu’il avait toujours craint dans sa vie s’était soudain effacé. Maintenant, il avait juste peur de mal faire mais le doute allait certainement avec le fait de vouloir le meilleur pour eux.  

 

- Je savais que je te trouverai là., murmura Kaori, l’entourant de ses bras.  

- Kei dort bien ?, lui demanda-t-elle.  

- Oui, comme un bienheureux., souffla Ryo.  

- Parce qu’il est heureux. Il sait qu’il est entouré et aimé, qu’on s’occupe de lui. Tu devrais cesser de t’inquiéter et venir profiter de la soirée avec nous., lui conseilla-t-elle, posant sa joue sur son bras.  

- Tu ne t’inquiètes pas, toi ?, l’interrogea-t-il.  

 

Elle laissa un sourire éclairer son visage. Elle ne se moquait pas de lui, loin de là.  

 

- Tout le temps mais, si je laisse cela primer dans ma vie, je ne profiterai ni de lui ni de toi ni de notre famille., répondit-elle.  

- Je veux profiter de tous ces bons moments qu’on passe ensemble. Pour le moment, Kei dort et n’a pas besoin de nous, alors profitons des autres. Quand il aura besoin, crois-moi, on l’entendra., lui dit-elle, amusée.  

- Merci., murmura-t-il.  

- De quoi ?, s’étonna-t-elle.  

 

Il passa un bras autour de sa taille pour l’amener face à lui, plongeant un regard reconnaissant dans le sien.  

 

- D’avoir été là, d’avoir su m’écouter, me pardonner. De m’avoir ouvert les yeux aussi sur certaines choses, sur beaucoup de choses même. Pour cette famille que nous formons et ce bébé qui est venu embellir notre vie…, lui expliqua-t-il.  

- Tu en es un peu responsable aussi., le taquina-t-elle.  

- C’est vrai. Je suis devenu responsable avec toi., lui déclara-t-il.  

- Non, ce n’est pas vrai, Ryo. Tu étais déjà responsable, tu ne voulais pas l’admettre, t’attacher. Sinon, je serai morte de froid il y a bientôt deux ans., objecta-t-elle.  

 

Il la serra contre lui, ne sachant quoi répondre. Ils restèrent ainsi un certain moment, se laissant enfermés dans une bulle de tendresse.  

 

- Tu as apaisé le petit garçon en moi, Kaori. Tu m’as aidé à grandir., lui confia-t-il à voix basse.  

- Je… Je dois parler à ma mère. Tu veux bien venir avec moi ?, lui demanda-t-il.  

- Je serai toujours là si tu as besoin de moi., lui affirma-t-elle.  

 

Après un dernier regard à leur fils, ils sortirent de sa chambre, main dans la main, et rejoignirent le reste du groupe dans le séjour de l’appartement.  

 

- Alors my friend, tu nous faussais compagnie ?, plaisanta Mick.  

- Je veillais mon fils, Mick., répondit Ryo.  

- Complètement gaga., se moqua l’américain.  

- Tu comprendras dans quelques mois., répliqua le japonais stoïquement en désignant Kazue un peu plus loin en pleine discussion avec Sara.  

- Pfff… Je tomberai pas dans le panneau, moi !, se vanta-t-il.  

- On verra. En attendant, ne me fais pas regretter d’avoir accepté que ma femme t’invite., le prévint son ami.  

 

Kaori sourit à la chamaillerie entre les deux amis et se tourna vers Saeko qui arrivait, Aiko endormie dans ses bras.  

 

- Ca y est, elle a déclaré forfait ?, remarqua la rouquine.  

- Oui. Il faut dire qu’il n’y a pas un grand-père pour rattraper l’autre : ils sont tous les deux aussi gagas., s’amusa l’inspectrice.  

- Avec une aussi belle petite-fille, ça ne m’étonne pas. Dire qu’elle aura bientôt huit mois. Ca passe si vite., soupira Kaori.  

- Oui, il faut savoir profiter de chaque instant. Ne dis surtout pas à ton frère que demain, on la marie. Il va en faire une crise., ironisa Saeko.  

- Il a déjà eu beaucoup de mal à lâcher sa première fille., lui apprit-elle, le regard pétillant.  

 

L’artiste observa son frère avec un sourire attendri aux lèvres.  

 

- Je ne lui serai jamais assez reconnaissante pour tout ce qu’il a fait pour moi., admit Kaori.  

- Et il a toujours l’impression qu’il aurait dû en faire plus., répliqua Saeko.  

- Il a été parfait. Il a été là, m’a aimée, guidée et soutenue patiemment. Il a su me laisser partir quand j’en ai eu besoin. Il ne pouvait faire plus. Aiko a de la chance d’avoir un père comme lui et je suis sûre qu’elle a une mère à la hauteur également., déclara la rouquine.  

- Merci Kaori. Ca me touche., murmura sa belle-sœur avant de s’éloigner avec le bébé.  

- Tu viens ?, lui demanda Ryo, une main sur son coude.  

 

Elle acquiesça et le suivit, approchant d’Isabel. Sentant la tension de son mari, elle se dégagea et glissa ses doigts entre les siens, les pressant en un soutien muet.  

 

- Maman, je peux te parler en privé un moment, s’il te plaît ?, s’enquit Ryo.  

 

Isabel le regarda, surprise, puis lui décocha un sourire chaleureux.  

 

- Bien sûr., répondit-elle en le suivant.  

 

Ils se rendirent dans le bureau, un peu à l’écart, où ils s’enfermèrent. Nerveux, Ryo approcha de la fenêtre alors que sa mère le regardait curieuse et Kaori attendait près de la porte.  

 

- Je voulais te remercier., commença-t-il.  

- Pourquoi ? Pour mon aide pour la fête ? Tu me connais, Ryo. J’adore Noël et surtout le passer entourée de beaucoup de monde., répondit-elle.  

 

Il se tourna vers elle et lui jeta un regard insondable.  

 

- Pour ça et…, ajouta-t-il avant de regarder Kaori, en quête de soutien.  

 

Sa femme accrocha son regard, lui communiquant sa force, avant d’acquiescer l’air de dire « tu peux le faire ».  

 

- Pour tout, en fait. Pour m’avoir recueilli quand mes parents sont morts, pour m’avoir entouré et aimé comme ton propre enfant alors que je ne l’étais pas, pour avoir essayé de m’ôter cette culpabilité que je ne cessais d’éprouver., continua-t-il.  

- Ryo, tu n’étais pour rien dans la mort de tes parents. C’est sûr que c’est pour toi qu’ils allaient à l’hôpital mais tu étais gravement malade et il tombait cette pluie diluvienne comme on en connaît là-bas. On n’y voyait pas à un mètre. Ils n’ont pas pu éviter l’éboulement. Ils auraient peut-être eu une chance si la route avait été en macadam mais c’était une route de terre. Tu n’étais pas responsable, Ryo., lui rappela-t-elle, attristée.  

- Je sais. Je l’ai compris même si ça m’a pris du temps. Je… Je voulais surtout m’excuser., avoua le pompier, mal à l’aise.  

 

Kaori approcha de son mari et prit sa main dans la sienne avant de prendre également celle de sa belle-mère qui avait les larmes aux yeux.  

 

- Pourquoi tu devrais t’excuser, Ryo ?, lui demanda-t-elle, la voix étranglée.  

- Pour avoir simulé… mais tu l’avais compris, je pense. Tu savais que je ne me sentais pas à ma place parmi vous malgré tous vos efforts. Je souriais, participais aux fêtes de famille mais le cœur n’y était pas parce que, malgré tout votre amour, je vous tenais à distance… encore plus depuis le décès de papa., lui confia-t-il.  

- Je… J’avais peur de vous perdre. Je me suis longtemps souvenu des cauchemars que je faisais après l’accident, je me souviens des larmes que j’ai versées et vaguement de la douleur, celle qui déchire le cœur et dont on a l’impression qu’on n’en sortira jamais. Je ne voulais plus la ressentir, plus jamais., admit-il, la gorge serrée.  

 

Il sentit la main de Kaori presser la sienne.  

 

- Si tu ne t’attachais pas, tu ne souffrirais pas. C’est ce que tu te disais ?, résuma sa femme.  

- Oui. Pas d’attaches, pas de douleur… mais tu es rentrée dans ma vie. Tu étais adoptée et orpheline de père adoptif sans avoir de mère. C’était comme si tu avais perdu quatre parents et malgré tout, tu avais le sourire et l’envie de vivre et d’aimer. Tu t’ouvrais aux autres et tu embellissais la vie de tous. Personne ne peut rester indifférent à ton contact. Quand je t’ai proposé ce simulacre, tu m’as dit oui et tout doucement on a appris à se connaître. J’avais toujours fui le moindre attachement et, avec toi, tout m’a paru si clair dès le départ. Tout semblait si naturel, si facile. Je n’avais plus peur de me lancer… jusqu’aux premières difficultés. Je ne te ferai pas le résumé de tout le reste., lui dit-il obligeamment.  

 

Ils s’observèrent un instant avant que Ryo tourna de nouveau son attention vers sa mère.  

 

- Ce que je veux te dire, c’est que je t’ai appelé maman pour ne pas te blesser, parce que j’étais reconnaissant de ce que tu faisais pour moi…  

- Mais pas par sentiment de filiation ou d’amour réel…, compléta Isabel, triste de cette constatation.  

- Oui… jusqu’à la naissance de Kei. Depuis qu’il est né, j’ai cessé de me sentir étranger à notre famille. J’ai compris que je ne pouvais pas continuer d’ignorer l’amour dont vous m’entouriez et que j’éprouvais pour vous tous. Aujourd’hui, je peux te dire maman et penser à toi comme telle sans mentir. Je suis fier d’être ton fils. Je suis prêt à endurer la douleur qui ira forcément avec le bonheur des moments qu’on partagera., lui affirma-t-il.  

- J’espère seulement que tu pourras me pardonner mes années d’errement., murmura-t-il.  

 

Isabel regarda son fils en pleurant et se jeta dans ses bras, profondément émue. Kaori préféra les laisser tous les deux et sortit du bureau. Dans le couloir, elle croisa son frère et l’observa, émue par la confession de son mari.  

 

- Ca va, Kaori ?, s’inquiéta Hideyuki.  

 

Elle approcha de lui et l’enlaça. Il referma les bras sur elle et posa le menton dans ses cheveux.  

 

- Ca fait longtemps, Kao…, murmura-t-il, touché.  

- Je sais. Merci, aniki., dit-elle simplement.  

 

Ils restèrent ainsi un long moment avant se séparer au même moment où la porte du bureau s’ouvrit, les yeux rougis d’Isabel témoignant de ses longues minutes de pleurs.  

 

- Ca va aller, Isabel ?, s’inquiéta Kaori.  

- Ca ne peut mieux aller, ma chérie., la rassura-t-elle, l’emmenant dans le séjour.  

- Ca va, Ryo ?, lui demanda son ami, voyant son regard sombre.  

- Oui. Je viens de d’accepter ma place., murmura le pompier.  

- Oh… Il t’aura fallu du temps pour mener à bien cette réflexion., admit Hideyuki, se souvenant des nombreuses conversations qu’ils avaient eues sur le sujet quand il était son tuteur.  

- Tu aurais dû me présenter ta sœur plus vite., le taquina Ryo.  

- Je ne pouvais pas. Tu n’étais pas prêt., répondit simplement Maki.  

 

Ryo le regarda s’éloigner, les sourcils froncés. Que voulait-il dire par là ? Avait-il déjà eu idée du potentiel entre eux deux ? Il soupira et se détendit. Ca ne servait à rien de tergiverser sur le passé. Soudain, un geignement l’interpela et il se tourna vers la chambre de Kei. Il ouvrit la porte et vit son fils s’éveiller, faisant des grimaces de mécontentement.  

 

- C’est l’heure de te changer et manger, mon grand. Allez, viens., dit-il, le prenant à bras.  

 

Il l’allongea sur la table à langer, changea sa couche et le rhabilla avant de prendre le nécessaire pour le biberon.  

 

- Bon, on fait un deal tous les deux. Evite d’attendrir tes grands-parents, sinon ils vont nous en réclamer un deuxième et, pour l’instant, j’ai encore envie de profiter de vous deux avant de penser au petit frère ou à la petite sœur. Ca viendra mais on a le temps, d’accord ?, demanda-t-il à son fils qui commença à s’agiter alors qu’ils descendaient les escaliers.  

- Tiens, je vais faire le biberon., fit-il à Kaori, lui donnant le bébé qui se mit à pleurer.  

 

Elle tenta de le calmer mais l’appel du ventre était le plus fort et rien n’y faisait.  

 

- Oh pauvre petit chou, tu as faim, mon grand ?, couina Isabel.  

- C’est bien le fils de son père. Quand il était bébé, Ryo n’arrêtait pas de manger. Il réveillait sa mère trois à quatre fois par nuit., expliqua-t-elle.  

- Kaori…, l’appela Ryo, lui donnant le biberon.  

 

Sans même s’asseoir, elle le mit dans la bouche du nourrisson qui se mit à téter furieusement, très concentré.  

 

- Tu me parleras de mes parents un jour ?, demanda Ryo à sa mère.  

- Quand tu le voudras. J’ai longtemps attendu que tu me poses la question., lui apprit-elle, de nouveau les larmes aux yeux.  

- Je vais finir par me poser des questions. On ne fait pas pleurer une femme le jour de Noël, Ryo., lui reprocha Mitsuhide, taquin.  

- Oh non, mon chéri, ne lui reproche rien. Il m’a fait le plus beau cadeau dont une mère puisse rêver., objecta Isabel.  

- Quoi ? Tu es de nouveau enceinte, Kaori ?, s’inquiéta son père.  

- Mais non papa !, s’offusqua la jeune femme.  

- On a le temps d’autant que Madame mon épouse a gentiment été conviée à faire une exposition à Osaka depuis qu’elle a été honorée pour son travail. Toya a même été approché par un vendeur américain…, leur apprit Ryo, fier d’elle.  

- Et que je dois finir mon apprentissage., conclut-elle.  

- Si tu veux un autre petit enfant, demande d’abord à Hide., lui dit-elle.  

- Laisse-moi en dehors de vos affaires !, objecta ce dernier.  

 

Tous se regardèrent et éclatèrent de rire.  

 

- N’oublions pas que notre famille ne s’arrête pas aux liens du sang. On a déjà deux autres bébés qui vont arriver l’année prochaine et qui vont venir égayer les rangs., ajouta Kaori, relevant Kei sur son épaule.  

- D’ailleurs à ce sujet…, commença Miki.  

- On se demandait si on ne pourrait pas louer l’appartement du troisième ?, interrogea-t-elle le propriétaire.  

- La coloc vous manque ?, plaisanta Ryo.  

 

Miki et Falcon se regardèrent puis acquiescèrent, enfin surtout la jeune femme.  

 

- Oui. On s’ennuie tous seuls et l’appartement du café sera trop petit pour nous quatre., admit-elle.  

- Ok, bon retour., fit Ryo, souriant avant de s’étonner.  

- Quatre ?  

- On attend des jumeaux !, s’exclama la barmaid.  

 

Le géant vira au rouge et s’effondra.  

 

- Il n’était pas au courant ?, l’interrogea Kaori.  

- Non, je ne l’ai su qu’avant de venir., répliqua son amie.  

- Bien, félicitations alors., pipa-t-elle.  

- Ah aha le lourdaud ! Il s’effondre parce qu’il va avoir des jumeaux., se moqua Mick, se tapant sur le genou, hilare.  

- Mick…, l’interpela Kazue.  

- Oui, darling ?  

- C’est une fille., lui annonça-t-elle.  

 

L’américain regarda sa femme comme tétanisé et tomba la tête la première comme statufié.  

 

- C’est vrai ? C’est pas un peu tôt pour le savoir ?, l’interrogea Miki.  

- Si, si. Mais il ne le sait pas et il m’énerve quand il fait le guignol…, gronda la doctoresse, levant les yeux en l’air.  

- Eh bien, mes chéris, vous n’allez pas vous ennuyer. Je m’inquiétais pour vous comme nous étions un peu loin mais vous êtes bien entourés., admit Isabel.  

- C’est vrai, maman. Tu peux vivre ta vie. Vous pouvez vivre votre vie., se corrigea-t-il, s’adressant à son beau-père.  

- Nous sommes loin d’être seuls et, Hide, si tu veux, il y a encore deux étages de libres., lui proposa Ryo.  

- Et me retrouver avec une bande de dégénérés ? Je passe., plaisanta-t-il, le regard amical dont il les enveloppa démentant ses propos.  

- Moi, je ne vois qu’une grande bande d’amis, une grande famille qui ne va cesser de s’agrandir., conclut Kaori.  

- Il aura fallu une crise cardiaque et deux ans pour en arriver là. C’est une belle construction qui se termine., ajouta Ryo, enlaçant sa femme, leur fils dormant sur son épaule.  

 

Alors que la neige commençait à tomber, de la rue, on put entendre un Kanpaï chaleureux provenir d’un immeuble aux briques rouges.  

 

 


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