Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: lady Gaby

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 38 capitoli

Pubblicato: 07-07-04

Ultimo aggiornamento: 08-05-07

 

Commenti: 120 reviews

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ActionDrame

 

Riassunto: Le titre vous inquiète hé ben c'est bon signe! (lol!) voilà un bref résumé de ce qui vous attends : Ryo a mystèrieusement disparu en adressant une terrible lettre à sa bien-aimée, Kaori...

 

Disclaimer: Les personnages de "La lettre d'adieu" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La lettre d'adieu (version retravaillée)

 

Capitolo 7 :: Comment le supporter

Pubblicato: 29-07-04 - Ultimo aggiornamento: 26-06-05

Commenti: Wouah ce chapitre est vraiment émouvant. En l'écrivant, il m'a ramené 3 ans en arrière. Tout comme Kaori j'ai perdu l'homme que j'aime et tout comme elle je l'ai jamais accepté. Donc voilà pkoi il est écrit à la 1ère personne. je voudrais Cal de l'avoir corrigé et mes reviewers de me soutenir. BISOUS

 


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Chapitre 7  

 

 

 

NOOOOOOOOOOOOON ! PAS RYO ! JE NE VOUS CROIS PAS VOUS DITES N’IMPORTE QUOI!!!  

 

 

 

Devant moi, se tenaient Mick, Falcon et Saeko. Mon cœur s’était déchiré par une simple phrase composée de trois mots : Ryo est mort. J’avais l’impression de rêver.  

 

Comment ? Pourquoi ? Deux mots que je ne parvenais pas à articuler. De toute façon, je refusais d’y croire, même ce spectacle devant mes yeux me semblait irréel : une Saeko effondrée, son visage inondé de larmes. Jamais, je ne l’avais vue pleurer, même pour mon frère. Et voilà qu’elle pleurait devant moi pour Ryô.  

 

Je refusais de croire à ce qu’elle venait de m’annoncer : Ryo est mort ! Voilà ses mots. Comment osait-elle me dire cela dès son entrée en plus ? Je restais là stoïque, je ne voulais pas pleurer certaine que c’était un coup monté. Je les contemplais tous les trois d’un air absent. Je les regardais tour à tour, puis je me mis à sourire :  

 

 

 

« C’est une mauvaise blague, hein ? » leur demandais-je.  

 

- Non ! me répondit Saeko en baissant la tête.  

 

 

 

Non ! Ce mot, ces regards désolés et tristes de mes amis enfoncèrent davantage le poignard reçu auparavant. Falcon me tendit l’arme de mon partenaire. Mon cœur cessa de battre une fraction de seconde. Je reculais de quelques pas jusqu’au mur derrière moi. Je me repliais sur moi-même, je pris l’arme tendue par Falcon. Je la contemplais longuement. Des images défilèrent dans mon esprit, des images de Ryo nettoyant son arme et l’utilisant pour défendre ce en quoi il croit : l’honneur et la justice. Revoyant ces images, je réalisais que jamais il ne s’en était séparé et que jamais il ne m’avait délaissée. Mais, mon cœur refusait d’accepter sa mort, je refusais de l’accepter !  

 

 

 

Malgré mon refus de l’accepter, je leur demandais :  

 

 

 

« Comment ? »  

 

 

 

Un long silence s’installa et je n’aimais pas ça. Je me relevais d’un bond, fixant Saeko du regard. Commençant à m’impatienter, je répétais ma question :  

 

 

 

« Alors, comment est-ce qu’il… ? »  

 

- Suite à une explosion dans un entrepôt !  

 

- Qui a fait ça ? Les as-tu arrêtés ?  

 

 

 

Je la vis faire non de la tête. J’étais hors de moi.  

 

 

 

« Comment ça non ? »  

 

 

 

Voyant que personne ne me répondit, je perdis mon sang froid. Je plaquai Saeko contre le mur. J’entendis celle-ci me demander de me calmer, mais je n’arrivais pas. On venait de m’enlever l’homme que j’aimais, j’avais l’impression d’avoir perdu ma vie en quelques minutes. J’avais besoin de me défouler sur quelqu’un et ce fut Saeko qui y passa.  

 

 

 

« ARRETE KAORI ! » cria Mick  

 

 

 

Falcon s’interposa entre Saeko et moi. Je tambourinais alors sur son torse. Il m’agrippa les poignets et je me mis à lui crier :  

 

 

 

« LACHE-MOI ! JE T’AI DIT DE ME LACHER !!!  

 

- Il n’en est pas question ! Je te lâcherai quand tu seras calmée !  

 

- Nous ne savons pas qui a fait ça Kaori ! commença Saeko  

 

- Mais je te promets que nous allons le découvrir ! poursuivit Mick  

 

 

 

Falcon libéra mes poignets de son emprise. Pendant ce temps, dans mon esprit, j’entendis une voix me dire : « Il n’est pas mort, il est en vie ! Il va rentrer, tu verras ! il va rentrer… Rentrer ! »  

 

 

 

« Oui, il va rentrer ! » prononçais-je à haute voix.  

 

 

 

Saeko s’approcha de moi, me prit dans ses bras et me dit d’une voix désolée :  

 

 

 

« Non, Kaori ! Il ne va pas rentrer ! Il est mort, tu m’entends ! Les tests d’ADN sont formels, il est mort ! »  

 

 

 

Encore ces mots, toujours cette même phrase. Cette phrase composée de trois mots. « Non, ce n’est pas vrai ! Il est vivant et tu leur prouveras ! Oui je leur prouverai ! » A cette pensée, je me libérais violemment de l’emprise de l’inspectrice et je me mis à lui crier, en larmes à présent :  

 

 

 

« JE T’INTERDIS DE DIRE CA !!! IL EST VIVANT ! VOUS M’ENTENDEZ ?  

 

- Kaori écoute… tentèrent de me raisonner Falcon et Mick  

 

- Silence !!!  

 

 

 

Je bouchais mes oreilles à l’aide de mes mains. Je ne voulais plus rien entendre, je souffrais et pourtant je refusais d’y croire. J’avais mal, car j’avais la sensation que tout le monde le souhaitait mort, que tout le monde s’amusait à me répéter cette phrase : il est mort. Mick s’apprêtait à ajouter quelque chose, mais je l’interrompis aussitôt :  

 

 

 

« Sortez !  

 

- Mais Kaori ?  

 

- SORTEZ !!!!!!!  

 

 

 

Mes trois amis quittèrent mon appartement. Seule, j’étais seule. Je pleurais, je criais, je ne voulais pas y croire. Pas lui ! D’un geste brusque, j’envoyais contre le mur, le premier objet que j’avais sous la main.  

 

L’objet en question s’écrasa contre le mur, je réalisai un peu tard qu’il s’agissait d’une photo de Ryo et moi au mariage de Miki et Falcon. Je pris la photo et la serra contre mon cœur. Je me mis à hurler ma douleur.  

 

 

 

« Kaori? »  

 

 

 

Quelqu’un m’appelle ? C’est bizarre cette voix m’est familière.  

 

« Kaori, mon sugar boy lève-toi ! »  

 

 

 

Sugarboy ? Non, est-ce bien lui ? J’ouvre les yeux. Je distingue une silhouette que je connais fort bien.  

 

 

 

« Ryo ! »  

 

 

 

Je me levai d’un bond, folle de joie, j’accourus à lui. Malheureusement dans ma course, j’ai heurté son arme et je chutais.  

 

 

 

Lorsque j’ai relevé la tête, il n’était plus là…  

 

NOOOOOOOOOON  

 

Je repris conscience et ouvris les yeux. Tout cela n'avait été qu'un rêve. Comment ai-je pu perdre conscience sans m'en rendre compte?  

J'étais restée postée contre le mur du salon , les genoux ramenés vers ma poitrine, sa photo dans mes mains et je ne m'étais compte de rien.  

Je me relevai péniblement et entrepris de prendre une douche.  

Je montai les marches de l'escalier d'un pas lent, je pénêtrai dans la chambre de mon partenaire :  

 

"Est-ce vrai, seigneur, Ryo j'ai besoin de toi!!! Que vais-je devenir? RYOOOOOOOOOOOOO"  

 

Des larmes coulaient sur mon visage et une douleur me lacérait le coeur.  

 

J'ai mal!!!  

 

Je tombai à genoux et tentai en vain de trouver un semblant d'oxygène  

 

J'étouffe  

 

Je fermai les yeux, inspirai pronfondément. Mes larmes n'avaient toujours pas cessé. Mais je réussis plus ou moins à atténuer la douleur de mon coeur. Il me fallut surment dix bonnes minutes pour me relever. J'ouvris l'armoire de mon partenaire et pris sa robe de chambre.  

 

Je pénétrai dans la salle de bain, refermai la porte derrière moi.  

Je me contemplai un instant de le miroir: pour lui, je ne ressemblais à rien avant mais s'il me voyait à cet instant que dirait-il?  

 

Je n'ai rien d'une femme!  

 

Il ne m'a jamais touché, il ne m'a jamais autrement que comme étant Kaori Makimura, la soeur de son meilleur ami. Jamais, il ne m'a regardé comme il en regardait d'autres.  

 

Il m'arrivait de le haïr, pourtant je m'accrochais à lui, je vivais à son rythme, je buvais ses paroles...  

 

Suis-je folle de t'aimer? Peu importe, je t'aime! Je t'aim...ais!  

 

Je ne peux résoudre à prononcer ce verbe à l'imparfait. Non, je ne peux conjuguer cet amour au passé! Jamais!!  

 

Tu es ma vie!  

 

A présent, l'eau coulait sur mon corps, je pris son gel douche, les larmes n'avait toujours cessé. Soudain, j'entendis du bruit :  

 

"Ryo, c'est toi? Demandai-je.  

 

je stoppa l'eau et sortis de la douche, m'essuya très rapidement et enfilai le peignoir.  

 

Le bruit à l'exterieur de la pièce se faisait plus insistant. Insttinctivement, j'ouvris la porte avec prudence.  

 

Je vis des hommes qui chambouler mon appartement ert de la fumée :  

 

"Merde du gaz!"  

 

je tentai de ne pas le respirer. Trop tard, je sentis mes paupières s'alourdirent et je m'accrochai à la poignet mais hélas, mes muscles me lachèrent  

 

 

 


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