Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: lady Gaby

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 38 capitoli

Pubblicato: 07-07-04

Ultimo aggiornamento: 08-05-07

 

Commenti: 120 reviews

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ActionDrame

 

Riassunto: Le titre vous inquiète hé ben c'est bon signe! (lol!) voilà un bref résumé de ce qui vous attends : Ryo a mystèrieusement disparu en adressant une terrible lettre à sa bien-aimée, Kaori...

 

Disclaimer: Les personnages de "La lettre d'adieu" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What do the ratings mean?

 

- G: General Audience. All ages admitted. This signifies that the fanfiction rated contains nothing most parents will consider offensive for even their youngest children to see or hear. Nudity, sex scenes, and scenes of drug use are absent; violence is minimal; sni ...

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   Fanfiction :: La lettre d'adieu (version retravaillée)

 

Capitolo 34 :: Attentats

Pubblicato: 25-02-07 - Ultimo aggiornamento: 25-02-07

Commenti: Je sais ca fait un moment que je n'ai pas majé , mais l'inspiration et le temps étaient contre moi! Un grand merci, à Bélo, Mélinda, pour m'avoir aidé et j'espère que ce chap plairi et que les lecteurs me suivent toujours. Bisous

 


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Chapitre 33 : Attentats  

 

 

L’interrogatoire fut interrompu par l’arrivée du préfet. Les yeux rouges et bouffis il fit sortir l’inspecteur chargé de l’enquête.  

 

Une fois seuls, il se précipita sur sa fille et la prit dans ses bras.  

 

Dans les bras l’un de l’autre, ils fondirent en larme. De longues minutes passèrent.  

 

Saeko se détacha de son père.  

 

« Qu’est ce qui s’est passé ? »  

 

« Ta sœur est morte, visiblement victime d’un meur…. » L’émotion le submergea de nouveau.  

 

« Mais qui ? » demanda Saeko.  

 

« Tout porte à croire que c’est toi, mais ne t’en fais pas, je vais te sortir de là »  

 

La police des polices arriva à son tour. Le préfet reprit son calme et salua les hommes.  

 

« Ma fille est le meilleur élément que nous ayons dans tout Tokyo, et je viens de perdre mon autre fille alors au lieu de vous acharnés sur l’inspectrice Nogami, faites votre boulot et retrouvez ceux qui ont tué ma Reika. »  

 

Saeko reprit place que son siége sachant que rien ni personne, ne pourrait arrêter ces chacals de la police des polices.  

 

L’interrogatoire reprit moins violent que l’interrogatoire précédent. L’influence du préfet protégeait Saeko.  

 

Saeko était restée calme durant toute cette mascarade. Elle venait de perdre sa sœur et seule la vengeance était dans son esprit.  

 

Allongé sur cette banquette, elle réfléchissait à tous les événements qui venaient de se produire.  

 

« Reika, j’aurai du rester à ton chevet » une larme coula sur sa joue.  

 

Aussitôt la colère la gagna, elle frappa rageusement le mur. Ses mains commençaient à saigner. Mais elle n’éprouva rien de plus que plus de colère.  

 

« Je les tueraient tous autant qu’ils sont et tant pis, si je passe la fin de ma vie derrière les barreaux »  

 

Sachant pertinemment que sa demande d’assister à l’enterrement de sa sœur avait été rejeté par ce satané juge qui la détestait, elle rageait d’autant plus.  

 

Son regard n’avait plus rien d’humain, les gardes avaient peur de l’approcher tellement la haine coulait à présent dans ses veines.  

 

 

Malgré l’influence du préfet, les preuves accablées Saeko et bientôt elle fut mise en détention en attendant le procès qui déterminerait son innocence ou sa culpabilité.  

 

 

Deux jours passèrent. Deux jours où chacun tentait de se donner contenance devant les autres. Aujourd’hui, le corps de Reika Nogami sera mis en terre. Kaori se prépara. Elle vêtit une robe noire à fines bretelles. Elle enfila un gilet fin de cette triste couleur. Elle se contempla dans le miroir quelques secondes et quitta sa chambre.  

 

En dehors, Ryô fumait une cigarette. Malgré les réprimandables de sa partenaire, il avait repris la cigarette. Il avait besoin de calmer ses nerfs, il cherchait un semblant de chaleur dans la nicotine, une chaleur que même pas l’amour de Kaori ne pouvait lui donner… pour le moment.  

 

Le nettoyeur ne se sentait pas d’humeur obéissante, ni aimante. Son cœur était de glace et son esprit réclamait vengeance. Il était persuadé qu’il y avait machination. Saeko accusée d’avoir tuée Reika, sa sœur ? D’accord, Saeko n’était pas une sainte et, avec Reika, elles se disputaient souvent, mais même si Saeko se montrait dure, froide, il était certain qu’elle aurait donné sa vie pour sauver celle de Reika. Donc cela paraissait impossible aux yeux de Ryô.  

 

Le nettoyeur secoua sa tête, signe de négation.  

 

N’importe quoi !  

 

 

Saeko venait d’intégrer la non moins célèbre prison pour femme de Tokyo.  

 

Les ¾ des femmes incarcéré étaient de vieilles connaissances de Saeko. Elle savait pertinemment qu’elle devrait faire attention si elle ne voulait pas mourir ici sans avoir le plaisir de venger sa sœur.  

 

Le préfet faisait tout son possible pour que sa fille ne soit pas mise avec les autres détenues sachant pertinemment qu’une femme flic en prison ne faisait pas long feu.  

 

Elle devait, malgré tout, partager sa chambre avec 3 autres femmes : Hakura, Saori et Faith.  

Hakura était grande, le crâne rasée, tatouée aux bras et percer au nez. Le corps plutôt bien bâti, elle avait un regard qui vous glace sur place. Sinon, c’était encore une très belle femme, bien qu’incarcérée. Cela faisait dix ans qu’elle est en prison. Les chefs d’accusation qu’il lui ont été reprochés : avoir tuer son mari et leur fille, cambriolé une bijouterie et menacé de mort un homme politique.  

 

« La furie ! »  

 

Saori, petite, grosse, rousse, les cheveux en bataille. Elle passait son temps à se limer les ongles, à se maquiller et coiffer. Voilà cinq ans, qu’elle est ici, accusée de trafic de stupéfiants.  

 

« Une qui se croit en institut de beauté, pitoyable ! Miss Beauty »  

 

Faith se tenait plus retrait des deux autres allongée sur un lit,, la jambe droite pliée en train de lire. Elle était blonde aux cheveux courts, le corps bien entretenu également. Elle avait une cicatrice sur la joue droite. Accusée d’avoir mis une bombe en plein centre ville, elle semble être la plus calme et la plus instruite.  

 

« Et enfin, le super cerveau ! »  

 

Cette dernière qui sentait qu’on la fixait, releva la tête vers l’entrée où se tenait Seako, mais ne fit rien. Un regard fut échangé avec ses camarades qui se sourirent étrangement.  

 

Seako arrivait avec ses affaires sous les bras et entra dans la chambre.  

 

A peine eut elle posé ses affaires sur le lit qu’une des femmes l’attrapa par le cou.  

 

« Tu te souvient de moi ?  

- Hakura ! Ravie de te voir ! »  

 

Saeko d’un geste vif et rapide se dégagea, calée contre le mur du fond, elle fit fasse aux femmes qui n’avaient pas l’air de vouloir la laisser s’en tiré ainsi.  

 

Saeko mis une correction à ses dernières, sans grande difficulté, lorsque la gardienne entra à son tour.  

 

« Qu’est ce que se passe ici ? ça commence bien la nouvelle, tu veux te faire remarqué c’est ça ? »  

 

Joignant le geste à la parole, elle pris sa matraque et mis un coup à Saeko qui ne pu qu’encaisser.  

 

La gardienne attrapa Saeko et la traîna derrière elle.  

 

Un petit séjour au mitard te calmera un peu.  

 

Saeko se retrouva dans une pièce sombre, tandis que la gardienne ferma la porte, elle lui lança.  

 

« Inspectrice Saeko, tu te souviens de moi, j’espère? J’étais dans ta brigade et tu m’a suspendue et voilà que je travailles ici, tu va vivre un vrai cauchemar ma belle »  

 

 

Saeko respira sereinement.  

 

« Et tu crois que je vais rester là longtemps ? »  

 

Le ton employé par la jeune femme ressemblait à de la pure provocation. La gardien lui répondit d’un ton étrangement calme, avant de fermer la porte derrière elle :  

 

« Disons qu’au moment où tu sortira de cet enfer, il ne restera plus qu’à te donner aux asticots ! »  

 

 

 

24 heures passèrent et Saeko réintégra sa cellule.  

 

Elle savait que les prisonnières lui feraient la misère et que la gardienne ne la lâchera plus. Elle devait donc se tenir tranquille le temps que son père la sorte de là.  

 

Aujourd’hui, c’était l’enterrement de sa sœur. Pour oublier et évacuer la haine qui la rongeait, elle se dirigea vers la salle de sport.  

 

 

 

Saeko était dans la salle de sport et se défoulait sur le pushing ball qui lui avait été attribué pour passer le temps. Les autres prisonnières entrèrent dans la salle, leurs regards s’arrêtèrent sur Saeko, l’une d’entre elle eut un sourire mauvais :  

 

« Ainsi Dieu existe ! Mes amies, je vous présente celle qui est responsable de notre séjour en prison, l’inspectrice Nogami ! »  

 

Cette dernière qui était trop occupée à se défouler, ne perçut pas leurs présences. Par ailleurs, ces pensées lui accaparaient tout son esprit :  

 

Dieu ??? Mais quel Dieu ??? J’ai perdu ma sœur, je suis en prison pour un crime que je n’ai pas commis ! Dieu ??? Comment peut-on me parler de lui ? j’ai perdu l’homme que j’aimais… Hide, mon amour, pardonne-moi ! Je n’ai plus la force de me battre, d’espérer, de m’accrocher !  

 

 

Des larmes menaçaient de couler, mais Saeko luttait. Elle ne devait pas se montrer faible.  

 

Ryô, ton cœur appartient à une autre et je me dois de l’accepter ! Notre amitié si précieuse est tout ce qu’il me reste. Pourtant… Je t’aime ! Ce n’est pas la peine de le nier, ma vieille, tu l’aimes ! Oui, mais… Je n’ai pas le droit ! Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Non, Saeko, tu ne dois pas penser à lui de cette manière.  

 

Une des détenues saisit la jeune femme par derrière. Sans que celle-ci n’ait eu le temps de réagir  

 

Pendant ce temps au cimetière.  

 

Miki, Kaori, Eriko, Kazue, le professeur était assis. Le soleil était haut dans le ciel, tandis que Ryo, Falcon et Mick se tenaient en retrait.  

 

Toute la police était présente, ils ne pouvaient pas se découvrir mais ils se devaient d’être là pour lui dire adieu une dernière fois.  

 

Leurs pensées allaient vers Saeko qui ne pouvait pas assisté à l’enterrement de Reika, pour leur amie, ils se devaient d’être présent.  

 

Le préfet et sa femme étaient installés au premier rang, des roses blanches dans les mains.  

 

La cérémonie commença, tandis qu’en prison Saeko se trouva prisonnière d’une horde de femme furieuse et sans remord.  

 

Le cercueil de Reika était à présent fermé, mais elle était belle, maquillé simplement et vêtue d’une robe discrète noir.  

 

« Mes chers ami, nous sommes réunies aujourd’hui….. »  

 

« Sans tes armes et ta plaque, tu te sens pas un peu seule…. »  

 

« Aujourd’hui, Reika Nogami laisse derrière elle des parents aimant et une sœur…. »  

 

« Tu pensais être en sécurité ici ? »  

 

« Reika était une jeune femme pleine de vie »  

 

Le soleil caressa le visage de nos amis, tandis que le visage de Saeko étaient caressaient par des coups de poings.  

 

« Salope, tu va crevé »  

 

« Dieu l’a rappelé auprès d’elle………… »  

 

« Allez résiste un peu qu’on puisse s’amuser…….. »  

 

Les coups pleuvaient sur Saeko, elle ne sentait plus la douleur, ses pensées allaient vers sa sœur qui devait être mise en terre aujourd’hui.  

 

Le cercueil de Reika descendait lentement vers la terre, tandis que le corps de Saeko tombait lentement sur le sol.  

 

Le cercueil arriva sur le sol, et celui de Saeko s’écrasa lourdement sur le sol.  

 

Le préfet se leva et jeta la rose blanche sur le cercueil de sa fille.  

 

Dans la prison, le chef des femmes se tenait debout sur le corps de Saeko, elle cracha vulgairement.  

 

« J’en ai pas finie avec toi, si je te crève maintenant les autres prisonnières vont m’en vouloir alors habitue toi, parce que tes journées vont être longue. »  

 

« Je te jure ma fille, je trouverai ceux qui t’ont enlevé à moi et je sortirai ta sœur de là. »  

 

Au même moment, une main pressa sur un bouton central d’une télécommande, un décompte s’afficha dans l’obscurité du cercueil…  

 

« Courez vite ! Hurlèrent simultanément Ryô, Falcon et Mick.  

 

Une première bombe explosa emportant avec elle ce qui restait de Reika.  

 

Tandis que le prénom de la défunte résonna comme un cri de douleur dans une cellule...  

 

 


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