Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: lady Gaby

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 38 capitoli

Pubblicato: 07-07-04

Ultimo aggiornamento: 08-05-07

 

Commenti: 120 reviews

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ActionDrame

 

Riassunto: Le titre vous inquiète hé ben c'est bon signe! (lol!) voilà un bref résumé de ce qui vous attends : Ryo a mystèrieusement disparu en adressant une terrible lettre à sa bien-aimée, Kaori...

 

Disclaimer: Les personnages de "La lettre d'adieu" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La lettre d'adieu (version retravaillée)

 

Capitolo 8 :: Kaori est en danger

Pubblicato: 30-07-04 - Ultimo aggiornamento: 26-06-05

Commenti: je me suis trompée de fic avant, je vous prie de m'excuer. Pour ceux ki espère le jeu j'y travaille!

 


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Deux jours s'écoula depuis cet incident, leur victime n'était toujours pas revenue à elle.  

 

"Et dire qu'on pourrait s'amuser!" Soupira l'un des ravisseurs.  

 

Tous ses camarades partageaient son avis, malheureusement les ordres étaient clairs : Capturer la partenaire de City Hunter et se tenir tranquille jusqu'à son réveil.  

 

L'un des hommes lasse d'attendre que la belle aux bois dormant se réveille, prit la bouteille de Wisky et jata son contenu dans la figure de la jeune femme. Cetyte fernière ne tarda pas à se réveiller.  

 

Kaori ouvrit lentement les yeux, quelle ne fut pas sa surprise quand elle s'apperçut qu'elle n'était pas chez elle. De plus, celle-ci était ligotée, mais ce qui l'inquièta le plus c'était sa tenue: c'est à dire presque dénudée à moitié couverte par le peignoir de son partenaire!  

 

Qu'est-ce que...  

 

"Regardez les gars! Elle est réveillée!"  

 

La partenaire de CH tenta de distinguer ses ravisseurs: à première vue, ils étaient quatres.  

 

"QUE M'AVEZ-VOUS FAIT???  

-Oh, mais rien! Du moins pas encore!  

- Libèrez-moi! Je veux rentrer chez moi!  

- Arrète de geindre! On veut s'amuser, nous, avec la partenaire de City Hunter!  

- Noooon!!!!!!!!!!  

 

Pendant ce temps, Mick repassa à l'appartement de Kaori, il constata avec effroi l'état de ce dernier et il comprit que son amie venaait d'être enlevée :  

 

"MERDE!  

 

Il se précipita hors de l'appartement et démarra sa voiture en trombe.  

 

Au même moment, Kaori, contre toute attente, se défenfait assez bien avec ses jambes et sa tête. Heureusement pour elle, les hommes furent appelés à l'extèrieur, car elle n'aurait pas pu tenir longtemps.  

 

"Comment je vais faire pour me sortir de là?"  

 

Elle inspecta les environs, c'est là qu'elle remarqua, non loin derrière elle, une bouteille de wisky sur une table basse. Un sourire malchiavélique se dessina sur son visage :  

 

"Bande d'abrutis! Être la partenaire n'est pas un simple titre, c'est un fait!" pensa la jeune femme.  

 

Les quatres hommes sortis, Kaori bascula, à l'aide de son poids, la chaise en arrière ce qui percuta la table basse et fit tomber la bouteille qui se brisa. Kaori tenta de semparer d'un bout de verre pour défaire ses liens, seulement elle entendit des pas se rapprocher.  

 

L'homme pénètra dans le hangard, mais il fut interpeller par un de siens :  

 

"Toi aussi, tu as entendu du bruit?  

- je parie que c'est cette peste! Viens, on va lui règler son compte!  

 

Le premier homme déserra sa ceinture, suivi du deuxième. Ils ouvrirent et diorigèrent vers leur proie : celle-ci se trouvait toujours assise, tête baissée, les mains derrière le dos toujours comme les corps. Les deux hommes furent surpris de constater que rien n’avait changé, sans doute avaient-ils rêvé? Leur prisonnière semblait s’être assoupie ou peut-être bien qu’elle faisait semblant quoiqu’il en soit, elle était à leur merci.  

 

L’un des hommes s’avança vers Kaori et lui demanda d’une voix rauque en lui caressant la joue :  

 

« Tu dors, ma belle ? »  

 

Silence.  

 

Agacé par ce manque de réponse, il tira les cheveux de Kaori en arrière. Celle-ci, malgré la douleur serra les dents pour ne pas hurler. Elle fixa son agresseur d’un regard froid. Celui ne supportant pas avoir une femme qui lui résiste, la gifla. Mais aucune réaction ne fit entendre, Kaori se contenta de sourire.  

 

Pendant ce temps, derrière le dos de la jeune femme du sang coulait, son sang. En effet, la jeune femme tentait de se défaire de ses liens avec un bout de verre qu’elle avait ramassé plus tôt.  

 

L’homme approcha de sa victime :  

 

« Et si on s’amusait un peu ? City Hunter ne risque pas de manifester d’après la rumeur ! »  

 

Kaori eut du mal à réaliser le sens de cette phrase, elle entendit ses ravisseurs ricanaient sur la mort de son partenaire, elle sentit son cœur éclatait. Elle réalisa qu’elle devrait se débrouiller cette fois, qu’il ne serait pas là pour la sauver. Kaori secoua la tête rageusement comme fuir la réalité :  

 

« Il est en vie ! »  

 

Pendant ce temps, Mick roulait à vive allure. Son regard était concentré et sur la route et sur un radar. Un radar sur lequel se distinguait le plan de Shinjuku avec un point rouge qui clignotait. Mick sourit :  

 

"A ce que je vois, elle a gardé mon pendentif! Tiens bon Kaori!"  

 

_________________________________________________  

 

L’homme approcha de la jeune femme et commença passer sa main sur ses épaules. Kaori lui asséna un coup pied bien placé :  

 

« Ne sois pas trop gourmand ! Dis-moi, tu n’as pas l’intention de m’embrasser en puant de la gueule ? J’aime bien les mecs propres et soignés, moi ! »  

 

Au même moment, alors que du sang coulait de ses poignets, une corde se fissura.  

 

Libellules.  

 

L’homme la regarda étonné :  

 

« Quoi ?  

- Tu es sourd, en plus! Brosse-toi les dents ! Sinon va te faire voir! »  

 

Kaori essayait de gagner du temps, mais elle doutait de son efficacité :  

 

« Oh, Ryo, aide-moi ! »  

 

L’homme sortit, alors, de sa poche, sa brosse à dent et son dentifrice sous le regard abasourdi de Kaori : « Ha, ha ! Je rêve ! C’est quoi ces types ? »  

Pendant ce temps une deuxième corde céda.  

 

Mais ce gain de temps ne fut que de courte durée pour la belle. Elle vit ses ravisseurs stopper brutalement leur occupation et s’approcher dangereusement d’elle. Kaori continuait discrètement de couper ses liens. La panique la gagna en constatant que cette foutue corde n’avait toujours céder et elle supplia intérieurement : « Allez bon dieu ! Brise-toi ! Dépêche ! »  

 

« N’aie pas peur, tu ne souffriras pas ! »  

 

L’homme commença à caresser sa victime et sans crier gare, il plaqua violement ses lèvres sur celles de la jeune femme. Son collègue s’apprêtait à faire de même quand…  

 

« Mon visage, mes yeux !!! Je vois rien !!! »  

 

Kaori avait enfin réussi à se libérer les mains. Elle venait d’utiliser le bout de verre qu’elle avait gardé dans ses mains jusque là pour, avec un geste très rapide, défigurer ses deux ravisseurs d’un seul mouvement.  

Les deux pervers reculèrent tout en hurlant de douleur. Leurs mains couvertes de sang cachaient leurs yeux.  

Kaori en profita pour se libèrer entièrement et réajuster sa tenue. Lorsqu'elle arriva devant la sortie, elle arrèta sa course : devant elle, trois hommes armés l'attendait.  

 

" Tu allais nous fausser compagnie? C'est dommage, tu vas être quelques peu retardée "  

 

Comme si, trois hommes armés ne suffiserait à causer sa perte la vue de Kaori commença à se brouiller :  

 

"Je perds trop de sang! J'ignore si je vais tenir!"  

 

Les trois hommes encerclèrent la moitié de City Hunter. La jeune femme ferrma les yeux et sembla se concentrer. En fait, elle était avec son partenaire :  

 

"Tu peux les battre! Tu es ma partenaire, ne l'oublie pas! J'ai confiance!"  

 

Brusquement, elle ouvrit les yeux. Et sans prévenir, la jeune femme fit une pirouettte en arrière (façon Xéna la guerrière^^). Elle se retrouva deriière l'un des hommes qui se retourna. Sans lui laisser le temps de réagir, elle lui asséna un coup de coude dans les côtes. Sous lequel, il s'effondra.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RYO, REVIENS ! J’ai besoin de toi !  

 

Je criais son nom. Mon dieu, il était là, j’en étais persuadais. Où était-il parti ? Pourquoi s’était-il sauvé ? Je me levais d’un bond, j’accourais vers la porte. Etrangement, celle-ci était toujours fermée depuis le départ de mes amis. Serait-il possible que j’ai rêvé ? J’ouvris la porte et guettai les alentours. Rien. Il n’y avait pas de bruit de pas dans les escaliers. Rien. Je refermais alors la porte et soupirais. J’entrepris de prendre une douche.  

 

J’entrai dans la douche, fis couler l’eau le long de mon corps. Tout en me savonnant, je me remémorais sans le vouloir cette annonce : il est mort ! Ryo est mort ! m’avait annoncé Saeko. Ryo est mort ! Cette phrase fit écho dans ma tête Je tournais la tête pour la chasser, mais en vain. Je me bouchais les oreilles, en larmes je criais :  

 

« MENSONGE ! TOUT CA N’EST QUE MENSONGE !!! »  

 

« Il est vivant, Kaori ! Il va rentrer…Rentrer…Rentrer… »  

 

Une autre voix fit écho, celle-là plus insistante. J’avais l’impression d’être en conflit avec moi-même. L’une affirmait que mon amour était mort, l’autre affirmait le contraire. Laquelle croire, laquelle disait vrai ?  

 

« ASSEZ !!! »  

 

Je me recroquevillais sur moi-même dans la douche sous l’eau coulante, rageant et pleurant. Je cognais mes poings contre les murs. Je voulais que ces voix cessent. Je voulais arrêter cette douleur. Je sortis de la douche, enroulée dans une serviette, je passais devant le lavabo et me regardais dans le miroir :  

 

« Regarde-toi, Kaori ! Tu n’arrêtes pas de pleurer ! »  

 

Mes yeux me brûlèrent. Je fis couler l’eau du lavabo et m’aspergeai le visage. Lorsque, en relevant la tête vers le miroir, je l’aperçus ; Il était là, il me souriait posté contre le mur les bras croisés. Je me retournais d’un mouvement vif :  

 

« Ryo, tu es rentré ! Je me faisais du souci, tu… »  

 

La nuit était tombée et personne ne se doutait que d’autres individus étaient étrangement très intéressés par l’incident de la semaine dernière. Quelque part près des ruines de l’entrepôt, quatre types étranges fouillaient les ruines…  

 

« Alors vous l’avez trouvé ?  

- Non ! Il a dû s’échapper !  

- Dis pas n’importe quoi, la patronne ne va pas être contente ! Surtout qu’elle a tout mis en œuvre pour que tout fonctionne !  

- Y a rien !  

- La police a dû le trouver !  

- Il était gravement blessé et pris au piège, c’est impossible !  

 

Les quatre types dépités et découragés décidèrent d’abandonner pensant que leur proie n’avait pas pu s’échapper bien loin, vu son état.  

 

« Ryo, tu es rentré ! je me faisait du souci tu… »  

 

Personne… Disparu…. Il avait disparu, encore une fois. Que m’arrive t-il ? Serais-je devenue folle?  

 

Je me rendis à la cuisine pour boire un verre d’eau. Quand j’entendis sa voix :  

 

« Kaori ! J’ai faim moi ! »  

 

Je me retournais à nouveau. Et là, je le vis. Il était allongé sur le canapé, les bras derrière la tête :  

 

« Où est-ce que tu étais passé ? »  

 

Pas de réponse. Soudain, la sonnerie retentit. J’y allais en lançant à mon partenaire :  

 

« Tu ne t’en tiras pas comme ça ! »  

 

J’ouvris la porte, il y avait Miki et Kazue. Miki me prit dans ses bras et me dit :  

 

« Je suis là si tu as besoin !  

- Miki ! Il est rentré, regarde !  

 

Miki pénétra dans la pièce et regarda le canapé. Elle se retourna vers moi et me dit :  

 

« Je ne vois rien !  

- Comment ça, tu ne vois rien ? Il est là ! Kazue, tu ne le vois pas toi, hein ? »  

 

Kazue passa sa main devant la bouche et se mit à murmurer :  

 

« Oh, mon dieu Kaori !  

- Tu le vois pas, n’est-ce pas ? Réponds-moi !  

- Non !  

- Comment ça, tu ne le vois pas ? Kazue, Miki !  

- Nous sommes désolées Kaori, il n’y a personne sur ce canapé  

- MENTEUSES !!! »  

 

Moi, je le voyais, il était là. J’étais certaine. Pourquoi me faisaient-elles ça ? Pourquoi disaient-elles qu’il n’était pas là? Pourquoi avais-je l’impression qu’elles me prenaient pour une folle ? J’entendis Ryo leur dire en se jetant sur elles :  

 

« Salut mes belles !  

- Vous l’entendez, il vous salue, ce pervers ! Leur dis-je agacée en sortant ma massue.  

 

Miki et Kazue me regardaient affolées, inquiètes et tristes. Pourquoi ? Tout à coup, je ne vis plus rien. Ce fut l'obscurité totale.  

 

 


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