Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 2 :: Chapitre 2

Pubblicato: 06-07-05 - Ultimo aggiornamento: 06-07-05

Commenti: Salut tout le monde ! J'en profite qu'il n'y a pas trop de fics aujourd'hui pour vous mettre la suite ;) Un gros poutoux à ma star Intergalactique pour sa correction. J'espère que ça vous plaira et merci pour vos reviews. N'hésitez pas à en mettre d'autre ;)

 


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En effet, l’homme qui se tenait dans le couloir, était son petit frère. Ce dernier ne le savait pas, enfin, n’était pas censé le savoir. Alors qu’est-ce qu’il pouvait bien faire devant leur porte…..  

 

- Bonjour, fit le jeune homme tout en serrant la main de Ryô, qui fit de même machinalement.  

- Bon… bonjour, répondit Kaori vers qui il se tournait pour lui serrer la main également.  

- Je crois que vous êtes un peu surpris de me voir, non ?  

- En effet, répondit Kaori.  

- Vous vous souvenez de moi, au moins ? fit-il avec un léger doute dans la voix.  

 

Kaori faillit tomber à la renverse, comment oublier John Harrington. Au début, il n’était que le cousin du mari de Gillian, une de ses amies, mais ensuite, ils avaient découvert, que la famille de John était en fait celle de Ryô.  

 

C’était son demi-frère. Leur père s’était marié 3 fois, deux de ses épouses étaient mortes et il avait eu 4 enfants dont un qui était censé être mort dans un accident d’avion avec sa mère. Ryô en l’occurrence.  

 

Quand ils avaient appris ça, Kaori était folle de joie pour Ryô. Mais ce dernier ne se voyait pas imposer à cette famille qui ne l’avait jamais connu, le retour du fils prodigue, d’autant que ce dernier était devenu un tueur. De plus, son père était un Duc et donc toute sa famille était noble, pour lui, ils n’avaient rien en commun et Ryô avait donc décidé de les oublier pour leur bien et peut-être aussi pour le sien.  

 

- Bien sûr qu’on se souvient de vous, John, finit par dire Ryô qui s’était réveillé de son mutisme. Nous somme seulement un peu surpris de vous voir, ça fait des mois que l’on s’est rencontré et tout d’un coup on vous retrouve devant notre porte.  

- Ah oui, bien sûr, je comprends ! répondit John.  

- Que nous vaut cette visite, demanda Kaori en l’invitant à entrer.  

- C’est…Comment dire…. Professionnel ! finit par lâcher le jeune homme.  

- Comment cela ? fit Ryô en refermant la porte derrière lui.  

- Au fait, c’est quoi le nom de votre agence, demanda John sans répondre à la question de Ryô. Je ne vous ai pas trouvé dans l’annuaire, aucun Ryô Saeba ni de Kaori Makimura, je pense donc que vous devez être inscrit sous le nom de votre agence.  

- Notre agence ? fit Kaori d’un ton bizarre  

- Oui, votre agence de détective privé, c’est bien votre métier ? C’est ce que vous m’aviez dit à Paris.  

- Notre agence, bien sûr, fit Kaori, tout en cherchant une excuse valable. On a changé de nom, ça nous plaisait plus, il ne doit pas encore figurer dans l’annuaire, finit-elle par dire.  

 

Elle ne pouvait pas lui dire qu’ils ne figuraient nulle part et que le seul moyen de les contacter c’était le tableau à message de la gare.  

 

- Alors, comme ça vous avez besoin d’un détective, fit Ryô pour changer de sujet.  

- Exactement, répondit John.  

- Vous êtes sûr car vous avez quand même réussi à nous trouver sans avoir nos coordonnées que je sache. Vous êtes plutôt doué, fit-il en souriant.  

- Ce n’était pas trop dur, j’avais la carte de visite de votre amie, Eriko. Vous vous souvenez, elle a fait la robe de mariée de Gillian puis celle de ma soeur. Je l’ai appelé et elle m’a indiqué où je pourrais vous trouver.  

- Eriko, Saeko, y’en a combien d’autres qui vont nous trouver des clients, marmonna Ryô.  

- Comment ? fit le pauvre John qui n’avait pas tout saisi.  

- Ce n’est rien, intervint Kaori, asseyez-vous, fit-elle en lui indiquant le canapé. Je peux vous offrir un café ?  

- Merci, je veux bien fit-il tout en s’installant.  

 

Kaori apporta un plateau avec 3 tasses et s’installa avec eux. Elle demanda, quelques nouvelles de sa famille par politesse mais le jeune homme reposa sa tasse et se leva pour leur faire face.  

 

- C’est justement à cause d’une histoire de famille que je suis venu vous trouver.  

 

Ryô se demandait bien ce qu’il allait leur sortir mais il lui demanda de continuer.  

 

- Eh bien, il s’agit de Susan, ma sœur. Je ne sais pas si vous vous souvenez d’elle.  

 

Ils confirmèrent qu’ils se souvenaient parfaitement d’elle et John continua son histoire. Sa soeur s’était mariée il y a 3 mois, et elle était partie en voyage de noces avec Andrew, son mari. Mais ils n’étaient toujours pas rentrés. Ils avaient un mois de retard par rapport à la date prévue de leur retour.  

 

Ryô demanda à John, en quoi il pouvait l’aider, car il ne voyait pas où ce dernier voulait en venir.  

 

John expliqua qu’il avait suivi leurs traces jusqu’ici, alors que ce n’était pas prévu dans leur itinéraire. Il avait trouvé leur hôtel mais personne dans leur chambre. Toutes leurs affaires étaient dans la chambre mais sa sœur avait disparu.  

 

- Et le marin-pêcheur, fit Ryô se souvenant du surnom donné au marié par John.  

- De même, ils se sont volatilisés et personne ne sait où ils sont. Et comme, leurs affaires sont toujours à l’hôtel, j’ai peur qu’ils ne leur soient arrivés quelque chose.  

 

Ryô suggéra une escapade amoureuse, sans témoins, afin d’être tranquille.  

 

- Sans papiers et sans argent, j’en doute, Monsieur Saeba.  

- En effet, c’est plus qu’étrange, rétorqua Ryô en se grattant la tête.  

- C’est pour celà, que je me suis permis de venir vous voir. Etant détective et vivant ici vous connaissez sûrement mieux le coin que moi. Vous avez sûrement des contacts.  

- Possible, fit Ryô qui s’interrompit car il entendait une drôle de musique.  

- Comment ça, « possible », vous ne souhaitez pas m’aider ? fit John d’un air énervé.  

- Bien sûr que si mais votre pantalon est en train de jouer l’hymne anglais, ça m’a un peu surpris.  

- Bon sang ! C’est mon père, il va vouloir savoir où j’en suis, fit-il d’un air affolé.  

- C’est votre père ? fit Ryô étonné.  

- Oui, je lui ai mis une sonnerie spéciale, comme ça je sais que c’est lui qui appelle.  

- Ah ! Sur le moment j’ai cru que c’était la Reine, fit Ryô d’un ton moqueur.  

- Alors, vous acceptez de m’aider, il faut que je lui dise quelque chose. Déjà, qu’il comptait sur moi pour la ramener, si je lui dis qu’elle a disparu, il va faire une attaque.  

 

Ryô regarda Kaori par pure formalité, car il savait bien qu’elle ne refuserait pas d’aider John, d’autant qu’il s’agissait de sa sœur, bien qu’il préfère ne pas y penser. Et il fit signe à John que c’était d’accord, afin que ce dernier puisse répondre au téléphone.  

 

Pendant que John expliquait la situation à son père au téléphone, Ryô et Kaori allèrent dans la cuisine pour discuter.  

 

- Tu penses que ça peut être grave, demanda Kaori.  

 

Ryô n’était pas sûr. Mais Susan étant la fille d’un riche Duc anglais, avec beaucoup de relations et d’influence. Il était fort probablement qu’il s’agisse d’un enlèvement. Ce qui l’intriguait, c’était le changement de destination, mais ils verraient ça en menant leur enquête.  

 

Kaori demanda alors ce qu’ils allaient faire. Ryô répondit qu’il demanderait à Falcon de poser quelques questions et que lui chercherait de son côté.  

 

- Et moi ? Je reste à la maison, pour faire la popote fit-elle d’un ton méchant.  

- Non, toi, tu vas surveiller le petit frère, déjà qu’il y en a une qui a disparu, faudrait pas qu’il y en ait un deuxième.  

- Tu crois vraiment qu’il pourrait disparaître aussi ?  

- On ne sait jamais, vaut mieux être prudent.  

- Bon, ben je vais préparer la chambre d’ami. On va avoir de la compagnie, fit-elle avec une petite moue.  

 

Ryô sourit en la prenant dans ses bras pour l’embrasser.  

 

- C’est vrai, qu’on sort juste d’une affaire et qu’on aurait pu rester tranquille tous les deux, mais on peux pas le laisser tomber.  

- Je sais, Ryô, et puis la famille ça compte, fit-elle avec un clin d’œil.  

- Chut, fit-il en lui posant un doigt sur les lèvres, il pourrait entendre.  

- Je ferais attention, tu me connais !  

- Oui, justement ! T’as failli lui écraser la tête contre le mur tout à l’heure, heureusement il a réussi à l’éviter. Je me demande bien comment il a fait d’ailleurs.  

- Un réflexe génétique, fit elle en riant.  

 

Il la serra un peu plus contre lui et l’embrassa passionnément. Ils étaient très occupés par leur baiser quand la porte de la cuisine s’ouvrit sur un John, qui, un peu gêné, referma la porte aussitôt. Ryô et Kaori se regardèrent en souriant et le rejoignirent.  

 

- Je suis désolé, fit John vraiment gêné.  

- Ce n’est pas grave, dit Ryô en rigolant, faudra bien vous y habituer, car vous risquez de tomber sur nous assez souvent pendant votre séjour ici.  

- Je vais préparer la chambre d’ami, fit Kaori en pouffant de rire.  

- Comment ça, mon séjour ici, mais j’ai une chambre d’hôtel ! Eh bien, vous l’oubliez ! fit Ryô d’un ton catégorique. Nous avons l’habitude d’avoir nos clients sous la main pour mieux les protéger.  

- Pour me protéger, mais je n’ai pas besoin de protection, c’est ma sœur qui a disparu, fit-il d’un ton offensé.  

- Justement, on a assez d’une Harrington dans la nature sans qu’un autre disparaisse aussi !  

- Vous croyez que l’on pourrait essayer de m’enlever ?  

- Il vaut mieux être prudent ! Donc, bienvenue à la maison fit Ryô en s’éloignant vers sa chambre.  

 

Pendant, qu’il se préparait pour sortir et récupérait son magnum, Kaori faisait faire le tour du propriétaire à John.  

 

Ryô les retrouva dans la chambre. Kaori lui expliquait qu’elle irait récupérer ses bagages à son hôtel et qu’il pourrait s’installer. Ryô passa la tête par la porte et indiqua à Kaori qu’il sortait. Elle le rejoignit dans le couloir, laissant John découvrir son nouveau logis.  

 

- Je te le confie, partenaire, fit-il en caressant la joue de Kaori.  

- T’inquiète pas, je vais le chouchouter, fit-elle avec un clin d’œil.  

- Ouais, mais pas de trop près, fit-il avec un regard de tueur en direction de la chambre où se trouvait John.  

- J’adore quand tu es jaloux, fit-elle en déposant un rapide baiser sur ses lèvres. Puis elle lui dit de faire attention à lui.  

- Tu crois vraiment que j’oublierai de rentrer, avec la déesse du sexe qui m’attend tous les soirs dans mon lit, fit-il avec un air pervers. (NDB : « déesse du sexe ?! Notre Kaori ?! Bon sang ma Shan, quelle appellation !) (NDA : C’est du Ryô dans toute sa splendeur, on va pas le changer ! Et vu l’énergumène, on aurait s’attendre à pire !)  

 

Kaori vira automatiquement au rouge écrevisse à l’idée que John ait pu entendre ça et lui balança une massue « Tu ne pense qu’à ça ma parole ! » qui l’envoya valdinguer dans le salon. Ryô se releva en rigolant et se dépêcha de filer avant qu’elle ne sorte l’artillerie lourde.  

 

John sortit de la chambre, alerté par le bruit mais Kaori lui dit que c’était seulement Ryô qui avait loupé une marche dans l’escalier qui menait au salon. Il la regarda d’un air sceptique mais fit mine d’accepter cette explication.  

 

Ensuite elle lui parla de son appel téléphonique. Il dit qu’il avait expliqué la situation à son père et que ce dernier comptait sur eux. Kaori demanda si de son côté le Duc n’avait pas reçu de nouvelles, comme une demande de rançon mais John répondit que non.  

 

Il proposa d’aller chercher ses affaires à l’hôtel et Kaori lui dit qu’elle s’en chargerait, qu’il n’avait qu’à faire comme chez lui, elle n’en aurait pas pour longtemps. Mais il préférait l’accompagner, il avait pas mal de bagages. Elle accepta, après tout, elle était son garde du corps, autant le garder sous la main. Elle lui demanda de l’attendre au salon, juste le temps qu’elle aille chercher une veste dans sa chambre. Elle en profita pour récupérer son arme et la plaça dans le holster que Ryô lui avait offert.  

 

Durant ce laps de temps, John prit son téléphone et composa un numéro. Il entendit un déclic, et une voix lui demanda en anglais où il en était.  

 

- C’est bon, fit John, je suis dans la place ! dit il avant de raccrocher aussitôt. (NDB : mais qu’est ce qu’il mijote celui-là ?)  

 

Kaori le rejoignit quelques instants après et ils partirent à l’hôtel.  

 

 

 


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