Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 4 :: Chapitre 4

Pubblicato: 18-07-05 - Ultimo aggiornamento: 18-07-05

Commenti: Salut tout le monde ! Et voilà un nouveau chapitre, certaines vont m'étrangler car elles se demandent bien ce que fiche le frangin de Ryô mais j'aime bien ménager mes effets (non je suis pas sadique!!!) Les choses se dévoilent petit à petit et bientôt on entre dans le vif du sujet, vous inquiétez pas ! J'espère que ça vous plaira, merci pour vos reviews et n'hésitez pas à donnez votre avis. Et puis bien sûr un grand merci à ma Super Beta, Nanou ;)

 


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Ryô rentra à l’appartement et trouva Kaori dans la cuisine en train de préparer le repas. Il lui demanda où se trouvait John, et elle lui répondit qu’il était dans sa chambre depuis leur retour de l’hôtel.  

 

Il lui demanda son avis à propos de John, si elle n’avait pas constaté des choses étranges dans son comportement. Kaori fut surprise d’une telle question et répondit que non. Mais après réflexion, elle pensa aux mallettes. Ryô lui demanda si elle avait une idée de ce qu’elles pouvaient contenir mais Kaori ne pouvait lui répondre, elle n’était pas allée dans la chambre de John et d’ailleurs ce dernier s’y trouvait depuis un bon moment.  

 

Ryô avait une expression étrange et Kaori l’interrogea. Il lui expliqua qu’il connaissait la raison pour laquelle Susan était venue au Japon. Il ajouta qu’il avait la désagréable impression que John leur cachait quelque chose mais il ne savait pas encore quoi. Pour l’instant, il avait bien envie d’aller jeter un coup d’œil dans la chambre, histoire de voir ce qu’il fabriquait.  

 

Kaori était d’accord mais elle lui suggéra d’être plus subtile. Si Ryô se pointait dans la chambre c’était le meilleur moyen pour que John se méfie encore plus, s’il avait vraiment quelque chose à cacher. Par contre, si elle allait le voir en se comportant en charmante maîtresse de maison, il serait sûrement moins méfiant et elle pourrait jeter un coup d’œil.  

 

Ryô sourit. Il était fière de sa Kaori, plus ça allait plus elle l’étonnait. Mais il indiqua qu’il était inutile qu’elle lui fasse le coup de la minijupe pour détourner son attention.  

 

Elle rigola et alla récupérer une couverture et un oreiller dans une commode. Puis elle se dirigea vers la chambre et rentra sans frapper, John se retourna surpris et la regarda comme figé. Elle ne fit pas attention à lui et lui dit qu’elle lui apportait de quoi être installé au mieux.  

 

Elle se dirigea vers le lit pour déposer tout ça tandis que John tournait sur sa chaise et la suivait du regard. Elle se retourna et il eut droit à un magnifique sourire. Il la remercia et elle lui répondit que c’était normal, que s’il avait besoin de quoi que ce soit d’autre, il n’avait qu’à demander. Il répondit que ça devrait aller et la remercia à nouveau.  

 

Elle sourit et lui indiqua que le repas serait bientôt près, avant de quitter la pièce. John la regarda partir et se dit que cette femme était vraiment la « fée du logis » puis il ferma sa mallette et décida de se préparer afin de les rejoindre pour le dîner.  

 

Pendant ce temps, Kaori avait rejoint Ryô devant la porte de la cuisine.  

 

- Alors ? fit ce dernier en la voyant revenir. Tu as pu voir quelque chose.  

- Un ordinateur portable et une espèce de machine avec un boîtier numérique. Je n’ai pas vu la deuxième mallette.  

- C’est déjà pas mal, comment tu as fait pour voir tout ça ?  

- Il suffit d’être souriante, il ne m’a pas lâchée du regard. Je ne sais pas si c’est mon charme naturel ou s’il surveillait seulement où j’allais mais j’ai eu tout le loisir de voir ce qu’il y avait sur la table derrière lui.  

- Tu les fais tous craquer ! Mais à quoi ça lui sert ce matériel, à ton avis c’est pour son boulot ?  

- Ca m’étonnerait, il était branché sur le site de la police.  

- Quoi ?! fit un Ryô éberlué  

- Oui, et à mon avis la machine avec le boîtier c’est pour passer les codes d’accès.  

- J’hallucine, où est passée ma Kaori, j’ai l’impression d’être dans un film d’espionnage !  

- Arrête de dire des bêtises, chéri ! Je crois que ton petit frère ne nous dit effectivement pas tout.  

- Ca je m’en suis rendu compte, fit-il en lui tendant le portable de Susan.  

 

Kaori lu le sms et comprit la méfiance de son mari. Effectivement, cette affaire était plus que douteuse. Soudain la porte de la chambre de John claqua, il les rejoignait pour manger. Kaori mit le portable dans la poche de Ryô et lui sauta au cou pour l’embrasser. En arrivant, tout ce que vit John, c’est un couple follement amoureux qui s’embrassait un fois de plus. Décidément, ils ne faisaient que ça à longueur de journée se dit-il en secouant la tête.  

 

Ils dînèrent comme si de rien n’était, en parlant de choses et d’autres. Après le repas, Ryô regarda la télé et invita John à se joindre à lui mais ce dernier refusa poliment, il était un peu fatigué, sûrement le décalage horaire. Il rejoignit sa chambre et nos deux tourtereaux attendirent qu’il soit bien en train de dormir pour mettre au point leur plan d’attaque.  

 

Visiblement, d’après le message sur le mobile de Susan, elle avait été attirée au Japon. A priori, c’était un des membres de sa famille qui lui avait envoyé le message, mais cela pouvait très bien être un piège. Ce qui expliquerait que John ne soit pas au courant.  

 

Mais ce dernier était tout de même bizarre, que cachait-il de plus dans ses mallettes et pourquoi était-il sur le site de la police ? Il y avait quelque chose de louche. Ryô avait besoin de savoir, aussi décidèrent-ils, que dès le lendemain, Kaori emmènerait John avec elle pour faire les courses sous le prétexte que Ryô était déjà parti enquêter et pendant ce temps ce dernier inspecterait la chambre de leur invité.  

 

Une fois, le plan mis au point, ils rejoignirent leur chambre et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.  

 

Le lendemain, John se leva plutôt tard et il rejoignit la cuisine. Il y trouva Kaori qui avait préparé un délicieux petit déjeuner. Il lui demanda où était Ryô, et elle lui répondit qu’on lui avait indiqué une piste et qu’il était parti vérifier dès l’aube. Il eu un regard étonné mais ajouta qu’il espérait que c’était un bon indice.  

 

Il demanda machinalement à Kaori si elle avait besoin d’aide et cette dernière sauta sur l’occasion en lui demandant s’il pouvait venir faire quelques courses avec elle. Elle avait peur de ne pas arriver à tout porter et comme Ryô était absent, elle ne voyait pas à qui d’autre demander ce service. Comme il venait de proposer son aide, il ne pouvait pas refuser et il accepta.  

 

Une heure plus tard, après avoir fait un tour dans la salle de bain (chacun leur tour bien évidemment) et s’être préparé, Kaori quittait l’appartement avec John. A peine partis, Ryô qui attendait dans le hall d’immeuble de Mick, traversa la rue et remonta à l’appartement.  

 

Il pénétra dans la chambre, tout était bien rangé, les vêtements sur les cintres, beaucoup de costumes. Un vrai VRP « le petit frère », se dit Ryô. Mais les mallettes n’étaient plus sur le bureau. Elles n’étaient pas non plus dans l’armoire ou sous le lit. Il était malin « le frangin ». Ryô était au milieu de la chambre à réfléchir quand il regarda le plafond. Il y avait un faux plafond, il était bien placé pour le savoir, il s’en était servi plus d’une fois pour ses visites nocturnes. John aurait-il trouvé cette cachette.  

 

Il ne se posa pas longtemps la question et grimpa sur une chaise. Bingo ! Deux jolies mallettes avaient été habilement planquées là. Il les attrapa et les déposa sur le lit. Elles étaient fermées à clé, mais ce n’était pas une serrure qui allait empêcher notre nettoyeur d’aller plus loin. Il les ouvrit avec une grande facilité mais il n’était pas au bout de ses surprises.  

 

Dans la première, il y avait bien un ordinateur portable et une sorte de décodeur électronique. Mais dans la deuxième, il ne s’attendait pas du tout à ça, John cachait bien son jeu. Il jouait bien son rôle de jeune homme anglais coincé mais ce que Ryô venait de découvrir montrait de lui une autre facette. Il remit le tout à sa place et ressortit de l’appartement avant que Kaori ne revienne. Il retourna dans le hall d’en face et appela Saeko.  

 

Cette dernière fut étonnée de l’appel de Ryô, en général, c’était plus souvent elle qui l’appelait ces derniers temps. Il avait arrêté de la harceler au téléphone depuis son mariage, jour où il lui avait remis un long parchemin (qui à vue de nez devait bien faire quelques kilomètres) où il avait noté tous les coups qu’elle lui devait, en lui disant qu’il n’en aurait plus besoin.  

 

Quand elle l’interrogea sur la raison de son appel, il lui demanda seulement si elle savait que le système informatique de la police avait été infiltré la veille. Elle faillit s’étouffer et lui demanda comment il était au courant. Il lui répondit que cela n’avait pas d’importance, que ce qui l’intéressait c’était ce que le pirate avait cherché, que si elle trouvait l’info, elle serait sympa de lui faire savoir en souvenir du bon vieux temps et il raccrocha sans plus d’explications. Saeko de son côté était resté bouche bée sans pouvoir en placer une et se demandait encore d’où il tenait ses informations et après un moment de flottement, elle finit pas raccrocher le combiné.  

 

De retour des courses, John déposa tous les paquets dans la cuisine et Kaori le remercia pour son aide tandis qu’elle commençait à ranger. John s’absenta sous le prétexte d’aller chercher son téléphone qu’il avait oublié dans la chambre. Il pénétra dans la pièce et en fit le tour, son portable était dans sa poche et apparemment rien n’avait bougé de place (NDB : malin le petit frère !). Il retourna dans le salon juste au moment où Ryô faisait son entrée. Il salua John et lui demanda s’il s’était bien reposé. John répondit par l’affirmative et lui demanda à son tour s’il avait du nouveau. Ryô fit une grimace avec un air désolé, c’était une fausse piste, mais il le rassura en lui indiquant qu’il trouverait, qu’il ne fallait pas qu’il s’inquiète.  

 

John s’excusa et alla s’enfermer dans sa chambre sous le prétexte de trouver un peu de calme car il était très inquiet. Ryô fonça dans la cuisine et attrapa l’amour de vie par la taille. Elle finissait de ranger les courses dans l’armoire et elle aurait reconnu ses mains entre mille. Elle se retourna et l’embrassa avant de lui demander ce qu’il avait trouvé.  

 

- Eh bien, disons que John joue un drôle de jeu.  

- Pourquoi, qu’est-ce que tu as trouvé ? demanda Kaori.  

- Deux mallettes, comme tu me l’avais dit, l’une contenant une PC portable et un décodeur électronique et l’autre…  

 

Il s’arrêta un instant, tendant l’oreille pour être sûr qu’on ne l’entendait pas.  

- Et dans l’autre ? Ryô, insista Kaori  

- La panoplie du parfait tueur à gages : des armes dont un fusil à longue portée, j’en passe et des meilleures…  

- Mais c’est qui ce mec, James Bond !! fit Kaori.  

- Je ne pense pas, chérie, mais cette affaire est sûrement plus importante qu’il ne veut bien nous le dire.  

- Qu’est-ce qu’on va faire ?  

- Pour l’instant, on continue l’enquête sur Susan, je vais essayer de voir si je trouve des indices par rapport au sms. Je vais demander à Mick s’il peut remonter la trace de l’appel et moi je vais voir le lieu du rendez-vous.  

- Ryô, tu es sûr ? fit Kaori angoissée.  

- Ne t’inquiètes pas, que veux-tu qu’il m’arrive ?  

- Je ne sais pas, moi, mais aller dans un cimetière, ça me fait un peu peur.  

- De toute façon, il faut, en premier lieu, que je découvre de quel cimetière il s’agit, après on avisera.  

- Oui, mais tu admettras que le message que Susan a reçu, lui demandant d’aller déposer des fleurs sur la tombe de Rui est plutôt obscur. Je n’aime pas ça, Ryô.  

- Que veux-tu qu’il m’arrive ? Ce n’est pas moi qu’on a enlevé et personne ne sait que je suis lié à cette femme.  

- Cela ne te fera rien de te retrouver devant sa tombe ? fit Kaori d’un ton inquiet.  

- Si, peut-être, mais c’est normal c’est ma mère.  

 

(NDB : ça devient de plus en plus intéressant, je veux la suite moi ! Et je ne dois pas être la seule !)  

 

 


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