Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 21 :: Chapitre 21

Pubblicato: 25-08-06 - Ultimo aggiornamento: 25-08-06

Commenti: Salut tout le monde ;) A l'occasion de mon anniversaire, je vous offre la suite de ma fic, j'espère que ça vous plaira ;) Merci pour vos reviews, merci à celles et ceux qui m'ont souhaité mon anniversaire et surtout merci à la Beta la plus rapide de France, je parle bien sûr de Nanou la Superstar Choucroutée ;) Gros poutoux à tout le monde, à bientôt et n'hésitez pas à me donner votre avis ;) Bonne lecture ;)

 


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Le lendemain matin, alors que sa chère et tendre épouse dormait d’un profond sommeil réparateur, Ryô se leva discrètement et se faufila vers la chambre de son petit frère.  

 

Il ressortit quelques instant plus tard suivi de ce dernier avec un air de conspirateur. Ils se dirigèrent silencieusement vers l’autre chambre d’ami. Cette dernière était vide, le lit n’était pas défait mais au niveau de la fenêtre, on pouvait voir le bout d’une corde. Ils se penchèrent tous les deux par l’ouverture afin de contempler le spectacle qui s’offrait à eux.  

 

Le Duc dormait pendu au bout de la corde, enroulé dans un matelas façon « nem ». Ryô fit un signe de tête à John qui sortit son appareil photo numérique pour immortaliser cette scène. Ensuite il se dirigea vers une table, téléchargea la photo sur son ordinateur et l’envoya par mail à sa mère et son frère aîné (NDB : ah les peaux de vache !). Puis il retourna auprès de Ryô pour continuer de regarder son père en train de ronfler copieusement.  

 

Apparemment, il était tellement épuisé que même pendu dans le vide, il dormait et profitait du peu de sommeil qui lui avait été accordé par sa belle-fille (NDB : il me fait presque de la peine…).  

 

Les deux hommes, accoudés à la fenêtre, étaient morts de rire quand soudain une sorte de reflet vint les éblouir. Ryô porta aussitôt son attention sur la fenêtre d’en face et découvrit avec amusement son jumeau américain qui lui faisait des grandes signes tout en s’esclaffant car lui aussi venait de découvrir ce qui pendait le long de la façade de l’immeuble.  

 

Mick lui montra un talkie-walkie et Ryô sortit un instant de la chambre. John l’observa par l’ouverture de la porte et constata qu’il se dirigeait vers un meuble du salon où était dissimulé le même appareil. Une libellule passa devant un John abasourdi par ce qu’il voyait, les deux nettoyeurs avaient apparemment trouvé un moyen de communication entre les deux appartements, autre que le téléphone.  

 

- T’as fini par mettre la main dessus, cria Mick par l’intermédiaire du talkie.  

- Cries pas si fort, tu vas le réveiller, pour une fois qu’il nous fout la paix !!!  

- Ok, alors tu l’as trouvé où ?  

- Comme on le pensait, il cherchait des infos sur la personne dont je t’ai parlé, fit-il de manière à ce que John ne pige pas toute la conversation.  

- Et c’est toi qui l’as pendu par la fenêtre ? Ça ressemble plutôt à Kaori !  

- Disons, qu’elle est plutôt remontée contre lui et que je lui ai laissé tout le plaisir de s’occuper de son cas.  

- Et il a juste eu droit à ça !  

- Détrompe-toi mon pote, t’imagine même pas ce qui peut se planquer comme pièges dans ma baraque, j’ai intérêt à me tenir à carreaux car j’ai fait des découvertes et il paraît que j’ai pas tout vu ! Quand je pense que je suis chez moi et que je ne sais même pas tout ce qu’elle y a planqué !  

- Dis-le un petit peu plus fort et je crois que tu vas en découvrir de suite, fit Mick en rigolant.  

- Ça va pas, je la laisse dormir, elle est crevée et en plus je crois qu’elle est malade, c’est d’ailleurs en se levant cette nuit qu’elle est tombée sur notre zigoto qui essayait de regagner son lit, tu penses bien qu’elle lui a pas accordé ce plaisir !  

- Tu m’étonnes, mais au fait, tu m’as pas dit pourquoi elle était aussi furax contre lui ! Il a essayé de la tripoter comme avec Saeko ?  

- Ca va pas la tête !!!! Il manquerait plus que ça !!!!  

- Ben quoi, alors ? Si elle a sorti la grosse artillerie, c’est qu’elle a une bonne raison.  

- Bon ok, je te le dis mais tu me jures que tu lui dis pas que je te l’ai dis !  

- Promis, juré, craché, fit-il tout en s’exécutant et en se rendant compte qu’il venait de cracher sur un passant.  

- Eh bien, l’autre nuit, on a fait la même chose que Kazue et toi, comme tu as si bien su t’en vanter hier.  

- Et alors, il a voulu participer ? rétorqua Mick pendant que John et Ryô tombaient à la renverse. (NDB : il devient malsain le Mick !!)  

- Non, mais t’es pas possible toi, j’ai un père obsédé, d’accord, mais pas complètement détraqué !!!!!!!  

- Ben alors, quoi ? Moi, je vois pas ce qu’il a pu faire ?  

- Il nous a piqué un truc dans la chambre pendant qu’on était en pleine action, là, t’as compris ? cria Ryô dans l’appareil.  

- T’as qu’à mettre un haut parleur sur le toit, je crois qu’il y en a qui n’ont pas entendu à l’autre bout de la ville, fit soudain une voix plus que familière derrière lui. (NDB : Aïe, ça va barder…)  

- Oups ! fit Mick de l’autre côté de la rue. Bon ben, je te laisse, à bientôt mon pote, bonne chance, fit-il en raccrochant sans même dire « un, deux, trois ».  

 

Ryô n’osait même pas se retourner, il sentait une aura furieuse juste derrière lui et il s’attendait au pire des châtiments.  

 

- Mon cœur, mon amour, t’es déjà réveillée ? (NDA : petite variante de la chanson d’Anaïs, qui me fait trop délirer, par contre par rapport à la chanson, Mick, lui, a raccroché de suite lol)  

- Et comment que je suis réveillée, tu peux me dire à quoi tu joues de si bon matin avec ton comparse de l’autre côté de la rue ?  

- On contemplait ton œuvre, fit-il tout penaud en se retournant avec l’air d’un enfant pris en faute.  

- Et t’avais besoin, d’étaler notre vie privée sur les ondes ?  

- Ben, tu connais Mick, il aurait fini par le savoir, quand il veut savoir quelque chose….  

- Tu vas…. Excuse-moi, je reviens, fit Kaori en mettant une main devant sa bouche avant de foncer vers la salle de bains.  

- Bon, si on filait en douce, proposa Ryô à son frère.  

- Moi, je vais me recoucher, j’ai rien à me reprocher, ce qui n’est pas ton cas.  

- Lâcheur, t’es sûr qu’on est de la même famille ? fit Ryô d’un ton boudeur.  

- Oh que oui, t’es une version plus jeune du mec pendu par la fenêtre, ça je peux te l’assurer ! fit John en rigolant et en se dirigeant vers sa chambre.  

- Tous des lâcheurs, fit Ryô pour lui-même.  

- Je t’aurais bien aidé, mais là, je vais avoir un peu de mal, fit une voix qui semblait venir d’outre-tombe.  

 

Ryô se pencha par la fenêtre et put constater que son paternel était réveillé et qu’il rigolait à s’en décrocher la mâchoire.  

 

- A votre place, je la ramènerais moins, c’est pas moi qui suis attaché au bout d’une corde !  

- Peut-être, mais c’est toi qui vient de t’attirer les foudres de ta tendre épouse, tu veux qu’on échange ?  

- Très drôle, de toute façon, elle ne peut pas m’en vouloir autant qu’à vous.  

- Après ce que tu viens de faire, je crois qu’on est à égalité !  

 

Notre nettoyeur s’imaginait déjà dans les oubliettes de l’immeuble ou se balançant au bout d’une corde à côté de son père quand il se rendit compte que Kaori tardait un peu à revenir.  

 

Il se dirigea prudemment vers la salle de bains, on peut même dire qu’il y alla sur la pointe des pieds tellement il avait la trouille. Il poussa la porte et la trouva évanouie sur le sol. Son sang ne fit qu’un tour et après avoir réveillé John en fanfare afin qu’il veille sur Kaori le temps qu’il s’habille, il emmena sa femme, enveloppée dans une couverture et fila avec la mini en direction du cabinet du Doc.  

 

Pendant le trajet, Kaori reprit conscience et lui demanda ce qu’il fichait.  

 

- Ecoute, mon cœur, je t’ai trouvé dans les vapes dans la salle de bains et sans vouloir t’affoler, je crains que ce je prenais pour une gastro ne soit plus grave, donc je préfère t’emmener chez le Doc.  

- Dis plutôt que tu as trouvé une échappatoire à ta punition, fit-elle, en lui balançant une massue sur le crâne, ce qui fit faire une embardée à la voiture.  

- Mon amour, s’il te plaît, je suis en train de conduire, alors si ça ne te dérange pas trop, tu me règleras mon compte plus tard.  

- Si tu crois que…. Ryô, je vais vomir.  

- Pas dans la voiture, mon cœur, je viens de changer les housses … (NDB : rhoo le saligaud !)  

 

Il se prit une massue de 2000 tonnes estampillée « arrête la voiture, crétin ! »  

 

- Ok, mon amour, ça va aller ?  

- Je suis malade comme un chien et il me demande si ça va aller !! Tu te fous de moi, c’est ça !!!!!  

- Non, mon cœur, je m’inquiète, c’est tout. C’est bon, on peut finir d’arriver chez le Doc ?  

- Ouais, fit-elle de fort mauvaise humeur. Roule et dépêche-toi avant que ça recommence !  

- Pas de problèmes, on y sera dans une minute.  

 

Le reste du trajet se fit en silence. Il se gara devant le cabinet du Doc en faisant crisser les pneus. Kaori voulut descendre seule, mais elle fut prise de vertiges et Ryô la rattrapa juste avant qu’elle ne tombe à nouveau dans les pommes.  

 

Il pénétra dans la salle d’attente et le Doc vint aussitôt à leur rencontre.  

 

- Elle est blessée ? demanda-t-il aussitôt par habitude.  

- Mais non, je croyais qu’elle avait une gastro mais elle s’est évanouie.  

- Une gastro, tu dis ! Et pourquoi ? Quel est ton diagnostic, Monsieur Je Sais Tout ?  

- Ca va, Doc ! Prends pas la mouche !  

- Explique les symptômes que tu as remarqués, Docteur Saeba !  

- Elle se levait toutes les nuits pour aller aux toilettes alors j’en ai conclu que, enfin, tu sais bien…  

- Et ensuite…  

- Eh bien, ce matin, elle a foncé dans la salle de bains et je l’ai retrouvé par terre.  

- Mais encore…  

- Je te l’ai amené, mais elle a vomi en route et elle s’est évanouie en arrivant !  

- Bon, je vais l’ausculter, attends moi ici, je pense qu’après quelques examens, je pourrais t’en dire plus.  

- Tu penses que c’est grave ?  

- Non, je ne pense pas, enfin ça dépend de quel côté on se place !  

- De quoi ? fit Ryô éberlué mais le Doc l’avait planté dans le couloir et avait fermé la salle d’examens.  

 

 

John et Mick étaient accoudé, chacun à une fenêtre des immeubles qui se faisaient face et ils discutaient du départ précipité de Ryô et Kaori grâce au talkie-walkie.  

 

- Tu sais ce qu’il lui arrive ? demanda Mick.  

- Il l’a trouvé évanouie dans la salle de bains, mais j’en sais pas plus, je suis pas médecin.  

- Je devrais peut-être réveiller Kazue et l’emmener chez le Doc, peut-être qu’ils peuvent avoir besoin d’elle ?  

- Si c’est le cas, je pense qu’ils l’appelleront, pas la peine de la réveiller et de l’affoler pour rien.  

- T’as raison l’Anglais. Tu sais que t’es pas bête, c’est pas comme ton frangin ! fit-il en pouffant de rire.  

- Pfff…. Vous ne vous lassez jamais de vos petits jeux de gamins ? demanda John qui était quand même légèrement plus jeune qu’eux et apparemment plus mature.  

- Non, pourquoi ? A quoi sert la vie, s’il faut toujours être sérieux, faut bien s’amuser, sinon autant se mettre un balai dans le… (NDB : oh, shocking !)  

- STOP ! Ca va, j’ai compris, laissez tomber, s’empressa de dire John embarrassé.  

- Eh, mon pote ! cria Mick  

- Quoi, encore ?  

- Je crois que ton papounet essaie de te dire quelque chose, il arrête pas de gesticuler. C’est marrant, on dirait un asticot au bout d’une ligne ! (NDB : pas sympa avec lui…) s’esclaffa Mick.  

 

John se pencha vers son père et comprit de suite ce que ce dernier voulait. Il voulait que son fils le libère.  

 

- Pas question, j’ai pas envie de me retrouver en rouleau de printemps, moi aussi, si Kaori découvre que je vous ai décroché de là ! (NDB : Kaori la terreur, ouarf !)  

- Mais c’est important !  

- Ben voyons, oui, il est important que vous fichiez le camp avant que Kaori ne revienne finir le travail, c’est ça ?  

- Mais non, elle est malade et moi je sais pourquoi !!  

- Eh ! L’Anglais ! Qu’est ce qu’il raconte ton paternel ? cria Mick dans l’appareil.  

- Il sait, soi-disant, ce qui arrive à Kaori !  

- Ah, parce qu’en plus d’être un espion à la retraite, il est aussi médecin ?  

- Dis à cet amerloque de se mêler de ses oignons et délivre moi de suite, il faut que je rejoigne ton frère avant qu’il ne sache…  

- Mais qu’il ne sache quoi, à la fin ?  

- C’est pas à moi de te le dire, mais, je veux être présent !  

- Eh bien, si vous ne me dites rien de suite, vous resterez pendu à la fenêtre !  

- Ton frère commence à déteindre sur toi et je n’aime pas du tout ça, tu sais, John ! hurlait le Duc en gesticulant au bout de sa ficelle.  

- Mais bon sang, cria Mick. Qu’est ce qu’il a cet asticot à s’énerver comme ça.  

- Il soutient qu’il sait ce qui se passe et qu’il doit aller impérativement chez le Doc !  

- Eh ben, coupe la corde ! Et nous, on l’escorte jusque là-bas, comme ça on saura aussi, fit Mick avec un clin d’œil.  

- Couper la corde !!! Mais il est barjot, cet Américain à la noix !!! cria le Duc avant que son fils ne s’exécute avec un petit regard sadique en coin.  

 

Le Duc atterrit dans un grand fracas en bas de l’immeuble et le temps qu’il arrive à se dépatouiller de son paquetage, son escorte personnelle lui passait une paire de menottes avec une espèce de laisse et le poussait dans la voiture de Mick, malgré ses protestations offensées. Le trajet promettait d’être long pour ce convoi exceptionnel….  

 

 


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