Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 20 :: Chapitre 20

Pubblicato: 06-08-06 - Ultimo aggiornamento: 06-08-06

Commenti: Bonjour, bonjour ;) Me revoilà avec la suite des aventures de Ryô et sa famille ( je sais, j'ai mis le temps !!), dans ce chapitre j'ai abordé le passé du Duc, il avait un peu de temps devant lui pour se remémorer tout ça lol Bref, j'espère que ça vous plaira ! Je remercie ma Superstar Choucroutée pour ses supers corrections ;) Je vous remercie pour vos reviews, n'hésitez pas à en mettre d'autre, ça fait toujours plaisir et c'est fou ce que c'est motivant ;) Gros poutoux et bonne lecture ;) A bientôt...

 


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Pendant que Ryô, Kaori et John discutaient tranquillement dans la cuisine, le Duc réfléchissait plus que sérieusement au moyen de sortir de cette oubliette.  

 

La première idée qui lui vint fut d’empiler toutes les massues qu’il s’était pris sur la tête afin de faire une colonne qui grimperait jusqu’au sommet, il avait vu ça dans Fort Boyard, un gars devait empiler des livres pour parvenir jusqu’à la clé (NDA : je ne sais pas si cette épreuve existe toujours mais c’était trop bidonnant de les voir essayer de grimper et de se prendre des gadins à chaque fois car la pile s’effondrait lol).  

 

Bien sûr, ses tentatives furent toutes malheureuses et finissaient toujours par un vol plané de notre Duc qui atterrissait la tête la première à son point de départ, c'est-à-dire le sol.  

 

Il faut dire qu’essayer de faire tenir en équilibre une colonne de massue géantes et de diverses tailles, c’était plutôt mal barré, même s’il essayait de consolider la base avec « Big Ben » et les autre projectiles qu’il avait pu recevoir sur le crâne…  

 

Il fit donc une pause tout en se demandant par quel étrange hasard, son fils et lui avaient épousé des femmes qui balançaient ce genre d’engins. C’est là qu’il commença à se remémorer toute sa vie d’homme marié.  

 

Sa première épouse était douce, mais il faut dire aussi, qu’à l’époque, lui, était sage. C’était son premier amour et il n’avait pas encore cette fâcheuse manie qui le mettait toujours dans des situations embarrassantes comme celle où il se trouvait actuellement, par exemple.  

 

Non, cette manie, lui était venue que bien après.  

 

Quand il avait perdu la mère de Michael, il était inconsolable, mais il avait gardé la tête sur ses épaules pour le bien-être de son enfant qui n’aurait jamais la chance de connaître sa mère.  

 

Ensuite, il avait rencontré, Rui, la belle japonaise au tempérament de feu.  

 

Au début, il pensait qu’elle serait seulement une amie mais il avait découvert que l’amour, le vrai, pouvait se manifester plus d’une fois dans une vie.  

 

Il était facilement tombé amoureux de cette beauté asiatique avec qui, il avait dû collaborer lors d’une mission. La belle avait succombé à son charme légendaire (NDA : Ca va les chevilles, Lord Harrington ? NDD : Ben quoi, j’étais beau gosse, moi ! Et d’ailleurs, j’ai encore de beaux restes ! NBA : PTDR, si vous le dites, mais franchement, on n’est pas là pour débattre de ce sujet, vous ne trouvez pas ? NDD : D’accord, je dis plus rien…)  

 

Bref, ils étaient tombés amoureux l’un de l’autre et après une liaison torride et orageuse, il avait fini par l’épouser. Ce qui n’avait pas manqué de faire grincer certaines dents dans son milieu social, car personne n’était contre le fait qu’il se remarie mais il aurait pu choisir une Anglaise…  

 

Mais comme jamais il ne s’était laissé dicter sa conduite, il avait épousé la belle Ruï et avait eu le bonheur qu’elle lui donne un second fils.  

 

Ils avaient vécu heureux jusqu’au jour maudit de l’accident d’avion et c’est à partir de ce jour là qu’il changea de comportement.  

 

Il s’était renfermé sur lui-même, on disait de lui que c’était un excentrique mais il se fichait bien du qu’en dira-t-on et surtout de ce qu’on pouvait dire de lui. La seule chose qui lui importait c’était que les personnes qu’il aimait, finissaient toujours par disparaître.  

 

Il ne s’occupa donc plus que de son fils aîné tout en continuant à chercher l’autre, car il était persuadé qu’il vivait toujours.  

 

Les gens disaient de lui qu’il était fou et c’est cette rumeur de folie qui provoqua en lui ce changement de comportement.  

 

A partir de ce moment là, quand il était obligé de se rendre dans des mondanités qui le rasait au plus haut point, il prit l’habitude de faire ce qui au début était des farces mais qui devint rapidement une manie incontrôlable et irrécupérable.  

 

Quelques temps après, il rencontrait son épouse actuelle. Elle avait un cousin espion qui avait disparu et le gouvernement ne voulait rien faire pour lui. Elle avait entendu parler des activités du Duc et lui avait demandé son aide.  

 

C’est au cours de cette mission que Monsieur le Duc avait trouvé son maître, enfin plutôt sa maîtresse. Lui qui s’était bien juré de ne plus jamais aimer quitte à passer pour un vieux pervers dégénéré, s’était fait mâter par cette femme au tempérament de tigresse et qui ne s’en laissait pas compter.  

 

Résultat, quelques mois après avoir, accessoirement, sauvé le cousin, il était marié pour la troisième fois.  

 

Depuis, il faisait encore des siennes mais sa chère et tendre épouse, mère de ses deux derniers enfants, était là pour veiller au grain et éventuellement lui balancer ce qu’elle avait sous la main en cas de dérapage.  

 

C’était tout de même marrant, il n’avait trouvé une sorte d’équilibre au milieu de ses malheurs qu’en faisant l’andouille et en trouvant la perle rare qui pourrait le calmer dans ses délires.  

 

Et le plus drôle, c’est qu’apparemment son fils perdu avait suivi le même chemin que lui sans le savoir. Ce qui indiquait bien que de ses trois fils, celui qui lui ressemblait le plus était Ryô, sans l’ombre d’un doute, la génétique avait parlé.  

 

Après sa petite pause, il décida de tenter l’escalade de la paroi, il démancha toutes les massues et s’en servit comme pieux qu’il enfonçait dans le mur (NDA : je sais c’est peut-être pas très réalisable mais après tout on est dans un manga et puis je vais quand même pas mettre qu’il se tient au mur avec les dents ça ferait peut-être trop lol Imagine qu’il avait un dentier, ouarf !).  

 

Après des heures d’effort et d’entêtement, il parvint à sortir de son trou, mais il était sur les rotules. Il était tellement fatigué qu’il pénétra dans l’appartement en rampant.  

 

Le soleil s’était couché et apparemment tous les occupants de la demeure en avaient fait autant. Il décida donc de se rendre dans sa chambre mais était tellement crevé qu’il grimpa les escaliers à quatre pattes.  

 

En passant devant la chambre de son fils et donc de sa belle-fille, il essaya de ne pas se faire remarquer mais soudain la porte s’ouvrit brusquement et il leva difficilement la tête pour apercevoir une furie avec une massue à la main.  

 

Il lui dit que tout ce qu’il voulait c’était dormir et implora son pardon pour toutes les bêtises qu’il avait pu dire ou faire.  

 

Kaori le regarda longuement et finit par lui dire qu’il pourrait dormir.  

 

Quelques instants plus tard, il était enroulé dans un matelas qui pendait au bout d’une corde par la fenêtre de la chambre. (NDB : MDR)  

 

Apparemment, sa belle-fille avait la rancune tenace…  

 

 

 


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