Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 17 :: Chapitre 17

Pubblicato: 16-03-06 - Ultimo aggiornamento: 16-03-06

Commenti: Salut à tous les lecteurs de ma fic, voilà un nouveau chapitre et j'espère qu'il vous plaira ;) En tout cas merci pour vos reviews qui m'ont fait très plaisir, n'hésitez pas à en mettre d'autres, j'adore ça lol. Gros poutoux à tout le monde et spécialement à ma Superstar, la Lucky Luke des Betas pour sa correction hyper rapide ;) Bonne lecture et à bientôt pour la suite...

 


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Kaori se tourna vers Saeko qui était complètement hallucinée devant ce spectacle et l’entraîna vers la cuisine. Elle demanda à Kazue et Miki de venir avec elles pour l’aider à mettre quelques points au clair. Avant de refermer la porte de la cuisine, Kaori pria Falcon de bien vouloir surveiller les trois suspects.  

 

Ryô se mit à rire et s’extirpa du canapé pour aller, en sautillant sur un pied, s’installer dans un fauteuil en face. Il dit à Umibôzu de faire de même et invita Mick, le Duc et John à s’asseoir dans le sofa afin d’attendre les conclusions de l’enquête.  

 

- Ryô, mon ami, tu me crois, tu sais que ce n’est pas moi ! Dis leur, s’il te plaît ! implora Mick.  

- Oui, effectivement, je sais qui c’est et je plains le fautif, car quand elles auront fait les mêmes déductions que moi, il aura intérêt à numéroter ses abattis ! rétorqua Ryô en rigolant. T’es pas d’accord avec moi, Umi-Chou ?  

- Arrête de m’appeler comme ça ! grommela le géant. (NDB : rhoo, qu’est ce que j’aime bien quand notre Umi grogne comme ça !) Mais effectivement, le coupable va le sentir passer !  

- Qu’est ce que vous voulez dire ? demanda le Duc.  

- Eh bien, voyez vous, dans la pièce là-bas, sont réunis la moitié de City Hunter, une inspectrice de police, une ancienne mercenaire, une infirmière et croyez moi ça va faire à coup sûr un mélange détonnant pour non seulement percer à jour « Monsieur J’ai les Mains Balladeuses » mais de plus pour lui trouver le châtiment qui lui fera regretter son erreur ! (NDB : MDR !)  

- Donc l’autre femme est une infirmière, fit John constatant ce fait sans avoir l’air de trop s’inquiéter.  

- Effectivement et elle est capable d’utiliser du sérum de vérité afin de vous faire avouer et j’aime autant vous dire que s’il s’agit de Mick, c’est un homme mort ! rigola Ryô.  

 

Ils avalèrent tous les trois leur salive avec difficulté pendant que Ryô jubilait en attendant la sentence.  

 

Pendant ce temps-là, dans la cuisine, la conversation était très animée.  

 

- Ecoute, Kaori, je t’arrête tout de suite, je suis sûr de mon fait, fit Saeko.  

- Tu es sûre que c’est lui ? tu n’as même pas un petit doute ? rétorqua Kaori.  

- Je te rappelle que je suis inspectrice de police, j’ai l’habitude d’observer ce qui se passe autour de moi, même si je dois avouer que je ne m’attendais pas à une attaque de ce genre dans un moment pareil. C’est sans doute pour ça que le fautif a réussi son coup. (NDB : ouais, t’as qu’à pas mettre des jupes fendues jusqu’aux yeux si tu ne veux pas te faire embêter ! Bon ok je sors…)  

- Si c’est Mick, je l’étrangle, fit soudain Kazue qui commençait à ressembler à une cocotte minute.  

- Ca c’est peu probable, fit Saeko. Avec Mick, j’ai l’habitude, je le sens venir à des kilomètres, si cela avait été lui, il se serait retrouvé avec un de mes talons entre les dents ! (NDB : ben oui Mick, toujours dans la finesse !)  

- Et John ? fit Miki peu convaincue.  

- John ? Ah, c’est le fiston, fit Saeko. Non, il vous guidait grâce à l’ordinateur et d’après ce que j’ai pu voir il est plutôt consciencieux, sérieux et à moins d’avoir un troisième bras je vois pas comment il aurait fait !  

- Donc, c’est bien ce qu’on pensait, c’est lui, c’est le Duc ! fit Kaori qui commençait à avoir de la fumée qui lui sortait par les oreilles. (NDB : Kazue = cocotte minute ? Kaori a de la fumée ? Ca chauffe là !)  

- Parce que c’est un Duc ? Bonjour la bonne éducation, je comprends mieux pourquoi je l’ai pas vu venir !  

- L’expression, tel père tel fils est de rigueur ! plaisanta Miki.  

- J’aurais bien aimé que ce ne soit pas le cas, je te jure, fit Kaori. Mais maintenant il va falloir lui faire comprendre que chez nous, on n’agit pas comme il l’a fait sans conséquence.  

- Tu as raison, fit Miki. T’as une idée ?  

 

Les filles se regroupèrent et la fin de la conversation se termina en messe basse. Toutefois, les hommes qui attendaient dans le salon virent soudain arriver, à grande vitesse, deux objets volants parfaitement identifiés. L’un prit la direction de Mick tandis que l’autre bifurqua en direction de John. Les deux hommes eurent le même réflexe de se baisser au passage des massues qui s’encastrèrent dans le mur. (NDB : oups, les réductrices de tête !)  

 

- Mais elles sont folles ! hurla Mick. Puisque je me tue à vous dire que c’est pas moi, et pourquoi, il y a pas eu droit, lui ? fit-il en indiquant le Duc qui se trouvait entre John et lui.  

- Regarde ce qui est inscrit dessus, avant de crier au scandale, lui répondit Ryô.  

 

L’Américain se retourna alors vers l’objet qui avait failli l’assommer et constata qu’il y avait en effet une inscription : « Non coupable, tu peux souffler pour cette fois !! » Sur celle destinée à John, il était inscrit : « Non coupable, désolé d’avoir douté !! ».  

 

- Donc, si je comprends bien nous avons un gagnant ! fit Mick en rigolant tout en regardant le Duc.  

- Mais je ne vous permets d’insinuer de telles choses, fit Lord Harrington d’un ton outré. Junior, dis quelque chose !  

- Ah non, cette fois-ci, tu t’es fait coincer, débrouille-toi, quand je pense qu’elles m’ont soupçonné aussi ! répondit John énervé.  

- Dis donc, frangin ? fit aussitôt Ryô. Si je comprends bien, c’est pas la première fois.  

- Disons qu’en général, personne ne se rend compte que c’est lui et sa position lui permet d’en profiter car ça ne viendrait jamais à l’idée de qui que ce soit qu’il puisse avoir un tel comportement.  

- Ah ah ! Pris la main dans le sac, fit un Mick triomphant. Enfin plutôt dans le corsage, mais bon…  

- Junior, arrête de dire des inepties, tu sais très bien que tout cela est faux !  

- Vraiment, Père, vous voulez que je demande son avis à Maman ?  

- Non, surtout pas ça, tu veux ma mort ou quoi ?!  

 

Soudain, une sonnerie se mit à retentir, c’était l’air de « Toréador ». John palpa ses poches mais fit une grimace.  

 

- Que se passe-t-il ? demanda aussitôt le Duc. Réponds tout de suite sinon on est cuit !  

- Je n’ai pas mon portable, j’ai dû le laisser dans la cuisine quand je suis allé aider Susan tout à l’heure.  

- Ne me dis pas que ton téléphone est en ce moment même dans la pièce où on est en train de réfléchir à mon châtiment ? fit le Duc décomposé.  

- Pourquoi, il y a un problème ? demanda Ryô.  

- S’il y a un problème, bien sûr, qu’il y a un problème, c’est ma femme ! hurla-t-il.  

- Et si elle appelle c’est qu’elle s’est rendue compte de son absence, que Michael a été démasqué et qu’elle veut que je lui dise où se trouve son cher mari pour lui passer un savon ! ajouta John.  

 

En effet, l’air de cette chanson, dont les paroles disaient très clairement « prends garde à toi », résonnait dans la cuisine au grand dam d’un certain Lord Anglais.  

 

Les trois nettoyeurs explosèrent de rire, oui, même Falcon, qui après avoir tenté de se retenir, explosa lui aussi. John, quant à lui, souriait simplement pendant que son père passait par toutes les couleurs, vert, jaune, gris, blanc…. (NDB : comme les guirlandes électriques de Noël….)  

 

Dans la cuisine, les filles furent surprises par cette soudaine interruption. Kazue trouva le portable posé sur les livres de cuisine et le tendit à Kaori. Elle décrocha et eut la surprise d’entendre une voix féminine qui parlait anglais mais à un tel débit que Kaori ne comprit rien à ce qu’elle avait dit. Elle lui demanda de parler moins vite et finit par comprendre qu’elle avait en ligne la Duchesse de Graysmark.  

 

- Bonjour, Mademoiselle, il ne me semble pas avoir l’honneur de vous connaître, vous êtes une amie de mon fils ?  

- Oui, c’est effectivement le cas, répondit Kaori.  

- Très bien, dans ce cas, pouvez-vous me le passer, s’il vous plaît.  

- C'est-à-dire qu’il est occupé pour l’instant mais si vous voulez je peux lui laisser un message, proposa Kaori qui ne savait pas trop quoi dire.  

- Vous pouvez faire mieux que ça, dites moi plutôt si son paternel est avec lui et si oui où vous êtes exactement ?  

- Effectivement, le Duc est bien ici et nous sommes au Japon.  

- Au Japon ! Mais que diable font-ils là-bas, encore un coup de ce vieil obsédé, il a pas trouvé plus loin pour échapper à ma colère. Quand je pense qu’il s’est pris des vacances et qu’il m’a collé son fils aîné dans les pattes pour donner le change, si je le coince, je le tue ! En plus je parie qu’il en profite pour compter fleurette à tout ce qui porte jupon, cette fois, il est allé trop loin, je vais l’étrangler ! (NDB : rhoo, sacré caractère la Moman !)  

- Hum, en fait s’il est venu ici, c’est pour votre fille, répondit Kaori qui ne pouvait s’empêcher de défendre un tout petit peu son « joli papa ».  

- Comment ça ma fille ? Elle est en voyage de noces, c’est ridicule.  

- En fait, elle a été enlevée et votre mari est venu ici accompagné de John pour la trouver mais je vous rassure tout de suite, tout va bien. Mon mari et ses amis les ont aidé et Susan va très bien.  

- Donc vous pouvez me jurer qu’il n’a rien fait de répréhensible ?  

- Eh bien, pour être franche, quand vous avez appelé, nous étions en train de réfléchir à une punition le concernant car il a eu un geste déplacé.  

- Je le crois pas, notre fille est en danger et il faut quand même qu’il fasse l’imbécile ! Alors, qu’avez-vous décidé ?  

- Eh bien, on hésite encore, mais peut-être auriez-vous une idée puisque visiblement, il n’en est pas à son coup d’essai ?  

- Effectivement, j’ai une idée et je vous jure qu’il va se tenir tranquille, alors écoutez-moi bien… (NDA : Quoi, j’en dis pas plus, ben non, c’est une surprise lol)  

 

Les filles écoutèrent attentivement les instructions de la Duchesse et après avoir bien préparé leur sentence, elles rejoignirent le salon. Elles s’alignèrent en rang face au Duc comme des jurés à un procès. Une massue apparut dans les mains de Kaori qui la lança en direction du Duc et qui s’encastra dans le mur derrière lui. Ce dernier pu lire le verdict : « Le jury vous a reconnu COUPABLE ». Ryô commençait à se dire c’est tout quand Kaori toussota pour avoir l’attention de tous.  

 

- Après délibération, vous avez été reconnu coupable des faits qui vous ont été reprochés. Nous avons longuement délibéré pour savoir quel serait votre châtiment mais nous avons décidé qu’une seule personne était en mesure de le faire. Cette personne va prendre le premier avion en partance de Londres et j’ai le plaisir de vous annoncer que c’est votre épouse qui se chargera elle-même de la sentence !  

 

A ce moment, Lord Harrington eut comme un malaise et s’effondra sur le canapé. On aurait dit que le ciel lui était tombé sur la tête. Soudain, on entendit quelqu’un rire. Tout le monde se tourna vers John et ce dernier rétorqua qu’elles n’auraient pas pu trouver pire punition et il continua à rigoler.  

 

- Je ne la connais pas encore mais apparemment, le simple fait que Madame la Duchesse se pointe lui fait quasiment le même effet que si tu m’avais balancé une massue monumentale sur la tête, fit Ryô à l’attention de son épouse. Il est tellement sonné qu’on dirait qu’il s’est pris Big Ben sur le crâne !  

- Oui, apparemment, ça fait son petit effet, rétorqua Kaori avec un ton malicieux mais tout doucement afin que seul Ryô puisse l’entendre.  

 

Son mari lui jeta un regard étrange et après que le groupe d’amis eut fait de nombreuses suppositions sur ce que réservait Lady Harrington à son mari, chacun décida de rentrer chez soi. Kazue traîna son cher Mick jusqu’à la maison, Miki et Falcon prirent congé de façon plus conventionnelle et Saeko dit au revoir comme à regret à un John avec qui elle avait discuté un bon moment. (NDB : ça y est, la mante religieuse a trouvé une victime….)  

 

Leurs amis partis, John informa son frère qu’il était épuisé et qu’il allait se coucher. Le Duc quant à lui était toujours en état de choc sur le canapé et notre couple de nettoyeurs décida de le laisser là avec un air amusé.  

 

Ils rejoignirent leur chambre où ils pourraient enfin profiter d’un peu d’intimité après toutes ces histoires. Mais avant tout, Ryô était curieux concernant la punition du Duc, il avait bien senti que Kaori ne lui avait pas tout dit. Il décida donc de lui extorquer les informations par le moyen le plus délicieux qui soit. Il l’attrapa par la taille afin de plaquer son dos contre son torse et il l’embrassa dans le cou. Tout en faisant cela, il lui demanda si elle lui avait bien tout raconté, car même si la tête de son père valait le détour, il n’était pas sûr de vouloir une Anglaise de plus à la maison, même s’il était curieux de voir à quoi pouvait ressembler le châtiment anglais.  

 

Kaori sourit et se retourna pour embrasser passionnément son époux. Puis elle le regarda dans les yeux en lui indiquant qu’il n’avait aucun souci à se faire, que la punition avait déjà fait effet à son grand étonnement. Devant le regard d’incompréhension de Ryô, elle lui expliqua que la Duchesse n’avait jamais eu l’intention de venir et qu’elle attendrait bien sagement que son énergumène de mari rejoigne son foyer. Toutefois, pour marquer le coup, elle leur avait dit que le simple fait que son mari le croit était le plus sûr moyen pour le punir mais aussi pour le calmer.  

 

Ryô éclata de rire, en se disant, que finalement, il arriverait peut-être à s’entendre avec certains membres de sa famille. Kaori lui dit qu’elle n’en doutait pas mais que pour l’instant tout ce qui l’intéressait c’était l’entente plus que cordiale qu’il pouvait y avoir entre eux à cet instant précis. Elle le regardait avec un regard langoureux et elle l’embrassa à nouveau avant de pousser son blessé préféré, qui tenait en équilibre sur une jambe, sur le lit. Ryô se laissa faire bien volontiers et captura les lèvres de Kaori quand elle le rejoignit. Ensuite, les caresses et les gémissements se succédèrent et nos deux tourtereaux profitèrent pleinement de cette nuit de tranquillité, rien que pour eux.  

 

Ils ignoraient que quelqu’un avait encore des questions auxquelles il souhaitait des réponses et que malgré le fait que sa dernière heure serait bientôt venue, il ne lâcherait pas l’affaire comme ça…  

 

 

 


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