Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 30 :: Chapitre 30

Pubblicato: 22-04-09 - Ultimo aggiornamento: 22-04-09

Commenti: Hello, everybody, hello ;) Eh non, ce n'est pas une hallucination d'optique, vous ne rêvez pas, je suis bien de retour avec les aventures de la famille de Ryô, je me suis bien éclatée à me remettre dans cette histoire et j'espère que ça vous plaira, merci pour vos reviews et désolée pour le retard. Merci à ma Superstar pour sa correction. A bientôt, et bonne lecture ;)

 


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Le Duc rangea tranquillement son téléphone portable dans l’une des poches de son manteau et plia la carte qu’il retournait dans tous les sens depuis un bon moment. Il se disait que c’était la providence qui lui envoyait cette aimable jeune fille car ce n’est manifestement pas avec l’aide de son fils qu’il parviendrait chez Izumi.  

 

- Alors, charmante demoiselle, vous connaissez sûrement la demeure des Tanaka et je serais enchanté de vous avoir pour guide.  

- Vous êtes sûr que c’est vraiment le lieu où vous devriez vous trouver actuellement ?  

- Pourquoi cette question ? Vous pensez que je ne serais pas le bienvenu ? Je connais la maîtresse des lieux, nous sommes de vieilles connaissances.  

- Justement, c’est bien ça qui m’inquiète !  

- Comment cela ? Vous semblez bien en savoir sur mon compte pour évoquer de telles réticences.  

- En effet, je sais exactement qui vous êtes et surtout qu’en ce moment vous n’êtes pas vraiment en odeur de sainteté au domaine.  

- Mais qui êtes-vous donc ?  

- Je ne sais pas si je dois vous le dire… Déjà, rien que le fait que vous soyez ici, en ces lieux, je me demande comment je vais me débrouiller pour vous faire disparaître discrètement avant que les gardes ne se rendent compte de votre présence et je n’ai vraiment pas besoin de m’attirer les foudres de la maîtresse de maison juste parce que j’aurais eu le malheur de tomber sur vous.  

- Votre visage me semble familier (continua le Duc sans prêter attention à ce qu’elle racontait), je connais vos parents ?  

- Vous connaissez ma mère, fit Yoriko tout en réfléchissant le plus vite possible au moyen de gérer la situation.  

- Votre mère !! Bon sang, j’ai passé pas mal de temps dans le coin à une époque, se pourrait-il que vous et moi ayons un lien de parenté ?  

- Oui, effectivement.  

- Pourtant je n’ai pas souvenir d’avoir eu de relation soutenue avec une autre personne que ma défunte épouse dans le coin. Qui a bien pu vous dire que je serais votre géniteur ?  

- QUOI !!!! Mon géniteur, mais vous êtes fou, je n’ai rien dit de tel !!!  

- Vous avez dit que nous avons un lien de parenté, je ne suis pas fou.  

- Je ne suis pas votre fille, je suis votre nièce, c’est aussi un lien de parenté, non ?  

- Ma nièce, mais je n’ai pas de nièce japonaise !!!  

- Peut-être que votre arbre généalogique vous a trop obnubilé au point d’avoir oublié certaines ramifications de la famille.  

- Je me trompe ou vous avez dernièrement croisé un type venant de Shinjuku et qui dit que je ne pense qu’à ma descendance, mes ancêtres et mon héritage familial.  

- Je n’ai pas encore eu cet honneur mais en effet, j’ai eu quelques échos le concernant.  

- Vous le connaissez donc…  

- Pas personnellement, mais j’ai beaucoup entendu parler de lui ces temps-ci.  

- Et qui aurait pu vous parler de lui, si ce n’est trop vous demander ?  

- Ma mère et son épouse également.  

- Votre mère, mais qui est votre mère, bon sang !!!  

- La tante de mon cousin, votre fils en l’occurrence, vous voyez de qui je vous parle ?  

- Non, lâcha-t-il pendant que Yoriko voyait passer une bordée de libellules.  

- Vous plaisantez, vous vous croyez où ici ?  

- Perdu en pleine cambrousse à la recherche du domaine des Tanaka.  

- Et vous êtes en plein dedans.  

- Ah, donc je ne suis pas perdu, vous ne pouviez pas le dire plus tôt !!  

- Je crois que ma mère a raison, vous êtes un phénomène très spécial.  

- Votre mère, votre mère, elle ne manque pas de toupet de parler de moi ainsi alors que je ne la connais même pas.  

- C’est pourtant votre belle-sœur !!!  

- Ma quoi…. Oh, bon sang de bois, vous êtes la fille de la vi…. Hum de cette chère Izumi, fit-il avec un grand sourire.  

- Arrêtez, ce n’est pas la peine, j’ai entendu la façon dont vous parliez d’elle, mais je vous rassure, elle en a autant à votre encontre !  

- Ça me soulage, en effet…  

- Bon, très bien, maintenant que les choses sont claires, vous allez me suivre et sans discussion.  

- Mais pourquoi ? Si je suis arrivé, autant m’annoncer à ma… hum… belle-sœur.  

- Vous plaisantez, il ne faut absolument pas qu’elle soit au courant de votre présence. Une mission doit être accomplie, à priori vous pouvez m’y aider mais il est hors de question que l’on sache que vous êtes ici !  

- Une mission ?!  

- Nous en reparlerons plus tard, suivez-moi, je pense que je sais où je vais vous installer, vous serez assez proche pour m’aider sans vous faire remarquer.  

- Si je n’ai pas le choix, allons-y…  

 

Elle se dirigea vers son cheval, attrapa les rennes puis fit signe au Duc de la suivre en direction du petit bois.  

 

En chemin, il lui expliqua comment il avait fini par atterrir à pied au milieu de ce chemin. Il avait pris un chemin de traverse à plusieurs kilomètres mais il avait embourbé la voiture, faute de pouvoir continuer en roulant il avait continué à pied. Il s’était perdu et puis heureusement il était tombé sur elle.  

 

Comment il avait atterri ici importait peu à Yoriko, mais elle le laissa faire ; apparemment cet homme aimait beaucoup s’entendre parler et du moment qu’il ne la gênait pas dans la mise au point de son plan, il pouvait bien lui réciter l’annuaire téléphonique, elle s’en fichait puisqu’elle ne l’écoutait pas.  

 

Ils arrivèrent bientôt près d’une maison recouverte de lierres, l’entretien laissait à désirer comme s’empressa de l’indiquer le Duc mais Yoriko l’ignora ; elle ouvrit la porte, lui colla un balai dans les mains et lui dit de s’installer, qu’il pouvait faire comme chez lui. Puis elle le planta là en lui expliquant qu’elle reviendrait plus tard avec des provisions et que surtout il ne fallait pas qu’il mette le nez dehors sous peine de se faire remarquer.  

 

Quand il évoqua la mission dont elle avait parlé, elle lui dit qu’ils en parleraient quand elle reviendrait, qu’elle savait des choses et que manifestement lui aussi et qu’en les mettant en commun ils pourraient s’organiser au mieux.  

 

Elle remonta sur son cheval et repartit en direction de la maison tandis que le Duc regardait le balai qu’elle lui avait mis dans les mains avec incrédulité. En pénétrant un peu plus dans ce qui serait désormais son repère, il compris de suite que cette jeune fille ne lui avait pas seulement collé un balai dans les mains pour lui clouer le bec après sa réflexion sur l’entretien du bâtiment, mais il avait effectivement du ménage à faire et si sa famille l’avait vu en train de faire le ménage, ils seraient tous tombés à la renverse !  

 

Yoriko laissa sa monture aux écuries et rejoignit la maison, elle croisa l’Américain dans le couloir ; apparemment il avait fini de draguer sa mère et il se dirigeait à nouveau vers la cuisine. C’était à se demander s’il pensait à autre chose que les femmes et la nourriture. Mais il faudrait tout de même qu’elle sauve quelques denrées pour pouvoir nourrir l’invité surprise qu’elle avait planqué dans l’ancienne maison des gardes-chasse.  

 

Elle verrait cela plus tard, pour l’instant, il fallait qu’elle traine du côté du bureau de sa mère afin de voir si les gardes avaient repéré l’intrus ou non. Elle avait fait vite mais avec eux on ne savait jamais, de véritables ombres qu’on voyait à peine et qui filaient directement faire leur rapport à la patronne. Si le Duc était repéré, il serait inutile qu’elle se fatigue à le cacher donc autant savoir de suite ce qu’il en était.  

 

Elle s’approcha discrètement mais apparemment sa mère était seule, elle n’avait pas l’air en colère, ce qui aurait été le cas à coup sûr en apprenant la présence de l’Anglais sur ses terres. Yoriko se décida à pénétrer dans le bureau afin de prendre la température. Sa mère l’accueillit avec un grand sourire, ce qui visiblement n’était pas le signe qu’elle savait pour l’Anglais mais c’était tout de même bizarre connaissant sa mère.  

 

Izumi accueillit sa fille avec un grand sourire et lui demanda si tout se passait bien avec les invités. Yoriko s’empressa de dire qu’elle n’avait pas eu de mauvais échos de leur part depuis leur arrivée mais qu’elle avait tout de même croisé l’Américain près de la cuisine. Izumi éclata de rire en disant que s’il restait longtemps, cet estomac sur pattes viderait leur réserve de nourriture en quelques jours !  

 

Rassurée par le fait, qu’à priori sa mère n’avait aucun soupçon sur la présence du Duc, elle prit congé en prétextant une visite à sa nouvelle cousine pour voir si tout allait bien.  

 

Elle se dirigea vers l’aile des invités et y trouva Kaori et Kazue en pleine conversation sur leurs hommes, d’ailleurs son visage vira au rouge à l’écoute de certains détails plus qu’intimes que les deux femmes se livraient sans se douter de la présence de leur hôte. Quand elle pénétra rouge comme une pivoine dans la chambre, les deux femmes comprirent de suite à la tête que faisait Yoriko qu’elle avait entendu une partie de leur conversation et que ses chastes oreilles n’étaient pas au fait de certains détails de la vie conjugale.  

 

Elles essayèrent de la mettre à l’aise en demandant si, par hasard, elle n’aurait pas vu Mick depuis qu’il était parti avec la maîtresse de maison.  

 

- Je l’ai croisé dans le couloir qui mène à la cuisine  

- Encore, mais il va me faire honte pendant tout le séjour ou quoi ? s’énerva Kazue  

- Calme-toi, il est peut-être seulement tombé sous le charme de la cuisinière ! fit Kaori, hilare.  

- Tu trouves ça drôle ? fit Kazue en lui balançant un oreiller.  

- Très, mais ne t’inquiète pas, quand ce sera mon énergumène de mari qui trainera dans les parages ce sera à mon tour de m’énerver et au tien de t’amuser à mes dépends.  

- J’ai hâte que les rôles soient inversés, fit Kazue d’un air malicieux.  

- Je me doute, mais j’aurais tout de même un petit service à te demander quand cette période viendra.  

- Tout ce que tu veux.  

- Tu pourras lui filer les coups de massues à ma place, parce qu’avec le bébé, je ne pourrais pas.  

- Avec plaisir ! fit l’infirmière en explosant de rire.  

- Et la pauvre Yoriko doit se demander qui sont ces deux folles fit Kaori en riant encore plus.  

- Oh non, je vois que vous êtes des femmes de poigne et que vous menez vos hommes à la baguette. Si j’osais je vous demanderais bien mais…  

- Quoi donc, Yoriko, n’aies pas peur, fit Kaori, nous sommes cousines.  

- Votre massue…. Euh… J’aimerais bien en avoir une, vous croyez que….  

- Sers-toi là-bas, je les ai mis dans l’armoire, prends ce que tu veux, indiqua Kaori en lui faisant un clin d’œil.  

- C’est vrai, je peux ??  

- Bien sûr, je me demande seulement qui tu peux avoir l’intention d’assommer avec…  

- Ben, peut-être Monsieur Angel, si vous n’êtes pas dans le coin pour le contrôler… En fait, j’ai trop envie d’essayer mais ne dites rien à ma mère, elle pense plutôt que je devrais apprendre le maniement du sabre.  

- La massue c’est un bon début, rétorqua Kaori. Et le sabre, je pense que je peux t’aider aussi mais on verra plus tard, défoule-toi avec la massue pour commencer, c’est assez difficile à manier et après tu passeras à l’étape suivante.  

- Merci, Kaori, vraiment je ne sais pas quoi dire, tu es vraiment trop gentille.  

- Mais ce n’est vraiment rien, je t’assure.  

- Vous devez me prendre pour une arriérée à ne rien connaître de la vie normale mais…  

- Ne dis pas une bêtise de plus, tu es très intelligente, ça se voit et en plus ta mère ne cesse de faire tes éloges.  

- Vraiment !?  

- Mais oui, cela t’étonne à ce point ?  

- Un petit peu…  

- Elle t’adore, tu es sa fille, elle est un petit peu bourrue mais c’est qu’elle est une chef de clan, elle doit se montrer ferme, pas le choix, une femme doit savoir se faire respecter, mais n’oublie pas que c’est ta mère et qu’elle t’aime plus que tout, ça c’est évident et flagrant, je peux te l’assurer.  

- Si tu le dis, cousine, fit Yoriko en souriant et en serrant fièrement la massue que Kaori venait de lui donner contre elle.  

- Kaori a toujours raison, fit Kazue.  

- Je veux bien le croire. Au fait, vous êtes bien installée, vous n’avez besoin de rien, c’était pour cela que j’étais venue au départ et du coup j’ai complètement oublié.  

- Tout va très bien, ne t’inquiète pas. Je pense que Kazue va aller voir ce que fait son cher et tendre dans la cuisine et moi je vais me reposer un peu avant le repas du soir. Après cela on se fera un bon gros dodo bien mérité pour terminer cette journée.  

- Quelque chose de particulier, une envie pour le repas ?  

- Ne te tracasse pas, je n’ai pas besoin d’un régime de faveur et je ne suis pas en sucre non plus !  

- Très bien Kaori, donc je vais vous laisser toutes les deux tranquille et je vous préviendrai quand ce sera l’heure du repas.  

- Mais tu ne nous dérange pas, tu peux discuter avec nous.  

- J’aimerai bien mais j’ai beaucoup de choses à régler.  

- Dans ce cas, à plus tard, cousine.  

- Oui, à plus tard.  

 

Yoriko quitta la chambre puis se dirigea discrètement vers la réserve de nourriture afin d’y prendre de quoi rassasier l’autre invité. Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’un estomac sur pattes avait trouvé la réserve et que caché derrière une étagère, il observa son étrange manège pour mettre de la nourriture dans un sac. Il se demanda pourquoi la fille de la maison avait besoin de piquer dans la réserve. C’est pourquoi, quand il se rendit compte qu’elle ne prenait pas la direction de sa chambre il entreprit de la suivre pour voir où elle comptait cacher tout ça.  

 

Arrivé dans le petit bois, il la vit pénétrer dans une petite maison qui semblait à l’abandon et il se demanda s’il serait possible que la gentille et sage petite Yoriko ait un amant caché. Piqué au vif par la curiosité, il s’approcha discrètement du bâtiment et plus particulièrement d’une des fenêtres afin d’apercevoir ce que Yoriko pouvait bien faire à l’intérieur.  

 

Il jeta un rapide coup d’œil et il failli tomber à la renverse. Yoriko ne rejoignait visiblement pas un amant vu l’âge de la personne qu’il avait aperçu, mais il se demandait bien ce qu’il fichait là. Quand Ryô apprendrait ça, il allait rappliquer illico presto et il n’allait pas faire dans la dentelle.  

 

Le plus surprenant c’était que la cousine de Ryô le cache, il ne comprenait pas, il réfléchissait à tout cela quand il sentit la pointe d’une lame dans son dos.  

 

- Vous n’êtes pas très efficace pour un professionnel, Monsieur Angel.  

- Il faut dire que je ne m’attendais pas à tomber sur vous en ces lieux, Monsieur le Duc.  

- Je vous trouble au point de relâcher votre attention.  

- Ne racontez pas de conneries, je me demandais seulement en combien de morceaux Ryô allait vous découper quand il apprendrait votre présence ici et c’était tellement amusant que j’avoue que ça m’a déconcentré.  

- Ah non, pas question qu’il l’apprenne, intervint Yoriko.  

- Vous êtes de quel côté au juste, Mademoiselle ? demanda Mick.  

- Du côté de la protection de Kaori et de son enfant !  

- Comment ça ? fit l’Américain.  

- Eh bien, j’ai eu une information sur un danger qui le menacerait et cela s’est confirmé quand je suis tombé sur ce monsieur, paumé en pleine cambrousse, qui s’égosillait contre son fils dans son téléphone tout en parlant d’informations concernant la sécurité de son descendant. Cela n’a fait que me conforter dans mes doutes et j’ai donc décidé de le planquer ici en attendant d’en savoir plus.  

- Mais pourquoi ne rien dire à votre mère et aux autres ?  

- Vous plaisantez, ils s’entendent comme chien et chat et en plus je ne suis pas sûre qu’elle le croirait, elle penserait que c’est une ruse pour approcher Kaori.  

- Pas faux. Alors vous comptez faire quoi ?  

- Comme je viens de vous le dire, il reste planqué ici, on ne dit rien, on voit ce qu’on peut savoir de plus sur ce danger et on agit en fonction. Vous êtes avec nous, Monsieur Angel ?  

- Je crois que je n’ai pas trop le choix mais si mon pote apprend que je fais équipe avec son paternel, alors là, je sens qu’il va me passer à la moulinette !  

- On avisera en temps voulu, le plus important est l’avenir du bébé. Si nous le sauvons, Ryô ne pourra en vouloir à personne, pas même à son père.  

- Vous êtes très maline, Mademoiselle Yoriko, fit Mick avec un clin d’œil. Bon je vous laisse installer le vieux croûton, je fais comme si j’avais rien vu et on se retrouve plus tard pour faire le point, ok ?  

- Pas de problèmes, fit Yoriko.  

- D’accord, mais le vieux croûton, préférerait que vous lui trouviez un autre nom de code, fit le Duc d’un ton vexé.  

 

Mick les laissa tout en rigolant. Il rejoignit la demeure où l’attendait de pied ferme sa douce moitié pour savoir où est-ce qu’il avait bien pu aller traîner ses guêtres. Il prétexta qu’il avait fait une reconnaissance du domaine mais elle ne le crut pas une seconde et lui balança une massue en lui disant qu’elle se doutait bien qu’il était allé repérer où se trouvaient toutes les jolies filles du domaine.  

 

Yoriko arriva quelques instants plus tard et elle le trouva la tête dans le sol comme une autruche et s’en voulu un petit peu du fait qu’il se soit fait cogner pour une fois qu’il n’avait rien fait de mal. Elle rentra dans la maison avec une grimace pendant que le nettoyeur essayait tant bien que mal de s’extirper du trou dans lequel sa compagne l’avait encastré.  

 

 


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