Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 18 :: Chapitre 18

Pubblicato: 23-04-06 - Ultimo aggiornamento: 23-04-06

Commenti: Salut tout le monde, voilà la suite que vous attendez tous, enfin j'espère :s Bref, "on en a pas finit avec eux", loin de là et j'espère que ça vous plaira ;) En tout cas je remercie ceux et celles qui me suivent dans cette histoire, vos reviews me font super plaisir et surtout je n'oublie ma Nanou, la Superstar des Betas, plus rapide que son ombre, qui me fait à chaque fois une correction nickel et des commentaires d'enfer lol Donc un grand merci à tout le monde et maintenant je vous laisse lire et me donner votre avis si le coeur vous en dit, moi j'adore ça, mais je vous l'ai déjà dit :lol Allez Bonne lecture, see you !!

 


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La nuit de notre couple de nettoyeurs fut des plus torrides et ils ne s’endormirent rassasiés l’un de l’autre que tard dans la nuit (ou plutôt tôt le matin lol). Quelques heures plus tard, Ryô se réveilla et se leva afin de sautiller jusqu’aux toilettes pour soulager l’appel de la nature. Il remarqua toutefois que son paternel avait disparu du canapé et se dit qu’il avait dû finir par aller se coucher quand il entendit des détonations au sous-sol. Sur le coup, il se demanda, si son père se préparait à tenir un siège contre sa femme qui devait venir lui tirer les oreilles. Il en rigolait encore en retournant vers sa chambre. Il allait ouvrir la porte quand elle s’ouvrit violemment et qu’il fut attiré à l’intérieur avant d’atterrir sur le lit.  

 

- Tu m’avais promis que tu ne recommencerais pas ! Et puis, franchement à quoi ça rime, maintenant qu’on est ensemble t’as vraiment plus besoin de fouiller dans mes sous-vêtements, t’es vraiment irrécupérable ! fit une Kaori rouge de colère qui s’apprêtait à lui abattre une massue sur le crâne.  

- De quoi ? Mais qu’est ce que tu racontes ? fit un Ryô interloqué.  

 

Kaori stoppa sa massue un instant devant l’air étonné de Ryô, puis décida de la faire disparaître pour l’instant.  

 

- Ne fais pas l’innocent ? Je me réveille, tu n’es plus là et comme par hasard, l’armoire est ouverte et on a fouillé dans mes affaires.  

- Désolé, mon cœur, tu te plantes de coupable !  

- Où est-ce que tu étais passé ? Tu n’étais pas en train de contempler ta collection de petites culottes ?  

- Franchement, mon amour, maintenant que j’ai la plus belle femme du monde dans mon lit et qu’elle me montre sa lingerie tous les soirs, je n’ai vraiment aucune raison de continuer ma collection. De toute façon, elle était bien fade à côté du spectacle que tu me réserves chaque nuit ! Au fait, tu sais que j’adore quand tu prends cette couleur rouge, t’es vraiment trop craquante, fit-il moqueur en voyant le visage gêné de sa tendre Kaori. (NDB : quelle belle déclaration de Ryô, j’adore quand ils sont comme ça tous les deux !)  

- Ne te moque pas de moi ! Donc, ce n’est pas toi, mais dans ce cas, c’est qui ?  

- T’es sûre que c’est dans tes dessous qu’on a fouillé ? fit-il soudain avec un regard soupçonneux.  

- Il n’aurait pas osé ?  

- Maintenant, je m’attends à tout avec lui !  

 

Aussitôt, Kaori fouilla l’armoire mais ne trouva pas ce qui aurait dû s’y trouver. Le coffret en argent avait bel et bien disparu.  

 

- Si je le coince, je lui fracasse la tête, fit Kaori. Oh mon Dieu ! fit-elle en mettant une main devant sa bouche après avoir pensé au moment du cambriolage.  

- Quoi ? Il a volé autre chose ? s’inquiéta Ryô devant le cri de sa femme.  

- Non, mais à ton avis, il a fait ça quand ? fit-elle avec une grimace. Tu crois qu’il est entré pendant qu’on faisait… enfin tu vois.  

- S’il a fait ça je le massacre ! fit un Ryô super énervé car il venait de comprendre à quoi faisait allusion Kaori.  

 

Il enfila un pantalon et sortit de la chambre en indiquant à Kaori qu’il pensait savoir où le coincer. Elle attrapa une des longues chemises de Ryô et le suivit. Ils descendirent les escaliers quatre à quatre et se retrouvèrent devant la porte de la salle de tir. On entendait distinctement des détonations. Ryô ouvrit la porte mais avant qu’il n’ait eu le temps de constater qui était à l’intérieur, une massue « espèce de dépravé !!! » le dépassa et fonça dans le mur opposé. La personne qui se trouvait là, l’évita de justesse et regarda les deux arrivants avec un regard étonné.  

 

- John ! C’est toi qui tire depuis tout à l’heure ? fit Ryô.  

- Effectivement, j’arrivais plus à dormir et il fallait que je m’occupe l’esprit.  

- Pourquoi ?  

- Je ne crois pas que cela te regarde ! fit le petit frère.  

- Ah ah ! Il y aurait pas une femme là-dessous ? fit Ryô avec un clin d’œil.  

- Non mais, tu vas te mêler de tes oignons ! rétorqua John d’une voix embarrassée.  

- Mais qui cela peut-il bien être, tu n’as eu beaucoup le temps de rencontrer des filles ces jours-ci !  

 

Soudain, il remarqua que son petit frère lorgnait sur les belles gambettes de sa chère et tendre Kaori qui ne portait qu’une chemise.  

 

- Alors là, je dis non, si t’as flashé sur ma femme, je te jure que ça va barder, elle est à moi et à personne d’autre, pigé !  

- T’inquiète pas ! fit Kaori, amusée par la jalousie de son mari. Je pense savoir qui est la dame de ses pensées et rassure toi, ce n’est pas moi !  

- Vraiment ? Et tu peux me dire pourquoi il te reluque comme ça ?  

- Sans doute parce que je m’attendais pas à la voir dans cette tenue ! rétorqua John. Au fait, qu’est ce que vous faites ici ? Ne me dites pas que je vous ai réveillé ?  

- Hum…. Non, en fait on cherchait le Duc et quand j’ai entendu les coups de feu, j’ai cru que c’était lui étant donné qu’il n’est plus dans le canapé.  

- Père ? Il a dû filer pendant la nuit, je me suis levée, il y a deux heures, il était déjà plus là !  

- Donc, il est bien venu pendant qu’on ….. fit Kaori qui avait de la fumée qui lui sortait par les oreilles.  

- Pendant que vous quoi ? fit John curieux.  

- Il a fouillé dans nos affaires pendant qu’on dormait ! insista Ryô.  

- Vous inquiétez pas, il reviendra bien, là il s’est mis au vert le temps que Maman se pointe ! Quand il verra qu’elle est repartie, il réapparaîtra ! Il vous a piqué quelque chose ?  

- Effectivement ! Tu dis qu’il reviendra quand elle sera partie, ce qui veut dire qu’il est dans le coin, à surveiller !  

- Exactement, il fait toujours ça ! Quand Maman arrive, c’est le genre « tous aux abris ».  

- Donc je vais te le déloger vite fait, moi, tu vas voir ! Il y a pas cinquante endroits d’où il peut surveiller l’appartement !  

 

Sur ce, il remonta rapidement à l’appartement pour finir de s’habiller et quitta l’appartement bien décidé à rapatrier son paternel par la peau du cou et en utilisant tous les moyens possibles pour le faire obéir.  

 

Pendant ce temps-là, Kaori avait proposé un café à John et après s’être habillée de façon plus décente, elle engagea la conversation sur ce qui tracassait son jeune beau-frère.  

 

- Alors qui est la dame de tes pensées, tu penses que c’est le grand amour ? attaqua directement Kaori.  

- En fait, je dirais plutôt que je suis troublé, ça me tracasse depuis hier.  

- Et pourquoi cela ? C’est bien d’être amoureux !  

- C’est pas ça ! C’est que j’ai déjà quelqu’un dans ma vie, quelqu’un de très important, je la connais depuis l’enfance mais en grandissant mes sentiments ont changé. Je l’aime, même si je ne sais pas si c’est le cas de son côté, d’autant plus que j’ose pas lui dire de peur de tout casser entre nous.  

- Je ne te dirais qu’une chose, t’es bien comme ton frère !  

- Pourquoi ?  

- Parce qu’il a mis huit ans avant d’admettre ses sentiments pour moi, cet idiot ! Il avait peur de me mettre en danger, quelle andouille !  

- De te mettre en danger, pourtant, d’après ce que j’ai pu constater, tu te débrouilles plutôt bien côté défense !  

- Oh ça, fit-elle en rougissant. C’est une sorte de don mais ce n’est pas le sujet de notre conversation. Qu’est ce qui te tracasse ? C’est la fille que tu aimes, c’est ça ? Fonce, tu verras bien et puis un gentil garçon comme toi a toutes les chances pour que ce soit réciproque !  

- Tu as sans doute raison, mais il y a cette autre femme.  

- Quelle autre femme ? demanda Kaori en ayant un mauvais pressentiment.  

- Votre amie, l’inspectrice, hier, on a un peu discuté et depuis je ne sais plus trop où j’en suis, elle est tellement charmante que je me suis mis à douter. (NDB : c’est normal qu’il soit troublé le pauvre gars, l’autre avec ses jupes fendues jusqu’aux yeux l’a emberlificoté, comme à son habitude ! Bon ok, je sors…)  

- Charmante ! C’est bien ce que je craignais ! Ah non, tu vas pas te laisser avoir par Saeko, toi aussi. Faire du charme, c’est comme si c’était son fonds de commerce, c’est la reine de la manipulation et tous les mecs se font avoir. Je t’en prie ne vas pas me dire que soudainement tu vas oublier ton amour pour l’autre fille… Comment elle s’appelle, au fait ? (NDB : quelle belle définition de Saeko, bravo Kaori, j’adore !)  

- Elle s’appelle Catherine.  

 

En entendant ce prénom, Kaori faillit recracher la gorgée de café qu’elle venait d’avaler. Puis elle se reprit pour mettre John en garde contre Saeko.  

 

- Tu as donc des sentiments pour cette Catherine ! Tu me dis que tu l’aimes depuis des années et maintenant tu viens me mettre Saeko au milieu. Réfléchis, bon sang ! Saeko, tu la connais à peine, certes, elle est très séduisante mais ta Catherine, tu la connais mieux et je suis sûre qu’elle est très jolie aussi, non ?  

- C’est la plus belle femme que je connaisse, fit-il d’un air songeur.  

- Bon, eh bien c’est réglé ! Tu oublies la tourneuse de tête et tu réfléchis à comment te déclarer à ta dulcinée.  

- C’est vrai, tu as raison. Le fait de t’en parler m’a fait complètement oublier le trouble que j’avais eu avec cette femme et maintenant je ne pense qu’à Cathy, fit-il en souriant. Merci Kaori, fit-il en se levant pour lui déposer un baiser sur la joue. (NDB : ouf, John l’a échappé belle !)  

- Pas de soucis, petit beau-frère, on est de la même famille à présent, je peux bien te conseiller. Et puis la Saeko a assez fait de dégâts comme ça ! (NDB : parfaitement !)  

- Vraiment ? fit John étonné.  

- Oh, tu peux me croire sur parole, mais c’est pas important, parle moi plutôt de ta chérie, conclut-elle avec un clin d’œil.  

 

Pendant ce temps, Ryô était parti à la recherche du Duc. Son premier arrêt avait été l’appartement de Mick, car ce dernier surveillait souvent ce qui se passait de l’autre côté de la rue, ce qui pouvait être pratique dans certains cas mais malheureusement cette fois-ci, il n’avait rien vu parce qu’il était trop occupé avec sa moitié tout comme l’avait été Ryô cette nuit-là. Sauf que lui, son père ne s’était pas introduit dans sa chambre pour piquer quelque chose dans l’armoire pendant les ébats amoureux de son fils ! Ryô évita de parler de ce détail et continua son enquête tout en ruminant sa vengeance.  

 

Ryô se balada dans tout le quartier à la pêche aux infos auprès de ses indics mais aucun homme correspondant de près ou de loin au Duc n’avait décidé d’élire soudainement domicile dans les immeubles avoisinant. C’était bizarre, comment il allait faire pour surveiller la venue de sa tendre épouse. Décidemment, son père était un drôle de loustic.  

 

Il eut soudain une idée, si Lord Harrington avait filé avec le coffret c’était peut-être qu’il avait l’intention d’en savoir plus à son sujet donc il suffisait d’aller voir dans les endroits pouvant le renseigner sur la propriétaire de ce coffret. Et Ryô savait parfaitement où ses investigations allaient le mener, jusqu’à Joséphine Beaulieu et à son histoire plutôt étrange. Il ne lui restait donc qu’à aller fouiner du côté de la maison de cette dame afin de voir si on aurait aperçu son paternel et après il irait voir aux services de l’état civil, si quelqu’un avait demandé des renseignements sur cette femme.  

 

Près de l’ancienne résidence de Madame Beaulieu, il ne trouva personne qui avait aperçu son père, il se dirigea donc vers les services de l’état civil où une employée lui indiqua qu’un homme avait effectivement demandé des informations sur cette femme et qu’il avait l’air un peu déçu par le peu de choses qu’elle avait pu lui dire. Toutefois, il s’était rendu auprès de son collègue qui gérait la gestion de l’enregistrement des testaments et apparemment il y était toujours car elle ne l’avait pas vu repasser par l’accueil. Ryô s’y dirigea aussitôt, après avoir remercié la demoiselle pour son aide.  

 

Arrivé près du bureau en question, il vit sortir un vieil homme avec des cheveux longs et grisonnants. Cet homme avait un attaché-case et ressemblait à un homme de loi mais un détail significatif attira l’attention de Ryô. Une canne avec un pommeau en argent qui ne lui était pas inconnue. L’homme le regarda dans les yeux et malgré les lentilles de contact de couleur verte, Ryô reconnut le Duc (NDB : l’as du déguisement, sacré Duc !). Ce dernier essaya de filer dans la direction opposée mais Ryô l’attrapa par le col de sa veste et le traîna à l’extérieur en prétextant que son pauvre vieux père sénile s’était encore échappé de la maison de retraite !  

 

- Comment oses-tu me traiter de la sorte ? Tu es mon fils, tu me dois le respect ! s’insurgea le Duc, une fois à l’extérieur du bâtiment.  

- Le respect ? Vous rigolez, j’espère ! Qui s’est permis de s’introduire dans ma chambre en douce pour voler quelque chose qui ne lui appartient pas ? Si ça, c’est pas un manque de respect et surtout d’intimité ! Vous mériteriez que je vous casse la figure !  

- Je n’ai rien fait de mal. C’est parce que tu étais occupé à me faire un futur héritier que tu t’énerves ? fit le Duc d’une toute petite voix sentant la colère de son fils. (NDB : rhoo, gonflé le Duc !)  

- Tout juste ! Alors, ne revenez plus me parler de respect ou ça va barder !  

- Donc, tu ne m’en veux pas trop ? fit Lord Harrington avec un sourire triomphant.  

- Oh que si, mais je laisserais Kaori s’occuper de votre compte, répondit-il avec un sourire sadique. Et quand elle en aura fini avec vous, plus rien à craindre de la part de votre épouse puisqu’elle ne pourra même plus vous reconnaître ! (NDB : mdr, telle belle-mère/ telle belle-fille !)  

 

Le Duc avala difficilement sa salive. Sa situation était plus que désespérée, non seulement sa femme allait venir le massacrer mais sa belle-fille en avait aussi après sa peau.  

 

Il essaya de s’excuser vainement, tandis que Ryô le tirait dans la rue pour rejoindre l’appartement. Puis, il expliqua son comportement.  

 

- Je te jure que je ne pensais pas que vous étiez en train de faire, hum… enfin tu vois ce que je veux dire, je ne suis pas un voyeur. Je pensais que vous dormiez tranquillement et je voulais en profiter pour récupérer ce coffret afin de faire mes recherches car malgré la promesse de Kaori, je doutais qu’elle veuille me dire quoique ce soit après votre découverte sur mon compte.  

- Vous auriez pu ressortir dans ce cas !  

- Peut-être mais vous étiez occupés, c’était l’occasion idéale pour effectuer mon larcin, je me doutais bien qu’autrement tu m’aurais repéré de suite ! Mais je te jure, je n’ai rien vu, j’ai même fermé les yeux. (NDB : tss…on va le croire !)  

- Et vous croyez que vos explications vaseuses vont calmer la furie que j’ai épousée ? (NDB : sympa Ryô, heureusement que Kaori n’a pas entendu, sinon, t’aurais eu droit toi aussi à la massue !)  

- Non, j’espère seulement que tu me comprendras.  

- Comprendre quoi ? Que vous êtes un obsédé, un voyeur et en plus un voleur ?  

- Si mes informations sont bonnes, ce portrait te ressemble un peu, non ? (NDB : et pan dans les dents !)  

- C’est pas ça qui vous sauvera !  

- Je le sais, mais il fallait que je sache pourquoi ce coffret qui révèle la vérité sur mon ancêtre avait atterri justement entre les mains de la femme de mon fils que je croyais perdu. Tu avoueras que c’est quand même une grande coïncidence !  

- Ce n’est pas une coïncidence, c’est le destin !  

- Qu’est ce que tu veux dire ?  

- Je vous expliquerais peut-être un jour, mais je ne suis pas sûr que vous me croiriez, fit-il d’un ton énigmatique avant de le pousser dans les escaliers qui le menaient à son appartement. Et puis d’abord, il faudrait que vous surviviez au châtiment que vous réservera Kaori !  

 

Le Duc commença à monter les escaliers comme un condamné qui allait à l’échafaud, tout en se demandant si sa belle-fille allait le couper en rondelles. C’est à ce moment là qu’une scène à laquelle il avait assisté lui revint en mémoire. Il se retourna brusquement et s’adressa à son fils.  

 

- Tu peux au moins me dire une chose ?  

- Laquelle ?  

- Comment se fait-il que ton épouse connaisse des parades d’escrime connues uniquement en secret par notre famille et plus particulièrement une qui vient d’une autre famille liée aux Harrington, la famille de Barmont ?  

 

Ryô sourit tout en pensant que finalement si un jour il devait expliquer toute l’histoire à son père, ce dernier le croirait peut-être. Il avait tout de même le chic pour mettre le doigt sur les détails importants.  

 

- Réponds moi, bon sang ! insista le Duc devant le silence de son fils.  

- Nous verrons cela plus tard ! A moins que vous ne demandiez à Kaori dès que nous arriverons, mais je pense que ça risque de l’énerver un tout petit peu plus !  

 

Sur cette réplique, Lord Harrington constata qu’ils se trouvaient devant la porte de l’appartement. Ryô mit son père bien en face de l’entrée et ouvrit tout en se mettant sur le côté. Puis il cria :  

 

- Chérie ! Je suis rentré. Devine qui je t’ai ramené ?  

 

 

 


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