Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

Tricks & Tips

What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the boundaries. So if you read something that doesn't seem correctly rated, please contact me.

 

 

   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 8 :: Chapitre 8

Pubblicato: 21-08-05 - Ultimo aggiornamento: 21-08-05

Commenti: Salut tout le monde ;) Voilà le chapitre suivant, j'espère que ça vous plaira ! Ca avance petit à petit côté révélation mais il faut bien que je ménage mes lecteurs, lol Bref, merci pour vos reviews, n'hésitez pas à me donner votre avis ;) Gros poutoux à ma Beta Supertar ;)

 


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Kaori venait de ramasser les morceaux de porcelaine qui traînaient par terre quand elle croisa Ryô et Mick qui sortaient de la cuisine. Elle demanda à Ryô pourquoi il avait embarqué son ami aussi rapidement et il lui répondit que l’Américain n’avait pas mis longtemps à faire le rapprochement entre l’accident d’avion de Rui et lui. Kaori regarda Mick tout en se demandant ce qu’il allait faire de cette information mais ce dernier lui fit un clin d’œil en lui assurant qu’il ne vendrait pas la mèche.  

 

Pendant ce temps-là, John discutait avec son père. Il se demandait pourquoi il avait eu cette soudaine réaction en constatant que Rui était morte là-bas. Son père lui expliqua qu’il se demandait s’il n’y avait pas un rapport. Il avait un gros doute. Il se demandait si sa femme était bien morte dans un accident. Peut-être avait-on voulu se venger de lui et il y avait perdu sa femme et son fils. A l’époque, il s’était déjà posé la question et maintenant le doute revenait. Peut-être que cette personne voulait terminer sa vengeance et que cette fois, elle s’en était prit à Susan tout en y mêlant le souvenir de Rui pour lui rappeler ce qu’il avait déjà perdu.  

 

Ryô et Mick revinrent dans le salon, à l’instant où le téléphone sonna. C’était Falcon et ce dernier avait quelques infos pour Ryô.  

 

- Vas-y, je t’écoute, fit Ryô.  

- Il y a un type qui s’est renseigné sur toi !  

- Oui, je sais, une espèce de vieux clochard ! fit-il en feignant d’ignorer le regard furieux du Duc.  

- Oui, également, mais c’est pas de lui que je te parle. Il y en a tellement qui cherche des infos sur toi, faut savoir faire le tri. A mon avis, le clochard ce n’est pas à lui qu’il faut s’intéresser. Je pense que c’est un flic ou un type du même genre.  

- De qui tu parles alors ? continua Ryô tout en souriant face à la perspicacité du géant.  

- Mes indics m’ont parlé d’une bande qui serait arrivé en ville, il y a un mois, à peu près. Ils avaient l’accent plutôt hispanique et leur chef serait un trafiquant notoire qui t’en voudrait personnellement.  

- Ca ne serait pas la première fois !  

- Peut-être, mais on a vu ces hommes près de l’hôtel où logeaient tes deux britishs !  

- Intéressant !  

- Comme tu dis ! A mon avis cet enlèvement te concerne autant que ton ami qui cherche sa sœur ! Tu es sûr que je ne le connais pas « ton ami » ? fit Falcon d’un ton soupçonneux.  

- Non, il est anglais comme sa sœur ! Mais revenons en plutôt à la bande dont tu m’as parlé. Tu sais où on peut les trouver ces gars-là ?  

- Pas pour l’instant, ils ont disparu de la circulation. Moi, je dirais qu’ils font les morts depuis l’enlèvement ! Mais je continue de chercher et je te tiens au courant.  

- Merci, fit Ryô avant de raccrocher.  

 

Là, il ne comprenait plus rien. Un trafiquant en avait après lui et ce serait lui le responsable de la disparition de Susan. Mais pourquoi cet enlèvement ? Il n’avait rien à voir avec elle, enfin pas officiellement. Et puis c’est à Lord Harrington qu’on avait envoyé cette étrange photo. Il fut interrompu dans ses réflexions par Mick.  

 

- Alors, on a du nouveau ?  

- Si on veut, je crois que cette histoire est plus compliquée que prévue.  

- Que voulez-vous dire ? demanda le Duc  

- Apparemment, votre fille a été enlevée par des hommes venant probablement du Sud de l’Amérique, en tout cas ils avaient l’accent du coin. Ce qui concorderait avec l’Amérique Centrale mais le détail bizarre c’est que leur chef voudrait ma peau !  

- Mais pourquoi s’en prendre à Susan dans ce cas ? fit John.  

- D’autant que c’est bien à moi qu’on a envoyé la photo, ajouta le Duc.  

- Je sais tout ça et je ne vois qu’une explication.  

- Laquelle ? firent Mick, le Duc, John et Kaori en même temps.  

- C’est que nous avons un ennemi commun et qui vient d’Amérique Centrale, fit Ryô en regardant le Duc.  

- Mais qui ? fit Lord Harrington  

- Le problème c’est qu’autant de mon côté que du votre ça fait un paquet de possibilités.  

- Père, tu devrais peut-être lui faire part de tes doutes, intervint John.  

- Tu as raison, fit le Duc.  

- De quoi vous parlez ? fit aussitôt Ryô.  

- Eh bien, j’ai de sérieux soupçons concernant la mort de ma femme. A l’époque, on avait conclu à un accident, bien que j’ai eu quelques doutes. Et maintenant, je me pose à nouveau des questions. J’ai peur qu’on ait voulu se venger de moi en s’en prenant à des membres de ma famille.  

- Vous voulez dire qu’un gars à qui vous auriez mis des bâtons dans les roues aurait fait s’écraser un avion entier juste pour vous atteindre, vous ?  

- J’en connais plusieurs qui en seraient capables et même pire. D’autant, que comme je vous l’ai expliqué j’aurais dû prendre cet avion. C’était peut-être moi la cible.  

- Et il aurait ruminé sa vengeance pour revenir à la charge des années plus tard ? fit Ryô d’un air peu convaincu.  

- Je ne sais pas moi, il était peut-être en prison ou quelque chose dans ce genre. En tout cas, dans l’impossibilité de continuer ce qu’il avait commencé. Et si c’était bien moi qu’il voulait tuer, voyant qu’il avait loupé son coup, il avait de quoi ruminer.  

- Mais moi, qu’est ce que je viens faire là-dedans ? fit Ryô. On ne se connaît pas et on n’a jamais travaillé ensemble !  

- Non, mais vous avez peut-être fait quelque chose contre lui de votre côté et il a décidé de faire d’une pierre deux coups.  

- Et il se risquerait à se mettre L’âme d’argent et City Hunter sur le dos en même temps ? fit Mick en sifflant. Il est pas peureux le gars !  

- Vous savez, jeune homme, j’ai entendu de drôles d’histoires quand je travaillais là-bas. Comme l’histoire d’un homme qui a massacré un camp entier de guérilleros à lui tout seul. (NDB : sans blague !)  

- Un gars qui… à lui tout seul ! fit Mick en manquant de s’étouffer de rire.  

- Je sais ce que vous allez me dire, c’était peut-être des racontars. Mais il y a une chose dont je suis sûr c’est que ces gars-là ne sont pas des rigolos !  

- Il a raison, Mick, arrête de te marrer ! fit Ryô un peu mal à l’aise.  

- Vous voyez, fit le Duc à l’adresse de Mick. Vous en avez entendu parlez aussi ? demanda-t-il à Ryô.  

- Hum ! (Pensée de Ryô : Il manquait plus que ça, pourquoi a-t-il fallu qu’il entende parler de cette histoire. Mais je peux quand même pas lui dire que le gars en question c’était moi ! Faut que je trouve quelque chose !). Il me semble que j’ai entendu parler d’un truc dans ce genre mais le gars était drogué et il était pas franchement seul.  

- Drogué ?! demanda Lord Harrington.  

- Hum, hum ! (Pensée de Ryô : C’est qu’il insiste en plus et Mick va exploser de rire si ça continue ! Quelle galère !) Il paraît qu’il y avait une drogue qui rendait fou celui qui la prenait. Il devenait une vraie machine à tuer et ne ressentait pas la douleur.  

- Non de Dieu ! Mais c’est horrible ! Comment une drogue pareille a pu être inventé ? Et surtout, qui pouvait être assez fou pour la prendre ?  

- Hum ! (Pensée de Ryô : Non mais, il va me foutre la paix avec ça à la fin, il m’énerve !) Je n’en sais pas plus ! C’est ce qu’on m’a raconté et puis c’est peut-être exagéré ! fit-il d’un ton soudain un peu énervé.  

 

Mick rigolait tellement qu’il fila dans la cuisine pour se calmer, décidément cet espion avait le don pour tomber en plein dans le mille sans le faire exprès ! Et le pauvre Ryô qui faisait de son mieux pour qu’il ne sache pas la vérité avait fort à faire. Il était comme une cocotte-minute prête à exploser !  

 

………  

 

Pendant ce temps là, dans une cave sombre, deux prisonniers attendaient de savoir le sort qu’on leur réservait. Enfin, c’est surtout la jeune femme qui attendait car son compagnon respirait à peine. On les avait délivrés de leurs chaises et désormais ils étaient assis par terre et enchaînés au mur. Elle avait tenté de se détacher en faisant basculer la chaise, elle y était presque parvenue mais ils s’en étaient rendus compte. Elle avait fait ce qu’elle avait pu, mordu, griffé, balancé des coups de pieds mais ils l’avaient menacé de finir d’achever son compagnon si elle ne se tenait pas tranquille.  

 

Soudain la porte métallique de la cave grinça et le même homme que la première fois entra dans la pièce. Il apportait une lampe et ce qui ressemblait à un journal. Elle avait une vague idée de ce qu’il voulait faire.  

- Alors Mlle Harrington, mes hommes m’ont appris que vous n’aviez pas été sage !  

- Qui êtes-vous ? fit-elle d’un ton autoritaire  

- Cela n’a pas d’importance ! L’important pour l’instant et j’espère que vous l’avez compris c’est que vous vous teniez tranquille, sinon votre ami risque de mourir !  

- Il est déjà mal en point, il a besoin d’un médecin ! Si vous ne faites rien, vous n’aurez plus de moyen de pression ! fit-elle en souriant.  

- Vous croyez pouvoir avoir des exigences dans votre situation ?  

- Eh bien, ne comptez pas sur moi pour coopérer ! fit-elle d’un ton narquois.  

- Vous vous croyez en position de marchander peut-être ? fit-il énervé.  

- Vous voulez envoyer une photo ou un film de moi à ma famille pour demander une rançon, non ? fit-elle en faisant un signe de tête dans la direction du journal qu’il tenait. Eh, bien je coopérerais si vous faites quelque chose pour mon ami !  

- Et sinon ?  

- Sinon, vous n’aurez plus rien à donner contre la rançon, ça je peux vous le jurer, je trouverai un moyen ! (NDB : elle est courageuse la sœur de Ryô, je dirais même têtue !)  

- Elle est bien bonne celle-là, vous voulez me faire chanter ? Mais comment une gentille demoiselle comme vous pourrait faire quoique ce soit ? fit-il de plus en plus énervé par le ton de cette fille.  

- Je ne suis pas une gentille demoiselle, on vous a mal renseigné ! Je suis une Harrington, et je préfère mourir plutôt que de jouer à votre petit jeu pour piéger ma famille ! rétorqua Susan d’un ton catégorique. ( NDB : elle a du cran la petite !)  

- Très bien, disons, que j’accepte pour l’instant ! Je fais ce film, vous allez répéter ce que je vais vous dire et surtout vous tenir tranquille. Et si je suis satisfait, je demanderai à un de mes hommes qui a été infirmier de soigner votre ami ! Cela vous paraît-il satisfaisant ?  

- Si on veut ! fit-elle d’un ton vague.  

- Comment cela ? fit-il excédé.  

- Je me demande bien ce que vous voulez à ma famille, et pourquoi vous êtes assez stupide pour vous attaquez à eux !  

 

L’homme éclata de rire.  

 

- Stupide ! Oh que non, chère mademoiselle ! J’ai un compte à régler avec votre père et votre frère, et croyez moi, ils vont le payer très cher !  

- Mon frère ? J’en ai deux ça va vous faire du boulot ?  

- Je parle du troisième. J’ai eu sa mère, et je croyais l’avoir tué également, mais je viens de me rendre compte de mon erreur ! Mais cette fois-ci, je ne vais pas le louper et votre cher père, non plus ! Et si vos deux autres frères s’en mêlent je ferais un prix de groupe !  

- Un troisième frère, n’importe quoi ! Vous êtes complètement fou !  

- Non, je veux ma vengeance et je l’aurais ! Et autre chose, dites vous bien que pour l’instant vous m’êtes utile mais que cela ne durera pas, donc ne soyez pas si sûre de vous, Mademoiselle Harrington ! Maintenant, venez avec moi !  

 

Un homme entra et la détacha pour l’installer sur une chaise, puis il alla chercher un caméscope et lui mit le journal du jour dans les mains.  

 

………  

 

Quelques heures plus tard, un colis arrivait au domicile de City Hunter. Le facteur ne sonna pas mais fit exploser une partie de la porte. (NDB : tiens, je devrais peut-être faire attention quand le facteur sonne la prochaine fois !) Autant dire que cela attira l’attention des personnes se trouvant à l’intérieur. Ils ne parvinrent pas à voir qui était le coursier mais ils récupérèrent un petit paquet dans lequel se trouvait une cassette vidéo.  

 

 

 


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