Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 24 :: Chapitre 24

Pubblicato: 22-02-07 - Ultimo aggiornamento: 22-02-07

Commenti: Bonjour tout le monde ;) Et non, vous ne rêvez pas c'est bien moi avec le chapitre suivant de ma fic, je suis sûre que vous demandiez ce que je foutais, ou peut-être pas, mais l'essentiel est que pour ceux qui l'attendait, voilà la suite de mon histoire, j'ai eu du mal à écrire la suite, je l'ai réécrite je ne sais combien de fois mais j'ai fini par trouver un truc qui me plaisait, j'espère qu'il en sera de même pour vous ;) En tout cas vous savez comment me donner votre avis ;) Merci de me suivre, merci aussi à ma Beta qui corrige plus vite que son ombre ;) Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et je vous dis à bientôt ;)

 


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Kaori s’installa aux côtés de Ryô et servit une tasse de thé à chacun tout en leur priant de se servir à leur convenance dans le plat de gâteaux. Elle ajouta aussi que s’ils voulaient au moins en goûter un, ils feraient mieux de se servir avant que le goinfre qui lui servait de mari ait tout englouti. Ensuite, elle les pria d’entamer la conversation.  

 

- A quel sujet ? fit le Duc étonné.  

- La mère de Ryô, imbécile, fit Izumi en lui balançant un gâteau dans la figure.  

- Ah, oui, c’est vrai ! rigola-t-il.  

 

Ils se mirent tous deux à fouiller dans leur poche et tendirent en même temps leurs portefeuilles respectifs à Ryô.  

 

Dans celui d’Izumi, il put voir deux jeunes filles, très jolies et totalement identiques, si ce n’est leur tenue. Ce devait être à l’occasion d’un jour de fête car elles portaient toutes les deux un kimono, l’un rouge, l’autre bleu. Elles avaient l’air de bien s’amuser, un petit air complice dans le regard, on ne pouvait douter de l’entente qui unissait les deux sœurs. On aurait pu dire que rien ne les séparerait.  

 

Dans celui du Duc, il y avait ce visage que Ryô avait vu en rêves puis au cimetière. C’était la seule image qui lui restait d’elle en mémoire. Elle était belle, souriante, le regard pétillant, elle respirait la joie de vivre. A côté, il y avait une autre photo, toujours Rui, mais cette fois avec un bébé dans les bras, elle était encore plus resplendissante lorsqu’elle regardait le petit être qui reposait dans ses bras. Tout l’amour qu’elle lui portait se voyait dans cette image et Kaori fut très émue quand elle vit une larme couler sur la joue de son mari. (NDB : rhooo…trop mignon…)  

 

Ce dernier fit comme si de rien n’était et leur demanda de lui parler d’elle. Izumi s’empressa de dire que c’était à elle de commencer en prétextant que le début c’était elle. Le Duc leva les yeux au ciel tout en lui balançant que ses petites histoires de gamines ne valaient sûrement pas l’histoire d’amour qui l’avait liée à la mère de Ryô.  

 

C’est à ce moment là, qu’un objet volant parfaitement identifié, en l’occurrence une tasse à café, vint atterrir en plein milieu de son front. (NDB : aouch !)  

 

- Pour qui est-ce que tu te prends, espèce de vieux machin ? Ryô a parfaitement le droit de connaître l’histoire de sa famille et de ses ancêtres, c’est un patrimoine culturel qu’il aura le devoir de protéger quand je ne serais plus là ! Et il devra à son tour…  

- Bla, bla, bla, bla, bla, bla fit le Duc en lui balançant le contenu de sa tasse à la figure. (NDB: œil pour œil…) Tu crois vraiment que tes histoires d’ancêtres morts depuis des siècles et de patrimoine l’intéressent ? C’est que de la poussière après tout !  

- Parce que ton histoire d’amour n’est pas partit en poussière peut-être ?  

- Tu es jalouse, c’est simplement ça !  

- Pourquoi je serais jalouse ? Parce que ma sœur a épousé un crétin dans ton genre ?  

- Peut-être tu aurais voulu être à sa place ?  

- Tu rigoles ? Je t’aurais étranglé, moi, au lieu de t’épouser ! (NDB : MDR !)  

- Ah bon ? Alors peux tu me dire si tu t’es mariée ?  

- Je ne vois pas en quoi ça te regarde ?  

- Si vous permettez, deux secondes, moi j’aimerai bien savoir, fit Ryô.  

- Et pourquoi donc ? fit Izumi d’un drôle d’air.  

- Afin de savoir si je risque de voir rappliquer d’autres membres de « Ma Famille ». C’est pas que ça me ferait pas plaisir, mais pour l’instant j’ai l’impression qu’il m’en sort de tous les coins, donc si je pouvais avoir un topo complet, voire un arbre généalogique comme ça je m’y retrouverai, ça m’éviterait des surprises ! (NDB : On le comprend, lol !)  

- Ce qu’il faut pas entendre, fit le Duc.  

- Quoi, ma maison a été envahie de gens de ma famille que je ne connaissais même pas !!!  

- Très bien, pour ce qui est de mon côté, sache que tu as une cousine, Yoriko.  

- J’ai donc un tonton  

- Non, il n’est malheureusement plus de ce monde et d’ailleurs, même ta cousine ne l’a jamais connu. Il est mort avant qu’elle naisse, il ne savait même pas qu’elle existait.  

- Je suis désolée, fit aussitôt Kaori, voulant la réconforter.  

- Mais ce n’est pas un mal parce que c’était un crétin d’Américain ! cria Izumi avant que tout le monde tombe à la renverse. (NDB : MDR ! Ça me rappelle un autre Américain…)  

- Et encore, si c’est vrai qu’il est mort, t’es bien capable de lui avoir fait un enfant dans le dos à ce pauvre gars ! intervint le Duc.  

- Retire ça de suite ou je te jure que ça va chauffer !!!!  

- Et tu crois que tu me fais peur espèce de furie dégénérée !!!  

- Hum, Ryô, fit Kaori doucement à l’oreille de son époux. On ne devait pas parler de ta mère ?  

- Ben si, mais ça m’a l’air mal barré vu qu’avec ces deux là dans la même pièce c’est la guerre civile.  

- Qu’est ce qu’on fait alors ?  

- On profite du spectacle ! fit-il en rigolant avant de se prendre une tape sur la tête.  

- EH OH, fit soudain Kaori, ce qui eut pour effet de suspendre les deux convives dans leur activités, à savoir Izumi tenant le Duc par le cou pour l’étrangler tout en le secouant comme un prunier. (NDB : sans commentaires…)  

- QUOI ! firent-ils en chœur juste après avoir repris une pose parfaite.  

- Je ne voudrais pas vous déranger mais vous ne vous seriez pas un peu écarté du sujet de notre conversation ?  

- Quelle conversation ?  

- Il est vrai que vous étiez plus enclin à vous mettre des tasses dans la figure que de songer à ce dont nous devions parler !!!  

- On parlait de quoi déjà ? fit le Duc. (NDB : ça y est, Alzheimer le guette…)  

- Tu vois, on ne va jamais y arriver, fit Ryô, ils peuvent pas rester dans la même pièce sans s’étrangler.  

- Très bien, dans ce cas, on va les séparer, fit Kaori avec un sourire machiavélique. Vous, vous venez avec moi, fit-elle en attrapant le Duc par le col.  

- Moi ? mais pourquoi moi ? s’offusqua aussitôt le Duc.  

- Parce que pendant que nous serons absents, Ryô et Izumi pourront discuter tranquillement.  

- Et pourquoi, elle, d’abord, j’ai des chose à raconter, moi aussi !  

- Chacun votre tour, ça évitera les bagarres !  

- Mais pourquoi elle passe en premier, je ne vois pas pourquoi ? s’indigna le Duc.  

- Parce que ça fait un moment que vous m’énervez et que j’ai bien envie de me défouler sur vous !  

- Vous défoulez ? fit-il en avalant difficilement sa salive.  

- A bientôt, vieux machin ! fit Izumi en lui faisant un signe de la main tandis que Kaori le traînait pratiquement à l’extérieur de l’appartement.  

 

Ryô commença donc à discuter avec sa tante tandis que Kaori amenait le Duc jusqu’à l’armurerie. Il se demandait bien ce qui l’attendait ; elle lui indiqua une chaise et prit une arme qu’elle chargea avant de la vider d’une traite dans une des cibles suspendues. Le Duc remarqua qu’elle était également une fine gâchette. Mais il se souvint de ce que lui avait dit Mick au sujet de la maladresse passée de Kaori. Comment avait-elle fait pour devenir aussi douée en si peu de temps, même avec un bon professeur comme Ryô ? C’était quand même rapide comme changement. Et puis il y avait cette histoire d’escrime qui le taraudait. Il regarda autour de lui et constata que son étui à fleurets était toujours là ; il avait dû l’oublier là quand les kidnappeurs avaient donné de leurs nouvelles. Il s’en approcha, tout en sachant que Kaori, bien que concentrée sur ses tirs, (elle) le surveillait du coin de l’œil. Quand il se retourna pour lui proposer une joute, elle tendait déjà la main avec un sourire.  

 

- Ca vous démange, hein ? Vous rêvez depuis un petit moment de me défier, histoire de voir de quoi je suis capable ! fit Kaori avec un petit sourire.  

- Effectivement, je dois dire que vous m’intriguez, mais n’avez-vous pas peur ? Je fais tout de même partie d’une famille qui manie l’épée depuis son plus jeune âge. Mon ancêtre avait même un surnom car c’était une des plus fines lames d’Angleterre.  

- L’âme d’argent, je sais, mais je crois que vous ne savez pas vraiment, vous non plus à qui vous vous attaquez, rétorqua-t-elle avec un clin d’œil.  

- Très bien, dans ce cas, voyons voir qui sera le meilleur ! fit-il tandis qu’il passait de l’autre côté du comptoir en empruntant la petite porte prévue.  

 

Kaori préféra sauter par-dessus et les fers se croisèrent aussitôt.  

 

 

Pendant ce temps là, dans l’appartement, Ryô discutait avec Izumi de sa mère Rui.  

 

Cette dernière, lui avait parlé de leur naissance dans un petit village reculé à la campagne, du fait qu’elles n’étaient pas des hommes, ce qui avait grandement déçu leur père car il attendait un héritier mâle pour lui succéder. Cependant, il avait bien dû faire avec puisque la mère des jumelles était morte en couches.  

 

Pendant un moment il avait pensé à se remarier pour avoir cet héritier mais ses filles avaient tout de même été élevées en héritières, à la dure comme des garçons et dans le respect des traditions de leurs ancêtres. Mais jamais, au grand jamais, elles ne s’étaient laissées transformer en homme, elles étaient toutes deux très complices et leur père avait fort à faire face à ces deux sacrés caractères.  

 

Finalement, il oublia son héritier mâle et se consacra à ses filles qui étaient dignes de toute la famille ; elles avaient su montrer leur bravoure et il en était fier.  

 

Elles avaient donc eu une vie plutôt banale entre une éducation de jeunes filles de bonne famille et l’apprentissage des techniques de combat de leurs ancêtres.  

 

Leur vie avait été heureuse, un père aimant, une famille très traditionnelle, un peu trop à cheval sur les principes mais comme ils étaient bons, les filles les avaient acceptés. Elles étaient les héritières de toute une manière de vivre et elles avaient le devoir de protéger cet héritage.  

 

Puis devenues adultes, elles apprirent pourquoi on comptait sur leur courage. En effet, la famille servait son pays depuis des générations et était souvent demandée pour aider les services officiels dans des affaires officieuses.  

 

C’est comme ça que les jumelles étaient devenues des espionnes et leur équipe était très douée car en général, elles se faisaient passer pour une seule et même personne ; on ne les voyait jamais ensemble donc pendant que l’une donnait le change l’autre pouvait agir sans problèmes et personne ne pouvait se douter de quoi que ce soit.  

 

Ça avait duré des années jusqu’à ce que l’on demande à l’une des jumelles de collaborer avec un espion anglais et c’est là que la catastrophe avait eu lieu. Elle en était tombée amoureuse, avait quitté son pays, sa sœur, sa famille et avait tout laissé tomber pour cet Anglais de pacotille.  

 

Elle avait eu un enfant, c’était la seule chose de positive dans cette triste histoire, mais malheureusement elle n’avait pas pu le connaître longtemps puisque la mort les avait emporté tous les deux dans un terrible accident, enfin du moins c’est ce qu’elle avait cru à l’époque.  

 

Izumi avait les larmes aux yeux. Ryô comprenait qu’elle s’était sentie exclue de l’amour de sa sœur et qu’en plus le fait de la perdre l’avait rendue encore plus amère. Pas étonnant qu’elle déteste le Duc à ce point. Elle sécha ses larmes vivement comme pour éviter que son neveu ne les voie et lui demanda s’il avait des questions, s’il voulait plus de détails sur certaines choses.  

 

Elle lui expliqua aussi, qu’il faudrait qu’il vienne visiter la demeure ancestrale, qu’elle pourrait lui montrer beaucoup de photos ou d’objets ayant appartenu à sa mère. Elle lui ferait voir son héritage et lui présenterait sa cousine.  

 

Ryô lui sourit en disant qu’il serait heureux de voir tout ça et vit tout de suite la joie que son accord provoquait chez sa tante. Peut-être d’une certaine façon renouait-elle avec sa sœur perdue et Ryô se voyait mal lui refuser ce plaisir.  

 

Ils discutèrent longuement sur tout un tas de petits détails de l’enfance des jumelles, comme des tours qu’elles jouaient à leurs professeurs et bien d’autres choses encore. Ryô était heureux de pouvoir avoir un aperçu de la personnalité de sa mère : apparemment, une petite fille malicieuse et très intelligente. Ecouter Izumi parler d’elle et de leurs souvenirs, le faisait sourire et il voyait que le visage d’Izumi s’ouvrait et devenait lumineux en parlant de tout ça. Elle était heureuse également de pouvoir parler de sa sœur à quelqu’un, c’était évident.  

 

Dans l’armurerie un combat acharné se déroulait… Le Duc avait parié avec Kaori que s’il arrivait à la battre elle lui raconterait tout, le coffret et son don merveilleux pour l’escrime. Autant dire qu’aucun des deux n’avaient l’intention de laisser l’autre gagner… (NDB : pff…j’en suis fatiguée pour eux !)  

 

 


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