Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 6 :: Chapitre 6

Pubblicato: 31-07-05 - Ultimo aggiornamento: 31-07-05

Commenti: Salut tout le monde ! Eh bien comme je vois qu'il n'y a pas beaucoup de lecture aujourd'hui, je me suis dis que j'allais me dévouer lol Voilà donc la suite ! On commence à en apprendre un petit peu plus ! Et ça ne fait que commencer, donc j'espère que ça vous plaira. Sur ce bonne lecture, n'hésitez pas à laisser votre avis. Merci pour vos reviews, et un gros poutoux à ma Beta ;) A bientôt ;)

 


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Le repas ayant été sauvé à temps, ils purent tout de même dîner correctement. John ne parlait pas trop, il semblait préoccupé. Ryô et Kaori essayaient tant bien que mal d’animer la conversation mais rien à faire. Ils avaient presque terminé quand le téléphone sonna. Ryô se précipita pensant que c’était Mick ou Falcon.  

 

En fait, c’était à nouveau Saeko, elle l’appelait pour le prévenir qu’il avait mis le pied dans un sacré pétrin. Elle lui expliqua qu’après sa petite enquête de la matinée, elle avait été convoquée par ses supérieurs afin de se faire remonter les bretelles.  

 

Finalement, la personne qui avait consulté les dossiers n’était pas un pirate, elle avait des autorisations. Cette personne était liée aux services secrets britanniques et travaillait sur une affaire de la plus haute importance. On n’avait pas voulu lui en dire trop, mais il ne fallait pas qu’elle s’en mêle. Ses supérieurs lui avaient gentiment fait comprendre que c’était bien qu’elle s’inquiète d’une intrusion dans leurs fichiers mais que dans cette situation ce n’était pas la peine, et qu’elle pouvait retourner à ses petites affaires.  

 

Saeko avait l’air énervé et Ryô souriait en l’écoutant car il savait qu’il n’y avait rien de tel pour aiguiser la curiosité de l’inspectrice. Et il n’avait pas tort car elle finit par lui dire ce qu’elle avait trouvé, c’était peu mais assez pour donner une idée du guêpier dans lequel il avait mis les pieds.  

 

L’affaire était liée à un agent secret dont personne ne savait l’identité, on ne connaissait que son nom de code « L’âme d’argent ». Cet homme agissait depuis une quarantaine d’années, peut-être plus, et il avait contribué à l’échec de nombreuses tentatives terroristes, et à la destruction de nombreux trafics de drogue. De quoi se faire de nombreux ennemis dans pas mal de pays, et apparemment c’est lui qui était derrière le piratage des fichiers de la police. La police ne pouvant pas officiellement lui laisser un libre accès, il avait dû pirater les fichiers et les autorités faisaient comme si rien ne s’était passé.  

 

Après avoir expliqué tout ça à Ryô, Saeko lui souhaita bonne chance et raccrocha.  

 

Ryô regarda John qui semblait avoir été très attentif à cet appel. Ryô l’observait et se demandait s’il pouvait être « L’âme d’argent », mais en y réfléchissant, l’homme en question agissait depuis une quarantaine d’années, John était trop jeune, il devait avoir à peine 30 ans, mais il était peut-être son assistant, ce qui expliquerait tout le matériel planqué dans la chambre.  

 

Le silence pesait sur l’appartement et Ryô finit par dire que c’était un faux numéro, histoire d’énerver un peu plus leur invité qui en tomba à la renverse sous un escadron de corbeaux.  

 

Ryô en avait marre de ce petit jeu et il avait décidé de lui faire comprendre qu’il n’était pas dupe. Un faux numéro qui dure 10 minutes, voilà de quoi torturer un peu l’esprit du jeune espion qui se moquait d’eux depuis qu’il était arrivé.  

 

Sur ce, Ryô bailla sans grande gêne, déclara qu’il était crevé et fila dans sa chambre sous les yeux ébahis de Kaori et John.  

 

Quelques minutes plus tard, après avoir tout ramassé et constaté que John avait également rejoint sa chambre, c’est une Kaori furieuse qui rentra dans la chambre conjugale.  

 

- Tu peux me dire à quoi tu joues, Ryô Saeba ? fit-elle d’un ton plus qu’énervé.  

Pas de réponse.  

- Et ne fais pas semblant de dormir car je te préviens que tu vas te prendre une massue de derrière les fagots dont tu vas te souvenir !  

- Hum ! fit Ryô en faisant semblant de se réveiller.  

- Ne joue pas à ce jeu là avec moi, tu me l’as fait pendant dix ans, je te connais !  

Il se retourna sur le lit et lui ouvrit les bras tout en tendant les lèvres pour réclamer un câlin.  

- non mais tu plaisantes, j’espère ! Après la scène que tu viens de nous jouer, tu devras d’abord me fournir des explications avant d’avoir droit à quoique ce soit !  

- T’es pas sympa, fit-il boudeur.  

- Pas sympa ! Tu te fiches de moi ? hurla-t-elle tandis qu’elle brandissait une massue prête à fondre sur lui.  

Ryô se leva rapidement et captura les lèvres de sa bien-aimée. Ensuite, il l’attira avec lui sur le lit pour continuer ce doux aparté. Elle mis fin à ce délicieux baiser à contrecœur car elle ne voulait pas se laisser avoir par ce genre de distraction. Elle allait recommencer à hurler quand Ryô lui posa un doigt sur les lèvres en lui glissant à l’oreille d’éviter de hurler.  

 

- Alors, tu vas m’expliquer à la fin, fit-elle tout doucement. Franchement le coup du faux numéro, tu crois qu’il va gober ça ?  

- Bien sûr que non, c’est juste pour lui faire comprendre que je ne suis pas complètement idiot, j’en ai marre qu’il se foute de nous depuis le début. C’est un moyen de lui faire passer un petit message.  

- Mais pourquoi ? Qui était au téléphone ?  

- Saeko ! Ne t’énerves pas, c’est moi, qui l’ai contacté, je lui ai demandé de voir ce que notre ami cherchait dans les fichiers de la police.  

- Et elle a trouvé quoi ?  

- Il se renseignait sur nous ! Mais ce n’est pas tout, Saeko s’est fait remettre à sa place par sa hiérarchie pour avoir fouillé car c’est une histoire d’espionnage.  

- D’espionnage ?  

- Et oui, ma chérie, tu avais peut-être raison, c’est peut-être bien James Bond qui dort à côté. En tout cas, ce n’est pas lui le chef car l’affaire tournerait autour d’un super agent dont le nom de code est « L’âme d’argent », ça ne te rappelle rien ?  

- L’âme d’argent ! Mais c’était le surnom d’Alexander Harrington ! fit-elle en se remémorant l’histoire qu’elle avait vécue en Angleterre.  

- Exactement, ce qui me pousse à penser que les Harrington sont mouillés jusqu’au cou dans cette histoire, mais j’ai pas encore tout compris.  

- Alors, John ferait comme ses ancêtres et aurait pris ce surnom.  

- Je ne pense pas qu’il s’agisse de lui, d’après Saeko, le type qui se fait appeler comme ça agit depuis plus de quarante ans. John est trop jeune mais il travaille sûrement avec lui.  

- Alors qui est-ce ? demanda Kaori.  

- J’ai bien une petite idée, mais j’attends d’en savoir plus.  

- Tu ne veux rien me dire ! fit-elle outrée  

- Je t’aime, ça t’irait ? fit-il avec un sourire avant de l’embrasser.  

- Je déteste quand tu fais ça, fit Kaori entre deux baisers.  

- Très bien, j’arrête, fit Ryô d’un ton sérieux et en la lâchant.  

- Non, reviens ici, fit Kaori en rattrapant son amant pour l’embrasser passionnément.  

 

Ils passèrent une nuit des plus torrides, mais je n’en dirais pas plus, cela les regarde et puis vous n’avez qu’à faire marcher votre imagination. (NDB : tu as raison ma Shan, l’imagination des lecteurs du HFC est tellement fertile !)  

 

Enfin quand je dis une nuit, je pourrais dire une partie de la nuit car aux premières lueurs de l’aube, on sonna à la porte. Ryô et Kaori étaient tendrement enlacés et furent surpris par l’annonce d’une visite aussi matinale. Ryô se leva prestement et se dirigea vers la porte. Il ouvrit et quand il découvrit le visiteur, il ne pu s’empêcher de rire. Kaori regardait depuis la porte de leur chambre mais elle ne voyait pas le visiteur qui était caché par la porte d’entrée. Mais elle était assez près pour écouter la conversation.  

 

- Tiens, voilà l’invité mystère ! Vous auriez pu attendre quelques heures avant de venir nous réveiller ! dit-il en jetant un œil à la pendule du salon. De plus, c’est vrai que le côté clochard ne vous sied pas vraiment ! fit-il d’un ton moqueur en observant le visiteur de la tête au pied.  

Il portait une espèce de ciré kaki difforme et le chapeau qui va avec (NDA : Imaginez un marin pêcheur qui vient de sortir d’une tempête, ça vous donnera une idée de la touche qu’il a).  

 

- Je ne comprends pas du tout de quoi vous voulez parlez, fit le visiteur avec un accent anglais fort prononcé. Je viens d’arriver par avion et je suis venu ici directement.  

 

Ryô l’observa tout en passant la main dans ses cheveux. Il réfléchissait à ce qu’il allait bien pouvoir faire. Ce type était quand même gonflé, bientôt il allait lui raconter que son jet privé était une version cabriolet et que comble de malchance il n’était pas parvenu à remettre la capote. Ensuite, arrivé à l’aéroport, il n’avait pas trouvé de taxi et il avait donc dû venir jusqu’ici à pied, ce qui expliquerait son état plus que dégoulinant après l’orage de cette nuit. Mais Ryô en avait assez et il décida de mettre carte sur table.  

 

- Ne vous foutez pas de moi, on vous voit traîner dans le quartier depuis 3 jours, monsieur le Duc !  

 

Kaori manqua de tomber à la renverse en entendant ça.  

 

- C’est une erreur, fit le Duc. Je suis venu rejoindre mon fils pour vous aider, répondit-il avant d’hurler. Junior ! Où est-ce que tu es encore ?  

 

A ce moment là, John qui dormait profondément fit un bon de deux mètres dans son lit. Si son père était dans le coin, attention les dégâts ! Il sortit de la chambre en courant et à moitié habillé sous les yeux perplexes de Kaori (NDB : c’est qu’il est bien dressé le Médor !).  

 

- Ne me prenez pas pour un idiot, Lord Harrington, vous nous avez collé votre fiston adoré dans les pattes pour enquêter sur nous et j’aimerais bien savoir dans quel but ! Après tout c’est votre fille qui a disparu et je ne vois pas le rapport avec nous. Que vous vous intéressiez aux personnes que vous avez chargées de l’enquête passe encore mais là, ce n’est pas le cas.  

- Je crois que vous vous méprenez jeune homme, fit le Duc d’un ton outré.  

- Je ne crois pas au contraire, votre chère fille a bien été enlevée, on lui a tendu un piège et vous êtes de suite parti à son secours, mais pourquoi nous y avoir mêlé ? Un homme comme vous n’a pas besoin de moi pour avoir des contacts sur place.  

- Je ne comprends rien à ce que vous dites !  

- Vraiment, monsieur le Duc, ou plutôt devrais-je dire, « L’âme d’argent », car c’est vous que l’on surnomme ainsi, n’est-ce pas ?  

- Comment ? fit le Duc étonné.  

- Comment j’ai deviné ? Eh bien, disons que je suis moins stupide que vous et votre cher fiston ne le pensiez ! Alors maintenant, je veux des explications ! hurla Ryô.  

 

Le Duc leva les yeux au ciel et commença à entrer dans l’appartement mais soudain il entendit des pas dans l’escalier. Une personne arrivait en courant. L’Anglais fut sur ses gardes immédiatement et quand l’individu fit irruption dans l’appartement, il fit un vol plané dans le salon après que le Duc lui ai attrapé une jambe avec sa canne.  

 

- Pas mal pour un vieillard !fit Ryô moqueur.  

 

Le Duc l’ignora et se dirigea vers l’intrus. Il déboîta un mécanisme dans sa canne et en sortit une épée qu’il pointa directement sur le cou de leur visiteur. C’est à ce moment-là que Ryô reconnut la personne en question et se précipita vers le Duc pour le désarmer, mais John arriva avec une arme et le mis en joue.  

 

 

 

 

 

NDA concernant « l’âme d’argent » : Pour ceux qui n’auraient pas lu « La Vérité vient du passé » ou qui ne s’en souviendraient pas, c’est un surnom lié à la famille Harrington, plusieurs de leurs ancêtres ont porté ce nom de code, en temps de guerre ou en tant qu’espion de la Couronne. Ryô et Kaori le connaissent car dans une de ses vies antérieures, Ryô était Alexander Harrington, celui dont parle Kaori dans ce chapitre, et portait ce surnom.  

 

 


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