Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 32 :: Chapitre 32

Pubblicato: 30-04-11 - Ultimo aggiornamento: 30-04-11

Commenti: Hello, everybody Hello ;) Bon je sais, j'ai mis le temps, peut-être tellement de temps que certains ne m'attendent plus ou alors yen a qui vont tomber de leur chaise tellement ils seront étonnés de me voir de retour mais me revoilà et je ne reviens pas les mains vides. Je remercie tous ceux qui me suivent et qui ont eu la patience de m'attendre, que vous aimiez ce que j'écris est un honneur pour moi. Je remercie Notre Superstar Intergalactique, la plus fidèle des amies et des beta, elle corrige toujours plus vite que son ombre. Merci à Soleil, à Tokra et Ouititi pour leur harcèlement et leur fidélité, vous inquiétez pas les filles, je m'y remets et cette fois pour de bon. Je vais faire au mieux pour mettre toutes mes fics à jour le plus vite possible et j'en ferai même de nouvelles, promis. Sur ce je vous souhaite une bonne lecture et je vous dis à la prochaine ;)

 


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Cela faisait maintenant quelques minutes que Miki voyait son mari devenir peu à peu soucieux, il lui avait demandé plusieurs fois l’heure alors qu’il ne le faisait jamais et n’arrêtait pas de se tourner vers le téléphone. Peut-être avait-il un souci, sans doute dû aux appels qu’il recevait tous les jours à la même heure et pour lesquels à chaque fois il lui disait que c’était un faux numéro ? Elle allait lui demander ce qu’il se passait quand il lui demanda à nouveau l’heure.  

 

- Depuis quand as-tu besoin de moi pour connaître l’heure ? La pendule n’est pas en panne, il est dix-sept heures bien passées, il est même presque la demie et je ne comprends pas pourquoi tu agis de la sorte !  

- Je dois sortir, je reviens.  

- Tu vas où ?  

- Je t’expliquerai...  

 

Pendant ce temps-là, Ryô se dirigeait vers la porte afin de voir qui venait le déranger pendant qu’il feuilletait un magazine très culturel. Il marqua un temps de surprise en découvrant qui se trouvait sur le pas de la porte.  

 

- J’ai comme une impression de déjà-vu, pas toi ?  

- Sauf que cette fois je n’ai pas vu passer de massue ! sourit John.  

- Ce n’est pas que je ne sois pas content de te voir mais que me vaut cette visite ?  

- Eh bien comme tu le sais, après vos préparatifs pour Kaori, j’ai décidé de rentrer à Londres, je me suis dit qu’un Anglais au milieu de votre bande ça attirerait trop l’attention.  

- T’as pas tort, mais tu seras toujours le bienvenu, frangin, à condition que l’autre soit pas dans les parages !  

- C’est pourtant pour ça que je suis là.  

- Ne me dis pas qu’il est revenu ?!  

- Je crois qu’il n’est jamais parti.  

- Quoi ?!  

- Je pensais le trouver à la maison en rentrant, à se lamenter sur le fait qu’il s’était fait jeter par son fils et il n’était pas là. Et j’aimerai autant te dire que Mickael en a franchement marre de jouer son rôle.  

- Et aucun de vous n’a une idée d’où il se trouve ?  

- Il y a quelques jours, je t’aurais dit non, mais depuis je suis sûr qu’il est resté ici.  

- Et pourquoi ?  

- Parce qu’il m’a appelé pour rouspéter que mon GPS ne marchait pas.  

- Ton GPS ?!  

- Oui, il adore me piquer mes gadgets si ça peut lui être utile et il m’appelle souvent car il ne sait pas les faire marcher.  

- Je vois…  

- Bref, il m’a appelé en me disant qu’il cherchait la baraque d’Izumi.  

- Ne me dis pas qu’il est parti là-bas ?!  

- Je ne te le dirais pas, mais j’ai préféré venir te prévenir…  

- Il m’énerve, je le fous dehors et il continue ses conneries !  

- Ce n’est pas que je veuille le défendre mais il m’a vaguement parlé d’un danger.  

- Tu parles, un prétexte…  

- Entre nous, je le connais assez et je ne pense pas qu’il risquerait sa peau en se pointant chez sa belle-sœur qui le déteste s’il n’avait pas une bonne raison.  

- Et il en a une, ajouta le nouvel arrivant.  

- Tiens, tête de poulpe, qu’est ce qui t’amène ?  

- La même chose que lui, fit Umibozu en indiquant John de la tête.  

- Tu peux être plus clair ?  

- Ton père s’est pointé au domaine et il s’est allié à ta cousine pour protéger Kaori.  

- D’où tu sors ça ?  

- De Mick, il les a chopé alors il a décidé de les surveiller et il m’a appelé pour vérifier les infos de ton père.  

- Et il s’agit de quoi ?  

- Des mercenaires à la solde de l’Union Teope avec un contrat sur la tête de la compagne de leur pire ennemi.  

- Kaori, mais pourquoi vous m’avez rien dit ?!!!  

- J’ai bien eu des infos sur l’arrivée d’un groupe mais aucune confirmation que tu étais visé ; Mick a eu peur que ce soit un piège et que tu les mènes à la planque alors il m’a dit de me taire.  

- Il n’avait pas tort mais qui nous dit qu’ils n’ont pas attaqué ?  

- Pas jusqu’à aujourd’hui…  

- Comment tu le sais ?  

- Mick m’appelle tous les jours et…  

- Il a pas appelé, merde ! Et on fait comment pour savoir ce qui se passe ?  

- J’ai une idée fit John en sortant son ordinateur portable, j’ai accès à un satellite qui peut nous montrer ce qui se passe à l’endroit que l’on veut pour peu qu’on ait un moyen de détecter quelqu’un sur place.  

- Kaori a toujours un système de repérage sur ses vêtements.  

- Et j’en ai mis un dans le téléphone de mon père, enfin notre père.  

- Donc tu peux les localiser et voir ce qui se passe là-bas ?  

- Oui, quelques réglages et nous aurons les images en direct.  

 

Au bout de quelques instants et après quelques manipulations, une image apparut sur l’écran, on voyait un grand domaine et une maison assez imposante. Ryô se concentra sur l’écran et expliqua que ça ressemblait à la description de Kaori puis il fronça les sourcils avant de demander à John de zoomer car il venait d’apercevoir quelque chose qui ne lui plaisait pas trop.  

 

John s’exécuta et ne put s’empêcher de sortir un « Oh my God » en voyant l’image. Falcon s’approcha en demandant ce qu’il se passait devant le silence des deux autres et Ryô répondit que ce qu’il craignait était arrivé. L’une des ailes de la bâtisse était partie en fumée, pour eux il était évident qu’il s’agissait d’une explosion et que c’était récent.  

 

- Ils ont déjà attaqué, qu’est ce qu’on fait ? fit John.  

- On y va, quelle question !  

- Ce n’est pas à côté, dit Umibozu, on va mettre des heures.  

- Je peux vous trouver un avion rapide, fit soudain une voix provenant de la porte.  

- Saeko, qu’est-ce que tu fiches ici ?  

- C’est moi qui l’ai appelée fit Miki qui apparut à son tour, je me doutais qu’il se passait quelque chose.  

- T’es d’une discrétion à toute épreuve, toi, fit Ryô à Falcon.  

- Ryô, ce n’est pas le moment, fit Saeko, alors cet avion ?  

- Tu peux me dire où tu vas nous dégotter ça ?  

- Ça sert d’être la fille du préfet, j’ai des contacts au Ministère de la Défense.  

- Quelqu’un n’aurait-il pas oublié un truc ? fit soudain Umibozu  

- Quoi ? firent-ils tous en chœur.  

- Ce crétin-là a peur des avions, dit-il en montrant Ryô.  

- T’inquiète, j’en fais mon affaire, prépare le matériel, j’arrive, annonça-t-il en se dirigeant vers la salle de bains.  

 

Il regarda fixement le miroir et se concentra de toutes ses forces ; si quelqu’un pouvait l’aider sur ce coup-là, il était au plus profond de lui et il fallait qu’il arrive à le réveiller.  

 

- Alex, fit-il en s’adressant au miroir, je sais que tu es là au fond de moi, j’ai besoin de toi, Kaori et Catherine sont en danger, aide-moi.  

- Ryô, l’appela Miki quelques secondes plus tard, tout va bien ?  

- Parfaitement bien, répondit-il en sortant de la pièce.  

- Tu es sûr ? Je t’ai entendu parler.  

- Sans importance, allez on y va !  

- Très bien, se résigna t-elle en le suivant jusqu’au salon.  

- Je pense avoir pris tout ce qu’il fallait mais si tu veux jeter un dernier coup d’oeil, lui proposa Umibozu tandis qu’ils descendaient tous au sous-sol.  

- Voyons voir, fit Ryô en pénétrant dans l’armurerie.  

 

Il prit plus de balles pour son arme puis jeta un regard circulaire à la pièce, voulant être sûr qu’il n’oubliait rien. Il s’arrêta net sur un coffret en bois qu’une certaine personne de sa famille avait sans doute oublié quand il l’avait mis à la porte. Il l’ouvrit, sortit un des fleurets, fit quelques mouvements de passe d’arme avant de tout ranger et de prendre le coffret avec lui. Ses amis le regardaient curieusement.  

 

- Je croyais que tu ne savais pas t’en servir de ces machins ? s’étonna Falcon.  

- Moi non plus, faut croire que j’apprends vite, rétorqua Ryô avec un sourire étrange.  

- L’avion nous attend, les interrompit Saeko, tu es sûr que ça ira ?  

- Pourquoi il y aurait un problème ? fit-il d’un ton sûr.  

- Tu as l’air étrange, c’est peut-être ta phobie ? insista l’inspectrice.  

- De quoi tu parles ? Allez, on a assez perdu de temps ! Puis jetant un œil dans l’escalier à la recherche de son frère. John ? Tu peux venir avec nous ? Tes gadgets nous serons peut-être utiles comme la dernière fois.  

- Pas de problèmes, j’attrape mon matériel et on peut y aller.  

- Alors allons-y, je crois que ces dames attendent la cavalerie, annonça-t-il.  

 

Ils quittèrent tous l’appartement et se dirigèrent vers un petit aéroport où les attendait un avion assez rapide pour les amener à bon port dans les plus brefs délais.  

 

Arrivés à l’avion, Saeko, Miki et Falcon appréhendaient le moment où Ryô se retrouverait face à sa phobie ; ils étaient sûrs que pour l’instant il faisait le fanfaron et qu’il allait craquer d’un instant à l’autre. Quelle ne fût pas leur surprise quand ils le virent grimper dans l’appareil par l’échelle d’accès sans sourciller. Falcon attrapa Miki par le bras pour lui parler.  

 

- Qu’est-ce qu’il fichait dans la salle de bains ? Tu as vu ce qu’il faisait ? Il a avalé quelque chose ?  

- Je n’ai rien vu, mais je l’ai entendu parler, apparemment il parlait tout seul, je me suis même demandé s’il n’avait pas tenté de s’hypnotiser car il avait un drôle de lueur dans le regard mais c’est plutôt mon rayon ce genre de choses, il m’aurait demandé, tu ne penses pas ?  

- Effectivement, mais il est bizarre, on ne me l’ôtera pas de la tête, restons sur nos gardes.  

 

Ils rejoignirent le reste de la troupe d’assaut « made in Shinjuku » dans l’avion et l’appareil décolla avec John aux commandes ; au départ, un pilote les attendait mais Ryô avait insisté pour que personne d’autre que des membres de leur groupe ne soit présent, il y avait sûrement des traîtres quelque part, donc ce n’est pas la peine d’offrir des possibilités à leurs ennemis. Une chance pour eux, le petit frère savait piloter.  

 

Après une heure de vol, Saeko alla voir John pour voir comment ça se présentait. Il lui indiqua que d’après ce qu’il en savait, la propriété d’Izumi était assez vaste pour un atterrissage mais ils ne savaient pas si côté discrétion, la cavalerie serait ou non vite repérée. Elle alla en parler aux autres et Ryô dit proposa de sauter en parachute.  

 

Falcon et Miki faillirent en tomber à la renverse. Qu’est-ce qui lui arrivait ?  

 

- Ne faites pas cette tête, c’est la solution la plus facile, on atterrit en douceur et on rejoint le domaine en toute discrétion, pendant ce temps, John atterrit plus loin et nous guide avec son matériel. Vous ne pensez pas que s’ils voient un avion se pointer, ils sont capables de nous descendre ?  

- Sur le principe je suis d’accord, mais tu vas faire comment ? intervint Umibozu, déjà c’est limite que tu sois dans cet appareil, d’ailleurs je me demande comment tu tiens. Tu peux m’expliquer comment tu vas sauter, car j’imagine que c’est une première pour toi vu ta phobie des avions ?  

- Ah ça ! J’ai vu des reportages à la télé ça devrait pas être bien compliqué. J’ai toujours été admiratif de cette invention.  

- Tu te fiches de moi c’est ça ?  

- Non, pourquoi je ferais ça ?  

- Parce que depuis qu’on est parti, je n’ai pas eu droit à une seule de tes blagues à la con et que ton comportement est bizarre !  

- Des blagues ? Je ne trouve pas le moment opportun.  

- Et je ne parle pas de ta façon de parler, il y a des loupés quand tu nous sors un langage châtié. Tu as pris quelque chose, c’est ça ?  

- Absolument rien !  

- Alors explique-toi, on te reconnait pas, intervint Miki.  

- D’accord, alors seulement pour vous rassurer, mais ne vous inquiétez pas, il n’y a pas d’effets secondaires. Je me suis juste souvenu que quand Kaori est partie en Europe, je suis allé la chercher en avion et sans aucun problème ; sur le coup je ne savais pas comment j’avais réussi ce miracle mais quand je l’ai retrouvée, Kaori m’a tout expliqué.  

- La force de l’amour, répondit Miki en souriant.  

- On peut le dire comme ça, un amour très fort qui nous lie depuis très longtemps et semble-t-il même à travers les âges, donc j’ai fait appel à toutes mes vies antérieures qui apparemment n’ont pas peur de voler et voilà le tour est joué.  

- Il est fou ! lâcha Umibozu.  

- Mais non, je ne suis pas fou, je ne peux pas vraiment t’expliquer, d’ailleurs je ne suis pas sûr que tu me croirais, disons que j’ai fait appel à un vieil ami qui lui n’a pas mes peurs.  

- Ton ami ne s’appellerait pas PCP ?  

- Tout de suite, tu vois le pire, non c’est plutôt spirituel.  

- Ou spiritueux, genre une bonne bouteille de whisky !  

- Très bien, tu ne veux pas comprendre, eh bien laisse tomber, le principal c’est que je sois opérationnel et que j’aille sauver Catherine.  

- Qui ça ?  

- Euh Kaori. Je me suis trompé, s’excusa-t-il avec un grand sourire.  

- Et après il veut nous faire croire qu’il a rien pris et qu’il est opérationnel !  

- Très bien, je vous le dis, là, tel que vous le voyez, Ryô est à moitié conscient car il m’a cédé la place pour aller sauver sa femme.  

- Cédé sa place ? Et vous êtes qui sans indiscrétion ? demanda Miki.  

- Lord Alexander Harrington, pour vous servir.  

- C’est son vrai nom ça, vous voulez dire qu’il a une double personnalité ? demanda Falcon.  

- Mais non, pas l’Alexander de maintenant, je suis son ancêtre, l’homme qui s’est fait assassiner il y a des siècles.  

- Le gars qui obsédait le Duc ? fit Miki.  

- Ah, il y en a au moins une qui suit !  

- Miki, je t’en prie ne rentre pas dans son jeu, il se fout carrément de nous !  

- Laisse-moi faire Umichou. Je vais lui parler tranquillement ; venez par ici, dit-elle en le prenant à part.  

- Oui, écoute un peu ta femme, conseilla Ryô en la suivant.  

- Que faisait Ryô dans la salle de bains tout à l’heure ?  

- Il m’a appelé, il savait que c’était grâce à moi qu’il avait atterri à Paris donc il a tenté la connexion et me voilà, mais il est toujours là, quand j’aurai rempli ma mission, je m’en irais. L’important est de sauver Kaori et c’est ce que nous voulons tous les deux, c’est pour cela que je l’aide.  

- Vous avez parlé de Catherine tout à l’heure ?  

- C’est Kaori, enfin à mon époque.  

- Et elle était quoi pour vous ?  

- La femme que j’aimais.  

- Je comprends mieux, vous êtes des âmes sœurs, Kaori et Ryô, Alex et Catherine, et cela à des générations différentes.  

- Enfin, j’ai bien cru que vous ne comprendriez jamais. Quoiqu’avec votre mari, ce n’est pas gagné. Il croit que je suis bourré ou drogué !  

- Je vais lui expliquer, mais reconnaissez que c’est dur à croire.  

- Certes, merci de votre compréhension, chère madame, dit-il en lui faisant le baisemain.  

 

Miki était amusée par cette situation mais en même temps elle ne savait pas si elle devait essayer d’expliquer à son époux qu’ils avaient pour compagnon un homme décédé il y a des siècles. Elle fut vite interrompue dans sa réflexion quand John lança dans le haut-parleur qu’ils approchaient des terres des Tanaka et que c’était tellement grand qu’il pouvait aisément se poser à l’autre bout du domaine sans que la demeure principale se rende compte qu’il était autre chose qu’un vol commercial. Le plan de sauter en parachute était tout à fait réalisable également afin que notre équipe de secours puisse rejoindre leurs amis dans les plus brefs délais.  

 

Tout le monde se prépara, ils étaient prêts à l’attaque mais qu’allaient-ils trouver en arrivant ? Sans plus se poser d’autres questions, chacun enfila un parachute. John ouvrit la porte de largage et ils sautèrent, Ryô en tête. La cavalerie arrivait par la voie des airs et plus d’un risquait d’avoir une surprise à cette arrivée.  

 

 

 


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