Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

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   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 31 :: Chapitre 31

Pubblicato: 28-02-10 - Ultimo aggiornamento: 28-02-10

Commenti: Hello, everybody, hello, je suis de retour, j'ai mis le temps mais me revoilà, avec la suite de mes fics. Je tiens à remercier celles et ceux qui me suivent et un super grand merci à ma Beta, plus rapide que Lucky Luke pour la correction, j'ai nommée, la seule l'unique, Nanou, notre superstar intergalactique. J'espère que ce nouveau chapitre vous plaira, je vous souhaite une bonne lecture et à très bientôt ;)

 


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Chapitre 31  

 

Le lendemain, aux aurores, Yoriko rejoignit la vieille baraque du garde-chasse, elle trouva le Duc en train de préparer le café, elle lui dit de se méfier, que l’odeur pouvait attirer les gardes. Il se plaignit en demandant s’il allait devoir tout boire froid et manger cru pour lui faire plaisir.  

 

Elle allait lui dire que son comportement était enfantin et qu’il était une vraie plaie, quand une deuxième plaie se pointa dans la cachette.  

 

- Alors, sa seigneurie nous fait un caprice ?  

- Je lui explique qu’il ne faut pas se faire repérer et il prépare du café, vu l’odeur, tous les gardes de ma mère vont le trouver !  

- C’est son problème, nous on fera comme si on était pas au courant et à lui de se démerder avec Izumi, la terrible !  

- Mais avant cela, je voudrais savoir ce qu’il sait sur le danger qui guette Kaori.  

- Dans ce cas, asseyez-vous et prenez un café, fit le Duc en faisant une grimace.  

 

Mick et Yoriko s’installèrent tout en remarquant que sa seigneurie s’était fait un gentil petit nid bien douillet. Chacun dans un fauteuil, ils prirent une tasse et s’installèrent, prêts à écouter l’histoire de Lord Harrington.  

 

- Et là, vous trouvez rien à redire à mon café ? Je vous jure, ces jeunes !  

- Oh ça va, bon vous racontez votre histoire ou on change de crèmerie ? s’énerva Mick.  

- Très bien, pas la peine de s’énerver ! Comme vous le savez sans doute, je me suis un peu disputé avec mon fils.  

- Un peu, le mot est faible !  

- D’accord, je l’ai cherché, mais bon là n’est pas la question. J’étais donc décidé à regagner l’Angleterre et je suis donc allé à l’aéroport. Là-bas, en attendant mon vol, je me suis installé dans le salon VIP pour prendre un verre et je suis tombé sur une vieille connaissance, l’ancien patron de la CIA.  

- Rien que ça ! s’exclama l’Américain.  

- Eh oui, c’est un ami, il est à la retraite comme moi mais quelques fois il fait des extras.  

- Comme vous, finit Mick.  

- En effet, il est souvent consultant sur certaines affaires.  

- Et il vous a tranquillement raconté des secrets d’état ? s’étonna Yoriko.  

- Non, on parlait du bon vieux temps quand il a reçu un appel ; vu sa tête quand il a raccroché, je n’ai pas pu m’empêcher de lui poser des questions et à titre officieux il m’a expliqué de quoi il retournait. Quelle ne fut pas ma surprise quand il se mit à me parler d’une organisation mafieuse connue sous le nom de l’Union Teope. Un homme à lui s’était infiltré dans l’organisation et vraisemblablement était tombé sur une unité de mercenaires chargés d’éliminer le pire ennemi de cette organisation. Comme ils avaient échoué jusqu’à présent, leur cible était désormais la compagne de cet ennemi, cachée à la campagne pour une raison qu’ils ne connaissaient pas. Apparemment, son homme s’était fait démasqué et il avait été retrouvé mort.  

- Leur pire ennemi c’est Ryô, fit Mick, donc leur cible…  

- C’est Kaori, termina Yoriko.  

- C’est bien pour ça qu’au lieu de sauter dans mon avion, j’ai aussitôt loué une voiture et j’ai foncé ici.  

- Pourquoi ne pas en avoir parlé à Ryô ?  

- Il ne m’aurait même pas laissé ouvrir la bouche, il m’aurait viré de chez lui sans m’écouter ! (Ndb : il faut le comprendre le pauvre !)  

- Donc, maintenant c’est à nous de jouer, fit Yoriko, on a intérêt à se tenir prêt, si des mercenaires veulent attaquer le domaine, ça risque d’être très dangereux, quand je pense que maman croyait la mettre à l’abri.  

- Bonne idée, elle l’a planquée en pleine cambrousse, là où on aura difficilement des secours, ironisa le Duc.  

- J’ai intérêt à augmenter les entraînements, fit Yoriko, sinon la prophétie s’accomplira.  

- Quelle prophétie ? demandèrent en chœur Mick et le Duc.  

- Oui, ma chère nièce, comment étiez-vous au courant ? rajouta le Duc.  

- Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais un « ami » m’a informé d’un possible danger, il ne savait pas quoi mais maintenant je sais à quoi m’attendre.  

- C’est qui cet ami ? insista Mick.  

- Vous ne le connaissez pas ! Disons qu’il voit des choses, je n’étais pas sûre qu’il avait vu juste.  

- C’est une sorte de voyant ? demanda le Duc.  

- En quelque sorte, préféra mentir Yoriko. Elle ne voulait surtout pas parler de son visiteur du futur, elle aurait perdu toute crédibilité.  

- Et il vous a dit que je pourrais aider ? C’est ce que vous m’avez dit ?  

- Oui, il m’a dit que le grand-père pourrait m’aider et en effet, c’est vrai puisque vous savez qui en veut à Ryô.  

- Même s’ils sont un peu débiles, ajouta Mick, ils croient affaiblir Ryô en s’en prenant à Kaori, alors qu’au contraire s’il lui arrivait quelque chose, le tueur implacable qui dort en lui se réveillerait, c’est Kaori qui le rend humain.  

- Vous avez sûrement raison, mais il ne faut pas demander de réfléchir à du gibier pareil.  

- Bon alors qu’est ce qu’on fait ? On prévient Izumi et Ryô ? proposa Mick.  

- Si on attendait un peu ? On élabore un plan et après on les prévient, j’ai pas envie de me faire dégommer par l’un comme par l’autre avant la bataille !  

- Je resterai près de Kaori, dit Yoriko.  

- Moi, j’ai bien envie de passer un appel discret à Falcon pour savoir s’il a entendu quelque chose, fit Mick.  

- D’accord, donc on obtient plus d’infos et on se tient au courant puis on fait un point tous les matins ici, d’accord ? suggéra le Duc.  

 

Les complices se mirent d’accord et à compter de ce jour, chacun vaquait à sa mission.  

 

Mick avait emprunté discrètement le téléphone qu’Izumi avait mis à la disposition de Kaori et avait contacté Umibozu ; ce dernier se renseigna et confirma que plusieurs hommes étaient arrivés de l’étranger pour un contrat mais il n’avait pu en obtenir plus. Il demanda s’il fallait en informer Ryô, Mick dit qu’il s’en chargerait en temps voulu ; il ne voulait pas l’affoler pour rien et puis surtout, qui disait que ces hommes savaient vraiment où était Kaori ? Si ça se trouve, ils n’attendaient que de voir le nettoyeur se précipiter ici pour le suivre et accomplir leur forfait. Umibozu était d’accord mais n’aimait pas trop le fait de cacher quelque chose à Ryô. Mick comprenait mais Kaori était en danger et il savait bien que leur ami ne réfléchissait pas trop quand ça concernait sa femme, il fonçait dans le tas et en l’occurrence, il risquait de mettre tout le monde en danger.  

 

De son côté, Yoriko était chargée de veiller sur Kaori, elle avait garanti à ses deux complices qu’elle était en sécurité car elle ne la lâchait pas d’une semelle.  

 

Tous les jours, Mick et Yoriko rejoignaient le Duc aux aurores afin de faire part de l’avancée des choses, pour l’instant rien ne prouvait une attaque imminente, mais ils veillaient au grain.  

 

Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que quelqu’un d’autre veillait sur leurs ballades matinales et s’était fait des idées bien autres que ce qui se passait réellement. Elle avait tourné et retourné toutes les idées qui lui étaient passées en tête et elle avait bien peur d’avoir compris. Après le repas de midi, au moment de la sieste, sa rage éclata en retournant dans sa chambre et Kaori sursauta devant la colère de Kazue en général si calme.  

 

- Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda-t-elle à son ami.  

- Rien, rien…  

- Ne te moque pas de moi, je vois bien que tu es furieuse.  

- Mais non, ce n’est rien  

- Qu’est-ce que Mick a encore fait ?  

- Comment ça, Mick ?  

- Pour que tu te mettes en colère comme ça, ça ne peut être que lui.  

- Rien je te dis, je me fais sûrement des idées.  

- Il drague la cuisinière ? (Ndb : sacrée Kaori ! lol)  

- Non, il vise plus jeune mais ça m’étonne quand même.  

- Comment ça plus jeune ? C’est qui ?  

- Une personne à qui je n’aurais jamais pensé si je ne les avais pas vus.  

- Et tu as vu quoi au juste ?  

- Tous les matins, ils se retrouvent dans une vieille baraque au fond de la propriété ; au début j’ai cru que c’était une coïncidence mais ils le font tous les jours.  

- Mais de quoi tu parles, il retrouve qui ?  

- Yoriko !  

- Ce n’est peut-être pas ce que tu crois, je ne pense pas que Yoriko soit du genre à…  

- A quoi ? A flirter avec mon fiancé ? hurla Kazue.  

- Calme-toi, c’est sûrement un malentendu !  

- Je ne sais pas, je ne sais plus quoi penser.  

- Je te comprends mais on va tirer ça au clair, ne t’inquiète pas, compte sur moi.  

- Merci Kaori.  

- Si on allait prendre un peu l’air avant la sieste ? Ça nous aidera à réfléchir et ça nous calmera.  

- Tu as raison, c’est une bonne idée.  

 

Elles rejoignirent le jardin tandis qu’une personne qui n’avait rien loupé de la conversation, avait bien l’intention de mettre les poings sur les i avec cet Américain s’il avait eu le malheur de poser la main sur sa fille ; elle quitta l’aile de la maison où se trouvait ses invités aussi discrètement qu’elle y était venue. Elle s’était doutée d’un souci en voyant la mine peu réjouie de l’amie de Kaori mais ne se serait jamais douté que sa fille était mêlée à une histoire pareille.  

 

Elle avait l’intention de convoquer sa fille immédiatement dans son bureau quand elle aperçut l’Américain en question se dirigeant vers la fameuse maison ; si cette histoire était vraie autant en avoir le cœur net. Elle le suivit discrètement et attendit un instant afin de le prendre la main dans le sac en train de faire des avances à sa fille.  

 

- Alors comme ça, on ose s’en prendre à de frêles jeunes filles innocentes, je vais vous faire regretter d’être arrivé sur cette terre, espèce d’obsédé !!! hurla-t-elle en entrant dans la maison.  

- Izumi, fit une voix, qu’elle ne connaissait que trop, quelle bonne surprise, ravi de ta visite !  

- Quoi ? Mais qu’est-ce que tu fous chez moi, espèce de vieux… (Ndb : Les mots doux commencent..mdr)  

- Eh oh, on se calme, c’est pas le moment ! fit Mick.  

- Vous, on vous a rien demandé, je m’expliquerai avec vous plus tard sur votre comportement inacceptable vis-à-vis de ma fille !  

- Votre fille ?  

- Oui, vil séducteur, je sais très bien que vous l’amenez ici pour je ne sais quoi !  

- Euh, franchement, je vois pas très bien à quoi vous pensez, même si j’en ai une petite idée, mais vous croyez que si j’avais des intentions comme celles que vous me prêtez, je viendrais le faire ici avec sa seigneurie dans les parages ?  

- Parce que vous saviez qu’il était là ?  

- Effectivement.  

- Et depuis combien de temps ?  

- Depuis que je l’ai surpris avec votre fille.  

- De quoi ? Avec ma Yoriko ? hurla-t-elle. (Ndb : et c’est reparti !)  

- Oups, je me suis mal exprimé, je voulais dire pas dire ce que vous avez compris, ils discutaient ici tous les deux.  

- Oui, Izumi, ne vas pas t’imaginer des idioties, c’est ma nièce !  

- Ca ne me dit toujours pas ce que tu fous ici.  

- J’attends qu’on ait besoin de moi et ta fille a été assez gentille pour m’offrir l’hospitalité.  

- Gentille, je vais lui passer un savon, oui ! Qu’est-ce qui lui est passé par la tête pour te laisser entrer chez moi et dans mon dos en plus !  

- Elle avait une bonne raison.  

- Vraiment et laquelle ?  

- De toute façon, on aurait fini par t’en parler mais on voulait affoler personne.  

- Me parler de quoi ?  

- Une menace pèse sur Kaori.  

- C’est tout ce que tu as trouvé pour ramener tes guêtres ici ?  

- Elle avait raison, tu nous aurais pas cru, t’es une tête de mule !  

- Et ton fils alors, il est au courant ?  

- Il est comme toi, on a préféré faire à notre façon !  

- C’est bien ce que je vois, quand je pense que cette pauvre Kazue croyait que ma pauvre Yoriko s’était laissée charmer par cette andouille américaine, alors qu’en fait il passait son temps avec…  

- Avec vous, c’est ça ! hurla soudain une Kazue hystérique derrière eux.  

- Kazue chérie, mais qu’est-ce que tu fais là ?  

- Je venais de raccompagner Kaori à sa chambre quand j’ai vu cette chère Izumi se faufiler dans ta cachette secrète, je l’ai suivie, j’ai cru que tu en avais après la fille mais en fait c’est la mère !  

- Mais qu’est-ce que tu vas t’imaginer, mon cœur.  

- Arrêtes, je viens de vous surprendre tous les deux !  

- Erreur, Honey, on est trois ici ! Et c’est pas ce que tu crois !  

- Vraiment, et qui est ta deuxième conquête ? fit-elle en le fusillant du regard.  

- Moi, je crois, décréta le Duc, même si je n’accepte pas du tout le fait que vous me preniez pour la conquête de cet hurluberlu ! (Ndb : mdr)  

- Lord Harrington ! Mais qu’est-ce que vous fichez ici ?  

- Je suis là pour sauver Kaori, Yoriko m’a aidée à me cacher de sa mère parce qu’on savait bien qu’on nous croirait pas et Mick nous a repérés et il a décidé de nous aider, voilà, je crois que c’est clair et net.  

- Kaori en danger ? fit Kazue incrédule.  

- Oui, c’est stupide, elle est parfaitement en sécurité ici, j’ai mes gardes, personne ne sait où elle est, elle ne risque rien, c’est ce que je me tue à dire à cet abruti ! aboya Izumi.  

- Bien sûr, tu crois toujours avoir raison, mais si tu te trompais, dit le Duc.  

- Impossible, on est chez moi et rien ne peut arriver !  

- Et bien mieux vaut prévenir que guérir, vieille chouette entêtée ! (Ndb : Y a rien à faire, ils sont fatigants…)  

- Tais-toi vieux débris !  

 

Ils étaient en train de s’insulter copieusement quand ils furent interrompus par un énorme bruit. Ils se retournèrent et aperçurent de la fumée venant de la maison. Tous se précipitèrent pour découvrir avec horreur que l’aile occupée par Kaori venait d’être littéralement soufflée par une explosion. Ils étaient tous horrifiés par cette vision cauchemardesque.  

 

- Kazue, dis-moi que Kaori n’était pas là-dedans ! s’inquiéta Mick.  

- Quand je l’ai laissée, elle allait faire sa sieste quotidienne, oh mon Dieu, c’est affreux !  

- On était tous là et on a rien fait, fit Izumi. Mon orgueil a tué la pauvre Kaori.  

- Elle m’en voulait mais je l’aimais bien, moi, ajouta le Duc  

- Ryô, me l’avait confiée et j’ai échoué dans ma mission, fit Mick la larme à l’œil.  

- On peut savoir sur quoi vous pleurnichez tous ? fit soudain une voix dans leur dos.  

- Laisse-nous, on vient de perdre une amie très chère, tu peux pas comprendre, Kaori… Kaori ?!  

- Oui, qui d’autre ? Alors vous avez perdu qui ?  

- Mais toi, t’étais pas dans ta chambre ? fit Kazue en la prenant dans ses bras.  

- Euh, en fait non, j’en ai eu marre de la sieste, j’ai l’impression d’être en sucre dans cette maison alors, avec la complicité de Yoriko, tous les jours, je fais semblant d’aller dormir mais en fait, on est dans la salle d’entraînement et je l’aide à maîtriser le sabre.  

- Tu entraînes Yoriko ? fit Izumi. Oh, merci mon Dieu !  

- Tu crois en Dieu, toi, maintenant ? ironisa le Duc.  

- Te fous pas de moi, toi aussi, tu as cru qu’elle était…  

- Vous m’avez crue morte, je suis désolée, je sais pas ce qui s’est passé mais j’ai eu du bol.  

- Plus que tu ne crois, si tu savais, mais à mon avis c’est pas fini, conclut Mick.  

- Explique-toi, qu’est-ce qui se passe et pourquoi le Duc est là ?  

- Quelqu’un veut te tuer ! Et lui, il en a entendu parler alors il a rappliqué pour te sauver.  

- Si j’avais été dans ma chambre on peut dire que sa mission était loupée !  

- Je sais Kaori, désolée, mais maintenant, on vous lâche plus, décida le Duc.  

- Et je peux savoir qui veut me tuer ?  

- L’Union Teope.  

- Quoi ? Et comment ils ont su que j’étais là ?  

- A mon avis, quelqu’un leur a dit.  

- Un traître parmi mes hommes, pourtant j’ai leur loyauté, fit Izumi perplexe.  

- Tiens, j’aurais juré que t’allais dire que c’était moi, fit le Duc.  

- Tu ne trahirais pas ta chair, je le sais.  

- Bon, moi je vais appeler du renfort, parce que là, on est dans la mouise, perdus en pleine cambrousse, avec sûrement un traître parmi nous et une bande de mercenaires qui veut nous zigouiller, décréta Mick.  

- Je sens que Ryô va adorer apprendre ça, fit Kaori. Passe-moi le téléphone, ça passera mieux si c’est moi qui lui dit.  

- Le téléphone ! Tu parles de celui qui était dans ta chambre ? Ah mon avis, il en reste pas grand-chose.  

- Dites-moi, que vous avez autre chose pour communiquer ? demanda Kaori en se tournant vers Izumi.  

- J’en ai un autre dans mon bureau, rassurez-vous.  

- Je voudrais pas gâcher votre joie, mais ce serait pas ton bureau que je vois fumer là-bas ?  

- Bon sang, grimaça Izumi en voyant son bureau en feu, ils ont pensé à tout, j’ai bien peur qu’on ait plus de moyen pour communiquer avec l’extérieur.  

- Y a pas à dire, ce sont des pros, reconnut Mick tout en remettant la puce dans son portable personnel. Et bien sûr, dans ce trou perdu, ça passe pas, bon ben y a plus qu’à attendre…  

- Attendre quoi ? demanda Kaori, qu’ils nous attaquent ?  

- Plutôt qu’Umibozu et Ryô rappliquent.  

- Et pourquoi ils feraient ça ? Tu peux communiquer par la pensée avec ton jumeau japonais peut-être ? (Ndb : mdr)  

- Mais non, Kaori chérie, j’appelle Falcon tous les jours à 17 heures pour lui dire si tout va bien depuis qu’on a eu vent d’une attaque ; quand il verra que je ne donne pas signe de vie, il va aller prévenir Ryô et ils vont venir avec la cavalerie.  

- J’espère que tu as raison, en attendant, préparons-nous, on se sait pas si on pourra attendre leur arrivée, conclut Kaori.  

 

 


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