Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 37 capitoli

Pubblicato: 03-07-05

Ultimo aggiornamento: 29-10-12

 

Commenti: 166 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Ryô se retrouve mêlé à une affaire qui implique sa famille biologique ! (suite de La vérité

 

Disclaimer: Les personnages de "On ne choisit pas sa famille" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Le personnage de Hiro qui fait une petite apparation au chapitre 27 appartient aux scénaristes et aux producteurs de la série "Heroes". La famille Harrington est à moi lol

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: On ne choisit pas sa famille !

 

Capitolo 22 :: Chapitre 22

Pubblicato: 05-10-06 - Ultimo aggiornamento: 05-10-06

Commenti: Salut tout le monde ;) Et me revoilà avec la suite de ma fic... J'espère que ça vous plaira, au programme la confirmation d'un fait que pratiquement tout le monde avait deviné à part Ryô et une surprise pour la fin du chapitre... Bref, bonne lecture et n'hésitez pas à me donner votre avis ;)

 


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La voiture de l’ancien nettoyeur américain filait à travers les rues de la ville en direction du cabinet du Doc, pendant qu’à l’arrière du véhicule, un Anglais plutôt en colère vociférait toute son indignation d’être traité de la sorte.  

 

- Eh l’amerloque, vous rendez vous compte de ce que vous faites, je ne suis pas n’importe qui, moi !!  

- Oh, ça non, vous êtes un vieux pervers sadique, répliqua Mick pendant que John essayait de garder son sérieux.  

- Peut-être mais je suis avant tout un lord anglais, un pair du Royaume comme on le dit et j’ai une réputation à soutenir.  

- Ça, il aurait peut-être fallu y penser avant de faire vos conneries, vous ne croyez pas ? Quand je pense qu’on a failli se faire castrer par la bande de furies à cause de vous ! fit-il tout en jetant un œil à John qui approuvait totalement.  

- Bon, je l’admets, vous n’avez pas tout à fait tort mais vous avez vraiment besoin de m’escorter avec tout cet attirail ? fit-il en montrant les menottes. Vous n’êtes pas en train de faire un transfert de prisonnier, quand même !!!!  

- Ben, dans un sens, si ! Vous êtes le prisonnier de Kaori et j’ai pas envie de subir ses foudres quand elle vous verra rappliquer.  

- Son prisonnier ! Je suis avant tout son beau-père et bientôt le… enfin on parlera de ça plus tard.  

- Bientôt quoi ? fit Mick soupçonneux.  

- OK, je garde les menottes, mais vous m’enlevez cette laisse ridicule et je vous mets dans la confidence, fit le Duc avec un clin d’œil.  

- Vraiment, vous êtes vraiment prêt à tout pour vous tirer, si ça se trouve, vous ne voulez même pas allez à la clinique, vous cherchez seulement un moyen de vous échapper pendant que Kaori est occupée ailleurs !  

- C’est faux, je veux absolument être là, quand il va apprendre la nouvelle, imbécile d’Américain !!!  

- Quelle nouvelle ?  

- Mais vous êtes vraiment crétin ou quoi ?  

- Vous voulez que je vous rajoute une camisole, ça vous calmera d’ici l’arrivée ! fit Mick devant l’insulte.  

- Que cet Américain ne comprenne pas mais toi John, tu n’as pas compris non plus ?  

- Non, père et je pense que le plus simple c’est que vous finissiez pas le dire, on gagnera du temps, fit John exaspéré.  

- D’accord, vous savez tous les deux que Kaori est malade !  

- Oui et alors ? firent en chœur les deux hommes.  

- Ryô a bien dit qu’elle se levait tous les matins…  

- Je ne comprends toujours pas, fit Mick.  

- Faut vous faire un dessin ou quoi ? Moi j’ai pas mis deux plombes à comprendre, j’ai été marié 3 fois et je commence à avoir l’habitude.  

- Quel rapport ? fit John.  

- Voyons, pourquoi une femme serait malade tous les matins si on écarte un problème de santé.  

- Nom de Dieu !!!!! manqua de s’étouffer Mick quand son cerveau finit par piger ce que le vieux sadique voulait leur faire comprendre.  

- Père, vous croyez vraiment que c’est ça ? ajouta John.  

- Oh que oui et je veux absolument être présent quand il va l’apprendre, je ne louperais ça pour rien au monde, fit le Duc avec un sourire de dix mètres de long.  

- Et moi non plus, ajouta Mick en appuyant un peu plus sur l’accélérateur.  

 

La voiture fila à travers la ville et arriva finalement devant la clinique. Mick se gara à côté de la clinique et John tira son père en dehors de la voiture. Ils venaient de pénétrer dans le bâtiment quand ils tombèrent sur un Ryô qui faisait les cents pas dans le couloir.  

 

- Qu’est ce que vous foutez ici ?! fit-il aussitôt en voyant cette arrivée massive.  

- On est venu prendre des nouvelles, fit Mick d’un air innocent.  

- Vraiment ? Et vous aviez besoin d’amener le paternel ?  

- Eh bien, on ne pouvait pas le laisser seul, répondit John, qui sait ce qu’il aurait inventé ?  

- T’as pas tort, mais je suis pas sûre que Kaori soit contente de le voir dans les parages, déjà qu’on sait pas ce qui lui arrive.  

- Le Doc n’a pas une idée ? demanda Mick.  

- Il a dit qu’il devait vérifier, que c’était pas grave… Mais il a dit que ça dépendait de….  

 

A ce moment là, le Doc sortit de la salle de consultation, avec un grand sourire. Kaori le suivait de peu.  

 

- Je vois qu’il y a du monde, t’avais peur d’attendre tout seul, Daddy Face ?  

- Hein, mais non ! fit-il en ignorant les derniers mots du Doc. Alors mon cœur, comment tu vas ?  

- Je vais bien, tout est normal, faudra que je passe d’autres examens mais sinon tout va très bien, répondit Kaori qui avait l’air nettement moins en colère, ce qui intriguait au plus au point notre nettoyeur.  

 

De plus, il avait autour de lui, des hommes qui le regardaient bizarrement et avec un drôle de sourire, là ça devenait de plus en plus inquiétant !  

 

- Des examens, mais je croyais que tu allais bien ? finit-il par dire.  

- C’est exact, ne t’inquiète pas pour moi, je vais on ne peut mieux, maintenant reste à savoir s’il en est de même pour toi ?  

- Pour moi ? Pourquoi c’est un truc contagieux que t’as chopé ?  

 

A ce moment là, tous, éclatèrent de rire devant la mine stupéfaite du célèbre Ryô Saeba.  

 

- Je vois que vos collègues ont mis moins longtemps à comprendre que vous, Docteur Saeba, fit le Doc en riant et il retourna dans son cabinet en souriant à Kaori.  

- A comprendre quoi, bon sang de bois ?  

- Ryô, fit Kaori.  

- Oui, mon cœur.  

- J’ai une nouvelle à t’apprendre et j’espère de tout mon cœur que tu vas bien le prendre.  

- Mais parle bon sang, je suis en train de devenir fou, moi !!!  

- D’accord, allez je me lance ! Ryô, tu vas être PAPA !!!  

- PAPA !!!! fit Ryô silencieux, puis l’information se fit plus claire dans son cerveau…. Moi, Papa, punaise, j’ai eu une de ces trouilles, t’as failli me faire avoir une attaque, moi je croyais que t’avais un truc grave, un peu plus et je tombais dans les pommes !!!  

- Dommage, ça m’aurait plu de voir ça, fit le Duc.  

- Oh vous, la ferme ! fit Ryô. En plus, vous saviez tous et vous m’avez laissé me tracasser !  

- C’était trop drôle ! fit Mick  

- Ah bon, c’était drôle et bien j’ai le regret de t’annoncer que tu seras pas le parrain de mon enfant, ça te fera les pieds !!  

- Si vous arrêtiez votre cirque !!! intervint Kaori.  

- Excuse-moi, mon amour, tu sais que je t’aime, fit Ryô en la prenant dans ses bras pour l’embrasser.  

- Je suppose que ça veut dire que tu le prends bien.  

- Et comment, je vais être papa, t’imagine, un petit bébé de toi et moi, génial !  

- Ouh là, fit Mick, je crois que ça lui a grillé quelques neurones tout de même, il a viré gâteux !  

 

Ryô et Kaori préférèrent ignorer la dernière remarque de leur ami pour savourer ce petit instant de bonheur, rien qu’à eux. Puis, quelques minutes plus tard, ils décidèrent de retourner à l’appartement, Kaori avait hâte de téléphoner à Miki pour lui apprendre la bonne nouvelle. Son humeur était excellente et du coup, elle avait même décidé de ne plus en vouloir au Duc et avait demandé à Mick et John de le libérer.  

 

Tout ce beau monde rejoignit donc l’immeuble de Ryô et Kaori dans la plus totale des sérénités, enfin presque car le Duc voulait absolument parler à son fils d’un sujet délicat. Il essaya d’aborder le sujet dans les escaliers qui rejoignaient l’appartement.  

 

- Qu’est ce que vous avez encore fait, c’est pas possible, on vous a pourtant pas lâché depuis tout à l’heure ! fit Ryô.  

- Mais tu ne comprends rien de rien, il faut que je vous parle à tous les deux d’une chose très importante, c’est en rapport avec la grossesse de Kaori.  

- Je ne vois pas en quoi ça vous regarde, vous n’avez rien à faire dans cette histoire ! Vous allez être grand-père, vous devriez être content, fit Kaori.  

- C’est pas une chose que je veux faire, c’est une chose dont vous devez être au courant, une possibilité…  

 

Il fut interrompu par Ryô, qui arrivé devant la porte de l’appart, s’arrêta aux aguets. Il sentait une présence à l’intérieur. Ce n’était pas une menace mais il y avait une forte aura de colère et Ryô hésita franchement avant d’ouvrir la porte. Il se demandait bien à quoi, il devait s’attendre.  

 

Il se décida tout de même à ouvrir et pénétra seul, dans le salon et découvrit une silhouette de dos. Il s’agissait d’une femme avec de longs cheveux noirs. En l’entendant entrer, elle se retourna et il resta bouche bée en découvrant le visage de sa visiteuse.  

 

Au bout d’un moment, Kaori pénétra à son tour dans la pièce et découvrit son mari qui semblait comme hypnotisé. Elle vit cette femme, beaucoup plus âgée qu’elle, mais tout de même bien conservée pour son âge ; on pouvait même dire qu’elle était très séduisante et pendant quelques secondes, Kaori se demanda si c’était la raison du mutisme de Ryô.  

 

Elle ne se posa pas la question bien longtemps, puisque la femme se décida à parler.  

 

- C’est lui, City Hunter ? fit la femme d’un ton étonné. Il est pas bavard !  

- C’est nous, plus exactement, répondit Kaori. Quant à son silence, je suis aussi étonnée que vous, c’est pas vraiment son genre.  

- On dirait qu’il a vu un fantôme, fit la femme en souriant.  

 

Ryô secoua la tête et reprit ses esprits.  

 

- En fait, c’est un peu l’impression que j’ai eu, fit-il franchement.  

- Ah bon, c’est intéressant, peut-être nous connaissions-nous déjà après tout, mais ce n’est pas pour ça que je suis là.  

- En quoi pouvons-nous vous aider ? fit Kaori.  

- Je cherche un homme.  

- Nous ne sommes pas une agence matrimoniale, rétorqua Ryô moqueur.  

- Non, je cherche un homme que je ne connais que trop bien et qui devrait se trouver ici, enfin, si mes sources sont bonnes.  

- Vraiment ! Et vous pouvez nous le décrire ?  

- Bien sûr, un Anglais, la soixantaine, qui a tendance à foutre le bordel partout où il passe. (NDB : tiens, ça me rappelle quelqu’un…lol)  

- Mick ! John ! cria Ryô. Vous voulez bien amener le phénomène qui est certainement en train d’essayer de se carapater ?  

- Pas de problèmes, on le tient ! firent les deux hommes en cœur en poussant le Duc à l’intérieur.  

- Donc, mes indics ne m’avaient pas menti, tu es bien de retour au pays, vieille carne ! fit la femme avec un grand sourire.  

- Bonjour Izumi, comment vas-tu ? fit le Duc avec un pâle sourire  

- Comment je vais ? Tu te fous de moi ? fit-elle en l’attrapant par le col. Tu es au Japon depuis des semaines, t’es même pas venu me voir et tu oses me demander comment je vais ? hurla-t-elle.  

- Eh bien, c'est-à-dire que c’est assez compliqué, en fait… commença le Duc.  

- Je ne veux pas le savoir, tu n’as aucune excuse !  

- En fait, si, intervint Kaori, sa fille avait été enlevée, donc il n’avait pas vraiment le temps d’aller voir une de ses amies, enfin, je suppose.  

- Susan ! Enlevée ! Tu pouvais pas me prévenir, espèce de crétin, je t’aurais aidé, on est quand même de la même famille !  

- Disons, que je ne voulais pas t’embêter, fit le Duc d’un air penaud. Et puis j’avais déjà beaucoup d’aide comme tu peux le constater.  

- Tu parles, tu préfères faire appel à un nettoyeur plutôt qu’à moi, tu mérites vraiment des claques.  

- En fait, l’histoire concernait aussi Ruï et je ne savais pas comment te le dire, lâcha-t-il brièvement.  

 

A ces mots, la femme le lâcha et le regarda comme tétanisée. Toute la bande était étonnée par cette réaction et Ryô s’empressa de poser des questions.  

 

- Quel rapport avec Ruï, fit- il au Duc en montrant la femme du doigt. Qu’est ce que vous m’avez encore caché ?  

- Ruï était ma sœur, répondit la femme à la place du Duc, ma sœur jumelle.  

- Je comprends mieux le coup du fantôme de tout à l’heure, fit alors Kaori.  

- Comment ça ? demanda Izumi. Vous connaissiez ma sœur, aussi ?  

- Je n’ai pas eu ce plaisir, malheureusement, répondit Ryô avec une drôle de voix, mais je me souviens de son visage, c’est pourquoi j’ai été troublé en vous voyant tout à l’heure.  

- Harrington, explique moi, je ne comprends rien ? s’énerva Izumi en s’adressant au Duc.  

- Izumi, fit-il d’une voix douce. Cet homme, que tu as devant toi, c’est Alex, enfin, c’est Areku, si tu préfères.  

- Tu veux dire qu’il est vivant, que tu avais raison depuis toutes ces années ? fit-elle avec des larmes dans les yeux.  

- Effectivement et comme tu peux le constater, il a bien grandi et il s’en est plutôt bien sorti dans la vie. Bon, c’est sûr il n’est pas médecin, mais il avait de qui tenir. Après tout, ses parents n’étaient pas des enfants de chœur, n’est-ce pas, Izumi ? fit-il en souriant tandis qu’il la regardait qui fixait Ryô avec un regard embué de larmes.  

- City Hunter ! Dire que j’entends parler de toi depuis des années, que nous vivons dans le même pays ! Et tu es mon neveu, elle est bien bonne celle-là ! On était si proche sans le savoir, fit-elle en s’approchant de Ryô et en le serrant dans ses bras.  

 

Ce dernier était tout retourné… la sœur jumelle de sa mère. Il ne s’y attendait pas du tout. Et puis cela faisait tellement bizarre, elle était dans ses bras et c’était soudainement comme si sa mère avait repris vie juste pour lui, pour le voir. Décidemment, il n’était pas au bout de ses surprises avec cette famille.  

 

 


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