Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 18-06-20

Ultimo aggiornamento: 26-07-20

 

Commenti: 47 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Que se passe-t-il lorsque Ryo croise à nouveau des femmes qui ont jalonné son parcours?

 

Disclaimer: Les personnages de "Toutes les femmes de ta vie " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toutes les femmes de ta vie

 

Capitolo 20 :: Chapitre 20

Pubblicato: 21-07-20 - Ultimo aggiornamento: 21-07-20

Commenti: Bonjour, voici la suite de l'histoire. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25


 

Chapitre 20  

 

Observant la foule autour d’eux, Ryo soupira et tira sur le col de sa chemise.  

 

- Arrête de faire l’enfant. Ce n’est quand même pas si dramatique d’assister à une soirée avec champagne et petits-fours accompagné d’une séduisante jeune femme, non ?, le sermonna sa compagne.  

 

Le nettoyeur regarda la brunette accrochée à son bras. Il ne pouvait nier qu’elle était très sexy dans la robe bustier qui soulignait agréablement sa poitrine voluptueuse, qu’en temps jadis normal, il en aurait certainement profité pour la tripoter à tout va, surtout qu’avec cette foule, elle aurait moins osé le remettre à sa place mais ça, c’était avant.  

 

- Ce serait plus drôle si tu ne me brandissais pas un contrat de mariage à chaque fois que je te propose des activités d’adultes, Reika., lui répondit-il, ennuyé.  

 

Il voulait encore tromper son monde quelques temps et avait bien fait une ou deux allusions au fait de tirer un coup à deux une fois la soirée terminée avec la réponse quasi pavlovienne de la brunette.  

 

- Et puis, je ne raffole pas du champagne. Je préfère les vrais alcools., ajouta-t-il, blasé.  

- Bon, alors console-toi avec le fait qu’on va bientôt arrêter un vrai trafic de drogue et que, pour une fois, tu n’auras pas à assurer les arrières de ta partenaire mais que ce sera elle qui te secondera., répliqua-t-elle, acerbe.  

- Figure-toi que je peux me reposer sur elle., lui dit-il, un léger sourire aux lèvres.  

 

Au propre comme au figuré, pensa-t-il, se souvenant à la fois du jour où elle l’avait aidé à viser alors qu’il était pris par la fièvre et toutes les fois où il s’était réveillé la tête sur sa poitrine, oreiller des plus confortables. La pensée lui tira un sourire mutin qui interrogea la détective.  

 

- Ôte ce sourire béat de ton visage. On pourrait croire que tu fantasmes sur elle., maugréa-t-elle.  

- Vu que je ne peux fantasmer sur toi, je me rabats sur ce que j’ai., répliqua-t-il, amusé.  

- Parce que tu donnes dans les hommes maintenant ?  

- Il se pourrait que ma vue se soit améliorée., répondit-il, le regard pétillant.  

- Ou alors que j’ai juste envie de me payer ta tête. Tu es adorable quand tu es jalouse., la taquina-t-il.  

- Sois un peu sérieux., le réprimanda-t-elle.  

- Regarde, notre homme est arrivé., lui annonça-t-elle.  

 

Ils regardèrent un homme en costume sombre pénétrer d’un air conquérant dans la pièce où se tenait la réception. Ryo sentit la tension envahir sa partenaire du moment et se tourna discrètement vers elle. Il posa une main sur sa hanche et la tira vers lui comme s’il avait un élan de tendresse envers elle.  

 

- Détends-toi, Reika. Je ressens ton hostilité et, s’il est aussi pro qu’on le dit, il la ressentira également donc profil bas., lui conseilla-t-il d’une voix calme, un sourire chaleureux aux lèvres pour donner le change.  

 

Subrepticement, il glissa la main sur ses fesses et se mit à la peloter outrageusement. Elle darda alors un regard noir sur lui, le repoussa violemment et le gifla.  

 

- Espèce de mufle !, cria-t-elle, faisant se retourner toute la foule et attirant le regard de leur cible.  

- Aïe, tu frappes fort…, geignit Ryo.  

- Qu’est-ce qui te prend de me mettre la main aux fesses ?, gronda-t-elle.  

- Il t’a repérée. Je lui ai donné une bonne raison pour baisser la garde., lui répondit-il, plongeant un regard sérieux dans le sien.  

- Oh…, lâcha-t-elle, baissant les yeux.  

- Même Kaori ne fait plus cette erreur désormais., lui asséna-t-il, sachant qu’il la piquerait au vif et l’obligerait à se dominer.  

 

Il vit la vexation teinter son regard puis elle redressa le menton fièrement. La réponse le satisfit et ils tournèrent de nouveau leur attention vers la foule pour déterminer comment approcher l’homme. Progressivement, ils louvoyèrent à travers les groupes et finirent par atteindre leur cible. Le but n’était pas de lui parler mais de lui coller un émetteur-récepteur qui permettrait à Saeko d’intervenir le moment venu. Et oui, Ryo s’était encore une fois, volontairement, fait avoir par la belle inspectrice qui lui avait promis trois coups qu’il savait qu’elle ne paierait pas tout ça pour démanteler un nouveau réseau…  

 

- Ma chérie, si on s’en allait de ce trou. Je m’ennuie à mourir…, chouina Ryo.  

- Sois un peu patient. Tiens-toi., gronda-t-elle, écartant ses mains baladeuses.  

- Allez, mon amour, sois un peu tendre avec ton petit chéri., susurra-t-il, approchant d’elle.  

 

Reika recula en chassant les mains de son partenaire et finit par buter dans le dos de quelqu’un, quelqu’un qui obligeamment la rattrapa. Surprise, elle posa les mains sur ses épaules pour se stabiliser. Quelqu’un… leur cible sur laquelle la jeune femme venait de coller l’émetteur microscopique.  

 

- Excusez-moi, monsieur. Je ne voulais pas… Je suis navrée…, s’excusa-t-elle, honteuse.  

- Ne vous excusez pas, charmante demoiselle. Je pense que la faute en revient plutôt à votre ami., fit l’homme, lançant un regard méprisant à Ryo.  

- C’est qu’elle est un peu prude. Moi, je ne voulais que faire preuve d’affection envers elle., répondit le nettoyeur sans sourciller.  

- Vous devriez être plus respectueux, Monsieur., le sermonna leur cible.  

- Ouais, j’y songerai. Allez, tu viens, chérie, on se tire., dit-il, empoignant Reika et l’attirant à lui.  

- Encore merci, monsieur, et désolée., s’excusa-t-elle, suivant Ryo.  

 

Ils sortirent de là et, après s’être éloignés du bâtiment, rejoignirent Saeko dans une camionnette. Dès qu’ils entrèrent, elle leur fit signe qu’elle captait bien le signal et ils restèrent silencieux en attendant le bon moment.  

 

- On y est…, souffla-t-elle au bout d’une heure.  

- Tout le monde en position., lança-t-elle dans le talkie-walkie.  

- Vous deux, vous restez là., leur ordonna-t-elle avant de sortir.  

- Merci à toi aussi. Comme d’hab, c’est toujours les mêmes qui s’amusent., lança Ryo, vexé.  

- C’est bien ta sœur, tout ça. Elle me manipule et rien en retour, même pas un merci., maugréa-t-il.  

- Mais voyons, Ryo, tu la connais. Tu devrais être habitué maintenant., susurra Reika.  

- Que veux-tu ? J’espère toujours me faire payer mes dettes., soupira-t-il.  

 

Reika partit d’un rire franc puis se tourna vers lui quand elle fut calmée.  

 

- Tu y crois vraiment ?, lui demanda-t-elle.  

- Comme toi, tu crois que je vais signer ton bout de papier, je pense…, répondit-il, dardant un regard perçant sur elle.  

 

Elle baissa les yeux légèrement rougissante.  

 

- Que veux-tu ? Je ne peux m’empêcher de penser qu’on formerait un duo professionnel incroyable. Avec nos capacités respectives, on serait à un niveau jamais atteint., lui assura-t-elle.  

- Vraiment ?, pipa-t-il.  

- Oui. Ryo, tu ne peux nier que Kaori n’est pas à sa place. Je serais une bien meilleure partenaire pour toi. Regarde, cela fait combien maintenant ? Six mois qu’elle est partie…  

- Sept., la corrigea-t-il.  

- Sept mois et quelles nouvelles tu as ? Elle préfère jouer les infirmières, Ryo. Ca paraît évident, non ?, argumenta-t-elle.  

- Tu n’en ferais pas autant pour une personne proche ? Si Saeko était complètement seule et dans la même situation que Sayuri, tu la laisserais pour ton travail ?, l’interrogea-t-il.  

 

Reika le dévisagea, surprise. Elle ne s’était pas attendue à voir la question lui être retournée. Son piège se retournait contre elle. Si elle lui disait que non, elle approuvait ce que faisait la nettoyeuse. Si elle disait le contraire, elle passait pour une mégère.  

 

- Non, bien évidemment., murmura-t-elle.  

- Mais même sans cela, elle t’entraîne dans des situations pas possibles. Elle n’arrête pas de se faire enlever…, ajouta-t-elle.  

- Oui et elle a appris à se délivrer toute seule. C’est un peu brutal et désordonné parfois mais efficace et, quand elle a besoin de moi, elle sait quoi faire pour me faciliter la tâche., objecta Ryo calmement.  

- Elle ne sait pas viser., le contra-t-elle.  

- Elle vise très bien avec une arme correctement réglée et elle n’a pas son pareil dans l’utilisation d’un bazooka et dans la pose de pièges. Elle a presque égalé son maître en la matière… et ce n’était pas une mince affaire., fit-il remarquer, assez fier de sa partenaire.  

- Elle n’est pas à ton goût et elle ne sait pas cuisiner., compléta-t-elle.  

- Et c’est quoi le rapport avec ma partenaire professionnelle ?, lui retourna-t-il.  

 

Reika se mordit la lèvre, ne sachant quoi répondre.  

 

- Je pourrais t’apporter quelque chose de plus., lui suggéra-t-elle, posant une main sur son épaule, séductrice.  

- Ca veut dire que tu me ferais des petits plats ?, lui demanda-t-il, intéressé.  

- Oui et je cuisine très bien., lui assura-t-elle.  

- Ca veut dire que j’aurais le droit de fouiller dans tes petites affaires ?, l’interrogea-t-il, ses yeux se transformant en petits cœurs.  

 

Il vit la légère crispation de ses lèvres avant qu’elle ne força un sourire sur ses lèvres.  

 

- Oui, bien sûr., répondit-elle.  

- Je pourrais te mater dans la douche ?, poussa-t-il un peu plus.  

 

Elle eut un court geste réflexe vers sa pochette avant de s’immobiliser.  

 

- Ca peut s’envisager…, admit-elle.  

- Chouette. Ben alors on pourra aussi tirer des coups !, s’exclama-t-il, commençant à se déshabiller.  

- Pas avant de m’avoir signé ça !, objecta-t-elle, interposant un contrat de mariage entre eux.  

 

Ryo se rassit, rhabillé, un sourire aux lèvres.  

 

- Tu as été résistante…, pipa-t-il, amusé.  

- Quoi ?, s’étonna Reika.  

- Je pensais que tu lâcherais plus vite., admit-il.  

- Ca veut dire que tu n’es pas intéressé pour que l’on soit partenaires définitivement ?, soupira la détective.  

- Non. Kaori est ma partenaire. Même si elle est absente en ce moment, ça ne change rien et rien ne changera cela tant qu’elle voudra rester à mes côtés. Elle a peut-être moins de compétences que toi, et encore ce qui était vrai au départ ne l’est plus forcément aujourd’hui, mais je ne veux pas d’une autre à mes côtés.  

 

Reika baissa les yeux, attristée. Ryo, touché, posa une main sur sa cuisse sans aucune intention particulière autre que la soutenir.  

 

- C’est un aveu qui ne te ressemble pas… Qu’est-ce qu’elle a de plus ?, lui demanda-t-elle à voix basse.  

- Je ne saurais pas te l’expliquer. On n’a pas spécialement besoin de se parler pour se comprendre. On sait comment l’autre va agir. Elle a des capacités que je n’ai pas, que certains d’entre nous voient comme une faiblesse mais qui en fait sont une force., lui répondit-il sérieusement.  

- En fait, je suis plus fort depuis qu’elle est là… même si c’est vrai qu’elle a l’art de se mettre dans des situations délicates…, admit-il en souriant.  

- C’est l’homme ou le nettoyeur qu’elle a rendu plus fort ?, l’interrogea-t-elle.  

 

Il la regarda et sourit amicalement. Qu’est-ce que Kaori avait fait de lui ? Pourquoi s’ouvrait-il soudain avec Reika alors que, d’habitude, c’était le genre de conversations qu’il fuyait comme la peste ?  

 

- Probablement les deux., avoua-t-il.  

- Donc tu es entrain de me dire que tu ne voudrais aucune autre partenaire qu’elle, même une plus séduisante, compréhensive ou douce ?, s’amusa-t-elle.  

- C’est probablement ce que je suis entrain de dire… mais je le nierais haut et fort si on me posait la question., plaisanta-t-il.  

- Bon, il ne me reste qu’à ramasser les miettes de mon amour propre alors., dit-elle, sur un ton blasé.  

- Je ne doute pas que tu retrouveras vite une âme chaleureuse pour te consoler., la rassura-t-il.  

- Je ne sais pas. C’est ce que, sous tes airs d’idiot dégénéré, tu es un mec bien, Saeba. Trouver quelqu’un de moins pervers, ce ne sera pas difficile. Trouver quelqu’un avec ton cœur, ce sera plus compliqué., lui affirma-t-elle.  

- Je pense que tu me places sur un piédestal, Reika., murmura-t-il.  

- N’est-ce pas ce que tu fais avec Kaori ? Tu cherches toujours à la protéger, à lui garder les mains propres., lui asséna-t-elle.  

 

Ryo baissa les yeux et observa ses mains jointes. Elle n’avait pas tort. Derrière tous ces dénigrements, il n’avait cherché qu’à cacher ses atermoiements : Kaori n’était pas de son monde. Elle était pure et lumineuse. Elle avait des principes, une morale, de la vertu… tout ce qu’il n’avait pas… Non en fait, tout ce qu’il ne pensait pas avoir, tout ce qu’il niait avoir parce qu’un homme qui avait autant de sang sur les mains ne pouvait pas avoir de qualités aussi morales. Lui, ses qualités se résumaient à peu de choses : excellent tireur, numéro un des nettoyeurs et un athlète sexuel.  

 

- Elle est mieux que moi, non ? Donc c’est normal. Bon, tu m’ennuies avec tes questions. Tu ne veux toujours pas tirer un coup ?, lui proposa-t-il, glissant une main vers elle.  

 

Elle tapa dessus en souriant.  

 

- Ne dis pas des choses que tu ne penses pas., le sermonna-t-elle.  

- Je… Ca m’a fait plaisir que tu me parles sincèrement, Ryo. Je vais tourner la page. J’espère que tu trouveras quoi écrire sur la tienne., lui souhaita-t-elle.  

- D’ailleurs, il serait peut-être temps que tu parles ainsi à Kaori. Je suis sûre que vous y trouveriez tous deux quelque chose… peut-être même votre chemin., lui conseilla-t-elle.  

 

Ne souhaitant pas s’étaler, il acquiesça avec un léger sourire et ils retombèrent dans le silence. Peu après, Saeko revint, visiblement satisfaite.  

 

- On l’a eu sur le fait. Vous avez fait du bon travail tous les deux., les félicita-t-elle.  

 

Aucun des deux ne répondit et elle les observa, surprise.  

 

- Vous êtes malades ?, s’inquiéta-t-elle.  

- Non. Pourquoi ?, s’enquit Ryo avec un sourire ironique.  

- Elle ne t’a pas sauté dessus en te proposant d’être ta partenaire., fit remarquer l’inspectrice.  

- Déjà fait., éluda Ryo.  

 

Saeko regarda la camionnette intacte, ressortit et observa le macadam aux alentours et rentra de nouveau dans le véhicule.  

 

- Tout va bien, Saeko ?, l’interrogea sa sœur, amusée.  

- La camionnette est nickel, pas de trace d’impact sur la chaussée. Il ne t’a pas sauté dessus ?, s’étonna son aînée.  

- Non. Nous avons discuté comme deux adultes., répondit-elle simplement.  

- Discuté ? Avec Ryo ?, répéta l’inspectrice, éberluée.  

- Oui, discuté. D’ailleurs, j’en ai assez. Je vous laisse., fit le nettoyeur avant de se lever et de partir de là.  

 

Il consulta sa montre et, bien qu’il en mourait d’envie, il jugea l’heure trop tardive pour aller retrouver Kaori. Elle avait besoin de repos et pas d’être réveillée à trois heures du matin. Il irait la voir le lendemain soir. Chemin faisant à travers les rues de Shinjuku, il se remémora l’affaire où ils avaient collaboré tous les trois pour démanteler un autre réseau de trafic de drogue. Reika avait pris les plus gros risques en enquêtant, c’était un fait. Mais au moment de piéger le grand chef, c’était Kaori qui avait posé le micro et ce n’avait pas été un choix dû au hasard. Il avait compté sur son air inoffensif pour tromper l’ennemi, lui faire baisser la garde. Ainsi, lorsqu’en pleine crise d’hystérie, elle avait saisi la lampe, personne n’avait songé une seconde qu’elle avait collé un micro en dessous. Personne n’avait non plus été surpris de voir la sœur d’un ex-collègue errer dans les couloirs du commissariat, un air de nostalgie collé sur le visage, puis s’appuyer, prise de sanglots, derrière la console qui gérait toutes les transmissions en dehors et en dedans du poste.  

 

Qui aurait cru que ce petit bout de femme de vingt ans aurait pu déjouer tous les pronostics et devenir en sept ans la meilleure partenaire qu’il avait jamais eue… et plus encore… Ce n’était pas la partenaire qu’il avait choisie. Elle lui était tombée dessus quand Hide lui avait demandé de veiller sur elle et il s’était dit qu’elle partirait une fois leur vengeance accomplie mais elle était restée contre vents et marées, malgré tout ce qu’elle avait vu et subi.  

 

Reika aurait fait une partenaire très professionnelle comme Hideyuki, Mick et Mary auparavant mais il n’y aurait jamais eu cette complicité entre eux, cette complicité qu’il avait touchée du doigt avec le frère mais n’avait atteinte qu’avec Kaori. Il le savait d’ailleurs puisqu’en sept mois malgré les bas qu’ils avaient eus dans leur relation, il ne s’était pas posé la question de qui pourrait lui succéder si elle arrêtait, s’ils se séparaient. Il n’y aurait tout simplement personne d’autre car aucun, ou aucune, autre ne pourrait arriver à son niveau et qu’il serait certainement suicidaire de tenter de retrouver la relation qu’ils avaient avec un autre.  

 

Ceci étant dit, il savait que quoi qu’il arrive à l’avenir, Kaori serait sa dernière partenaire permanente. Il ferait encore certainement des piges pour Saeko mais personne ne la remplacerait si un jour elle décidait d’arrêter et c’était une décision qu’il ne lui reprocherait pas même s’il l’appréhendait quelque peu.  

 

Affirmer…  

 


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