Capitolo 4 :: Une première cassure.

Pubblicato: 05-07-06 - Ultimo aggiornamento: 26-07-06

Commenti: Je tiens d'abord à m'excuser du retard, mais ma petite beta à eut un petit problème avec son PC, et je voulais quand même attendre d'avoir son avis avant de majer. Ensuite je dédie cette maj à Zaza, Grifter, Santoise, Nanou, Kaori 28 et aussi et surtout à Koregane. Maintenant une petite explication, si vous n'avez pas lut le 1er chapitre, passez votre chemin, ou revenez en arrière, car le 4ème commence disons quelques heures avant le 1er. Suis pas sure d'être claire mais c'est pas grave ('^_^). Bonne lecture

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Les fêtes de fin d’année se rapprochaient lentement et Kaori avait réussi à soutirer à Ryô une promesse. Celle qu’il passerait la veille de Noël ensemble tout seul chez eux.  

Depuis quelques jours elle était tendue, en fait elle avait quelque chose d’important à lui dire. Eriko avait fait d’elle sa vedette pour son prochain défilé qui aurait lieu en Europe. Elle avait accepté et devait partir pour trois semaines et reviendrait le 23 Décembre dans l’après midi.  

Nous étions le 26 Novembre et Kaori avait retardé son annonce au maximum, car elle ne voulait pas que Ryô lui fasse endurer un chantage « professionnel » dans lequel il était devenu maître depuis peu, mais il était grand temps.  

Elle devait partir dans trois jours et avait encore beaucoup à faire. Elle avait supplié Ryô de ne pas rentrer trop tard afin de lui parler. Elle avait peur de le lui annoncer, et surtout elle avait peur de sa réaction depuis 1 semaine il n’était quasiment jamais présent et quant il l’était il passait tout son temps dans la salle de tir. Il n’apparaissait même pas pour manger.  

Tous savait que quelque chose se passait entre c’est deux là, Miki avait bien tenté de faire parler Kaori étant donné que Ryô n’apparaissait plus depuis des mois au Cat’s Eye, mais rien à faire.  

Mick n’ont plus ne le voyait plus et les petites lapines qu’il croisait la nuit dans les cabarets ne pouvait rien lui dire si ce n’ai qu’une rumeur circulait comme quoi City Hunter n’était plus une équipe et que l’ange de la mort était de retour.  

En toute conscience Mick choisi de taire cette information et avait fait circuler la rumeur qu’il le cherchait partout.  

Finalement tard cette nuit la, celui dont on n’osait plus prononcer le nom se présenta à l’appartement de Mick et Kazue entra sans grande difficulté prit un verre et une bouteille de Whisky puis s’installa dans un fauteuil et attendit le retour du propriétaire.  

Mick était fatigué il était en train de monter les marches qui le ramenait à son appart il s’apprêtait à mettre la clé dans la serrure lorsque son 6ème sens l’averti d’un danger.  

Il sorti son arme de son holster bien qu’il ne puisse plus s’en servir efficacement, il estimait que le danger était trop grand. Il ouvrit d’un coup de pied la porte fit une roulade mit un genou à terre et vit alors que celui qui se trouvait dans sa ligne de mire n’était autre que son meilleur ami.  

Sous le choc il entendit à peine les mots prononcés par Ryô.  

-« Voyons tu ne reconnais plus tes amis ! »  

Mick se releva rangea son arme et alla chercher une bouteille de Whisky, il avait bien vu que Ryô en avait poser une sur la table basse, mais il avait vite constaté que celle-ci était vide.  

-« Il est rare que mes amis entre chez moi pendant mon absence et se serve dans mon bar ! Encore heureux que Kazue n’est pas là ! N’ont mais t'as vu ta tête ont dirait un mort vivant ! »  

-« S’est pour cette raison que tu souhaitais me voir, me faire la morale ! Je pars je n’ai rien de rien à faire ici. Kaori doit m’attendre ! »  

-« Cesse donc de te torturer et la tourmenter par tes actions. Que se passe t’il Ryô ? Que t’arrives t’il ? Pourquoi continuer à la faire souffrir alors que tu l’aimes et qu’elle t’aime également ? Pourquoi choisi tu de vivre comme ça les choses pourraient être plus simple pour toi, pour elle, pour vous deux ! ».  

Mick ne vit pas le premier coup venir et ne fit rien pour arrêter le suivant.  

-« Je t’interdis de me dire quoi faire. Ça fait des mois que je me triture les méninges ! Mais de toute manière les dés sont jetés. Ça va s’arrêter maintenant ce soir, cette nuit ! »  

Mick se releva avec difficulté et essuya du revers de sa manche le sang qui coulait de sa bouche et de son nez.  

-« Maintenant que tu es soulagé si tu m’expliquais ce que tu comptes faire exactement et se qui va prendre fin cette nuit ? »  

Ryô le regarda droit dans les yeux d’un regard sombre, et totalement vide. Son ami de longue date comprit alors que c’était fini qu’il avait franchi une ligne qu’il avait fait un retour dans son passé et qu’il n’en sortirait pas indemne. Tout d’un coup il vit Ryô sourire un sourire en coin comme pour dire ne cherche pas, tu le sais déjà et ma décision est prise, s’en est fini.  

-« Tu ne va quand même pas mettre fin à tes jours ? Tu n’as pas le droit de la quitter de cette manière ! »  

Ryô alluma une cigarette et se mit alors a rire d’un rire franc comme pour dire :  

«  Je n’ai pas se courage. Le courage de mettre fin à mes jours comme toujours je ne suis qu’un égoïste. »  

-«  Non bien sure que non ! Tu oublies que je vis par et pour la mort. »  

Mick le regarda puis se mit à rire à son tour. Ryô ne comprenait pas, mais n’avait pas envie de chercher n’ont plus il écrasa alors sa cigarette dans un cendrier se trouvant sur la table basse et commençait à se diriger vers la sorti lorsque son homologue Américain reprit son sérieux et lui envoya d’une voix ferme et résolue quelques noms d’oiseaux bien senti.  

Ryô répliqua à son tour et commença à se rapprocher de Mick et lui sauta dessus.  

Bien que n’ayant pas l’intention de se blesser gravement leurs coups respectifs n’en avaient pas moins une certaine puissance.  

Puis tout d’un coup l’horloge du salon se rappela à leur bon souvenir et ils cessèrent de se battre.  

Chacun se releva et tenta de retrouver une tenue un tant soit peu correcte.  

Un ange passa pendant un dixième de seconde et tout les deux se regardèrent les yeux remplis de colère se fut Mick le premier à parler.  

-« Je te l’ai confiée Ryô ! Je pensais qu’entre vous deux les choses évolueraient ! Mais apparemment tu es trop borné pour voir qu’elle t’es nécessaire !  

-« Je sais très bien qu’elle m’est nécessaire sans elle je ne suis rien, mais son choix est déjà fait. »  

-« Qu’elle connerie tu me sors là ?! Son choix c’est toi et toi seul ! Et non tu ne te rends pas compte à qu’elle point elle t’ai nécessaire, sinon tu le lui aurais déjà dit. »  

-« Je sais tout Mick, alors arrête ! »  

-« Tu sais tout ? Mais de quoi tu parles exactement ? »  

-« Tu le sais très bien. » lui rétorqua Ryô, puis il lui tourna le dos, il ne souhaitait pas que l’on puisse voir son regard à ce moment précis. Au moment où il annoncerait à Mick que son premier amour, la première femme à avoir fait battre son cœur et qu’il avait délibérément remit entre les bras de Ryô allait le quitter pour un autre.  

-« Je ne sais rien du tout alors explique toi un peu ! »  

-« Tu ne sais vraiment rien alors ?! Et bien sache qu’elle en aime un autre et que je sais qu’elle va me quitter »  

-« Tu ne dis vraiment que des conneries aussi monumentale que toi. Elle n’aime que toi ! Ou es tu aller chercher cette idée biscornue comme quoi elle allait te quitter ! ».  

Il était furieux, furieux que son ami se soit mit une telle idée en tête. Cela faisait 5 bonne minutes qu’un silence pesant c’était installé entre eux. Mick fut de nouveau le premier à parler, il voyait bien que son acolyte n’était pas près de desserrer les mâchoires.  

-« Cette fois si s’en est trop, je t’ai regardé la blesser chaque jour depuis près de 2 ans. Je n’en supporterais pas plus. Sache que si tu la blesses à nouveau tu pourras oublier notre amitié ! Maintenant va t’en elle t’attend et que je ne t’entendes plus jamais douter de l’amour qu’elle te porte ! Rentre chez toi prend la dans tes bras et met fin à cette situation qui vous déchire tous les deux ! »  

Ryô ne répondit rien et décida de rentrer chez lui avec en tête les dernières paroles de Mick « Que je ne t’entendes plus jamais douter de l’amour qu’elle te porte ! Rentre chez toi prend la dans tes bras et met fin à cette situation qui vous déchire tous les deux ! »  

- 'Facile à dire mais elle en aime un autre et de toute manière je n’ai plus la force de lutter.  

Lutter mais contre quoi, contre qui ?! Contre elle qui m’a toujours aimé malgré mes actes.  

Contre mon désire de l’aimer pleinement ? Contre ma peur de l’entraîner plus dans ce monde ?'  

Encore une fois son tourment s’accentuait. Il était là devant son immeuble hésitant sur ce qu’il devait faire encore une fois. Puis il repris une brin de confiance en lui il inspira profondément écrasa sa 20ème cigarette de la journée puis pénétra dans cet enfer qu’il avait crée depuis quelques mois déjà.  

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