Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 19-06-06

Ultimo aggiornamento: 24-12-06

 

Commenti: 229 reviews

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GeneralFantasy

 

Riassunto: Une chance va être offerte à Ryô, saura t-il la saisir ? Emotions, découvertes et esprits seront de la partie.

 

Disclaimer: Les personnages de "A Christmas Carol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: A Christmas Carol

 

Capitolo 11 :: Une autre Kaori.

Pubblicato: 12-08-06 - Ultimo aggiornamento: 12-08-06

Commenti: Alors la gagnante de mon petit 'test' est ......... Tamia62 ! Mes félicitations ma grande, personne n'avait saisi, ou n'avait pensé que le titre de la fic avait une certaine importance ! Alors ici on est toujours pas dans le vif du sujet, mais le titre du chapitre va peut être vous aiguiller, ou peut être pas ! (Selon ma beta suis machiavélique ! Moi je dirais très secrète alors va falloir vous accrocher ! ^^) En tout cas ce chapitre aura une certaine importance vers la fin de l'histoire. Je vous réserve encore pas mal de surprise (j'adore surprendre les gens donc !) ainsi qu'une petite vengeance de mon crue et bien mérité envers un certain cabot qui se reconnaîtra ^^ ! A partir de maintenant, vous aurez droit à des indications de temps et de lieux, s'est nécéssaire pour la suite, et à titre d'info les morts feront une apparition à partir du chapitre 14 Et encore merci à tous pour les reviews, elles m'ont réchauffer ! (Bah ouais à Paris il caille, on dirait l'automne !)

 


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Ryô était rentré chez lui cigarette au bec, il osa à peine mettre un pied à l’intérieur de l’appartement désormais vide de toute présence féminine.  

Elle l’avait bel et bien quitté, et maintenant il commençait à se rendre compte à quel point sa solitude était grande avant que son frère et elle n’entrent dans sa vie.  

En fin de compte, elle n’avait jamais véritablement été sa partenaire, elle avait eu une place bien différente dans sa vie, comparé à Mary par exemple.  

Ryô en avait assez de ressasser les mêmes choses, les mêmes pensées, les mêmes tourments concernant Kaori.  

Pendant un dixième de seconde, il se dit qu’au moins, il s’occuperait en allant faire la tournée des bars avec Mick, mais très vite, il réalisa que à présent il n’avait plus non plus d’amis, et que désormais il ferait le pitre tout seul.  

 

Finalement les minutes, les heures et les jours passèrent, il n’avait fait que s’entraîner et s’informer sur les derniers mouvements du milieu tout en confirmant la rumeur selon laquelle Kaori n’était plus sa partenaire.  

 

Par ailleurs il s’était assuré de faire savoir à tous qu’il ne serait pas très bon de s’en prendre à elle surtout maintenant. Après tout il avait toujours sur sa conscience le poids de la promesse faite à Hideyuki.  

 

4 Décembre XX  

 

 

Au bout de quelques jours, il osa remettre les pieds au Cat’s Eye avec l’accord préalable de Miki elle-même. Sur son chemin, il s’était arrêté à la gare de Shinjuku, et avait pu voir qu’une nouvelle affaire se présentait.  

 

Cette opportunité lui permettrait de trouver un exutoire à son mal être grandissant, c’est du moins ce qu’il croyait.  

 

Il avait de suite appelé d’une cabine téléphonique la personne qui avait laissé le fameux XYZ sur le tableau à messages de la gare. Manque de chance il s’agissait d’un homme.  

Après toutes ces années, où son ancienne partenaire espérait d’autres clients à part des femmes jeunes et jolies, quelle ironie du sort !  

 

Toutefois après quelques minutes, il sut que son client souhaitait lui confier la protection de sa fille, car il était lui-même sous le coup d’un chantage.  

Il indiqua à son futur client le moyen de reconnaissance et qu’il l’attendrait d’ici une heure au Cat’s Eye.  

 

Une fois qu’il eut raccroché le combiné, un rictus pervers fit son apparition sur son visage. Il venait de réaliser que son client semblait âgé vu sa voix rauque et son langage, sa fille devait être une jeune femme.  

 

-« Avec un peu de chance elle est très belle et elle va tomber follement amoureuse de moi ! Ha ha pour une fois y a des chances que je sois payé en nature ! »  

 

Un filet de bave commençait à dégouliner sur le trottoir et son mokkori qui venait de faire une subite apparition avait fait fuir tous les passants.  

 

-« Vu qu’y a plus l’autre furie à la massue pour m’aplatir je vais enfin pouvoir conclure en paix ! »  

 

Il commença alors une petite danse de la victoire en pleine rue, et tout à sa joie d’obsédé, il ne constata pas que de l’autre coté de la rue une jeune femme dans une Porsche rouge l’observait malicieusement. Il s’agissait de Saeko qui tentait tant bien que mal de se relever suite à la scène à laquelle elle avait assisté.  

 

Notre étalon qui continuait sa danse sur le trottoir stoppa net, il venait d’avoir ce que l’on pourrait appeler une révélation.  

 

-« Réfléchir, je dois réfléchir… Comment faire pour me débarrasser du père ! »  

 

Au bout de quelques minutes il cria VICTOIRE et se dirigea en sautillant de joie vers le Cat’s Eye.  

Sur son chemin, il tenta en vain de séduire quelques femmes, et comme d’habitude, il prit se prit une volée de baffes, quelques coups de sac à main sans compter qu’il put admirer de près les talons aiguilles de plusieurs femmes.  

 

Il était tellement plongé dans ses vaines tentatives de drague, qu’il mit presque une heure pour arriver au Cat’s. (NDA : Bah oui la journée lui semblait avoir tellement bien commencé qu’il voulait tenter sa chance avec toutes les femmes !)  

 

Lorsqu’il franchit le pas de la porte, Miki qui ne souhaitait pas lui parler partit en cuisine.  

Il savait que malgré sa promesse, elle ne voulait pas le voir, pas après le mal qu’il avait fait à sa meilleure amie, donc il n’essaya pas de lui sauter dessus. De toute façon Umibozu veillait au grain et avait toujours à portée de main un bazooka.  

 

Notre géant qui nettoyait ses sempiternelles assiettes lui fit un signe de tête lui indiquant que quelqu’un l’attendait.  

 

Il vit alors un homme assis à une table, mais pas de jolie fille à coté de lui.  

Il s’approcha du bonhomme qui soit dit en passant était d’âge mur, les cheveux plus sel que poivre, et qui au vu de sa canne avait des difficultés à marcher.  

 

-« Vous n’avez pas touché à votre XYZ Monsieur GRIER. Il ne vous plaît pas ? »  

 

-« A qui ai-je affaire Monsieur ? » Répondit t-il.  

 

-« Ryô SAEBA ou si vous préférez City HUNTER. Où est-elle ? »  

 

-« J’avais cru comprendre que City HUNTER était une équipe constituée d’une femme et d’un homme. Ai-je commis une erreur ? »  

 

-« Ce n’est plus le cas. Ça vous pose problème ? »  

 

-« Je m’en accommoderai. »  

 

Tout d’un coup le rictus pervers de Ryô revint à se plaquer sur son visage. En effet il venait d’entendre une porte se fermer et des bruits de pas.  

Il se retourna et commença à se diriger la langue pendante vers la source des bruits.  

Il eut alors une surprise magistrale et s’écroula sur le sol alors qu’Umibozu arborait un sourire en coin sur son visage.  

 

La jeune et jolie jeune femme qu’il s’attendait à voir était en fait un enfant d’à peine huit ans et apparemment un garçon et non une fille, garçon qui semblait terrorisé par lui.  

Il avait les cheveux courts auburn et une casquette visée sur la tête et des vêtements informes.  

Une voix derrière lui le fit réagir.  

 

-« Kaori chérie, n’ai pas peur voyons. Je te présente Monsieur SAEBA. C’est ce Monsieur qui va être chargé de s’occuper de toi le temps de mon voyage d’affaires. J’ai toute confiance en lui. »  

 

Ryô était sidéré, cet enfant était bel et bien une fille qui s’appelait Kaori et avait plutôt l'air d’un garçon manqué qu’autre chose.  

 

Lui qui avait espéré ne plus entendre ce nom quelques temps et ne plus penser à elle, était à présent au trente sixième dessous.  

 

Mais ce qui le perturbait encore plus était la similitude physique avec Kaori. Il avait déjà eu l’occasion de voir des photos d’elle à cet âge en fouillant dans les placards de Kaori.  

Il avait l’impression qu’en plus de leurs ressemblances physiques, elle avait elle aussi le regard d’un ange et le caractère parfois emporté d’un démon.  

 

En bref il était dans de beaux draps.  

 

Voyant le désarroi de Ryô la petite Kaori lui demanda s’il avait besoin d’aide pour se relever.  

Il voulut rire mais ne le fit pas. Comment une enfant de cette taille et de cet âge pourrait l’aider à se relever, la proposition lui sembla désopilante, alors il ne répondit rien et se releva d’une traite.  

 

Il regarda Umibozu et se comprenant parfaitement celui-ci alla chercher sa femme.  

 

-« Monsieur SAEBA… »  

-« Non attendez avant de parler » interrompit Ryô.  

 

Umibozu ramena sa femme qui sans un regard pour Ryô proposa à la petite fille à qui elle s’était présentée avant que Ryô n’arrive d’aller l’aider en cuisine.  

 

Elle accepta bon gré, mal gré après avoir reçu l’accord de son père. Mais une moue boudeuse avait fait son apparition sur son visage. Elle n’appréciait guère d’être tenue à l’écart.  

Dès qu’elle fut partie Ryô entra dans le vif du sujet.  

 

Il apprit que Monsieur GRIER était un important chef d’industrie chimique. Ne voulant pas céder à des pressions pour ne pas révéler à son client l’aboutissement des recherches faites par le labo de son industrie, sa fille était menacée.  

Lui-même ne craignait pas pour sa vie, il était le seul détenteur des recherches, et tout était dans son esprit protégé par de l’hypnose. De plus il était mourant et souffrait de graves problèmes cardiaques.  

Ses maîtres chanteurs ne pouvaient pas prendre le risque de lui faire du mal directement c’est pourquoi sa fille était en danger.  

Ryô écoutait attentivement les bras croisés et les yeux clos ce que lui disait Monsieur GRIER.  

 

Une fois qu’il eut finit de tout expliquer Monsieur GRIER reprit son souffle et posa la question.  

 

-« Acceptez-vous de m’apporter votre aide et de protéger ma fille ? »  

 

N’obtenant aucune réponse il reposa la question à plusieurs reprises. Pensant que ce manque de réponse verbale voulait signifier non, il s’apprêtait à partir, lorsqu’il vit Umibozu s’approcher d’eux.  

Le cœur de Monsieur GRIER commençait à s’emballer, un géant de plus de deux mètres qui s’approche de vous le visage déformé par la colère, c’est pas fait pour rassurer.  

 

Umibozu le rassura et lui dit de ne pas s’inquiéter pour ce qui allait suivre.  

Puis il le vit fracasser son plateau sur la tête de Ryô, et les paroles qui suivirent, il se demandait s’il faisait bien de lui confier sa fille.  

 

-« Espèce de crétin, ton client te parles et toi tu dors !!!! Et pendant ce temps-là c’est ma femme qui se charge de s’occuper de sa fille ! C’est l’hôpital qui se fout de la charité !!! »  

 

Monsieur GRIER vit alors quelques libellules apparaître devant lui.  

 

'Décidément drôle d’endroit, si ça continue comme ça mon cœur va lâcher plus vite que prévu !'  

 

-« Pas la peine d’hurler tête de poulpe et puis occupe-toi de ce qui te regardes. »  

 

Monsieur GRIER sentit une certaine rancœur faire son apparition entre eux deux et choisit d’interrompre le blabla des deux zigotos en face de lui.  

 

-« Monsieur SAEBA ! Acceptez-vous ? »  

 

-« Hum… Acceptez quoi ?  

 

-« … Mais enfin de protéger ma fille pendant quinze jours, le temps de mon séjour en Californie, et de faire part à mon client des découvertes réalisées ! »  

 

-«  Quoi, moi Baby Sitter ! Ça va pas la tête, trouvez-vous quelqu’un d’autre. Et puis d’abord je ne travaille que pour les femmes ! »  

 

Il s’apprêtait à partir, sa main était déjà sur la poignée de la porte lorsqu’il entendit une petite voix murmurer à son oreille Promets-moi de vivre et de continuer le travail de City Hunter’.  

 

Bien qu’il n’ait jamais prononcé les mots à hautes voix, cette promesse il l'a lui avait faite, alors il la tiendrait en dépit de tout.  

 

Il poussa un profond soupir de résignation avant de confirmer.  

 

-« Très bien j’accepte. Dites-moi tout ce que je dois savoir sur votre fille pour m’occuper d’elle et donnez-moi donc sa valise, car je suppose que cette valise Barbie sous la table n’est pas à vous ?! »  

 

Ils discutèrent encore une demi heure, puis Monsieur GRIER lui annonça qu’il devait partir demain pour la Californie, mais qu’il lui confiait sa fille dès à présent et il partit non s’en donner à sa fille des consignes et un baiser sur le front. 

 


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