Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 19-06-06

Ultimo aggiornamento: 24-12-06

 

Commenti: 229 reviews

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GeneralFantasy

 

Riassunto: Une chance va être offerte à Ryô, saura t-il la saisir ? Emotions, découvertes et esprits seront de la partie.

 

Disclaimer: Les personnages de "A Christmas Carol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A Christmas Carol

 

Capitolo 14 :: Une visite ou un avertissement ?

Pubblicato: 18-08-06 - Ultimo aggiornamento: 25-09-06

Commenti: Et voilà le chapitre clé avec le début de *l'action*. J'espère que ça va vous plaire. Au fait Tamia je ne t'oublies pas ! Bon week end !!!

 


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20 Décembre XX – 2 heures du matin.  

Shinjuku appartement de Ryô SAEBA.  

 

 

Il dormait. Le nettoyeur le plus redoutable du Japon dormait d’un sommeil du juste, il n’entendait même pas la sirène d’une voiture de police qui s’approchait. Après tout dans ce quartier c’est sensé être monnaie courante, mais là s’était différent. La circulation était quasi inexistante, pas de bruit provenant de quelque pochard, rien pas un son.  

Chose qui aurait dû éveiller le sixième sens de Ryô, mais non, Monsieur dormait.  

 

 

Petit flash back  

 

 

19 Décembre XX - fin de matinée.  

 

 

Allez savoir pourquoi, mais dès que Ryô s’était levé il avait eu un mauvais pressentiment. Après le réveil en musique, et la visite douloureuse de Saeko, il était allé à la pêche aux infos.  

Il apprit que le milieu était calme il ne comprenait pas vraiment pourquoi mais en flânant dans les rues, la lumière se fit.  

 

C’était très bientôt Noël et qui plus est un Noël très enneigé !  

 

En effet, à peine l’avion de la petite Kaori avait décollé quelques jours plus tôt que la neige commençait à tomber. De mémoire, on n’avait jamais vu ça au Japon depuis près de dix ans.  

 

Après il était allé sur la tombe de son vieil ami, et bien qu’ayant l’impression d’en avoir été chassé, il était persuadé que très bientôt il serait à nouveau présent dans ce cimetière.  

 

Finalement il avait été sur les nerfs toute la journée, car il avait eu en prime l’étrange sensation d’être épié. Mais il ne sentait aucune présence, alors il choisit de rester sobre, au cas où. Il rentra chez lui et bizarrement il ne se souvenait plus du reste.  

 

Fin du petit Flash-back.  

 

 

 

La dite voiture de police s’arrêta un court instant devant l’immeuble de Ryô, un homme en sortit vêtu d’un long imper.  

Dans la nuit noire il était difficile de voir son visage, toutefois la neige qui tombait sur lui formait comme un halo de lumière translucide qui permit de voir qu’il portait des lunettes.  

 

Il avança tranquillement jusqu'à l’immeuble, derrière lui il n’y avait aucune empreinte de pas dans la neige. Lorsqu’il s’approcha de la porte d’entrée la voiture, repartiet toutes sirènes hurlantes.  

 

Cet homme ne fut pas surpris et sans un regard il ouvrit la porte ou plutôt celle-ci s’ouvrit d’elle-même et il se dirigea chez celui qu’on nommait il y a peu encore City Hunter.  

 

Les ampoules des couloirs commençaient à clignoter, et un froid intense s’insinua lentement mais sûrement un peu partout.  

 

Arrivé devant l’appartement la porte s’ouvrit elle aussi d’elle-même.  

Notre inconnu continua finalement son chemin dans une semi obscurité jusqu’au premier étage et l’on put entendre alors une douce musique prendre vie autour de lui.  

 

 

Lorsque la porte de la chambre de Ryô SAEBA s’ouvrit, celui-ci attrapa son magnum sous son oreiller et mit en joue la personne qui venait d’entrer dans sa tanière.  

 

Lorsque ses yeux se firent à l’obscurité et son corps au froid qui venait de l’envahir, il reconnut son vis-à-vis.  

 

-« Hideyuki !?!?!?!?!?! »  

 

-« Salut vieux frère ! »  

 

-« Je rêve c’est pas possible tu es mort il y a plus de six ans ! »  

 

Il n’en croyait pas ses yeux, mais il lui était difficile de nier, il était sobre, et ce n’était pas la première fois qu'il rencontrait un esprit (tome 25 - dossier 40 : Affaire Ami et Mami ASAKA - épisodes 132 et 133 du D.A.)  

 

Devant lui se trouvait l’esprit impalpable et translucide d’Hideyuki, il émanait de lui une intense lumière et pourtant Ryô n’était pas aveuglé.  

Encore sous le choc de ce qu’il voyait, il n’entendit qu’à demi-mots ce que son ami lui disait.  

 

-« Peut être mais toi tu es sur une corde raide c’est comme si tu étais dans le coma. Tu ne veux pus lutter, mais tu ne veux pas complètement abandonner à cause de la promesse ! Comme toujours tu es un idiot. C’est pourquoi je suis venu te voir, pour tenter de t’avertir et te permettre de te sauver toi-même ! Et puis je t’ai entendu quand tu t’es recueilli sur ma tombe.»  

 

-« Hein ? Quoi ?.... »  

 

-« Humpf … Et comme toujours tu n’écoutes pas ce qu’on te dit. Je leur avait pourtant bien dit de t’envoyer une fille de ton passé pour te parler, mais ils n’ont rien voulu savoir ! »  

 

Il avait baissé la tête, mais malgré tout Ryô vit un sourire se peindre sur le visage de son ami.  

 

Notre Ryô national, qui soit dit en passant n’avait pas une allure très fraîche n’avait compris que deux mots, ILS et FILLE et il voulut en savoir plus.  

 

-« C’est qui les ILS dont tu me parles et quelle fille ? »  

 

-« Alors pour faire bref, je remplace la fille, et les ils, tu les connaîtras bien assez tôt ! »  

 

 

Hideyuki venait d’entendre la sirène d’une voiture de police qui semble-t-il s’était garée devant l’immeuble.  

 

-« Ah mince ! Déjà ! Bon écoute-moi bien Ryô, je n’ai plus beaucoup de temps.   

Trois soirs d’affilés, tu vas recevoir la visite d’esprits, ils auront très probablement la forme de quelqu’un que tu connais. Tu ne pourras pas échapper à leur venue.  

Tu as bien compris, demain soir tu auras la visite d’un esprit, et pareil pour le lendemain et le surlendemain soir. Ils viendront tous à 3 heures du matin. Et n’oublie pas ceci, quoi que tu fasses, tu ne pourras pas les empêcher d’agir et de faire ce pour quoi ils viennent te voir ! »  

 

-« Et pourquoi vais-je devoir me coltiner leurs présences, et puis qui me dit que c’est pas encore une mauvaise blague ou un piège de quelqu’un qui veux me rendre fou ! Et puis je veux dormir moi, alors dehors ! »  

 

Il se recoucha et ramena la couverture sur sa tête. Hideyuki n’en revenait pas, il ne semblait pas comprendre l’importance de son annonce. Alors il leva le bras fit un geste en direction du lit de Ryô. Aussitôt le drap qui recouvrait notre gros dormeur tomba par terre.  

 

Ryô surpris se releva.  

 

-« T’abuses Ryô, t’aurais au moins pu mettre un caleçon, enfin j’aurai dû m’en douter là-dessus tu changeras jamais ! »  

 

Il attrapa un oreiller pour couvrir un temps soit peu sa personne et d’un sourire niais répondit :  

 

-« Chassez le naturel il revient au galop ! »  

 

Hideyuki reprit un air plus sérieux mais aussi plus anxieux.  

 

-« Tes décisions ont plus de répercussions que tu ne le penses, ton avenir, celui de Kaori et celui de tes amis va être irrémédiablement modifié dans les jours à venir. »  

 

Ryô qui ne semblait pas vouloir entendre ce que son ami venait de lui dire.  

 

La sirène du véhicule de police se rappela à leurs bons souvenirs.  

 

-« Je dois partir maintenant mais avant, je veux tu entendes ceci. »  

 

La musique qui avait suivi Hideyuki se fit plus forte, on pouvait à présent distinguer les paroles et tandis que celui-ci partait comme il était venu, il lui jeta un dernier regard et marmonna quelques mots.  

 

-« Et si tu fermes les yeux, tu verras à quel point tu es aveugle ! Et peut être comprendras-tu enfin ce que je t’avais demandé avant de mourir ! »  

 

 

Cette douce musique, se frayait un chemin dans son cœur, puis il put alors distinguer les paroles d’une chanson.  

 

 

 

Il y a ces mots que j'attends  

Mais que tu ne diras pas  

C'est important  

Que tu les dises pour moi  

Même si toi  

Tu ne comprends rien à tout ça  

 

Il y a le chaud que tu souffles  

Et juste après le froid  

Tous ces mots dont je souffre  

Cachés au fond de moi  

Avec toi  

Est-ce que j'ai fais le bon choix ?  

 

Avant de trop en souffrir  

D'effacer ton souvenir  

Laisse-moi, te dire  

 

{Refrain:}  

 

A quoi ça sert  

De vouloir encore faire  

Comme si tout ça n'était rien  

Tu joues avec mes nerfs  

Si je t'indiffère  

Dis-le moi à la fin  

A quoi sa sert de vivre l'enfer  

Puisque rien ne nous retient  

Tu pourrais finir par me faire  

Plus de mal que de bien  

 

Plus de mal que de bien  

Oh oh oh  

 

Il y a ses faux semblant  

Qui ne trompe que toi  

Ces caprices d'enfants  

Dis-moi ça rime à quoi ?  

On ira  

Pas plus loin dans le combat  

 

Il y a de l'eau qui coule  

Sur mes jours malgré moi  

Pendant que tu me saoule  

De promesses à tout va  

Si tu crois  

Que je suis d'humeur à ça  

 

Avant de trop en souffrir  

D'effacer ton souvenir  

Laisse-moi, te dire  

 

{au Refrain}  

 

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

 

{au Refrain}  

 

Plus de mal que de bien  

Oh oh oh  

 

Il y a ces mots que j'attends  

Mais que tu ne diras pas  

Plus de mal que de bien  

C'est important que tu les dises pour moi  

Plus de mal que de bien  

 

 

PLUS DE MAL QUE DE BIEN - CYLIA
 

 

 

 

Au même moment à Paris dans une suite de l’Hôtel Plaza – vers 9 heures du matin.  

 

 

 

Une chevelure auburn, c’est la seule chose que l’on pouvait distinguer dans un lit de style Louis XIV.  

 

Une voix se fit entendre, et la chevelure commença a bouger.  

 

-« Kaori, debout sinon on va être en retard pour faire les magasins ! Je sais que tu es lessivée, mais c’est maintenant ou jamais ! »  

 

En réponse à Eriko, l’on n’entendit une sorte de chuchotement, puis d’un coup Kaori se leva.  

 

-« Eriko, tu es pire qu’une tortionnaire ! »  

 

-« Ne joue pas à ce jeu-là avec moi ! Car je sais que tu adores cette torture en fin de compte ! J’ai parlé à mon adorable mécène hier à la soirée de clôtures des défilés. Et John m’a appris qu’apparemment tu aurais tenu des propos bien différents à un de mes confrères ! Et puis comme toujours tu es divine sur l’estrade ! Au point qu’on en oublie mes créations, alors pas de ça avec moi ! »  

 

Kaori ne répondit rien, et bien qu’elle n’arborait pas une mine radieuse, son teint vira encore plus dans les tons transparents.  

 

Lui rappeler une soi disant beauté que Ryô n’avait jamais voulu voir et qu’elle-même ne voyait pas était une blessure à l’âme.  

 

Eriko qui voyait que sa star broyait toujours du noir depuis leur départ du Japon désespérait de la voir un jour de nouveau sourire, c’est pourquoi elle tachait de la réveiller à grand coup de taquinerie et de sous-entendus.  

 

Malheureusement toutes ses tentatives pour lui remonter le moral étaient vaines.  

Elle poussa un profond soupir et tenta de réveiller Kaori qui semblait ailleurs depuis peu.  

 

-« Kaori. Kaori ! Kaori !!! Allez reprends-toi, tu étais d’accord pour aller faire le tour des boutiques de l’Avenue Montaigne, et John ne devrait plus tarder. »  

 

-« John ?! Quel John ? » Répondit une Kaori étonnée.  

 

-« Enfin Kaori, tu as reçu un coup sur le tête ou quoi John ORSON mon mécène, celui qui a payé pour le voyage, le défilé, et même cette suite ! Mais où as-tu donc la tête ! ».  

 

En regardant de plus près Eriko vit que le visage de son ami commençait à être inondé de larmes.  

 

Elle vint se positionner derrière elle et posa les mains sur ses épaules.  

 

-« Kaori… Comment veux-tu que je t’aide, comment te faire retrouver le sourire si tu ne me dis pas ce qui c’est passé exactement avec Ryô. Pourquoi en es-tu venue à le « quitter » ? »  

 

-« … »  

 

Au bout de cinq longues minutes de silence Eriko s’exprima de nouveau.  

 

-« Très bien tu ne veux rien dire, c’est ton choix. Mais écoute-moi bien. Tes amis, et même ton défunt frère n’auraient pas voulu te voir dans cet état. On est là pour toi Kaori, alors oublie-le, ce sera difficile, mais je t’aiderai, on t’aidera tous ! »  

 

Leur conversation fut interrompue par une personne qui frappait à la porte de la suite.  

 

-« Ah mince, ce doit être John ! Vas t’habiller, je vais le retenir, je ne veux pas qu’il te voie dans cet état. »  

 

Elle n’objecta pas et se leva tant bien que mal. Les paroles d’Eriko n’avaient pas réussi à lui remonter le moral, mais les larmes elles avaient cessé de couler. Apparemment la source était tarie.  

 

Elle attrapa ses vêtements et se dirigea dans la salle de bain.  

 

Pendant ce temps Eriko tentait de faire patienter son riche et très séduisant mécène qui ressemblait lui-même à une gravure de mode de part son physique.  

En effet il était grand brun 1,90 m, le teint mat, les yeux d’un vert profond et un petit sourire en coin qui aurait fait chavirer toutes les femmes.  

Le fait qu’il soit en plus l’héritier une immense fortune et qu’on le savait à la recherche d’une épouse n’était pas non plus négligeable.  

 

Après quelques politesses, Eriko lui indiqua que Kaori n’était pas prête, et lui proposa de s’installer dans le salon afin de l’attendre.  

Au bout de dix minutes de silence Eriko fit une navrante tentative pour réconforter John.  

 

-« Elle ne devrait plus tarder John »  

 

-« Je n’en doute pas. Mais dites-moi elle ne va toujours pas mieux n’est-ce pas ? »  

 

Eriko devint aussi blanche qu’un linge. ‘Alors il s’en est aperçu.’  

Voyant qu’elle ne répondait pas John choisit de la rassurer.  

 

-« Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas pour autant que je vais vous retirer mon soutien financier. C’est juste dommage de la voir jouer un rôle, alors que je sais qu’elle est si rayonnante quant elle est heureuse. Toutes les fois ou j’ai eu l’occasion de lui parler, j’ai pu constater à quel point elle était renversante par sa simplicité et sa grandeur d’âme. Enfin ça c’était au Japon. Ici elle est comme absente. »  

 

Eriko ne savait que dire, elle voyait bien qu’il était tombé amoureux de la renversante Kaori, mais que pouvait-elle lui dire sur son comportement ? Elle en ignorait les raisons.  

 

-« Je ne peux malheureusement pas vous expliquer ce qui lui arrive, je l’ignore. La seule chose qu’elle m’a dite, était que sous peu elle devrait déménager, son associé a décidé de rompre leur partenariat. »  

 

Il venait de comprendre son associé, un homme, c’était donc lui le responsable de l’attitude de la jeune femme.  

En voyant le regard perdu de son interlocuteur, Eriko ne put retenir une parole qui allait avoir plus de conséquences qu’elle ne l’imaginait.  

 

-« Vous l’aimez déjà comme … »  

 

Elle n’eut pas le temps de continuer sa phrase que John se leva, et lui répondit apparemment sans même réfléchir :  

 

-« En effet je l’aime ! Alors aidez moi à pénétrer son cœur et son âme, à panser ses blessures, aidez-moi à l’aimer comme elle le mérite ! »  

 

 

 

Pendant ce temps, Kaori venait de prendre sa première vraie décision depuis son périple en Europe. John et Eriko attendraient.  

 

Elle allait profiter du jacuzzi, des jets massant et des huiles essentielles mis à disposition par l’Hôtel.  

Une fois dans l’eau (NDA : je vous épargne le passage ou elle se déshabille !), elle s’installa le plus confortablement possible et attrapa la télécommande de la radio, elle l’alluma et regretta son geste quelques minutes a près avoir entendu la chanson qui se jouait.  

 

Il y a ces mots que j'attends  

Mais que tu ne diras pas  

C'est important  

Que tu les dises pour moi  

Même si toi  

Tu ne comprends rien à tout ça  

 

Il y a le chaud que tu souffles  

Et juste après le froid  

Tous ces mots dont je souffre  

Cachés au fond de moi  

Avec toi  

Est-ce que j'ai fais le bon choix ?  

 

Avant de trop en souffrir  

D'effacer ton souvenir  

Laisse-moi, te dire  

 

{Refrain:}  

 

A quoi ça sert  

De vouloir encore faire  

Comme si tout ça n'était rien  

Tu joues avec mes nerfs  

Si je t'indiffère  

Dis-le moi à la fin  

A quoi sa sert de vivre l'enfer  

Puisse que rien ne nous retient  

Tu pourrais finir par me faire  

Plus de mal que de bien  

 

Plus de mal que de bien  

Oh oh oh  

 

Il y a ses faux semblant  

Qui ne trompe que toi  

Ces caprices d'enfants  

Dis-moi ça rime à quoi ?  

On ira  

Pas plus loin dans le combat  

 

Il y a de l'eau qui coule  

Sur mes jours malgré moi  

Pendant que tu me saoule  

De promesse à tout va  

Si tu crois  

Que je suis d'humeur à ça  

 

Avant de trop en souffrir  

D'effacer ton souvenir  

Laisse-moi, te dire  

 

{au Refrain}  

 

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

Plus de mal que de bien  

Plus de mal à quoi sa sert  

 

{au Refrain}  

 

Plus de mal que de bien  

Oh oh oh  

 

Il y a ces mots que j'attends  

Mais que tu ne diras pas  

Plus de mal que de bien  

C'est important que tu les dises pour moi  

Plus de mal que de bien  

 

 

PLUS DE MAL QUE DE BIEN - CYLIA
 

 

 

Ses yeux était clos, son âme meurtrie, son corps et sa dignité de femme blessée, mais pourtant et malgré tout, elle se surprit à verser une dernière larme.  

La source fut définitivement tarie à cet instant.  

 

 

 

Shinjuku, chambre de Ryô SAEBA  

 

 

Il venait de rouvrir les yeux, comme si cette musique n’avait en fait été entendue que par lui, comme s’il s’était trouvé auprès d’elle au moment où se jouait cette musique.  

Il s’aperçut alors que tout comme elle il venait de verser une larme, une seule et unique larme comme pour dire ‘cette souffrance sera toujours la nôtre’ .  

Mais comment savait-il qu’elle pleurait, comment savait-il ou elle était, comment savait-il qu’elle n’était pas seule, comment ? Comment ? Comment ?  

 

Tant de questions et si peu de réponses.  

 

Une seule venait à son esprit, et il s’empressa de la hurler pour que Hideyuki qui venait de franchir la porte de la chambre lui réponde.  

 

-« Où vas-tu ? Et que vas-tu faire de si urgent ? »  

 

Sans même se retourner et tout en continuant à se diriger vers la sortie, son ami de toujours lui répondit dans un murmure que Ryô entendit pourtant parfaitement bien, bien qu’étant dans sa chambre.  

 

-« Vois-tu Ryô, dans la vie comme dans la mort, il te restera au mieux de l’amour, au minimum des choix ! Et j’ai fait le mien ! J’étais et serai toujours une partie de City Hunter mais à présent je chasse les âmes qui ont besoin d’aide afin de les soulager de leurs maux. »  

 

 

 


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