Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 19-06-06

Ultimo aggiornamento: 24-12-06

 

Commenti: 229 reviews

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GeneralFantasy

 

Riassunto: Une chance va être offerte à Ryô, saura t-il la saisir ? Emotions, découvertes et esprits seront de la partie.

 

Disclaimer: Les personnages de "A Christmas Carol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What do the ratings mean?

 

- G: General Audience. All ages admitted. This signifies that the fanfiction rated contains nothing most parents will consider offensive for even their youngest children to see or hear. Nudity, sex scenes, and scenes of drug use are absent; violence is minimal; snippets of dialogue may go beyond polite conversation but do not go beyond common ...

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   Fanfiction :: A Christmas Carol

 

Capitolo 7 :: Un départ la mort dans l’âme.

Pubblicato: 10-07-06 - Ultimo aggiornamento: 26-07-06

Commenti: Suis toujours dans un cyber café, ma béta d'amour a put me corriger quelques chapitres, voilà donc le dernier avant au moins 2 semaines.

 


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Ryô se releva d’un air stoïque, il essuya le sang qui coulait de son nez et prit place au comptoir sous le regard de tout le monde.  

 

-« Je vois que vous êtes au courant ».  

 

-« Raté Ryô. On ne sait strictement rien ! Si ce n’est que vous n’êtes plus associés. Que veux-tu manger ?! » Lui répondit Miki avec une haine sans pareil.  

 

-« … »  

 

-« Explique-toi Ryô ! Et dis-moi ce que tu veux que je te serve ! »  

 

-« C’est entre elle et moi. Si elle ne vous a rien dit, c’est pas moi qui le ferai ».  

 

Une nouvelle fois il se remémora les événements d’il y a trois jours, et comment jusqu’à la fin elle lui avait menti, elle n’avait même pas eu le cran de lui expliquer véritablement le pourquoi de son départ, ou plutôt de donner le nom de l’autre.  

 

-« Ryô explique-toi enfin ! Elle n’a parlé qu’avec moi, c’est à moi seule qu’elle a fait ses adieux et au moment d’embarquer dans l’avion ! Et tu n’as toujours pas dit ce que tu voulais manger ! »  

 

Il lui répondit brutalement, il ne voulait pas et ne pouvait pas en parler. Et il était énervé pourquoi tenait-elle tant à le nourrir malgré son ressentiment envers lui ?  

 

-« Pour la dernière fois Miki ça ne te regarde pas ! City Hunter n’est plus et ne sera plus jamais une équipe ! Et pourquoi tiens-tu tant à me nourrir ?! ».  

 

-« SAEBA, je t’interdis de passer tes nerfs sur ma femme ! ». Umibozu, sentant la colère démesurée de Ryô envers Miki, s’était rapproché de sa femme dont les premières larmes faisaient leur apparition.  

 

Il la prit dans ses bras, ce qui étonna tout le monde. Bizarrement ce geste qu’il ne se serait pas permis devant les autres d’habitude ne le transforma pas en hommard.  

 

Seule Reïka réagit fortement aux dernières paroles de Ryô.  

 

-« Comment ça City Hunter ne sera plus jamais une équipe ! J’te signale que tu m’as toujours dit que si un jour Kaori partait je pourrais prendre sa place. (NDA : Je peux pas la voir celle là !)  

 

Les yeux de Saeko s’écarquillèrent. Comment sa sœur pouvait-elle oser parler de ça maintenant ? Elle avait toujours été amoureuse de Ryô, mais la c’était plus que déplacé, c’était un manque de considération pour Kaori. Elle lui lança un regard noir qui choisit de ne pas continuer sur ce terrain.  

 

 

Tandis que Umibozu s’évertuait à calmer sa moitié, chacun l’entendait marmonner quelques mots incompréhensibles couvert par ses larmes.  

 

Seule Kasumi savait de quoi elle parlait (NDA : Bah oui on l’oublie toujours la pauvre !). Tout ce temps elle était en cuisine, elle ne voulait pas affronter le regard de Ryô, car elle, elle savait quelque chose de plus que les autres.  

 

Personne n’avait remarqué sa présence jusqu'à ce qu’on l’entende d’une voix tremblante dire ses quelques mots.  

 

-« Elle lui a promis, elle lui a promis… »  

 

Personne ne comprenait rien. Ryô excédé par le couinement de Miki, fut le seul à réagir.  

 

-« Cesse donc de verser des larmes ce crocodile et explique-toi clairement. Promis quoi et à qui ? »  

 

Umibozu s’apprêtait à sortir son bazooka et à le harponner vivant.  

Il n’appréciait guère que l’on parle de cette manière à sa femme surtout que c’était la seconde fois ; en plus il avait déjà eu du mal à calmer Miki à son retour de l’aéroport le matin même.  

 

Mais Miki ne lui en laissa pas le temps et se mit à hurler aussi fort que possible, afin que ce crétin irrécupérable comprenne une bonne fois pour toute.  

 

-« À KAORI ! À KAORI ! PAUVRE MINABLE ! ELLE M’A FAIT PROMETTRE QUE QUOI QU’IL SE PASSE TU SERAIS TOUJOURS LE BIENVENU ICI POUR TE GOINFRER ! TOI L’ESTOMAC SUR PATTES ! C’EST CLAIR CETTE FOIS ! ».  

 

Suite à cette déclaration, Miki fuya les bras de son mari et partit se réfugier dans la cuisine.  

Elle s’assit sur un tabouret qui traînait là pour tenter de calmer ses nerfs, puis repensa a ce qui s’était passé plus tôt dans la matinée. Tandis que de l’autre côté du mur se jouait une autre scène, entre Mick et Ryô, cette fois-ci.  

 

Flash Back  

 

Kaori s’était réfugiée chez Eriko et n’avait rien dit à personne sur ce qui s’était passé.  

La veille de son départ elle se rendit compte qu’il serait préférable qu’elle annonce à tout le monde que City Hunter n’était plus un partenariat.  

Elle se doutait que Ryô ne serait pas facile à supporter dans les prochaines semaines, et elle voulait également veiller à se qu’il tienne sa promesse.  

 

Toutefois, elle ne voulait pas entrer dans les détails, ni tous les affronter, elle n’en avait pas la force. Elle se décida donc à appeler Miki pour lui demander de les accompagner, Eriko et elle, à l’aéroport le lendemain matin.  

 

-« Cat’s Eye Bonjour ! »  

 

-« Miki. Bonjour c’est Kaori »  

 

-« Kaori ma chérie comment vas-tu ? Prête pour le départ ? »  

 

-« Tout va bien ne t’inquiète pas. C’est justement à propos de mon départ que je t’appelle »  

 

-« Laisse-moi deviner cet idiot de Ryô te mène la vie dure depuis que tu lui a dis »  

 

-« … Non c’est pas ça. En fait… il est en pleine mission de protection et du coup il va lui être difficile de nous accompagner… tu comprends ? »  

 

Son ton hésitant mit la puce à l’oreille de Miki, mais elle ne pouvait pas vraiment parler son mari était près d’elle, et il ne supportait jamais de la voir se mêler des affaires des autres.  

 

-« Très bien, donc si je comprends tu veux que je vous accompagne »  

 

-« Exact. Ça ne te dérange pas au moins ? »  

 

-« Mais non voyons aucun problème, votre vol est à 9 heures je crois. Ça te va si je passe te prendre à 6 heures, ensuite on ira chercher Eriko ? »  

 

-« … Oui le départ est prévu à 9 heures. Mais en fait… tu n’auras pas à faire deux arrêts… Je me suis installée chez Eriko hier pour … pour l’apporter des retouches dans la collection. Et puis… et puis vu que Ryô est en mission c’était préférable pour lui, j’aurais fait trop d’allées et venues. »  

Cette réponse plus que non satisfaisante aux yeux de l’ex mercenaire, lui fit comprendre que quelque chose de grave s’était produit.  

 

-« Très bien, dans ce cas je passe vous prendre demain matin à 6 heures 30.  

 

Elles se quittèrent sans plus de fioriture. Laissant Miki dans le flou absolu jusqu’au lendemain matin où, quelques minutes avant d’embarquer, Kaori la prit à part.  

 

-« Je dois te parler c’est important. »  

 

-« J’en étais sûre, vu les yeux rougis que tu traînes, y'a un Ryô SAEBA qui va le payer très cher, vas-y je t’écoutes, qu’a-t-il encore fait ce dégénéré du slip ! »  

 

-« Promets-moi avant tout que quoique je te dise, cet estomac sur patte sera toujours le bienvenu au Cat’s Eye, et que tu veilleras sur lui. »  

 

Les paroles prononcées étaient d’une telle mélancolie.  

Ils résonnaient comme un adieu non pas à Ryô ou à ses amis, mais tout son passé. Mais Miki ne voulait pas l’admettre, admettre qu’elle avait baissé les bras, elle ne voulait déjà plus savoir.  

 

-« Je te le promets, mais enfin dis-moi ce qui se passe ! »  

 

Kaori serrait de plus en plus la lanière de son sac à main, les mots ne voulaient pas sortir.  

En effet une fois prononcés, elle ne pouvait plus tenter de nier, de se mentir à elle-même, et c’était là le dernier pas à faire pour être délivrée de l’amour qu’elle portait à cet homme redevenu par choix un tueur.  

 

-« Miki…Miki… je pars… la mort dans l’âme. Tout est fini, City Hunter n’est plus une équipe… Mes sentiments… »  

Elle prononça ces quelques mots en sachant qu’il était plus que probable qu’elless ne se revoient jamais, et elle n’osait donc pas affronter le regard de son amie qui ne se rendait toujours pas compte de ce qui se jouait réellement.  

 

Une voix ramena Miki sur terre, la même qui avait interrompu Kaori, celle du haut parleur qui annonçait l’embarquement de son vol.  

Avant qu’elle n’ait pu dire quoique ce soit Kaori l’embrassa et courut vers Eriko qui lui faisait des signes.  

 

Elle resta quelques minutes dans une totale léthargie puis les larmes vinrent inonder son visage, telles un barrage qui venait de céder.  

Elle finit par réagir, et voulant se persuader que Kaori changerait d’avis, elle alla assister au départ de l’avion.  

Malheureusement pour elle, Kaori ne revint pas de l’avion, elle n’avait pas changé d’avis, elle n’avait pas pris la résolution de rester pour ses amis, elle avait apparemment souffert une fois de trop. Elle avait choisi la fuite, temporaire normalement, mais la fuite, c’était du moins comme ça que Miki voyait les choses.  

 

C’est une Kasumi stressée et angoissée qui attendait dans la voiture.  

Elle avait insisté pour accompagner ses amies, mais n’avait pas voulu assister au départ qu’elle redoutait.  

Lorsqu’elle vit revenir une Miki en larmes et blême traînant le pas, elle comprit bien vite que ses soupçons étaient fondés.  

Elle lui demanda se qui s’était passé et entre deux sanglots, Miki lui expliqua tant bien que mal.  

 

Fin du Flash-Bac  

 

Notre ex mercenaire ne se souvenait plus de ce qui s’était passé après si ce n’est de s’être effondrée dans les bras de son nounours dès leur retour au café. Elle esquissa un sourire en se souvenant de la tête de Falcon lorsqu’elle l’avait appelé nounours devant Kasumi.  

Finalement elle fut tirée de ses songes par un bruit venant du café. Celle de Saeko en train de hurler.  

 

 


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