Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: loreley

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 29 capitoli

Pubblicato: 24-05-05

Ultimo aggiornamento: 02-07-06

 

Commenti: 122 reviews

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GeneralAction

 

Riassunto: Notre couple préféré a une nouvelle cliente. (Pour un résumé, je crois qu'on ne peut pas faire mieux).

 

Disclaimer: Les personnages de "Une cliente pas comme les autres" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the boundaries. So if you read something that doesn't seem correctly rated, please conta ...

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   Fanfiction :: Une cliente pas comme les autres

 

Capitolo 13 :: Shopping mouvementé (non, pas à cause des soldes…)

Pubblicato: 15-08-05 - Ultimo aggiornamento: 15-08-05

Commenti: Bonjour tlm! Voilà la suite! Merci à Milene, Fan2CH, Nanou, Imala et Saiyuki (trop contente de voir que t'as rattrappé tout ton retard, huit chapitres c'est vrai que c'est bcp!). Gros bisous à vous toutes, et à tous les autres lecteurs qui me laissent pas de reviews... lol J'vous aime qd même! Ah oui! N'oubliez pas de faire mon quizz! Et je veux des bonnes notes!

 


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« Alors mon cœur, quel est notre plan ? » demanda Kaori en servant à Ryo une tasse de café.  

 

Cécile faisait encore la grasse matinée et Hiyoko travaillait sur son portable dans le salon. Il avait fait installer Internet chez City Hunter pour pouvoir continuer à travailler à distance avec son entreprise aux Etats-Unis. Cela faisait déjà deux jours qu’ils s’étaient installés dans leur appartement. Mais pour l’instant rien de nouveau. Aucune idée sur le contenu de la disquette et sur la provenance exacte des menaces. Certes Etzel devait y être directement ou indirectement lié. Mais comment en être sûr ? Pourtant il fallait faire vite puisque la réception devait avoir lieu deux jours plus tard.  

 

Kaori reprit : « Tu ne comptes quand même pas improviser une fois sur place ? Avec le monde qu’il y aura ce serait bien trop risqué. Il nous faut non seulement protéger Hiyoko, mais aussi Cécile. Et je ne pense pas que Cécile soit d’accord pour rester toute la soirée avec son père. Or on est que deux. On peut toujours se partager la surveillance, mais dans ce cas, qui enquêtera ? Car si Hiyoko ne donne pas cette mystérieuse disquette, il ne sera pas seulement menacé lors de la réception mais aussi tout le reste de sa vie. Je ne pense que tu ais envie de le protéger jusqu’à la fin de tes jours. En plus c’est un homme d’affaire qui a beaucoup de travail et doit retourner aux Etats-Unis. Il faut donc résoudre cette affaire au plus vite. Et comme je l’ai déjà dit, c’est impossible d’improviser directement là-bas. Mais… Ryo ? RYO ! Tu m’écoutes au moins ? »  

 

Kaori avait le dos tourné car elle faisait la vaisselle. Cette affaire lui semblait très compliquée alors elle s’était acharnée sur une tasse tout en parlant. Des fissures avaient fait leur apparition lentement sur la pauvre tasse. Elle s’aperçut enfin que Ryo ne l’écoutait pas et, lorsqu’elle se retourna, il n’était même plus là ! La colère l’envahit et elle chercha des yeux sa proie…  

 

- Aller, Hiyoko ! Je suis sûr que vous avez plein d’images de jolies filles sur cette machine, hein ?  

- Mais non voyons, qu’allez vous imaginer ? Répondit Hiyoko très gêné  

- Aller ! Pas de ça avec moi ! Je vous en supplie !!! Insista Ryo tout en versant un torrent de larme (le pauvre chou !)  

- Euh… C’est que… Bon. D’accord, j’ai quelques photos… Vous aimez bien Alyssa…  

 

Hiyoko ne continua pas sa phrase. La tête de Ryo avait soudainement changé. Il pouvait y lire la peur et la détresse du pauvre homme. Une ombre planait au-dessus de lui. Pas la peine de vous préciser la forme de l’ombre… Ryo n’eut même pas le temps de dire quoi que ce soit ! Une massue gigantesque venait de le faire descendre directement dans les sous-sols sous les yeux ébahis d’Hiyoko. Une fois déchargée de toute sa colère, Kaori s’aperçu du regard effaré d’Hiyoko.  

- Oh ! Excusez-moi. Je m’emporte un peu trop vite des fois. J’espère que Ryo ne vous a pas trop embêté. Je vous laisse continuer votre travail. Encore désolée pour le dérangement.  

Et Kaori retourna à la cuisine comme si de rien n’était.  

 

(« Hé fl’auteur ! fpourquoi m’faire fa à moi ? Ouinnnnnnnnn ! Fuste au fmoment où Fiyoko aller me fontrer fses photos !!! » « Pauvre chou ! Ha ! Ha ! Ha ! » Rires diaboliquement étranges, ou étrangement diaboliques ? « … » Voyant la tête effrayée de Ryo, l’auteur se met à sourire et s’approche délicatement de son petit chou… « Mais voyons Ryo, ne fait pas cette là… Tu sais que les hommes qui souffrent sont atrocement sexy… » « A l’aide ! Au secours! » « Bon, Ryo calme toi, je disais juste une simple vérité, c’est tout. » « T’es complètement givrée ! T’as vu la manière dont tu me l’as dit ? » « Mais non Ryo ! Que vas-tu imaginer ! Et puis arrête ! Pour qui les lecteurs vont me prendre après ! » « Ouais… Ben ne t’approche pas trop près de moi, ok ! » « Pff. Décidément depuis que t’es avec Kaori pas moyen de t’approcher.»)  

 

Après un bon repas de midi concocté par notre Kaori, les amis, ou plutôt les filles, décidèrent de sortir tous ensemble pour une après-midi shopping qui serais suivi d’une petite soirée au Cat’s eyes.  

 

Cela faisait plus de trois heures qu’Hiyoko et Ryo suivaient les filles dans tous les magasins de Tokyo. Qui plus est, c’était eux qui avaient l’honneur de porter tous les paquets. Et il faut dire que Cécile dépensait sans compter. Donc comme d’habitude Ryo se plaignait, pleurait, ect. Il essaya plusieurs fois de se faire consoler par de jolies passantes, mais il abandonna bien vite après plusieurs coups de massues donnés par une professionnelle de ce grand art. De plus, défiguré comme il était, il faisait plutôt fuir les femmes. Il était vraiment pitoyable. Dents cassées, bosses, marques de talon aiguille partout sur le visage, nez en sang… (« Euh ? L’auteur ? Je n’ai quand même pas mérité tout ça ? Pas la peine de me prendre pour un Punching ball ! Tu ferais mieux de sortir et de te trouver quelqu’un… ») …et aussi un mal de crâne particulièrement atroce à cause d’un coup de pied particulièrement violent. (« Bon je crois qu’il faut que je me calme parce que sinon il risquerait de se plaindre à l’association de défense des personnages maltraités »).  

 

Mais Kaori donna un mouchoir à son Ryo pour qu’il soit plus ou moins présentable, et l’embrassa sur la joue. (« Je ne suis pas gentille, moi ? » « Ouais… Un mouchoir et un baiser sur la joue, on ne peut pas dire que tu sois très généreuse… » L’auteur vient de décider de jouer l’indifférente face à ce personnage qui ne cesse d’insister l’auteur à le maltraiter… Je pense que les lecteurs seront soulagés.)  

 

Après être passées à la caisse (Très important la caisse. Penser y fortement lorsque vous êtes tête en l’air… vous risqueriez de vous taper la honte…^_^), Kaori et Cécile sortirent d’un des nombreux grands magasins qu’elles venaient de faire, et se dirigèrent vers le suivant. Les hommes avec leurs innombrables sachets traînèrent pour les suivre.  

 

Un brouhaha incroyable résonnait dans le magasin. « Que penses-tu de cette robe ? » « Tu as eu des nouvelles de ton frère ? » « Akane Tendo est demandée à l’accueil. Akane Tendo. Merci » « Uehara ? Salut ! Comme ça fait longtemps ! » « Bonjour…merci. Bonne journée ! Bonjour… » « Tut Tut Tut Tut… » « Alors? Ces vacances? » « And her heart is breaking in front of me/ I have no choice cause I won’t say goodbye anymore” [Maroon 5, This Love]…  

 

Malgré tout ce tumulte, Ryo reconnu un bruit, un bruit qu’il connaissait trop bien…  

 

Il laissa tomber tout ses sachets et couru rejoindre les filles. Kaori et Cécile était entrain de traverser la rue. Le tireur se trouvait juste en haut d’un immeuble. Ryo se précipita vers les filles et cria à Kaori de faire attention. Kaori compris tout de suite le message et se mis à courir avec Cécile.  

 

Un coup retentit… mais ne les atteignit pas. Elles se dirigèrent vers une petite ruelle juste en face et se collèrent contre le mur.  

 

Ryo voyant que les filles s’étaient mises à l’abri, se mis rapidement dernière une voiture pour repérer la position exacte du tireur, puis il se mit à courir pour rejoindre ce dernier, tout en restant discret. Le tireur trop occupé à viser n’avait pas dû le remarquer, il fallait en profiter.  

 

Kaori jeta un œil sur la rue principale. Beaucoup de gens étaient parti en courant. Mais d’autres ne s’étaient rendu compte de rien et continuaient leur journée tranquillement. Heureusement, la balle n’avait touché personne. Le danger semblait être parti. Elle regarda Cécile. Celle-ci était toujours collée contre le mur, essayant de se faire la plus petite possible. Elle ne bougeait pas d’un centimètre, elle était complètement paralysée.  

- Cécile ?  

 

Kaori pris Cécile dans ses bras pour la rassurer. Celle-ci avait été profondément choquée d’avoir frôlée de si près la mort. Bientôt Hiyoko arriva, affolé. Kaori le laissa s’occuper de sa fille.  

 

Ryo arriva rapidement devant le bon immeuble. Se doutant bien que le tireur ne prendrait pas la cage d’escalier principale pour descendre du toit mais l’échelle de secours, il contourna l’immeuble et l’attendit tout simplement. En effet, le tireur n’avait pas encore eu le temps de fuir puisqu’il lui avait fallut ranger son arme, et il ne se doutait pas que Ryo en avait après lui. C’est donc au départ sans trop se presser qu’il descendit de l’échelle. Mais ce tireur était néanmoins un professionnel. Arrivé au milieu de l’échelle, il remarqua la présence de Ryo.  

 

- Salut l’ami ! Beau temps n’est ce pas ?  

Ryo ne répondit pas. Le tireur se demanda à qui il avait à faire. Il continua à descendre de l’échelle comme si de rien n’était…ou presque. Il était encore jeune, vingt-cinq ans environ. Alors qu’il descendait, il avait pris discrètement un couteau, histoire de se débarrasser du gêneur.  

 

Un passant serait parti depuis longtemps. Il se doutait bien que ce gêneur devait être un professionnel, probablement un de ces gardes du corps qui se prennent pour un héros de bande dessiné pensa-t-il. Mais il ne ressentait aucune aura meurtrière. Il était loin de se douter à quel professionnel il avait à faire…  

 

Arrivé en bas de l’échelle, il jeta un coup d’œil sur Ryo. Celui-ci le regardait sans plus. Aucune émotion ne paraissait sur son visage. Avant de descendre de l’échelle (le bas de l’échelle ne touchant pas le sol), il se débarrassa de son sac à dos pour être plus libre de ses mouvements. Le tireur sauta à terre, se tourna rapidement pour être face à Ryo et se lança sur lui arme à la main.  

 

Il pensait bénéficier de l’effet de surprise mais c’est lui qui fut le plus surpris.  

 

En moins de deux secondes, il se retrouva par terre, son poignet lui faisant affreusement mal. Il était encore entrain de contempler, ahuri, cet os délogé de sa place habituelle, lorsque, à son tour, il reconnu le bruit d’une arme. Ryo braquait maintenant son python sur lui. D’une voix impassible il commença à poser des questions à celui qui avait osé s’en prendre à ses clients.  

 

- Qui t’envoie ?  

Face au regard noir que désormais lui lançait le nettoyeur, le tireur, non seulement oublia bien vite la douleur à son poignet, mais il comprit aussi qu’il valait mieux répondre à ses questions.  

- Je ne sais pas exactement… commença-t-il par bredouiller  

- Il va falloir que tu sois plus précis si tu veux voir le soleil se coucher ce soir…  

- C’est un homme que je connais seulement par téléphone. Se doutant bien que cela ne suffirait pas, il rajouta, pour être plus convaincant :  

- Tout ce que je sais, c’est qu’il paie bien, très bien ! Mais je ne sais rien d’autre ! Je le jure !  

- Et il t’a demandé d’éliminer cette petite alors ?  

- Pas exactement. Seulement de la blesser.  

Ryo pouffa de rire un long petit moment, puis il se reprit, plus ou moins, et déclara :  

- Ben dit donc ! Je ne savais pas qu’Etzel employait des tireurs aussi peu doués ! T’étais loin de la blesser ! La balle est passée au moins trois mètres à côté d’elle !  

Le jeune tireur vexé dans son orgueil ne tiqua pas au nom d’Etzel. Il se releva plus ou moins péniblement et lui lança :  

- Hé ! T’es qui toi pour m’insulter comme ça !  

- Hé mon petit calme toi ! Tu ne voudrais pas qu’une balle vienne se loger juste entre tes deux yeux ? Tu n’es qu’un amateur et va bien falloir que tu t’en rendes compte. Non seulement tu es piètre tireur, mais en plus tu viens de me donner le nom de ton boss, Etzel.  

Le jeune tireur fut étonné de ces dernières paroles. Il se remémora leur petit entretien et pâlis lorsqu’il se rendit compte de son erreur…  

- Et un conseil, renseigne toi toujours sur tes cibles. Celle-ci était protégée par City Hunter, tu n’avais donc absolument aucune chance.  

- City Hunter !? !!!! Oh non ! Pitié je vous jure que je ne savais pas !  

Le tireur se mis à implorer Ryo.  

- Bon aller ça suffit ! Dépêche-toi de partir d’ici avant que je m’énerve pour de bon. Et si jamais je te revois une arme à la main tu peux être sûr que cette fois-ci je ne te laisserai pas partir sur tes deux jambes !  

 

Le jeune tireur n’en demanda pas plus et se dépêcha de déguerpir pour retrouver sa maman…  

 

Ryo rejoignis son ange et ses clients, il les rassura en leur expliquant que ce n’était qu’une tentative d’intimidation et que le tireur ne se montrerait probablement plus jamais dans les parages.  

 

Ils décidèrent de continuer malgré tout leur journée. Ils se dirigèrent donc vers le Cat’s eyes.  

 

Mais Ryo se promis de rendre une visite à Etzel dès le lendemain. Il voulait enfin savoir qui était cet homme.  

 

 


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