Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: loreley

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 29 capitoli

Pubblicato: 24-05-05

Ultimo aggiornamento: 02-07-06

 

Commenti: 122 reviews

» Ecrire une review

 

GeneralAction

 

Riassunto: Notre couple préféré a une nouvelle cliente. (Pour un résumé, je crois qu'on ne peut pas faire mieux).

 

Disclaimer: Les personnages de "Une cliente pas comme les autres" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

My activation link doesn't work.

 

Please forward me the activation email you received. Then, contact me using the email address you put in your profile or one that you want to use instead, and give me your pseudo and password.

 

 

   Fanfiction :: Une cliente pas comme les autres

 

Capitolo 18 :: Direction le niveau « -2 » (pas très créatif mais bon...)

Pubblicato: 11-12-05 - Ultimo aggiornamento: 06-01-06

Commenti: Bonsoir tlm! Tout d'abord mille excuses pour ce grand retard. Mais décidément je n'arrive plus à majer régulièrement, j'ai trop de chose à faire. Enfin, c'est bientôt les vacances alors vous devriez avoir la suite bientôt. Merci beaucoup pour vos reviews elles me touchent toujours beaucoup et m'encourage à continuer. Donc merci à Fauve, Nanou, Milene, Caro et Adnil. J’espère que la suite continuera de vous plaire. Gros bisous à tous.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29


 

Ryo parcourut le long couloir qu’il avait déjà parcouru la veille lorsqu’il avait rendu visite à Etzel. Il se dirigea à son bureau. Certes, il y avait des caméras de sécurité mais de toute façon peu lui importait que Yoshio ou Ischida apprennent qu’il était à l’étage. Ils avaient beaucoup à faire dans la salle de réception et il n’y avait rien de compromettant dans les étages officiels de la demeure de Yoshio. Et de toute façon Ryo était sûr que des agents s’étaient infiltrés ce soir, et comptait passer à l’attaque dans un future très proche. Yoshio et Ischida allaient avoir trop à faire de ce côté-là. Arrivé devant la porte du bureau, il l’ouvrit avec un simple couteau suisse. Il se retrouva donc dans cette grande salle avec pour seul mobilier un grand et ancien bureau, une bibliothèque, un miroir et une commode. Comme dans tous les classiques, il se dirigea vers cette fameuse étagère où étaient rangés divers livres et encyclopédies. Facilement il fit coulisser la bibliothèque ce qui lui donna accès à une mini salle de surveillance. Il pris place en face des écrans et des multiples boutons et contacta Mick.  

 

Akemi rouvrit ses yeux. Elle pouvait entendre des employés tapotant sur leurs ordinateurs, des conversations entre ces employés, des machines faisant un bruit assourdissant au loin… Malgré tout ses bruit, tout lui semblait calme, reposant. Car dans quelques secondes ce serait le chaos… Pourvu que les autres agents soient bien arrivés à leurs postes. Elle vérifia l’heure de sa montre : 22h34m24s. Elle était prête. Elle ferait tout pour que l’Organisation soit enfin détruite et qu’Etzel paie ses crimes.  

 

Mick était exaspéré. Autant Ryo était un as en ce qui concerne les armes à feu, autant son maniement des ordinateurs et autres machines était plus limite. Enfin, il espérait néanmoins qu’en visionnant les séquences de l’heure précédente, Ryo découvrirait où se cachait Cécile.  

 

Ryo regardait les cinq écrans devant lui. Chacun montrait ce qui s’était passé, il y a un peu moins d’une heure, dans cinq endroits différents de la salle de réception. Sur un des écran, il vit une femme, semblant ivre, déranger les deux pauvres gardes à leurs postes. Ceux-ci la prirent et l’emmenèrent plus loin laissant tomber leurs postes. C’était donc pour ça que, tout à l’heure, il s’était étonné de l’absence de garde. Son hypothèse se confirmait donc, il allait d’un instant à l’autre voir Akemi profiter de cette absence pour passer par l’accès au sous-sol dont Falcon lui avait fait part. D’ailleurs elle était là, sur l’écran numéro 3, se faufilant discrètement à travers la foule pour rejoindre ce fameux passage. Il vit son visage. Elle n’était pas rassurée et semblait soucieuse. Sans doute les avaient-elle vus. Puis autre chose attira son attention. Il repéra enfin Cécile, mais celle-ci, justement, semblait être entrain de suivre Akemi. Akemi ne s’en était apparemment pas rendit compte car sur le premier écran, il put la voir, qui comme prévu, actionna le système d’ouverture du passage et se faufila. Il vit alors Cécile apparaître sur cet écran et actionner elle aussi le mécanisme. Mais pourquoi donc avait-elle suivit Akemi ? Elle semblait la connaître ! Bon sang, cela n’annonçait rien de bon si Cécile se trouvait dans les sous-sols ! Il aurait dû suivre son instinct tout à l’heure et aller dans ce passage lui aussi. Il avait déjà perdu beaucoup trop de temps. Il sortit du bureau de Yoshio sans même prendre le temps de fermer la mini salle de surveillance.  

 

Les balles fusaient de part et d’autres. Certains employés étaient paniqués. Certes ils avaient tous reçu une formation mais ils étaient avant tout des scientifiques ou des cadres. Les agents de sécurité, si l’on peut dire, car cela ressemblait plutôt à une véritable garnison, étaient en nombres supérieurs par rapport aux employés et ne se préoccupaient pas d’eux. Ils accomplissaient tout simplement leurs ordres. S’il y a une intrusion, il vaut mieux que tout le monde meure, les pertes seront moins grandes que si des ennemis parviennent à dérober des informations compromettantes.  

 

Etre toujours mobile, ne pas rester à un endroit trop longtemps. Akemi faisait du mieux qu’elle pouvait pour progresser dans cette grande salle de bureaux. Elle devait aussi économiser ses balles, mais dans cette situation c’était très difficile. Elle arriva enfin au bout de la salle est conformément à son plan elle trouva une porte qui donna accès à un autre couloir. Là encore, elle pensa frôler la mort. Mais sa réaction fut plus rapide que celle de son adversaire… Elle enjamba le corps et continua sa route, et celle-ci était encore longue et semée d’embûches…  

 

Cécile avait tellement froid. Elle avait faim aussi d’ailleurs. Elle ne pleurait plus et son nœud au ventre avait disparu, comme si elle s’était habituée à cette atmosphère peu accueillante. Ses yeux aussi d’ailleurs s’étaient habitués à cette pénombre. Elle observa attentivement pour la nième fois les détails de cette pièce.  

 

Oh là là ! Mais qu’est ce qu’elle ne ferait pas pour Ryo ?! Kaori sentit ses joues devenir rouges. Elle espérait cependant qu’elle arriverait à faire ce que Ryo lui demandait.  

 

- Messieurs ? demanda Kaori en s’adressant aux deux vigiles.  

- Bonsoir, madame. Nous sommes désolé mais nous sommes en service. Si vous avez un problème quelconque demandez de l’aide à des hôtes ou hôtesses qui sont là pour ça. Lui répondit un des deux gardes.  

- Oh, je suis vraiment navrée de vous déranger messieurs. Mais je n’arrive pas à trouver un seul hôte ou serveur disponible. Et vous voyant là, à attendre, et à observer, avec tant de soin cette salle pour nous protéger avec vos corps d’Appollon si il le fallait, je me suis dit que vous pourriez m’aider. Vous avez l’air si gentil ! Déclara Kaori en essayant de se trémousser. Elle se sentait vraiment ridicule mais apparemment cela marchait. Les deux gardes ne se gênaient pas pour loucher sur son décolleté.  

- Et bien en quoi pouvons nous vous être utile, chère madame ?  

- Vous voyez cet homme là-bas ? Il est entrain de discuter avec une jeune femme vêtue d’une longue robe blanche ?  

Les deux hommes acquiescèrent.  

- Et bien, il n’arrête pas de me harceler depuis toute la soirée. J’ai fini par accepter de danser une danse avec lui et il ne s’est pas gêné pour me tripoter !  

Les deux hommes acquiescèrent une nouvelle fois avant de comprendre où elle voulait en venir. Ils firent mines de s’insurger et celui qui semblait être de grade supérieur envoya l’autre régler le problème.  

- Merci beaucoup monsieur. Je vous jure des fois les hommes se croient vraiment tout permis. Je ne parle pas de vous bien sûr. Vous m’avez l’air tellement gentil. Et puis ses muscles…je dois dire que vous m’impressionnez beaucoup.  

- Je sais, on me le dit souvent (mdr)… Mais ne vous inquiétez pas, passer donc une bonne soirée, je veille tout personnellement sur vous.  

- Oh, merci c’est vraiment gentil. Dès que votre service est fini n’hésitez pas à venir me rejoindre. Fit Kaori en lui faisant un clin d’œil. Elle rejoignit alors Hiyoko qui discutait apparemment avec un collègue.  

 

« Etalon à Félin : bravo, tu as été parfaite mon ange ! Et le blondinet j’espère que tu n’as pas trop souffert… »  

« Fais attention à toi mon cœur ! »  

« Etalon de pacotille ! Tu sais ce qu’il te dit le blondinet ? J’ai faillit me faire éjecter de la salle, sans compter que maintenant les femmes se méfient de moi ! Ce n’est pas l’idéal pour une couverture ! »  

 

Cécile contemplait toujours les divers objets de la pièce, lorsque son regard s’arrêta sur une nouvelle ombre qui avait fait son apparition. La panique lui repris. Une ombre était là dans le cadre de la porte. Que devait-elle faire ? Oh non ! Elle était une nouvelle fois pétrifiée de peur, sauf que là le danger semblait tout proche, imminent.  

 

Bon sang ! Comment se faisait elle qu’elle était encore en vie à cette heure-ci ? Akemi s’adossa contre le mur et souffla un peu avant qu’elle ne doive reprendre sa course effrénée. Elle avait enfin trouvé l’accès au sous sol « -2 ». Là ce n’était pas une garnison qu’elle y avait trouvé mais une armée entière. Au départ elle pût économiser ses balles car les hommes n’avaient pas eu l’info qu’une attaque se déroulait juste au-dessus. Ils se promenaient donc non armés dans les couloirs. Mais le combat au corps à corps avait été épuisant. Akemi s’était pris de sacrés coups et souffrait à chaque pas qu’elle faisait désormais. Mais elle était bientôt parvenue au bout de sa mission. L’ordinateur central ne devait plus être loin. Le long travail de ces deux dernières années allait porter ses fruits. Etzel et toute son Organisation et ses partenaires seraient bientôt hors d’état de continuer leurs affaires malsaines. Et puis après des jours sans contact avec son équipe, avec Hiroshi, elle avait eu l’occasion ce soir, de voir qu’elle n’était pas seule dans ce combat. Et cela lui avait fait du bien. Vivre totalement coupé de son monde, même si c’était une infiltration de courte durée, n’était pas une chose facile. Il y a moins d’un quart d’heure sans l’intervention d’un homme elle n’aurait pas pu continuer sa mission, le but de sa vie. Elle espéra que lui aussi été encore en vie. Il avait certainement une femme et des enfants qui l’attendait quelque part. Elle arrêta ses pensées là. Ce n’était pas le moment de s’attarder et trop penser l’éloignait de la réussite de sa mission. Elle vérifia le nombre de balles qui lui restait et repartit.  

 

« Cécile ? »  

« …Ryo ?! » répondit elle enfin, après avoir reconnu cette ombre qui lui avait fait une peur bleue. Elle fut alors complètement soulagée. Elle angoissait vraiment trop dans ce bureau sordide.  

« Comment m’avez-vous trouvée ? »  

« Je te raconterai ça une autre fois, il faut que je te remmène à la salle de réception. »  

Ryo était soulagé que Cécile n’avait pas suivit Akemi jusqu’au bout c'est-à-dire sur le champs de combat qui devait se dérouler en ce moment même sous leurs pieds.  

« Oui » Répondit Cécile presque en criant tellement elle était heureuse que son cauchemar se finisse.  

Elle pris la photo qu’elle avait posée sur le bureau et la remis dans son sac.  

Ryo et elle se mirent alors en route, dans le noir.  

« Ryo, j’ai déjà essayé par là, mais je n’arrivai pas à sortir. »  

Ryo essaya à son tour mais dû se rendre à l’évidence, il n’y avait pas de sortie par là. Il contacta Kaori et Mick pour qu’ils réfléchissent à un plan.  

 

Il demanda ensuite à Cécile pourquoi elle était venue jusqu’ici. Cécile lui expliqua alors qu’elle avait cru reconnaître sa meilleure amie, celle qui avait disparue depuis quatre ans depuis que, son père avait été découvert assassiné. Elle était sûre de l’avoir reconnue mais elle avait dû se tromper. Ryo lui demanda alors si elle avait une photo. Cécile lui passa la fameuse photo et il put la regarder à l’aide de son briquet.  

 

« Cécile, tu n’as pas rêvé. Cette jeune fille est belle et bien vivante, et je te promet que tu la reverras très bientôt » déclara Ryo à la jeune fille.  

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de