Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: loreley

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 29 capitoli

Pubblicato: 24-05-05

Ultimo aggiornamento: 02-07-06

 

Commenti: 122 reviews

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GeneralAction

 

Riassunto: Notre couple préféré a une nouvelle cliente. (Pour un résumé, je crois qu'on ne peut pas faire mieux).

 

Disclaimer: Les personnages de "Une cliente pas comme les autres" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une cliente pas comme les autres

 

Capitolo 15 :: Dans le repaire du loup

Pubblicato: 06-10-05 - Ultimo aggiornamento: 06-10-05

Commenti: Bonsoir tlm! Je sais ça fais longtemps mais je n'ai pas pu faire autrement croyez moi! Enfin bref voilà un petit chapitre pour me remettre dans le bain (et vous aussi d'ailleurs). Et dans le prochain aura enfin lieu la fameuse réception, enfin normalement... Gros bisous à tous et n'hésitez pas à laisser des reviews!!

 


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Ryo arrêta sa Mini juste à temps devant le grand portail de la demeure d’Etzel. Deux hommes armés s’étaient déjà rapprochés. Ryo comptait leur faire comprendre gentiment qu’il voulait entrer, lorsque le portail commença à s’ouvrir. Il repassa la première et repartit.  

 

La propriété était immense. Heureusement qu’il était venu en voiture. Il ne pouvait toujours pas voir la villa de Yoshio Kazama, alias Etzel. La route continuait toujours tout droit, coupant une véritable forêt d’arbres plus différents les uns que les autres, en deux. Puis il tomba sur un genre de rond-point avec une magnifique fontaine au centre, imitant l’époque de la Grèce antique. Les arbres se firent de moins en moins nombreux, contrairement aux caméras de sécurité, et Ryo aperçut enfin les murs d’une énorme villa. Pour tout dire, il ne pouvait même pas voir la façade en entier. Difficile pour lui alors de se faire une image de l’architecture de la maison d’Etzel. Tant pis, il demanderai à Falcon de se procurer des plans afin d’être prêt lors de la soirée. Il arrêta enfin sa voiture devant ce qui semblait être l’entrée principale. Il descendit et sonna.  

 

A peine la sonnette retentit que déjà on lui ouvrait. Tout indiquait clairement qu’on l’attendait. Nul doute, Etzel ne s’entourait pas que de sbires comme le Lynx ou autres.  

 

Lorsque la porte s’ouvrit toute l’atmosphère changea. Un délicieux parfum parvint aux narines du plus grand nettoyeur qui sembla d’un seul coup oublier le pourquoi de sa venue. C’était une superbe créature qui venait de lui ouvrir la porte. Malheureusement pour lui elle portait des talons aiguilles…  

 

Une fois les chaleureuses salutations made by Saeba faites (ou plutôt une fois que la dame écourta les salutations de monsieur Saeba), la très belle femme se présenta comme l’amie de Yoshio Kazama c'est-à-dire Nyoko Sasa. Elle était plutôt grande et portait des vêtements occidentaux. Elle était aussi hautaine et ses grands sourires étaient largement trop forcés. Elle invita Ryo à entrer dans la pièce puis le pria de la suivre, le bureau de « Yoshio chéri » se trouvant au 3ème étage. Ils prirent donc l’ascenseur et durant tout le trajet deux gorilles ne les quittèrent pas d’une semelle. Des agents de sécurité étaient aussi dispersés un peu partout dans la demeure ainsi que des caméras.  

 

L’intérieur de la demeure était lui aussi impressionnant. L’époque de la Renaissance se mêlait avec des matériaux et objets modernes dans une harmonie parfaite. Trop parfaite. Tout était si propre, si impeccable qu’il manquait de la chaleur, une âme à cette demeure. Sans compter qu’avec l’imposant système de sécurité l’ambiance était loin d’être très familiale…  

 

Nyoko et Ryo pénétrèrent dans un grand bureau et Ryo aperçut enfin Yoshio Kazama. Celui-ci vint lui serrer la main avec un léger sourire. Nyoko s’installa sur le bureau au fond de la pièce, mettant bien en valeur ses jambes, entre autre.  

 

- Ah ! J’ai enfin le plaisir de votre connaissance monsieur Saeba. Commença Yoshio tout en se dirigeant vers son bureau. Je suis très content de vous accueillir ici. C’est une belle propriété n’est ce pas ? Cela fais un an que je l’ai et je suis très fier de mon acquisition même si elle m’a coûtée pas mal d’argent. Enfin, je suppose que vous n’êtes pas là pour parler d’investissement immobilier…  

- Effectivement. Coupa Ryo, qui n’était vraiment pas là pour ça…  

- …Oui, bien sûr. Mais asseyez vous donc je vous prie.  

- Ça ira.  

- Comme vous voudrez.  

Yoshio s’installa par contre à son bureau.  

- Vous désirez peut-être qu’on vous apporte à boire ou à manger, monsieur Saeba ? Proposa Nyoko avec un de ses grands sourires, inimitables…  

- Non merci.  

- Laisse Nyoko chérie. Monsieur Saeba souhaite apparemment s’en tenir aux seules raisons de sa venue.  

- Dommage, ce n’était pourtant point mon cas… Répondit Nyoko tout en se levant. Et bien messieurs, je vous laisse à vos occupations. Je vous reverrai lors de la réception, Ryo. Ajouta-t-elle en lui adressant un clin d’oeil.  

- Bien sûr. Répondit ce dernier. Il n’appréciait pas que soudain elle utilise son prénom et lui fasse un clin d’oeil alors que son talon aiguille dans le hall d’entrée montrait très bien la réalité des choses.  

- A plus tard chérie.  

 

Une fois Nyoko partit, Ryo alla droit au but.  

 

- Bon, jouons cartes sur tables, je n’ai pas de temps à perdre.  

- Je n’avais nul l’intention de faire autrement.  

- Je sais très bien qui vous êtes et ce que vous faites, E-T-Z-E-L.  

- Je m’en doutais. Répondit Yoshio avec un sourire narquois. Toutefois vos affaires non plus ne sont pas des plus propres.  

- Evitez de nous mettre au même niveau si vous ne voulez pas avoir une démonstration de mes talents de propreté.  

- Bien, bien. Ne vous énervez pas, monsieur Saeba. Vous savez, vous, et encore moins la police, n’êtes en mesure d’assurer un monde sain et paisible. Vous faites bien entendu de votre mieux, à votre échelle, mais à chaque fois que vous éliminez une crapule, ils sont plusieurs à se battre pour récupérer la place. Si vous étiez prêt à nous rejoindre vous auriez déjà plus de moyen pour faire régner l’ordre et le respect. Réfléchissez-y monsieur Saeba, sans comptez que personne d’autre ne sera en mesure de vous proposer une rémunération aussi élevée en plus du prestige.  

- Nous ne devons pas avoir la même notion du prestige ni même de l’ordre et du respect. Je ne connais pas toutes vos affaires mais si un jour j’apprends que vous êtes responsable de la mort ou du malheur d’innocents je n’hésiterai pas à vous éliminez, croyez-moi.  

- Mais je ne remets absolument pas vos paroles en doute. Et il n’a jamais été question pour moi de tuer un « innocent » comme vous dites. Seulement votre client possède quelque chose qui m’appartient et je tiens juste à le récupérer.  

- Et quel est cet objet ? Où plutôt que contient-il ?  

- Je suis désolé monsieur Saeba mais à cause de stratégies industrielles je ne peux vous le dire.  

- Et si vous n’obtenez pas cet objet ?  

- Ecoutez monsieur Saeba ne m’exaspérer pas. Il me FAUT cet objet à n’importe quel prix. Si Hiyoko Hayakawa ne fait pas ce qu’on lui demande vous savez très bien comment cela se finira, que vous soyez le meilleur garde du corps du Japon ou non.  

- Je pensais qu’il n’était pas question de tuer un innocent ?  

- Nous n’avons pas la même notion d’innocent.  

- Je vois. Et bien je sais ce que je voulais savoir. Cela fut un plaisir de vous rencontrer, monsieur Kazama.  

- C’est tout a fait réciproque monsieur Saeba même si je regrette de ne pas avoir pu vous rallier à mes côtés. Cependant, puisque j’ai une grande estime pour vous je me permets de vous dire qu’il serait préférable, aussi bien pour moi, que pour vous et votre client, que la disquette retourne à son propriétaire.  

 

Ryo acquiesça ironiquement et se dirigea vers la sortie, mais Yoshio le rappela.  

 

- Monsieur Saeba ! Attendez ! Voilà les invitations pour la réception. Votre client et sa fille ont déjà les leurs mais je ne pense pas que ce soit votre cas, à vous et votre partenaire. Sans elles vous ne pourriez point venir.  

-Merci.  

 

Cette fois-ci Ryo sortit du bureau d’Etzel, puis rejoignis sa Mini escorté plus ou moins discrètement par les deux sbires.  

 

 


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