Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 29 capitoli

Pubblicato: 19-10-19

Ultimo aggiornamento: 16-11-19

 

Commenti: 54 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: AU Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi Ryo n'était pas attiré par les adolescentes? N'a-t-il jamais fauté?

 

Disclaimer: Les personnages de "Un amour d'adolescente" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un amour d'adolescente

 

Capitolo 12 :: Chapitre 12

Pubblicato: 30-10-19 - Ultimo aggiornamento: 30-10-19

Commenti: Bonjour, la suite de l'histoire. Un moment plus calme dans la vie du couple. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 12  

 

- Ca suffit maintenant !, gronda Ryo en se levant.  

- Laisse, j’y vais. Reste au lit., soupira Kaori, épuisée.  

- Non, c’est devenu un jeu pour lui. C’est moi qui vais m’occuper de lui la nuit et je suis sûr que tout va vite revenir dans l’ordre., s’énerva le nettoyeur.  

- Dis tout de suite que je ne sais pas m’occuper de mon fils !, se vexa la maman.  

 

Ryo la regarda et caressa son visage puis lui sourit.  

 

- Tu t’en occupes très bien. Je suis persuadé qu’il fait exprès de se réveiller toutes les nuits depuis dix jours. Au début, il était malade mais depuis…  

- Il a trouvé un moyen pour m’avoir, c’est ça ?, compléta-t-elle.  

 

Son compagnon acquiesça. Kaori se laissa retomber sur le lit. Elle pensait que la situation entre le père et le fils s’était améliorée mais apparemment, il y avait encore de la jalousie de la part de l’enfant. Ryo se pencha sur elle et l’embrassa légèrement.  

 

- Je vais le voir. Reste là., lui souffla-t-il.  

 

Il enfila un caleçon et un tee-shirt et sortit de la chambre. Quand il entra dans la chambre de Kei, le petit garçon était assis dans son lit et pleurait à chaudes larmes.  

 

- Maman ! Je veux maman !, criait-il.  

- Viens là, mon grand.  

 

Il le souleva et, voyant son pyjama trempé, le reposa à terre.  

 

- Tu as fait pipi au lit ?, l’interrogea Ryo.  

- Oui., répondit-il penaud.  

- Viens à la salle de bains, on va te nettoyer et te mettre un pyjama propre puis on changera les draps.  

- Est où maman ?  

- Maman fait dodo. A partir d’aujourd’hui, c’est moi qui viendrai la nuit. Tu es d’accord ?  

- Maman…  

- Maman est fatiguée, Kei. Cela fait dix jours que tu la réveilles toutes les nuits plusieurs fois. Maman a besoin de dormir. Donc maintenant c’est papa qui s’occupe de toi la nuit.  

 

Le petit garçon baissa les yeux et ils arrivèrent à la salle de bains. Ryo le nettoya et le changea puis ils repartirent dans la chambre.  

 

- Dort où maman ?, demanda le petit garçon.  

- Là, notre chambre est là., lui indiqua son père, pointant du doigt la porte.  

- Tu vois, ce n’est pas très loin. Regarde, va jusqu’à la porte et reviens.  

 

Kei courut maladroitement jusqu’à la porte puis revint vers son père qui l’attendait agenouillé.  

 

- Alors c’est loin ?  

- Non.  

- En plus, tu cours super vite., le complimenta-t-il pour l’encourager.  

 

Il eut droit à un magnifique sourire de son fils et s’en réjouit. Ils rentrèrent dans la chambre et Ryo changea les draps. Le lit refait, il prit Kei et le remit dedans, le bordant.  

 

- Plus de pipi au lit, Kei. D’accord ?  

 

Il acquiesça. Le papa ramassa les draps sales et sortit de la chambre, éteignant la lumière. Il fit un détour par la buanderie où il mit directement les draps dans la machine puis rejoignit sa compagne.  

 

- Alors ?  

- Tu es quitte pour une lessive demain matin., répondit-il.  

- Comment il a réagi ?, s’inquiéta-t-elle.  

- Bien. Je lui ai dit que tu dormais et que ce serait moi qui me lèverai. Il a été un peu déçu mais ça a l’air d’être passé. En espérant que ça marche et que l’on puisse de nouveau dormir., fit Ryo.  

- J’espère.  

 

Ryo se tourna et éteignit sa lampe de chevet. Quand il se remit sur le dos, Kaori se lova contre lui et il passa un bras autour d’elle mais, au lieu de poser la main sur sa hanche comme d’habitude, il la glissa sur sa cuisse et remonta en dessous de sa nuisette.  

 

- Ryo, que fais-tu ?, murmura sa compagne.  

- Je m’occupe. Je n’ai plus très envie de dormir., murmura-t-il d’une voix langoureuse.  

- Pourtant tu devrais être fatigué…  

- Je devrais ? Vraiment ? C’est la fougue de la jeunesse parce que là maintenant ce que je veux vraiment, c’est te faire grimper au septième ciel.  

 

Il la retourna et se positionna au dessus d’elle, prenant ses lèvres avec avidité. Il glissa ses lèvres le long de son menton et titilla la peau fine de son cou jusqu’à l’entendre gémir. Comme mues par leur propre volonté, ses mains avaient déjà fait descendre les bretelles du vêtement de sa partenaire et remplacé l’étoffe. Bientôt, il sentit des mains caresser son corps en retour, puis des jambes entourer ses hanches, l’invitant en silence à poursuivre l’invasion de manière plus intime. Quelques minutes plus tard, ils s’endormirent, les sens rassasiés.  

 

Une heure plus tard, de nouveaux pleurs résonnèrent dans la maison, réveillant les adultes. Ryo grogna mais rattrapa Kaori qui s’était déjà levée.  

 

- Non maman, on respecte les nouvelles règles., la taquina-t-il.  

 

Il se leva, se rhabilla et retourna voir son fils. Kei pleurait de nouveau à chaudes larmes, serrant son doudou contre lui, le souffle saccadé.  

 

- Que se passe-t-il ?, lui demanda son père, s’asseyant à ses côtés.  

- Maman…, pleurnicha-t-il de plus belle.  

- Non, Kei. Maman fait dodo. C’est papa. Que se passe-t-il ?  

 

L’enfant le regarda avec ses grands yeux tristes puis vers la porte. Il se calma progressivement puis grimpa sur les genoux de son père. Ryo en fut étonné et attendri. C’était la première fois depuis leur pseudo dispute qu’il venait volontairement vers lui.  

 

- A peur.  

- Tu as fait un mauvais rêve ?  

 

Kei acquiesça contre lui et il resserra son étreinte.  

 

- C’est fini maintenant. Tu me fais confiance ?, lui demanda Ryo.  

 

Son fils leva de grands yeux vers lui, le fixa un moment puis lui sourit. Il prit cela pour une réponse affirmative.  

 

- Alors retourne dans ton lit. Tu me prêtes ton doudou un instant ?, lui demanda-t-il en tendant la main.  

 

Kei regarda son doudou avec hésitation puis finit par le tendre à son père. Ryo vit la lueur de doute dans ses yeux et sut qu’il ne devait pas tarder à le lui rendre.  

 

- Doudou, je te confie une mission : tu vas combattre les mauvais rêves de Kei. Tu vois, mon grand, doudou va veiller sur tes rêves comme papa et maman veillent sur toi. Donc tu ne dois plus avoir peur., lui dit-il en lui rendant sa peluche.  

 

Le petit garçon lui fit un sourire rassuré et prit son doudou contre lui. Ryo le borda de nouveau et le laissa. Il se glissa de nouveau dans son lit contre Kaori.  

 

- C’était quoi cette fois-ci ?, lui demanda-t-elle d’une voix ensommeillée.  

- Cauchemar. Dors., murmura-t-il, se serrant contre elle.  

 

Ils retrouvèrent les bras de Morphée.  

 

A quatre heures du matin, Kei se fit de nouveau entendre. Cette fois, il chantait de bon coeur.  

 

- Tu m’en voudras si je le bâillonne?, plaisanta Ryo.  

- Ne laisse pas de traces alors., marmonna-t-elle.  

- Je suis un pro. Ca devrait aller.  

 

Ils se regardèrent épuisés et se sourirent. Pour la troisième fois cette nuit-là, Ryo se leva et rejoignit son fils. Kei chantait une chanson de son invention et éclatait de rire à tout va. Quand il ouvrit la lumière, le petit garçon se tourna surpris vers lui et lui fit un grand sourire. Ryo prit sur lui pour ne pas se laisser contaminer et afficher un regard sévère.  

 

- Kei, ce n’est pas l’heure de chanter.  

- Veux plus faire dodo, moi. Pas fatigué., répondit-il joyeusement.  

- Si, Kei, c’est l’heure de dormir. Regarde dehors, il fait encore tout noir., lui montra Ryo en tirant le rideau.  

- Soleil est pas levé ?, demanda le petit garçon.  

- Non, le soleil dort encore., rétorqua Ryo.  

 

Intérieurement, il grimaça. Il n’aimait pas mentir mais comment faire comprendre à un enfant de deux ans et demi le cycle terrien…  

 

- Toi aussi, tu dois encore faire dodo. Moi aussi je voudrais retourner dormir.  

- Maman fait dodo ?, l’interrogea-t-il.  

- Oui, maman fait dodo. Ecoute Kei, tu pourras trouver toutes les excuses que tu veux, maman ne viendra pas ni cette nuit ni les suivantes. La nuit est faite pour dormir, pas pour passer du temps avec maman ou papa.  

 

Il lui donna quelques secondes pour ingurgiter ses paroles puis s’assit à côté de lui.  

 

- Je ne veux plus que tu nous appelles pour rien. Les caprices ne passeront pas. On est prêts à te donner du temps mais ce n’est pas toi qui va donner les ordres dans cette maison. Donc si tu rappelles encore une fois cette nuit, je ne viendrai que si c’est utile et papa sait quand c’est utile., lui apprit-il.  

- Donc maintenant tu vas t’allonger et je ne veux plus t’entendre sinon je me fâche., lui dit-il sévèrement.  

- Papa…, intervint Kei, la voix tremblotante.  

- Non, il n’y a pas de papa qui tienne, Kei. Maintenant, tu dors.  

 

Il regarda son fils hésiter un instant puis se coucher. Acquiesçant son approbation, il sortit de la chambre et referma la porte.  

 

- Alors j’ai passé mon examen ?, demanda-t-il, se tournant vers Kaori.  

 

Elle était descendue à la cuisine pour boire un verre d’eau et, piquée par la curiosité, s’était arrêtée pour voir comment il gérait. Elle avait été épatée par son calme. Il s’était montré ferme sans être dur. Il avait une faculté d’adaptation qui la sidérait.  

 

- Haut la main… Tu es doué., admit-elle.  

- Tu trouves ? Je me trouve parfois maladroit avec lui.  

- Ca ne se voit pas. Tu ne l’infantilises pas. Tu lui parles avec des mots à sa portée.  

- J’ai pris exemple sur toi., lui apprit-il.  

- Vraiment ?, répondit-elle, surprise.  

 

Il acquiesça. Il s’approcha d’elle et entoura sa taille.  

 

- Tu m’as appris à écouter mon instinct dans d’autres domaines que mon métier et mon coeur aussi. Je me suis rendu compte que ça ne me rendait pas plus faible… au contraire.  

- Tu es quelqu’un de bien, Ryo. Tu es beaucoup plus humain que certains hommes soi-disant honorables.  

- Tu vas me faire rougir., plaisanta-t-il, mal à l’aise.  

- Si on allait dormir, Sugar ?  

- Veux pas dormir moi., imita Kaori.  

 

Il lui lança un regard amusé, se sentant léger comme rarement ça lui arrivait.  

 

- Le soleil fait encore dodo, Kaori., fit-il d’un ton faussement sévère.  

- Oui mais les voisins du dessous font trop de bruit., répondit-elle.  

 

Le nettoyeur tendit l’oreille et sourit. En effet, il n’y avait aucun doute sur ce qui se passait dans la chambre d’amis à l’étage du dessous.  

 

- Ils ont des années à rattraper., répliqua-t-il, amusé.  

- Tu crois qu’on est aussi bruyants ?, se demanda-t-elle.  

- Pourquoi crois-tu que je t’embrasse au meilleur moment ?  

 

Il la vit rougir et se mit à rire. Malgré leur intimité retrouvée, elle avait toujours autant de pudeur et il trouvait cela adorable.  

 

- Tu sais, nous aussi nous avons des années à rattraper…, murmura-t-elle, baissant les yeux.  

 

Il rêvait : sa Kaori lui réclamait un corps-à-corps. Il la tourna vers lui et l’embrassa, la soulevant dans ses bras pour l’emmener dans leur chambre.  

 

- Vos désirs sont des ordres, Mademoiselle. Je te promets que tu seras aussi gênée demain matin qu’eux le lendemain matin où on les a surpris., murmura-t-il contre sa bouche.  

 

Kaori se demanda ce qu’il envisageait et se rappela du fard monumental que leurs amis avaient piqué ce matin-là. Lorsqu’ils s’étaient levés, Hide et Saeko petit-déjeunaient, assis l’un à côté de l’autre, presque l’un sur l’autre même… Saeko devait partir au travail peu après et était déjà prête, pimpante et sexy. Elle avait une lueur particulière dans le regard qu’ils ne lui avaient pas vue avant.  

 

- Alors les amoureux, vous avez retrouvé le chemin de la chambre après ?, les taquina Ryo.  

 

Hide regarda sa tasse de café alors que Saeko lui lança un regard noir.  

 

- Quoi ? Ce n’est pas moi qui faisait du sport sur le canapé., se défendit-il, le regard malicieux.  

- Je te conseille de garder ta langue dans ta poche ou tu ne feras plus de sport, Ryo., le prévint Saeko.  

- Ouh je tremble., mimiqua-t-il.  

- En tout cas, il n’y a pas tromperie sur la marchandise. Tout ce que tu as déjà essayé de me vendre vaut bien le détour…  

 

Saeko ne sut quoi répondre et se mit à rougir. Il ne voulait pas la gêner mais voir Saeko toujours si sure d’elle dans ses petits souliers le fit rire. Elle ramassa ses affaires, embrassa légèrement son amant et fila au travail.  

 

- T’étais obligé, Ryo ?, ronchonna son ami.  

- Elle s’en remettra. C’est le risque quand on s’envoie en l’air sur le canapé quand les proprios peuvent rentrer d’un moment à l’autre., le taquina-t-il.  

- A ce que je sache, tu ne t’es pas privé avec Kaori non plus., rétorqua Hide.  

- Non, c’est vrai. Dans l’intimité de notre chambre.  

- Ca n’empêche pas les cris d’être entendus d’ailleurs…, pipa Makimura.  

- Bon, ça suffit maintenant vous deux !, intervint Kaori, rouge pivoine.  

- Ryo, arrête de les embêter, Hide… fais ça dans ta chambre., leur ordonna-t-elle avant de partir prendre sa douche.  

 

Les deux hommes se regardèrent et éclatèrent de rire avant de finir de petit déjeuner.  

 

- Kaori…, entendit-elle.  

 

Revenant au moment présent, elle tourna le visage vers Ryo, penché sur elle. Elle fixa son regard et le sentit venir en elle, lui arrachant un long gémissement. Il lui fit l’amour tendrement, lentement, prenant le temps de savourer chaque moment, de laisser le désir monter en elle et ne chercha pas à étouffer leurs cris lorsqu’ils atteignirent le nirvana ensemble.  

 

- Ce n’est pas humain de faire autant de fois l’amour dans une nuit et d’en avoir encore envie…, murmura Kaori après quelques minutes de répit.  

- Tu deviens insatiable ?, la taquina Ryo.  

- Je ne sais pas mais ce que tu me fais, c’est… je n’arrive pas à trouver les mots. C’est beau, intense… Je me sens tellement bien avec toi., répondit-elle.  

- Tu m’ôtes les mots de la bouche. Espérons que ça dure toute notre vie.  

- Oui. C’est ce que j’espère pour nous.  

 

Ils se serrèrent l’un contre l’autre et s’endormirent, apaisés.  

 

Au petit matin, un poids sur le lit les tira du sommeil. Kei avait escaladé le matelas et se jeta sur le couple enlacé.  

 

- Soleil fait plus dodo !, dit fièrement Kei.  

 

Ryo jeta péniblement un œil sur le réveil et réprima un grognement. Sept heures du matin, pourquoi tant de haine…  

 

- Ai faim, moi !, clama-t-il, se tapant le ventre.  

 

Kaori se dégagea doucement des bras de son compagnon, cherchant sa nuisette. Ne la trouvant pas, elle enfila le tee-shirt de Ryo, beaucoup trop grand en largeur pour elle mais qui couvrait à peine le haut de ses cuisses, puis se leva. Elle entendit un léger sifflement appréciateur et se retourna pour voir le regard chaud de son homme.  

 

- Moi aussi, j’ai faim., dit-il d’un ton chaud, la faisant rougir.  

 

Elle lui décocha un clin d’oeil et prit Kei par la main pour aller en cuisine. Elle prépara le petit-déjeuner, servit Kei et sirotait une tasse de café quand Ryo arriva. Après avoir ébouriffé affectueusement les cheveux de son fils, il enlaça sa compagne et lui infligea un long baiser langoureux auquel elle répondit avec plaisir.  

 

- Il y a des chambres pour cela., entendirent-ils soudain.  

 

Ils se retournèrent et firent face à Hide et Saeko, le sourire aux lèvres.  

 

- On ne faisait rien de mal., se défendit le nettoyeur.  

- Vraiment ? Donc si ta main est posée sur la fesse de ma sœur, en dessous du tissu…  

- C’est pour évaluer si je dois la mettre au régime., rétorqua Ryo.  

 

Il se prit un maillet sur la tête et Kaori partit prendre sa douche, mécontente.  

 

- Mauvais début de journée a priori., pipa Hideyuki.  

- Faut croire  

- Alors bonhomme, tu as encore fait des tiennes cette nuit., fit Makimura à son neveu.  

- Papa a dit à doudou de combattre les mauvais rêves., répondit Kei de sa petite voix enfantine.  

- Et doudou a bien combattu ?  

- Oui.  

 

Hide regarda son ami fièrement. Ryo prenait son rôle à coeur et ça le rassurait de savoir que sa sœur ne serait pas seule dans cette aventure.  

 

- C’est toi qui t’es levé ?  

- Oui. On avait besoin d’une petite conversation entre hommes., répondit Ryo.  

- On verra si ça porte ses fruits les nuits prochaines. Je t’expliquerai un jour., acheva-t-il en lui tapotant sur l’épaule.  

- Très drôle.  

- Je trouve aussi.  

 

Hideyuki se servit une tasse de café et en donna une à sa compagne qui s’était assise à côté de Kei. Saeko avait fini par trouver une place auprès de l’enfant et prenait plaisir à passer parfois du temps avec lui. Cela se ressentait sur elle, la rendait un peu plus abordable.  

 

Finalement, se dit Ryo en les regardant tous, le retour de Kaori et l’arrivée de Kei n’avaient pas affecté que lui. Leurs présences avaient embelli deux autres vies qui lui étaient chères.  

 


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