Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: messlat

Beta-reader(s): Chronos

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 30 chapitres

Publiée: 20-03-06

Mise à jour: 06-11-07

 

Commentaires: 335 reviews

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ActionAction

 

Résumé: Fiction alternative. Ryo ne connais pas la famille MAKIMURA et n'a donc jamais fait la promesse de veiller sur Kaori. Sauront-ils s'apprivoiser ? A vous de le découvrir !

 

Disclaimer: Les personnages de "Mon voisin le tueur" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Mon voisin le tueur

 

Chapitre 18 :: Comme une ombre dans le nuit…

Publiée: 04-07-06 - Mise à jour: 04-07-06

Commentaires: Bonjour à vous fans de Hojo. Comme promis cette fois, je ne suis pas en retard ! Mais je vous avouerais qu’avec ses chaleurs, j’ai du mal à écrire …Toujours est-il que je vous livre mon chapitre de la semaine en espérant qu’il vous plaira autant que le reste. Merci à ma gardienne du temps Chronos, qui veille toujours aussi bien à la cohérence de cette histoire et à tous les lecteurs ! Merci pour vos reviews qui me vont droit au cœur. Sans plus attendre, je laisse place à la lecture, et à la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !! PS : Le titre vous dits quelque chose : Comme une ombre dans la nuit c’est un assassin qui s’enfuit !

 


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Un mois s’était écoulé depuis sa visite à l’entrepôt. Son épaule avait guéri mais ses nuits étaient désormais peuplées de cauchemars. Elle s’était même réveillée une fois en sursaut au milieu de la nuit, le cœur battant la chamade, avec le sentiment d’être épiée. Cet incident avait mis ses nerfs à rude épreuve et elle était maintenant à l’affût du moindre bruit suspect.  

 

Kaori était allée voir Mick plusieurs fois à l’hôpital. Elle avait fait ainsi la connaissance du Professeur et de Kazue, son assistante, qui avaient fait de leur mieux pour soigner le blessé. La rééducation de sa main allait malheureusement prendre du temps. Kazue avait en effet expliqué à Kaori que le Professeur avait dû mettre une plaque métallique, tenue par plusieurs vis à l’intérieur de la main, pour souder les os qui avaient été complètement broyés par la balle. Après plusieurs visites, Kaori s’était vite rendue compte que Kazue avait un petit faible pour Mick, ce qui avait provoqué une légère tension entre les deux femmes. Ne tenant pas à ce que Kazue se fasse des idées erronées sur la nature de la relation qu’elle entretenait avec Mick, Kaori lui avait précisé qu’ils n’étaient que de simples amis. Une fois cette clarification faite, les relations entre les deux jeunes femmes étaient devenues plus chaleureuses.  

 

Kaori avait demandé à Mick ce qu’il faisait là-bas, ce soir-là, mais il avait habilement dévié la conversation sur d’autres sujets. Kaori n’était pas dupe, elle savait qu’il lui cachait quelque chose. Elle était revenue plusieurs fois à la charge et avait finalement réussi à lui faire avouer qu’il y était pour surveiller l’arrivée de quelqu’un (ce qui en soit n’était pas faux). Elle en avait déduit que lui aussi était détective et que par conséquent, il était un concurrent. Sa réponse la soulagea : il ne faisait finalement pas partie des trafiquants que la police surveillait.  

 

Saeko avait pris des nouvelles de Kaori et l’avait tenue informée de l’évolution de l’enquête. Grâce aux informations qu’elle lui avait fourni, une grande partie des malfrats avaient pu être arrêtés. Malheureusement, le chef de la bande, TADASHI, avait réussi à prendre la fuite, en emportant avec lui une grosse quantité de drogue.  

 

Après une semaine de repos total, Kaori avait pris la décision de reprendre son enquête sur Myabi et entreprit d’écumer tous les bars du quartier. Chaque fois qu’elle rentrait ou sortait de chez elle, elle scrutait les escaliers pour voir si elle n’allait pas tomber sur son voisin. Ce dernier semblait l’éviter soigneusement, ce qui en soi aurait dû la satisfaire, mais elle commençait à se demander si c’était vraiment ce qu’elle souhaitait. Leurs joutes verbales lui manquaient, jamais elle ne s’était sentie aussi vivante que depuis qu’elle l’avait rencontré. Dès que ses pensées dérivaient vers son voisin, elle ne pouvait empêcher son cœur de s’emballer. Cela n’augurait rien de bon pour elle. Elle se jeta donc à corps perdu dans le travail pour essayer de ne plus penser à lui...  

 

Dans tous les bars qu’elle visita, elle recevait toujours le même accueil : soit on l’envoyait promener, soit personne ne connaissait ce TEZUKA. Elle passait des heures à sa recherche, à écumer toutes les boites et bars de Tokyo, sans parvenir au moindre indice pouvant la mener à lui. A bout de ressources, elle décida de chercher du côté des quartiers les plus malfamés de la ville...  

 

 

***  

 

Ryo ne décollerait plus depuis un mois. Il n’arrivait pas à remettre la main sur sa cible. Il avait fait le tour de ses indics mais personne ne l’avait vue. TADASHI se terrait comme un lapin ! Personne ne savait où le trouver et lui avait un contrat à remplir. Il apprit néanmoins, par une des crapules qui travaillait habituellement pour lui, que TADASHI était habituellement accompagné par une jeune femme, une certaine Lola, lors de ses sorties mondaines. Personne ne connaissait cette femme, elle n’était pas de Tokyo. Il avait cependant réussi à savoir qu’une petite frappe, du nom de TEZUKA, la connaissait. Il s’était donc mis à la recherche de cet homme pour lui faire cracher le morceau. Cependant, dans tous les bars qu’il visitait pour le retrouver, on lui annonçait qu’il n’était pas le seul à être à sa recherche. Une jeune femme s’intéressait également à lui. Cela eut le don de l’énerver un peu plus car à cause d’elle, TEZUKA se planquait aussi.  

 

Il passait également à l’hôpital pour prendre des nouvelles de Mick et apprit que sa voisine en faisait de même. Depuis cette fameuse nuit, il n’avait toujours pas décidé ce qu’il allait faire d’elle. Mick avait réussi à lui faire croire qu’il était détective privé, ce qui l’avait rendue moins soupçonneuse à son égard. Elle ne savait pas qu’il se trouvait sur les lieux également et c’était mieux ainsi.  

 

Cette nuit-là, alors qu’il venait de se coucher une nouvelle fois frustré de son manque de résultats, il entendit un cri étouffé par les murs. Son sang ne fit qu’un tour. Le temps d’enfiler un caleçon, il prit son flingue et se rua devant le pallier de sa voisine. Il trouva logiquement la porte close. Perplexe, il resta là un instant, immobile, à se demander s’il n’avait pas rêvé. Les années d’entraînement passées dans la jungle avaient développé son ouïe, et ce cri, même étouffé par les murs, était parvenu jusqu’à lui comme un appel. Il fallait qu’il en ait le cœur net. Il remonta chez lui et décida de passer par les escaliers de secours.  

 

Comme une ombre dans la nuit, il glissa le long des marches sans faire un bruit et s’arrêta devant la fenêtre de sa voisine, demeurée entre-ouverte.  

 

- Juste un coup d’œil pour vérifier que tout va bien... - tenta-t-il de se convaincre.  

 

Il entendait maintenant distinctement des gémissements provenant de la chambre de sa voisine. Les battements de son cœur s’accélérèrent. Mû par une force à laquelle il ne put résister, il s’approcha de la fenêtre. Il la découvrit, allongée au milieu de son lit, entre les draps froissés. Un mince rayon de lune éclairait son corps en sueur. Le visage fermé, il s’assit sur le rebord de la fenêtre et la contempla pendant de longues minutes...  

 

Elle ne portait qu’un tee-shirt qui dévoilait ses longues jambes fuselées. Elle devait être en train de faire un cauchemar car elle n’arrêtait pas de remuer et de gémir. Chaque fois qu’elle bougeait, le tissu remontait un peu plus, jusqu’à découvrir une fine culotte en dentelle.  

 

Ce fut à ce moment précis, alors qu’il l’observait silencieusement depuis la fenêtre, que Ryo réalisa qu’il la désirait. Un désir si violent qu’il devait serrer les dents pour ne pas se jeter sur elle. Tout le cirque qu’il avait fait, le soir où elle était sortie avec Mick, n’avait pas été destiné à protéger son ami, mais plutôt à empêcher Mick de poser ses mains sur elle. Ce constat le terrifia. Jamais de sa vie il n’avait désiré une femme au point d’empêcher un autre homme de l’approcher. Troublé, il recula doucement, replongeant dans l’obscurité, puis il remonta dans son appartement, aussi discrètement qu’il était descendu.  

 

Les nuits suivantes, il fut hanté par le souvenir d’interminables jambes, le rendant à moitié fou de désir et pantelant. Il faisait tout pour la chasser de son esprit mais elle revenait inlassablement s’y insinuer malgré lui. Comment pouvait-elle lui inspirer un désir aussi ardent ? Rien que pour cela, il lui en voulait ! La frustration, mêlée à l’impossibilité de retrouver TADASHI, ne faisait qu’accroître son humeur sombre.  

 

***  

 

 

Après quelques jours de tergiversation, Kaori prit son courage à deux mains et décida d’explorer les quartiers louches de Shinjuku. Après tout, quel meilleur endroit pour se cacher ? Quand elle se retrouva dans les rues malfamées du quartier, Kaori eut l’impression de débarquer sur une autre planète. Partout ce n’était qu’immondices. Elle n’aurait même pas été surprise d’apercevoir quelques rongeurs courir le long des trottoirs.  

 

Elle attaqua avec un premier bar du nom de l’Atham. Une forte odeur de tord-boyaux l’assaillit à l’entrée. Le boui-boui était sombre et exigu et, à cette heure de la nuit, il était bondé. Il avait peut-être connu des heures plus glorieuses mais elle en doutait fortement. Alors qu’elle se frayait un chemin jusqu’au comptoir, elle attira quelques regards lourds et insistants, mais bien vite les clients se replongèrent dans leurs verres. Comme dans la plupart des bars de cette rue, le barman était plutôt du genre grosse brute. Vu les énergumènes qui traînaient dans le quartier, cela n’avait rien d’étonnant. Elle allait devoir jouer serré. Mais une fois de plus, elle fit chou blanc. Elle tourna les talons et alla tenter sa chance un peu plus loin.  

 

Devant une boite de striptease intégral à l’enseigne tapageuse du nom de « Jardin d’Eden », un groupe d’hommes à la mine peu engageante discutait avec animation. Quand elle passa à leur hauteur, les conversations s’interrompirent. Ricanant entre eux, ils la reluquèrent comme si elle n’était qu’un vulgaire morceau de viande posé sur un étal. De l’autre côté de la rue, une prostituée, adossée contre un mur couvert de graffitis obscènes, faisait du rentre-dedans à un client potentiel.  

 

- Eh toi ! - fit une voix éraillée derrière elle.  

 

Kaori sursauta. Elle se retourna lentement et se trouva nez à nez avec un homme aux traits ingrats et à la carrure de lutteur, qui arborait sur la joue un tatouage représentant une tête de mort grimaçante. Il était vêtu d’une veste noire, ouverte sur son torse velu, et d’un pantalon assorti très moulant, qui soulignait d’une manière obscène ses formes. L’homme lui sourit de toutes ses dents.  

 

- Alors ma belle, on cherche un job ? Plutôt maigrichonne à mon goût, mais il y a de l’embauche - dit-il, tout en désignant de la tête l’entrée du club. Il lui souleva le menton avec des doigts épais comme des saucisses. - Je suis le videur de cette boite, je pourrais glisser un mot en ta faveur, chérie...  

 

Kaori dégagea son menton d’un mouvement brusque.  

 

- Merci pour la proposition mais j’ai déjà un boulot - répondit-elle. - Je suis détective privé.  

 

Le colosse siffla entre ses dents.  

 

- Tu m’as eu, chérie. D’habitude, j’ai le flair, mais toi, tu sens pas le flic.  

- Peut-être parce que je n’en suis pas un. Je travaille pour une agence qui retrouve des personnes disparues. Et vous êtes ?  

 

Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres du videur.  

 

- Mes potes m’appellent Crack. C’est le bruit que fait un crâne quand je l’écrase - expliqua–t-il, tout en pressant ses mains énormes l’une contre l’autre.  

 

Kaori déglutit difficilement. Elle se demanda ce que serait l’état de sa tête si un jour elle devait se trouver entre les mains de cet homme. Se souvenant de sa mission, elle prit son courage à deux mains et se jeta à l’eau.  

 

- Est-ce que vous connaissez cet homme ? - lui demanda-t-elle, tout en lui tendant une photo - Il s’appelle TEZUKA Toru.  

- Moi ? - s’exclama-t-il, en pointant sur son torse velu un ongle taillé en pointe acérée. - J’suis pas une balance, moi ! J’ai ma dignité !  

- Je n’en doute pas. - Elle sortit de sa poche quelques billets. - Mais j’imagine qu’elle a un prix, non ?  

- Ça me parait honnête - répondit Crack, tout en refermant ses doigts sur les billets qu’il se hâta d’empocher - C’est un pauv’type qui passe ici régulièrement. La plupart du temps, il dégote des filles pour faire le tapin pour lui. Ça lui arrive aussi de trouver des morceaux de choix.  

- Est-ce que vous avez déjà vu cette fille ? - Kaori lui tendit la photo de Myabi. Le cœur battant, elle attendit qu’il finisse d’examiner le cliché.  

- Je me souviens plus très bien...  

 

Kaori ressortit quelques billets et les lui tendit. Elle nota mentalement de les rajouter à sa note de frais.  

 

- La mémoire vous revient ?  

- Maintenant que vous me le dites, ça se pourrait ! Ça remonte à longtemps. Elle fait pas le tapin ici avec les autres, sinon je l’aurais remarquée. Par contre, TEZUKA fournit des filles à une agence d’escort girls. Elles sont triées sur le volet, elle pourrait en faire partie.  

- Vous ne connaîtriez pas le nom de cette agence, par hasard ?  

- « Five Moons » je crois. Mais pour y entrer, il faut passer par une vielle peau qui fait la sélection des filles. Elle ne garde que celles qui ont un physique canon et qui n’ont pas un pois chiche à la place du cerveau. - Devant la mine sceptique de Kaori, il rajouta - Histoire de pouvoir soutenir une conversation dans le beau monde. T’aurais tes chances si tu voulais arrondir discrètement tes fins de mois...  

- Merci pour le tuyau. J’y penserais si je n’arrive pas un jour à payer mon loyer.  

 

Elle scruta l’entrée de la boite tout en se demandant combien de chances elle avait de ressortir de là vivante.  

 

- Il y a beaucoup de gens qui aiment jouer au couteau dans ce club ?  

 

Crack roula des yeux amusés.  

 

- C’est pas ce qui manque par ici ! Demande-moi plutôt qui n’a jamais mis les pieds en taule, ça ira plus vite ! Bon, j’en ai assez dit pour ton fric...  

- Très bien - répondit-elle en glissant la main dans sa poche. A la déception de Crack, elle en sortit une carte de visite qu’elle lui tendit – Au cas où vous entendriez un renseignement intéressant, moyennant une petite récompense bien sûr...  

 

Elle avait finalement une piste ! Elle avança d’un pas incertain jusqu’à l’entrée de la boite et pénétra à l’intérieur. Dès qu’elle poussa la porte, ses tympans furent agressés par un tintamarre assourdissant qui se voulait de la musique. Se frayant difficilement un passage parmi la foule, elle parvint à dénicher une table libre à proximité de la scène.  

 

Ryo était assis au fond de la salle afin de pouvoir observer à la fois l’entrée du club et le spectacle sur scène. Cela faisait deux heures qu’il patientait là pour voir TEZUKA, mais ce dernier ne s’était toujours pas décidé à pointer le bout de son nez. Quand on demanda un volontaire pour le spectacle suivant, Ryo soupira, dépité. C’était bien sa veine. Pour une fois qu’il y avait du beau spectacle, il ne pouvait pas y participer. Il ne pouvait quand même pas prendre le risque de se faire repérer par TEZUKA avant de lui avoir mis la main dessus. La mort dans l’âme, il resta assis sur sa chaise.  

 

Deux femmes montèrent en piste et furent attachées entre elles par des lanières en cuir. Une foule compacte se pressa devant la scène. Un homme fut choisi dans le public et invité à déshabiller les deux femmes. Sous leurs légères robes, elles ne portaient que des étoiles étincelantes sur la pointe des seins et le pubis. L’heureux élu entreprit ensuite de les enduire de boue sous les encouragements du public. Les deux jeunes femmes se tortillaient en criant grâce.  

 

La bave aux lèvres, Ryo ne perdait pas une goutte du spectacle. Il ressentit soudain un léger picotement lui courir le long de la nuque. Instinctivement, il se recomposa un visage sérieux et se cala contre le dossier de sa chaise, à l’abri des regards. Il fixa la porte d’entrée et vit alors apparaître sa voisine. Que faisait-elle là ? Ce n’était un endroit convenable pour elle ! Il la vit se frayer un passage à travers la foule et s’asseoir près de la scène. Quand il la vit interpeller une des serveuses et lui tendre une photo, il fit le rapprochement avec la jeune femme dont ses indics lui avaient parlé qui recherchait également TEZUKA.  

 

- C’est pas vrai... - grommela-t-il.  

 

L’une des serveuses confirma à Kaori que TEZUKA venait régulièrement dans ce club. Elle décida donc de l’attendre. Un seul regard sur la scène lui suffit pour être convaincue qu’elle aurait préféré passer la soirée dans un bouge glauque aux relents âcres d’alcool et de sueur plutôt que dans cette boite de striptease. Dépravation fut le premier mot qui lui vint à l’esprit. Rouge de confusion, elle détourna les yeux de la scène et choisit de regarder vers le fond de la salle. Son regard fut attiré par une silhouette, dissimulée dans la pénombre. Elle avait beau ajuster sa vue, elle n’arrivait pas à distinguer les traits de son visage. Elle finit par détourner les yeux vers la porte d’entrée du club et attendit que TEZUKA daigne se montrer...  

 

 

 


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