Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: paty

Beta-reader(s): TOKRA

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 33 chapitres

Publiée: 19-04-08

Mise à jour: 20-09-08

 

Commentaires: 271 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Ryô va avoir malencontreusement une cliente au caractère bien trempée; une vieille femme qui va semer la zizanie au sein de la petite bande et qui peut se montrer plus coriace que n'importe quel ennemi du grand City Hunter......Voici la version que ma bêta est en train de corriger et retravailler.....

 

Disclaimer: Les personnages de "une maman pour Ryô?!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Comment compter le nombre de mots dans mon chapitre?

 

On peut le faire dans Microsoft Word. Allez dans Outils > Statistiques Les statistiques de votre texte apparaissent.

 

 

   Fanfiction :: TOME 37: Une maman pour Ryô?!

 

Chapitre 5 :: une histoire de meurtre et ....de fesses!

Publiée: 23-04-08 - Mise à jour: 03-12-08

Commentaires: Et voici le 5ème chapitre! On continue dans l'humour et on en apprend un peu plus sur notre grand-mère. Régalez-vous bien! Merci pour vos reviews, ça fait plaisir de savoir que sa fic est appréciée!

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32


 

Appartement de CH :  

 

Une fois le départ de Mick confirmé par un léger coup d’œil par la fenêtre, Ryô s’écrasa sur le canapé.  

 

- Bon débarras !  

 

- Dommage ! Moi, je le trouvais très charmant ! Bien plus que ce mollusque avachi sur ce canapé ! lança presque innocemment la vieille femme !  

 

- Ohé ! La personne qui est la plus flasque de nous deux ici, ce n’est certainement pas moi ! Si vous suivez mon regard…  

 

Ryô lança un regard inquisiteur accompagné d’un sourire en coin vers Mariko !  

 

- C’est moi que tu traites de flasque ! Tu veux que je te montre les biceps qu’il me reste !  

 

La grand-mère se leva prête à bondir sur Ryô quand Kazue se mit à crier :  

 

- Vous voulez peut-être d’un arbitre pour votre combat de cochons !???  

 

Les deux spécimens la regardèrent incrédules . Eux ? en train de combattre ?  

 

-C’est moi qu’elle traite de cochon ? demanda-t-elle à Ryô pas sûre d’avoir bien compris.  

- Non, non, calmez vous ! fit Ryô qui voyait déjà son salon en champ de bataille. Dites-nous plutôt pourquoi vous avez fait appel à nous ?  

 

- Ah oui c’est vrai ça ? réalisa Kazue. Elle est là pour quoi cette femme ? demanda-t-elle à Ryô. Tu ne m’as pas dit pourquoi elle est ta cliente ?  

 

- C’est parce qu’il l’ignore ! dit alors la femme d’un air sombre.  

 

- Tu ne connais pas ta mission !!! Alors pourquoi tu m’as dit que tu avais besoin de moi ?!!!  

 

- Mais ça part de l’évidence, ma douce, fit-il plus ou mois gêné par la remarque pertinente de Kazue. Tu es ma partenaire !  

 

Kazue rougit devant sa question idiote, tout en regardant la vieille femme qui semblait ne pas comprendre ce qui lui prenait. Il ne fallait pas qu’elle se doute de quelque chose. Elle décida de se faire toute petite et écouta Mariko.  

 

- Très bien je vous explique... Par où commençer ?!!!  

 

Elle se gratta la tête pour retrouver toute son histoire en détail dans sa mémoire. Le nettoyeur la dévisagea en attendant la suite mais ne voyant rien venir, lui lança :  

 

- Ne me dites pas que vous souffrez d'Alzheimer ???  

 

La vieille femme lui fit une grimace montrant son agacement devant sa remarque. Son sourcil frétillait par sa frustration et lui cria :  

 

- Non, monsieur, j’ai une parfaite mémoire ! Les personnes âgées ne souffrent pas toutes de cette maladie !!  

 

- AH ah !fit Ryô avec l’index levé. Vous reconnaissez enfin être une vieille grand-mère !!!  

Cela en était trop pour Mariko, sa colère était à son comble ! Elle attrapa Ryô par la main qu’il lui montrait sous son nez, se glissa derrière lui, fit tomber son pantalon et lui colla une série de fessées à son postérieur, tout en lui disant :  

 

- Tu vas voir ce que peut faire une grand-mère flasque, gamin ! Ça me démange depuis la première seconde où je t’ai vu ! Ta mère ne t’en a pas collé assez ! Je vais vite rectifier le tir !  

 

Ryô resta tétanisé par la subite attaque de la femme et encore plus par ses propos ! Il sentit une douleur nouvelle, jamais connue auparavant sur ses fesses ! En tout cas, pas dans cette circonstance ! La fessée !! Celle tant redoutée par les enfants ! Il n’avait jamais eu aussi peur de sa vie et le seul mot qu’il pu sortir de sa bouche et qu’il n’aurait jamais pu penser prononcer, fut :  

 

- MAMAN !!!!!  

 

Deux corbeaux passèrent derrière la tête de Kazue, qui ne savait que penser devant ce spectacle ! devait-elle être gênée, mortifiée, hilare ou blasée? Elle n’en croyait pas ses yeux. Le seul regret qu’elle avait, c’est que ses amis ne puissent assister à cette scène !Ryô se détacha de l’emprise violente de Mariko pour se précipiter derrière Kazue.  

 

- Elle est FOLLE, CINGLEE, SECOUEE DU BOCAL ! Protèges-moi Kazue!, fit-il en implorant l’infirmière !  

 

Puis plus sérieusement, il lui demanda tout en montrant ses fesses :  

 

- Tu peux me passer de la pommade là ? Ça fait mal ma Kazue d’amour !  

 

Ryô se ramassa une droite de la part de l’infirmière qui lui déclara :  

 

- Tu ne récoltes que ce que tu as semé, imbécile !  

 

Kazue et Mariko retournèrent s’asseoir, ignorant notre pauvre martyrisé.  

 

- Alors vous disiez donc ?  

 

- Oui ! Voilà !….  

 

La femme prit alors une pause et, le regard sombre et plein de tristesse elle dit :  

 

- Mon fils, Reizo, est décédé il y a à peine deux mois….  

 

Kazue lui présenta ses sincères condoléances sachant qu’il n’y avait rien de pire pour une mère que de voir partir avant elle son enfant. Quand à Ryô, qui avait repris place sur le canapé, fut surpris par le changement soudain d’attitude de la femme. Elle, qui était si pimpante et si caractérielle depuis qu’il la connaissait…. Il ne soupçonnait en rien son malaise et sa tristesse. Elle continua :  

 

- En fait il a été retrouvé dans un container à poubelle dans Kabukicho, poignardé à la poitrine. La police soupçonne un règlement de comptes entre un voleur et mon fils qui aurait mal tourné. On l’avait détroussé….  

 

La vieille dame soupira alors…  

 

- Mais moi, je connais mon fils ! Il ne se serait pas fait avoir par ce genre d’individu !  

 

- Pourquoi ?, lança Ryô qui écoutait avec un regard sombre mais attentionné.  

 

- Mon fils était militaire. Il y a trois mois de ça, il m’avait dit que les services spéciaux lui avaient confié une mission délicate ! Je suis certaine que c’est à cause de cette mission qu’il est mort…..mais je n’ai rien pour le prouver.  

 

- Je vois…,dit Ryô songeur. Et quel est le rapport avec vous ?  

 

- Je ne sais pas trop…quelques temps après sa mort, j’ai commencé à être suivie, puis à recevoir des menaces indirectes, comme des lettres anonymes et une fouille de ma maison…. jusqu’à hier avec ses deux voyous. Ils m’ont dit que c’était leur patron qui les avait envoyé et qu’il savait que c’était moi qui détenait les preuves !  

 

- Preuves de quoi ? demanda Kazue.  

 

- Et bien si je le savais je vous le dirai, mais je l’ignore !  

 

- Il semblerait que votre fils ai mis le doigt sur une fourmilière ! déclara Ryô en se levant.  

 

- Vous voulez bien m’aider monsieur Saeba?, dit la vieille femme les larmes aux bords des yeux.  

 

Ryô regarda la grand-mère avec tendresse. Malgré toutes les poisses qu’elle lui avait fait subir depuis la veille, il l’aimait bien. Mais il ne pouvait accepter ce travail aussi facilement sinon elle ne le raterait pas.  

 

- Faut voir, l’ancêtre ! J’ai dit que j’avais mes conditions !  

 

La dame reprit ses esprits et d’un regard dur lui asséna :  

 

- Si tu crois que je vais te payer en nature, étalon de pacotille, tu peux te mettre le doigt dans l’œil ! J’ai ma fierté !  

 

Ryô, à ses mots, s’attrapa le cou de ses deux mains et se tira la langue en criant un grand "BEURK !! ".  

 

- Je vous ai déjà dit que je ne m’attaquais pas aux personnes pourries de la racine !!! Moi aussi j’ai ma fierté et surtout ma dignité ! Mon Dieu, quelle horreur ! Rien que d’y penser, j’en ai des nausées ! Il faudrait un karcher pour décoller toute la suie de votre…..  

Ryô eut à peine le temps de finir sa phrase que Mariko attrapa sa banane rose fluo et tenta d’étrangler le nettoyeur avec .  

 

- Vas-y, continue !Espèce de dégénéré profond ! Je t’écoute ! Tu disais ?  

 

- Je ne peux…aarrggl…pas, vous….arrgglll m’étranglez !  

 

- Non ! Sans blague ! Que c’est dommage !…..Mais je croyais que c’était comme ça que l’on tuait LES LAPINS FORNIQUEURS ?????????????  

 

La grand-mère lâcha prise et demanda à Kazue les toilettes.  

 

- Ah oui, c’est vrai ! dit alors Ryô en se relevant difficilement et en retrouvant sa salive. Les vieux ont la vessie fragile !!  

 

Mariko lui lança un regard foudroyant tandis que Kazue lui colla une tape sur tête.  

 

- Arrêtes tes idioties ! Laisses un peu cette femme ! Tu ne vois pas qu’elle n’a pas le moral !  

 

- Et moi alors ! J’ai troqué une massue contre un lasso rose fluo !!  

 

- Bon je vais préparer à manger ! dit alors Kazue bien décidée.  

 

- Il serait tant que tu te mettes à la tache partenaire ! je ne t’ai pas engagé pour rêvasser ! De toute façon, vu que j’ ai pas la côte ici, je préfère aller faire un tour !  

 

Kazue serra les poings face à l’attaque verbale de Ryô mais se retint de lui en coller une.  

- Tu ne vas pas me laisser seule avec elle !  

 

- C’est l’endroit le plus sûr du monde !  

 

 

Et il quitta la pièce en faisant un signe de la main.  

 

 

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Au Cat’s Eyes :  

 

- Mais qu’est-ce qu’il fout ?,rouspéta Miki ! On va fermer et il n’est toujours pas passé !  

 

- Restes zen ! Tu l’appelleras au pire….  

 

- Bonjour mercenaire adorée !!! Je savais que tu m’attendais donc me voilààààà !  

 

Ryô ouvrit avec fracas la porte du café et se jeta une nouvelle fois sur Miki. Mais Falcon s’interposa entre eux, ce qui eu pour effet de trouver notre nettoyeur aplati comme une crêpe contre le torse d’Umibozu !  

 

- Tu m’agaces avec tes sauts périlleux, la danseuse étoile ! L’opéra est à l’autre bout de la ville !  

 

Ryô se réajusta la tête après ce terrible impact et lui répondit :  

 

- Ouh ! Toi tu n’as pas eu ta dose quotidienne de câlins ! Remarques, avec un pachyderme de mari comme toi, je comprends pourquoi Miki joue les nonnes !  

 

- RRRhhh !hors de ma vue ! Sniper en plastoque ! Tu vas voir comment il va t’écraser la punaise qu’il a sous les yeux, le pachyderme !  

 

Umibozu gonfla alors les muscles de son torse, faisant craquer au passage ses vêtements !  

 

- Houla ! Musclor pète une durite ! Miki ! Fais quelque chose !  

 

- Si tu y tiens ! Je suis certaine que ce que je vais te dire va te faire très plaisir !  

 

Ryô la dévisagea perplexe. Miki prit une grande inspiration et enchaîna :  

 

- Kaori rentre demain matin !  

 

Miki annonça la nouvelle avec toute la délicatesse que pouvait avoir une femme, tout en sachant la bombe à retardement qu’elle venait de lui envoyer en pleine figure. Ryô cligna des yeux, puis son visage passa du blanc au vert, puis au jaune. Umibozu explosait de joie intérieurement car, s’il y avait bien une chose que Ryô craignait, c’était bien sa partenaire !  

 

- Pas possible ! Je n’y pensais plus !  

 

Ryô commença à faire les quatre cents pas dans le café, à la recherche d’une solution à la future tornade qu’il allait devoir essuyer de la part de Kaori. Comment lui expliquer ces derniers jours ?  

 

- Tu te sens mal ? interrogea Miki. Tu veux boire un coup ?  

 

Ryô était dans ses pensées, ne prêtant guère de l’attention aux questions mesquines de Miki.  

 

- Mais comment je vais faire ? dit-il inquiet et se tirant les cheveux du crâne avec ses deux mains, comme pour en sortir quelque chose. Elle va me tuer !  

 

- Je pense même qu’elle va faire durer le plaisir en te torturant lentement….très lentement…. Elle va te charcuter ton joli petit mokkori jusqu’à ce que tu la supplies de t’épargner ce calvaire et que tu lui demandes d’abréger tes souffrances !  

 

Ryô regarda son ami du plaisir ; il s’imaginait déjà ses pires angoisses arriver ! Miki prenait un malin plaisir à enfoncer le couteau dans la plaie ! Et plus Ryô faisait une gueule de déterré, plus elle continuait :  

 

- Surtout après ce que tu viens d’oser lui faire ! Tss tsst tsss ! Tu es foutu mon gars !  

 

Ryô stoppa net après avoir assimiler les attaques acerbes de l’ex-mercenaire.  

 

- Comment ? Tu es au courant de quelque chose ?  

 

- Mick est passé tout à l’heure, déclara Falcon pour entrer un peu dans leur discussion.  

 

- Je vois, je vois ! Il est venu se plaindre !  

 

Une lueur de satisfaction apparut dans ses yeux.  

 

- J’ai gagné le combat, dit-il alors fièrement en bombant le torse et tapant dessus comme un gorille et en criant des oh oh oh !!! Moi avoir remporté Kazue !! oh !oh !oh !  

 

Les tenanciers du café laissèrent passer une libellule au dessus de leur tête, le visage dépité.  

 

- Il est irrécupérable, s’indigna alors Miki.  

 

- Mais si tu sais tout, c’est parfait ! Tu vas aller la chercher demain et tu vas pouvoir tout lui raconter, vu que tu es sa meilleure amie ! Comme ça tu la calmeras et moi je la reverrai avec la pression de sa colère redescendue ! Dis-lui bien de ne pas venir dans l’appart ! j’ai déjà une partenaire. Si elle débarquait, je ne pourrais expliquer à ma cliente sa présence ! Sur ce, bon vent !!  

 

Ryô prit ses clics et ses clacs et déguerpit sans même attendre une réponse de la jeune femme. Et dans un gloussement de colère elle marmonna :  

 

-Il exagère ! Vraiment, il exagère. J’ai hâte de savoir ce que mijote Mick !  

 

 

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Ryô était rentré à l’appart après sa visite au Cat’s et proposa à la vieille dame de récupérer ses affaires afin qu’elle passe la nuit en sécurité chez eux . Puis notre nouveau partenariat et leur cliente soupèrent. Suite à un copieux repas, Ryô s’était affalé sur le sofa pour regarder la télé tandis que les femmes essuyaient la vaisselle dans la cuisine.  

 

- Où est-ce que je range les verres ?  

 

Kazue se raidit tout à coup devant une question si anodine.  

 

- Euh ? ..Près des tasses et des bols.. !? lui répondit-elle en essayant d’être la plus évasive possible, ne sachant quoi lui répondre.  

 

- Ah oui !… Qui sont ?  

 

- Oh ! Ne soyez pas gênée !, lui lança Kazue encore plus gênée qu’elle devant son insistance. Faîtes comme chez vous ! Vous pouvez ouvrir tous les placards, je ne m’en fâcherait pas !  

 

La vieille femme lui obéit, insatisfaite par cette réponse et commença à chercher, pendant que Kazue poussa un gros soupir de soulagement devant ce petit problème technique. Elle ouvrit alors un placard au dessus de sa tête et avec surprise aperçut un mug portant le nom de Kaori dessus. Elle s’en saisit et demanda à Kazue qui était cette Kaori ! Kazue, qui était soulagée de s’être débarrassée du problème du rangement de la vaisselle, pâlit devant cette épineuse question. Elle regrettait déjà de lui avoir permis de fouiller. Et c’est tout aussi gênée qu’elle lui dit :  

 

- Qui ça ?  

 

- Kaori ? C’est bien ce qu’il y a d’écrit, non ?  

 

Kazue se ressaisit. Il ne fallait pas paniquer ! Elle prit un air tragique :  

 

- C’est difficile à dire ! Promettez-moi de ne rien dire à Ryô. Il me tuerait s’il savait que je vous en ai parlé !  

 

- Compris ! Motus et bouche cousue ! dit-elle impatiente, tout en refermant sa bouche avec sa main .  

 

- Et bien… il s’agit de son ancienne partenaire...., dit-elle d’un air toujours aussi grave. Malheureusement, elle l’a quitté il n’y a pas très longtemps et ce fut très dur pour Ryô.  

 

- Nooon ! répondit la dame qui gobait chacun des propos de la nouvelle nettoyeuse. Il… Il l’aimait ? s’hasarda-t-elle.  

 

Kazue secoua la tête affirmativement, toujours le visage tragique. Elle en rajouta même un peu plus dans son mensonge :  

 

- Elle l’a quittée pour un sale type ! Ryô fut très affecté surtout que leur relation dépassait le simple partenariat !  

 

Kazue n’osait pas croire l’énormité de ce qu’elle venait d’avouer. Mais elle se dit que quitte à mentir…..autant y aller franchement !  

 

La vieille femme resta abasourdie devant cette nouvelle.  

 

- Le pauvre !! Mais voilà pourquoi il se vante de papillonner de femmes en femmes ! En fait, il en souffre et se force à l’oublier en cherchant ailleurs ! Tout s’explique !  

 

Kazue fit des yeux ronds devant ce revirement de situation. Non seulement elle avait tout gobé, mais en plus elle l’innocentait de ses actes pervers par simple compassion ! C’était le monde à l’envers !  

 

- Je vous promets de ne rien dire ! Maintenant j’essaierais d’être plus indulgente envers lui !  

 

Elle sortit de la cuisine retrouvé Ryô, laissant Kazue dans son mutisme face à cette scène.  

 

 

La nuit fut difficile pour Kazue, qui dormit finalement peu, à cause des visites nocturnes de notre belle étalon. Heureusement pour elle, Kaori avait une panoplie de petits gadgets dont elle put s'en servir pour repousser son assaillant . 

 


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