Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Tenshi

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 30 capitoli

Pubblicato: 23-08-09

Ultimo aggiornamento: 19-10-11

 

Commenti: 244 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Une nouvelle aventure pour un couple mythique !

 

Disclaimer: Les personnages de "Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!

 

Capitolo 2 :: Du travail et des ennuis

Pubblicato: 02-09-09 - Ultimo aggiornamento: 02-09-09

Commenti: Coucou !! Un IMMENSE merci pour toutes vos reviews qui m'ont fait extrêmement plaisir et m'ont encouragée ! Voici la suite de l'histoire (au fait, le chapitre est plus long lol). Je pense poster tous les dix jours environ. J'espère que ce chapitre vous plaira. Bonne lecture, bisous et à bientôt ! Tenshi.

 


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Deux ou trois mains aux fesses plus tard, c’est un Ryô à la joue marquée qui se planta devant le tableau des messages. Celui-ci arborait un grand XYZ qui réjouit le cœur (ou plutôt l’entrejambe) du tueur n°1 du Japon.

 

- Ooh… Mais je n’y croyais plus ! Un mois sans le moindre client, ça fait mal au portefeuille… Et moi, j’ai besoin de fric pour emmener les belles miss Mokkori à l’hôtel !!

 

Ryô était tellement content qu’il dansait presque ! Quand soudain, il s’arrêta net.

 

- Et moi qui n’ai même pas vérifié… J’espère que c’est UNE cliente et surtout QU’ELLE EST BELLE !! hurla-t-il en se collant un peu plus contre le tableau.

 

- Bon, examinons l’écriture : tout indique que c’est une femme, c’est sûr… Et ce tracé raffiné, léger et ferme à la fois… Pas de doute : C’EST UN CANON !!

 

Ryô recopia frénétiquement les coordonnées indiquées dans son calepin « Coups potentiels » avant d’effacer le tableau et de déguerpir comme un voleur.  



****

 

Tout se passa très vite, et pourtant, Kaori eut l’impression de vivre la scène au ralenti. Le coup de frein fut assourdissant… Les témoins présents s’étaient figés d’horreur tandis qu’elle fermait les yeux. Kaori n’eut même pas le temps de pousser un cri. En revanche, elle lâcha sa massue qui atterrit violemment sur le capot du véhicule ! Elle ouvrit un œil et ne put s’empêcher de mettre une main devant sa bouche en constatant les dégâts.

 

« Aïe, aïe, aïe » se dit-elle. « Enfin bon, je suis vivante. C’était moins une… Je crois que je vais avoir droit à un sacré savon ».

 

Quatre hommes costauds vêtus de noir s’extirpèrent de la belle Mercedes métallisée… qui manifestement avait connu des jours meilleurs. Kaori comprit tout de suite à qui elle avait affaire : le sourire grimaçant du conducteur ne lui disait rien qui vaille. Ses acolytes adoptèrent un comportement agressif en faisant craquer les articulations de leurs mains qui ressemblaient à des battoirs.

 

« Merde, des yakusas ! » pensa Kaori, agacée. « Comme si j’avais besoin de ça… »

 

Lorsque le conducteur sortit un couteau, les rares témoins de la scène se dispersèrent aussitôt. Kaori ne s’enfuit pas et tâcha de prendre une attitude calme et digne : elle n’était pas la partenaire de City Hunter pour des prunes.

 

- Alors poupée, ça t’arrive souvent de casser les affaires des autres ? demanda le conducteur.

 

Il s’avança, menaçant, son couteau dressé. Kaori ne pipa mot, l’œil méprisant.

 

- Réponds, greluche !

 

- C’est vous qui êtes en faute, rétorqua-t-elle d’une voix douce mais ferme.

 

Cette simple remarque déstabilisa l’homme. D’habitude, lorsqu’il brandissait son couteau, tout le monde filait doux.

 

- Quoi !? s’étrangla-t-il.

 

- Oui, parfaitement : c’est vrai que j’étais distraite mais et d’une, vous rouliez beaucoup trop vite, et de deux, cette ruelle est à sens unique. Vous n’avez donc rien à faire là.

 

Forte de ses arguments, Kaori se permit un petit sourire. Elle l’avait bien remis à sa place celui-là ! L’homme en resta bouche bée. Alors, elle en rajouta une couche :

 

- Au fait, tu peux ranger ton joujou. Tu ne me fais pas peur alors arrête ton cinéma pourri.

 

- Attends un peu, sale garce ! hurla-t-il, vexé d’avoir été humilié devant ses copains. Tu crois que tu vas t’en tirer comme ç…

 

- Cela suffit, Kentaro.

 

L’ordre claqua dans le silence comme un coup de fouet. Le conducteur se recroquevilla sur lui-même.

 

- Mais Aniki… dit-il d’une voix faible.

 

Kaori comprit qu’il y avait en fait un cinquième homme dissimulé derrière ses gardes du corps. Sûrement leur chef… Son cœur se mit à battre plus fort. Le nouvel intervenant ne semblait pas de la même trempe que ce menu fretin.  



****

 

- Tiens Ryô, ton café, dit Miki en posant une tasse devant son seul client.

 

- Merci ma belle, répondit-il avec un clin d’œil. Au fait, il est où Umi-chou ?

 

- Il s’appelle Falcon et il est allé chercher des sets de table à la remise, si tu veux tout savoir, répondit Miki. Et garde tes mains dans tes poches si tu veux pouvoir tenir ton arme à nouveau !

 

Ryô commençait en effet à amorcer un geste en direction de la poitrine de la barmaid. Il se ravisa, penaud.

 

- Comme tu es cruelle avec moi… Tu deviens aigrie, tu sais. C’est bizarre d’ailleurs pour une jeune mariée… AH j’ai compris, s’exclama-t-il. Il avala une gorgée de café. Tête de poulpe est nul au lit, c’est ça ? poursuivit-il le plus sérieusement du monde.

 

Des dizaines de corbeaux traversèrent le café tandis que Miki en tombait à la renverse !

 

- J’en étais sûr !! Avec sa tronche, c’est pas étonnant ! Quand tu en auras assez, viens me trouver et je comblerai tes moindres dés…

 

Le bazooka collé sur la tête de Ryô le dissuada de continuer son délire.

 

- Oui, tu disais ? demanda la grosse voix de Falcon.

 

- Aah… fit Ryô en riant exagérément. Je vantais à l’instant tes qualités de mari… Aahhh !!

 

Falcon l’avait pris violemment par le col pour le jeter contre le mur où il s’écrasa la tête la première.

 

- Quand c’est pas Kaori, c’est toi qui t’y mets. C’est vraiment injuste, pleurnicha Ryô.

 

- Je me demande comment elle arrive à te supporter, riposta le géant.

 

- Elle ne devrait plus tarder, d’ailleurs, remarqua Miki en jetant un coup d’œil à l’horloge. Elle te cherchait ce matin, tu sais. J’ignore ce que tu as encore dit ou fait mais tu peux te préparer à recevoir une belle correction !

 

- Hum… fit Ryô, pensif.  



****

 

Il faisait froid à l’ombre de la ruelle. Kaori recula vers le boulevard, cherchant instinctivement la chaleur du soleil. Le chef des voyous se manifesta à nouveau :

 

- Petite, ce n’est pas dans ton intérêt de chercher à nous fuir. Enfin devrais-je dire, ce n’est pas dans SON intérêt, précisa-t-il en ricanant.

 

Il désigna du doigt la personne dont il parlait et Kaori fit volte-face, effarée.

 

- Tu vois cette fillette avec la corde à sauter là-bas ? demanda-t-il. Si tu ne fais pas ce que je dis, Kentaro que voici n’hésitera pas à se servir de son ‘joujou’.

 

Kaori serra les poings, ce qui le fit sourire. Elle tourna la tête vers lui, le regard triste et déterminé. Le sourire de l’homme s’élargit.

 

- Bien, je crois qu’on s’est compris. Alors, approche un peu que je te voie mieux…  

Kaori avança à pas lents tout en se demandant comment elle allait se sortir de ce pétrin.

 

« Ah, Ryô, si seulement tu étais là avec moi » pensa-t-elle. « Non… je n’arriverai à rien si j’espère être sauvée comme d’habitude. Ryô, que ferais-tu à ma place ? »

 

Lorsqu’elle se retrouva devant le chef, Kaori stoppa net, raide, les muscles tendus. Elle sentit plus qu’elle ne vit les quatre hommes se poster autour d’elle, ne lui laissant aucune opportunité de fuite.

 

- Bon, bon, bon, jubila le chef en passant une main dans ses cheveux gominés.

 

Kaori remarqua au passage l’affreuse bague rouge sang qui ornait son index droit.

 

- Tu comprends bien qu’il va falloir rembourser les dégâts que tu as causés avec ton instrument. On doit assumer les conséquences de ses actes, pas vrai ? demanda-t-il.

 

- Je sais bien quel genre de sale type vous êtes, alors ne vous fatiguez pas à me donner des leçons de morale ! s’emporta Kaori.

 

Énerver ce mec allait peut-être faire diversion et créer une porte de sortie. Mais ses paroles n’eurent pas l’effet escompté. Le chef avança la main vers le visage de la jeune femme qui essaya de se dérober à ce contact. En vain, les sous-fifres du bandit la serraient de près.

 

- Mais c’est qu’elle n’est pas mal, la petite, remarqua-t-il. Pas mal du tout même !

 

Il caressa sa joue et Kaori frémit de dégoût. Elle riposta en tentant de lui mordre la main.

 

- Ouh, et du caractère avec ça… Vraiment pas mal, renchérit le voyou. Mais…

 

Il lui saisit le menton avec violence et Kaori gémit.

 

- Tu sais, j’ai un commerce de filles qui marche plus ou moins. Un peu de sang neuf ne ferait pas de mal. En travaillant un mois ou deux pour moi, tu rembourseras ce que tu me dois et tu te feras un fric fou avec ta belle petite gueule. Et tout le monde sera content…

 

Le chef relâcha son emprise sur le visage de Kaori… qui lui cracha à la figure.  

- Voilà ma réponse, persifla-t-elle.

 

Le chef s’essuya tranquillement le visage. Il levait la main pour la frapper lorsqu’il sentit soudain le canon d’une arme se poser sur sa nuque. C’est alors que Kaori entendit une voix familière…

 

- Ose la toucher encore et je t’expédie directement en enfer !

 

- MICK ! s’écria Kaori. 

 


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