Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 31 chapitres

Publiée: 01-12-21

Mise à jour: 31-12-21

 

Commentaires: 25 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: C'est l'histoire de deux nettoyeurs et un chien...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un beau cabot de Noël" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un beau cabot de Noël

 

Chapitre 16 :: Chapitre 16

Publiée: 16-12-21 - Mise à jour: 16-12-21

Commentaires: Bonsoir, voici la suite de l'histoire. Merci pour vos commentaires qui font chaud au coeur comme toujours. Bonne lecture et à demain pour le J-7 avant le réveillon de Noël.

 


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Chapitre 16  

 

Jeudi 16 décembre.  

 

Observée par Azor, Kaori ne cessait de fouiller la pièce où il avait été pendant quelques jours. Les paroles des malfrats de la veille n’avaient cessé de la tourmenter pendant la nuit : ils recherchaient un objet qu’Azor avait pris. Etant donné leur métier et l’intérêt qu’ils portaient à cette chose, quelle qu’elle fut, ladite chose devait avoir de la valeur pour eux et donc pour la police. Ryô saurait le dire en la voyant à coup sûr, elle peut-être aussi. Tout dépendait de ce que c’était.  

 

- Bon, tu vas me dire où tu l’as planquée cette chose ?, demanda-t-elle à Azor.  

 

Le chien se contenta de haleter en remuant la queue. Elle regarda encore une fois toute la pièce, se disant que ça ne servait à rien de chercher à nouveau ici. Elle venait déjà d’y passer une bonne heure alors que l’endroit dénué de meubles n’offrait aucune cachette pour qu’un chien y cache quelque chose. Elle en ressortit et remonta à l’appartement où elle commença à fouiller chaque recoin.  

 

- Tu veux revoir la décoration ?, se moqua Ryô, appuyé sur le garde-corps de l’escalier.  

- Non, je recherche ce que cherchaient ceux qui m’ont agressée hier., lui expliqua-t-elle, retirant les coussins du divan.  

 

Elle découvrit ainsi une partie de la collection des revues érotiques de son partenaire et fronça les sourcils avant de se forcer à poursuivre sa fouille. Ryô se colla dans son dos et prit ses doigts.  

 

- Je fouillerai cette partie-là moi-même., lui promit-il, amenant ses phalanges à ses lèvres.  

- Tu ne veux pas qu’il me prenne une idée saugrenue ?, le taquina-t-elle, soulagée.  

- Tu serais tentée de les lire ?, lui retourna-t-il, moqueur.  

- Non ! Les détruire !, répliqua-t-elle, rougissant.  

- Ca, ce ne serait pas vraiment saugrenu mais je ne veux pas tenter le diable., répondit-il, l’enlaçant et collant son dos contre son torse.  

 

Kaori ne sut comment réagir à cette position inédite et finit par poser les mains sur les siennes sur son ventre.  

 

- C’est agréable, non ?, murmura Ryô, posant la joue contre sa tempe.  

- Oui., souffla-t-elle, tentant de maîtriser ses émotions.  

 

Ils restèrent ainsi silencieux un moment, profitant de ce nouveau pas l’un vers l’autre.  

 

- Est-ce que tu sais à quoi ressemble cet objet ?, l’interrogea-t-il sans la lâcher.  

- Non, ils n’ont pas précisé mais je suppose que c’est assez petit pour qu’Azor puisse le prendre dans sa gueule., répondit-elle.  

- Une idée ?, lui demanda-t-elle.  

- Un calepin, un téléphone… une petite culotte de la maîtresse de l’un d’eux…, plaisanta-t-il.  

 

Il sentit Kaori rire contre lui et se dit que c’était une bonne évolution parce qu’avant elle l’aurait a minima grondé.  

 

- Azor, tu n’as pas envie de nous dire où tu as planqué ta trouvaille ?, le questionna Ryô.  

 

Le chien se contenta de bâiller et poser la gueule sur ses pattes comme si la conversation ne l’intéressait pas.  

 

- Autant parler à un sourd…, plaisanta-t-il.  

- Ne reste qu’à chercher… le problème, c’est qu’il a été dans tout l’immeuble alors qui sait où il l’a mis…, soupira-t-elle.  

- Eh… Garde espoir… Ca finit par payer…, lui rappela-t-il, caressant sa nuque.  

 

Il la sentit frissonner et sourit mais se retint de pousser plus loin, pour elle comme pour lui.  

 

- Tu ne dois pas aller au cabinet aujourd’hui ?, la questionna-t-il.  

- Si. Visite quotidienne à Zora., répondit-elle, consultant sa montre.  

- J’ai du mal à croire que tu peux rester une heure à les regarder à deux., lâcha-t-il, lui tendant une perche pour lui dire la vérité.  

- C’est reposant et ils sont touchants., fit-elle, imperméable au sens profond de la question.  

- Je ne tiendrais jamais une heure à regarder deux animaux… Ils font quoi au fait ?, lui demanda-t-il, curieux.  

- Ils se cherchent, se reniflent, jouent un peu et surtout se regardent et passent du temps allongés côte à côte., lui apprit-elle.  

- Tu les regardes restés allongés ? Une heure durant ? Il faut vraiment que je trouve de quoi t’occuper…, la taquina-t-il.  

- Je ne pourrais m’empêcher d’aller voir la secrétaire…, avoua-t-il.  

 

Kaori s’écarta, un peu contrariée par sa réflexion, mais elle tenta malgré tout de contenir son humeur et de garder le sourire.  

 

- La secrétaire n’est pas vraiment à mon goût…, répliqua-t-elle sur le ton de l’humour.  

- Moi non plus à vrai dire… Un peu trop vieille. Le véto peut-être ?, suggéra-t-il, observant sa réaction.  

- Masa ?, lâcha-t-elle, étonnée.  

 

Elle réfléchit un instant avant de secouer la tête et de rire légèrement.  

 

- Il est très gentil et charmant…, admit-elle, interrompue par le téléphone.  

 

Elle alla décrocher, laissant Ryô avec ses doutes. Il allait partir réfléchir sur le toit lorsqu’elle posa une main sur son avant-bras et lui lança un regard inquiet. Il oublia tout sur l’instant et attendit patiemment qu’elle ait fini.  

 

- C’était Masa., lui apprit-elle.  

- Son cabinet a été attaqué et Zora enlevée., ajouta-t-elle, la voix tendue.  

- Ryô, c’est eux., lui affirma-t-elle.  

- Je pense aussi. Les coïncidences n’existent pas., lui concéda Ryô, sérieux.  

- On va la chercher., annonça-t-il, allant chercher sa veste.  

 

Azor s’était levé et approché d’eux. Il geignit et Kaori s’agenouilla devant lui.  

 

- On va la retrouver., lui promit-elle, le caressant.  

- Allez viens, Azor., l’appela Ryô.  

- Elle sera contente de te voir en sortant de là.  

 

Le chien courut près de lui et à trois ils partirent jusqu’au garage.  

 

- C’est bien beau mais où cherche-t-on ? Je n’ai aucune idée de qui ils sont., lui fit savoir Kaori.  

 

Elle l’observa et nota son petit sourire amusé. Elle ne put s’empêcher de rire légèrement, toujours aussi épatée par ses connaissances.  

 

- Ok, j’ai compris. Tu sais., conclut-elle.  

- Du tout., objecta-t-il, la regardant d’un air malicieux.  

 

Kaori entendit une libellule vrombir derrière elle, libellule qu’Azor regarda voler avant de chercher à l’attraper.  

 

- On ne va quand même pas rouler sans but dans toute la ville en espérant voir un panneau apparaître devant nous indiquant « Zora est là. », fit-elle dans un accès de mauvaise humeur.  

- En fait, c’était un peu le plan., admit-il.  

- Ryô, c’est illusoire. Tokyo est grande., le contra-t-elle.  

- Je le sais. Si tu ouvrais la boîte à gants ?, lui suggéra-t-il.  

- Pourquoi ? Tu veux la carte de la ville ?, fit-elle.  

- Tu me connais mieux que ça, Kaori…, lâcha-t-il, amusé.  

 

Les sourcils froncés, elle fit ce qu’il lui demandait et chercha dans le peu d’espace qui restait à côté du système de localisation ce qui pouvait l’intéresser.  

 

- J’ai placé un émetteur sur elle hier matin en me disant qu’une telle chose pouvait arriver., lui apprit-il.  

- Tu as…, souffla-t-elle, stupéfaite.  

 

Elle n’avait absolument rien vu et pourtant elle avait eu les yeux rivés sur lui pendant tout ce temps. Comment ? Quand ? Elle n’arriverait jamais à le percer totalement à jour, finit-elle par comprendre mais ça ne la dérangeait pas outre mesure puisqu’elle savait à qui elle avait à faire et ça lui suffisait.  

 

- Eh oui… Je t’épate, non ?, fit-il avec morgue.  

- Tu m’agaces. Tu aurais pu me le dire depuis le temps…, grogna-t-elle.  

- Et perdre une occasion de m’amuser ?, répliqua-t-il, malicieux.  

- T’es qu’un gamin !, le houspilla-t-elle avec un sourire.  

- Un jeune homme dans la force de l’âge !, objecta-t-il, l’air faussement offusqué.  

- Oui, je sais, tu n’as que vingt ans…, fit-elle avec une légère moue.  

 

Il lui adressa un regard en coin, un regard qui brillait d’une lueur chaude et sereine, avant de regarder de nouveau la route.  

 

- Plus depuis quelques années… J’ai un point de repère maintenant., fit-il, faisant allusion à la date d’anniversaire qu’elle lui avait donnée, ce qu’elle comprit.  

- Tu mets en route le récepteur. Sinon tu vas encore râler pour la note d’essence.  

 

Lui lançant un regard noir, elle appuya sur les boutons selon ses indications et élimina progressivement plusieurs signaux.  

 

- Ca, c’est toi., admit-il alors qu’un point clignotait là où ils étaient.  

- Ca ne me laisse plus que cela à faire., fit-elle, désactivant le signal qui lui correspondait.  

- Tu enlèveras un jour les émetteurs que tu as mis dans mes affaires ?, l’interrogea-t-elle, regardant l’écran au cas où le signal recherché apparaîtrait.  

- Seulement si tu décides de quitter ma vie. Dans le cas contraire, je garderai toujours un œil sur toi., répondit-il calmement.  

- Pour quelqu’un qui feignait de ne pas me voir, c’est plutôt comique…, ironisa-t-elle.  

- Crois-moi, ça n’a jamais rien eu de drôle., répondit-il sérieusement.  

- D’autant plus quand il faut se restreindre pour te laisser une vie privée., ajouta-t-il.  

- Ma vie n’a rien de privée pour toi. Tu sais tout ce qu’il y a à savoir., lui assura-t-elle sincèrement.  

- Et y a-t-il des choses que je ne dois pas savoir ?, lui retourna-t-il.  

 

Elle l’observa, un peu surprise par sa question, avant de réfléchir à ce qu’il pouvait vouloir insinuer.  

 

- Non., finit-elle par répondre après un silence qui parut bien trop long à notre nettoyeur.  

- Kaori…, commença-t-il, souhaitant crever l’abcès qui le gangrenait depuis quelques jours maintenant.  

- Un signal, Ryô !, le coupa-t-elle, pointant du doigt vers le coin de l’écran.  

- C’est parti., indiqua-t-il, mettant de côté leurs problèmes personnels.  

 

Moins de dix minutes après, il garait la mini dans une ruelle à l’abri des regards et se tourna vers Azor et Kaori.  

 

- Vous restez là tous les deux et je reviens avec Zora. Interdiction formelle de sortir et de n’en faire qu’à votre tête !, leur ordonna-t-il.  

- Je ne sais pas si je dois être flattée que tu me parles comme à lui., gronda Kaori, vexée.  

- Je ne sais pas lequel est le plus intrépide des deux mais ce que je sais, c’est que j’en ai assez d’une femme à sauver., la taquina-t-il avec un clin d’oeil avant de sortir de la voiture.  

 

Azor aboya quand il referma la porte avant de se tourner vers Kaori, l’air impuissant.  

 

- Oui, je sais. Moi aussi, il m’agace quand il est comme ça mais c’est le meilleur pour sauver une jeune femme, surtout qu’elle a touché son cœur visiblement., le rassura-t-elle, le caressant à l’encolure.  

 

Ils attendirent donc patiemment et virent Ryô revenir, l’air complètement détendu, Zora trottant à ses côtés comme s’il avait fait une simple promenade de santé.  

 

- Je suppose que tout s’est bien passé…, pipa Kaori alors que les deux chiens se faisaient la fête à l’arrière.  

- Oui oui, la routine., fit-il, s’engageant dans la rue et s’éloignant du bâtiment dont s’échappaient des volutes de fumée par les fenêtres brisées.  

 

Les hommes blessés éparpillés au sol n’avaient pourtant pas le même avis, toujours surpris qu’un seul homme ait pu leur infliger une telle déculottée.  

 

Les deux nettoyeurs ramenèrent Zora au cabinet vétérinaire où Masa l’ausculta consciencieusement, inquiet de son état.  

 

- Bon, tout va bien. Je vais la remettre dans sa cage pour qu’elle se repose., leur indiqua-t-il.  

- Doc… vu ce qu’il s’est passé, ce serait certainement mieux qu’elle vienne chez nous. Ca vous évitera de vous retrouver au milieu de cette histoire., suggéra Ryô, voyant là un excellent moyen d’éloigner sa partenaire de son prétendant.  

- A moins que ça ne vous pose un souci…, fit-il, jetant un regard à Masa puis Kaori.  

- Non, Azor serait certainement ravi et ce serait plus simple en effet., admit-elle immédiatement.  

- C’est que… son état demeure préoccupant., lâcha le jeune vétérinaire avec un regard vers la rouquine.  

- Dis-moi juste ce qu’il faut faire et je veillerai sur elle. Si son état se dégrade, je la ramènerai et on peut convenir de se revoir dans une semaine sinon., proposa Kaori, indifférente à l’intérêt du jeune homme.  

 

Il s’en rendit compte et se rembrunit mais resta malgré tout courtois et pragmatique.  

 

- Si vous pouvez attendre une demi-heure, je vais la nettoyer et désinfecter sa plaie avant qu’elle parte. Je vous donnerai aussi les informations que j’ai sur Azor., leur proposa-t-il, masquant sa déception.  

- Merci, Doc., fit Ryô, malgré tout un peu désolé pour l’homme.  

- Merci Masa. Tu me diras combien je te dois pour Zora., le salua Kaori, une demi-heure plus tard alors qu’il venait de leur donner les instructions pour les soins de la chienne et tout ce dont ils auraient besoin.  

- Rien. Rien du tout., lui assura-t-il, lui tendant une enveloppe marquée « Azor ».  

- C’est gentil. A bientôt., lui dit-elle, suivant Ryô et Azor vers la voiture.  

- Tu n’auras plus de raison de venir jusqu’ici., ne put s’empêcher de faire remarquer le nettoyeur, montant en voiture.  

 

Kaori boucla sa ceinture et lui lança un drôle de regard, ne comprenant pas le sens de sa répartie.  

 

- Pourquoi ? J’en avais besoin d’une ?, lui retourna-t-elle.  

- Zora était une excuse plutôt valable pour passer du temps au cabinet., osa-t-il.  

- Si je voulais passer du temps au cabinet, je ne me chercherais pas une raison mais avant tout, je ne vois pas pourquoi je voudrais y aller., lui affirma-t-elle.  

 

Ne sachant quoi dire, Ryô se tut et démarra, prenant le chemin de leur appartement. Malgré tout, il ne put se retenir de poser les questions qui le tourmentaient.  

 

- Pourquoi tu ne m’as pas parlé de Zora tout de suite alors ?  

- C’était idiot., admit-elle.  

- Je ne pensais pas que tu accepterais Azor chez nous alors je cherchais un moyen de te persuader donc te parler d’elle était encore plus exclu., lui expliqua-t-elle.  

 

Il contempla sa réponse et dut admettre que ce n’était pas illogique tout comme le fait d’imaginer qu’il puisse refuser la présence d’un puis deux chiens chez eux qu’il n’avait acceptés que parce que c’était un moyen de lui faire plaisir avant d’y prendre lui même plaisir.  

 

- Tu sais… On dirait presque que tu es jaloux…, lui fit-elle soudain remarquer, le ton légèrement moqueur.  

 

Il détourna le regard, gêné, avant de regarder les chiens qui étaient calmes à l’arrière.  

 

- Tu sais…, fit-il, imitant son attitude.  

- Ca pourrait bien être vrai., avoua-t-il.  

 

La réponse laissa Kaori stupéfaite et elle ouvrit les lèvres sans pouvoir articuler le moindre mot pendant un long moment. Quand ils arrivèrent à l’immeuble et après qu’il éteignit le moteur, la voiture garée dans le garage, Ryô se tourna et ferma la mâchoire de sa partenaire.  

 

- Réveille-toi, le monde ne s’est pas arrêté de tourner., lui dit-il avant de sortir et d’ouvrir la porte pour les chiens.  

 

Il observa Zora suivre Azor avant de leur emboîter le pas, se disant que Kaori les rejoindrait lorsqu’elle serait remise de ses émotions.  

 

Ils étaient arrivés au troisième lorsqu’il entendit des pas de course dans les escaliers et s’arrêta pour l’accueillir. Essoufflée, la jeune femme s’arrêta trois marches plus bas et le regarda, les pommettes rosies.  

 

- Mais… de qui tu étais jaloux ?, lui demanda-t-elle, son innocence brillant dans ses prunelles noisettes.  

 

Le corbeau qui se posa sur son épaule fut aussi étonné que Ryô et ils se regardèrent, s’interrogeant mutuellement du regard avant de se tourner de nouveau vers la jeune femme ravissante face à eux.  

 

- Tu… Tu attends vraiment une réponse ?, lui retourna-t-il. 

 


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