Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 31 chapitres

Publiée: 01-12-21

Mise à jour: 31-12-21

 

Commentaires: 25 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: C'est l'histoire de deux nettoyeurs et un chien...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un beau cabot de Noël" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un beau cabot de Noël

 

Chapitre 20 :: Chapitre 20

Publiée: 20-12-21 - Mise à jour: 20-12-21

Commentaires: Bonsoir, voici la suite de l'histoire. Nous progressons dans ce petit calendrier de l'avent. Plus que cinq petits jours avant Noël... Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 20  

 

Lundi 20 Décembre.  

 

Quand elles rentrèrent du cabinet vétérinaire pour une visite de contrôle, Kaori et Zora trouvèrent Ryô et Azor sur le divan, le nez dans un magazine érotique et, à en juger le tas posé en vrac à leurs côtés, ce n’était pas le premier. La chienne visiblement mécontente grogna avant de laisser échapper un souffle de mécontentement et de regagner leur couche.  

 

- On est rentrées., leur apprit Kaori alors qu’ils ne faisaient aucun signe vers elles, toujours le nez scotché dans le bouquin.  

- On sait… On finit…, fit Ryô, tournant une page.  

- C’est fini !, leur affirma-t-elle, prenant le magazine et le fermant.  

- Si ça t’intéresse, Zora va bien. Elle doit encore garder sa collerette pour éviter de lécher la cicatrice mais elle va bien., lui apprit-elle.  

- Tant mieux. Alors on peut continuer à lire., dit-il, testant ses limites.  

- Non., répondit-elle simplement.  

- Si tu veux t’intéresser à une femme, intéresse-toi à moi., lui suggéra-t-elle.  

 

Sur ces bonnes paroles, elle monta à la buanderie pour lancer une lessive. Surpris par le naturel avec lequel elle lui avait dit ça, Ryô la regarda grimper les escaliers avant de se lever.  

 

- Je crois que c’était une invitation…, murmura-t-il, caressant le chien qui aboya pour marquer son consentement.  

- Je ne peux qu’y répondre…, fit-il, se levant et se dirigeant vers l’étage, Azor sur ses talons.  

 

Déçue, Zora le regarda suivre le nettoyeur avant de se lever.  

 

- Besoin d’un coup de main ?, proposa Ryô à sa partenaire.  

- J’ai une lessive à étendre., lui fit-elle savoir, se relevant avec le panier dans les mains.  

- Donne-moi ça. Ca peut attendre deux minutes, je pense., lui dit-il, prenant le linge et le posa plus loin.  

 

Il approcha ensuite de sa partenaire et prit ses mains, l’observant de la tête aux pieds.  

 

- Tu es très jolie. La mini-jupe te va très bien., la complimenta-t-il, la voyant rosir de plaisir.  

- Ca me laisse aussi l’occasion de voir tes jambes que je trouve particulièrement séduisantes.  

- Arrête, je n’ai pas besoin que tu me flattes à tout va., objecta-t-elle, un peu gênée.  

 

Elle n’était pas habituée aux compliments venant de sa part. Il l’avait toujours beaucoup critiquée sur son physique et elle avait fini par y croire. Alors quelque part, tous ces mots lui semblaient dissonants. Ryô vit sur son visage qu’elle ne le croyait pas vraiment et l’attira à lui.  

 

- Je ne te flatte pas à tout va. J’ai envie de te dire ce que je pense de toi depuis des années sincèrement… et j’adore tes jambes. Elles sont longues, fines, musclées, ni malingres ni trop grosses. Juste à mon goût., lui assura-t-il, la serrant contre lui.  

- Et si je peux me permettre de continuer, j’adore tes seins aussi. J’ai hâte de pouvoir les revoir totalement., lui avoua-t-il.  

- Ils sont quand même nettement moins intéressants que ceux de Saeko ou Kasumi., fit-elle, baissant les yeux sur sa poitrine.  

- Pourtant, je ne rêve pas des leurs., lui confia-t-il à voix basse.  

 

Elle sentit sa main descendre de sa taille sur ses fesses et releva les yeux, étonnée. Sa respiration resta coincée dans sa gorge alors qu’elle croisait son regard gris intense. Elle déglutit péniblement alors que ses yeux s’écarquillaient et soudain…  

 

- Kyyyyaaaahhhhh !, hurla-t-elle, se collant contre lui alors qu’elle sentait un contact humide et rugueux sur sa cuisse en dessous de sa jupe.  

- Que se passe-t-il ?, s’étonna Ryô, la serrant malgré tout contre lui.  

- On… On m’a léché la cuisse…, lui apprit-elle.  

- On t’a… Mais il n’y a personne à part nous ici…, lui apprit-il, n’ayant pas vu Azor le suivre et s’enfuir prestement.  

- Je te jure qu’on m’a léché la cuisse… là., fit-elle, prenant sa main et la posant sur la zone.  

- En effet…, constata le nettoyeur, caressant l’endroit.  

 

Kaori se sentit rougir sous le plaisir qu’elle tira de ce simple toucher et ne dit rien lorsqu’il continua à errer légèrement. Il y prenait beaucoup de plaisir.  

 

- Ryô, Kaori… Ah vous êtes là…, fit Mick avant de s’immobiliser sur le pas de la porte.  

 

Il contempla l’air gêné de Kaori lorsqu’elle leva les yeux sur lui alors que Ryô était penché sur les fesses de sa partenaire la main sous sa jupe entre ses cuisses.  

 

- Oh… euh… Je crois… que je vais vous laisser…, fit-il avant de tourner les talons et de s’en aller.  

 

Moins de deux minutes après, ils entendirent un hurlement de joie suivi d’un « Dieu existe ! » et parvinrent enfin à échanger un regard sans gêne. En effet, aucun des deux n’avait vraiment su comment réagir à l’apparition de leur ami et l’image qu’ils avaient donnée.  

 

- Je crois qu’on a été pris la main dans le sac…, pipa Ryô avec un regard malicieux.  

- Oui… Mais c’est tout de même un peu ironique sachant qu’on ne s’est même pas encore embrassés…, murmura Kaori.  

 

Il laissa un petit sourire ironique s’imprimer sur son visage et l’enlaça à nouveau, posant les lèvres sur son front avant de les laisser descendre sur sa tempe, ses joues et finir dans sa nuque. Il l’entendit soupirer, sentit ses mains sur ses épaules et hésita à céder à la tentation. Le souvenir de la peau douce de ses cuisses était encore bien présent et il ne saurait se contenter d’un baiser. Pourtant, il avait envie de temps, de faire les choses bien, de ne pas précipiter les étapes.  

 

- J’ai envie de t’embrasser mais je ne le ferai pas., murmura-t-il contre son oreille.  

- J’ai beaucoup trop envie de toi pour m’arrêter à la simple invasion de ta bouche et ce n’est pas comme ça que j’envisage notre première expérience sexuelle.  

- Je suis prête., lui fit-elle savoir, levant les yeux vers lui.  

 

Il sourit et lui caressa le visage avec tendresse.  

 

- Pas moi. J’ai besoin d’être en mesure de me contenir et lui… n’est pas sur la même longueur d’ondes., lui dit-il, prenant sa main et la posant sur son cœur qui battait fort.  

- Ne sois pas vexée, s’il te plaît., lui demanda-t-il.  

- Je ne le suis pas., lui assura-t-elle.  

 

Pour le lui montrer, elle se mit sur la pointe des pieds et l’embrassa sur la joue.  

 

- Je vais aller pendre la lessive. Je ne comprends pas pourquoi j’ai eu cette sensation d’être léchée., fit-elle, fronçant les sourcils.  

- Je vais enquêter., lui promit-il.  

- Mais je ne suis pas sûr de punir le coquin. Après tout…, commença-t-il.  

- Après tout ?, reprit-elle, curieuse.  

- Il m’a donné une bonne excuse pour te toucher sous ta jupe sans me prendre une massue., répliqua-t-il avant de s’en aller.  

 

Un nuage de vapeur s’échappa de la buanderie alors qu’il venait d’en sortir, ce qui le fit rire et le conforta dans sa décision. Se remettant de ses émotions, Kaori attrapa son panier de linge et le rapprocha pour l’étendre sur le fil. Dos à la porte, elle ne vit pas Azor approcher et l’observer attentivement, suivant chacun de ses mouvements.  

 

Descendant l’escalier en sifflotant, Ryô se dirigea vers la cuisine pour prendre un verre d’eau. En passant, il caressa distraitement Zora qui vadrouillait dans la pièce, ébouriffant un peu plus son pelage clair. S’il avait prêté un peu plus attention, il aurait peut-être noté les fibres minuscules de papier coincées dans ses poils.  

 

Alors qu’elle étendait un tee-shirt rouge, Kaori sentit un frôlement sur ses jambes et elle baissa les yeux trouvant Azor qui tournait autour d’elle.  

 

- Fais attention. Je n’ai pas envie de me casser la figure et te faire mal., le prévint-elle, un sourire dans la voix.  

 

Elle attrapa une autre pièce de linge et la pendit, tendant les bras pour attraper le fil.  

 

- Alors ma belle, tu boudes ? Tu n’as pas envie d’être cajolée aujourd’hui ?, fit Ryô à Zora d’un ton taquin.  

 

Il était un peu surpris qu’elle ne soit pas encore venue le chercher depuis qu’elle était rentrée avec Kaori alors que la veille, elle était venue s’installer près de lui la veille après qu’ils furent rentrés de l’orphelinat. Elle lui adressa un regard dédaigneux avant de reposer la gueule sur ses pattes et de fermer les yeux.  

 

- Une chienne boudeuse… On aura tout vu., s’amusa-t-il.  

 

Son regard se porta sur le reste de la pièce, appréciant ce sentiment de chaleur et de confort qu’il ressentait pleinement désormais.  

 

Soudain…  

 

- Noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !  

- Kyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !  

 

Résonnèrent simultanément dans l’appartement suivis d’un :  

 

- Zora !  

- Azor !  

 

Alertés par les cris de l’autre malgré leur propre expérience, les deux nettoyeurs se retrouvèrent à mi-chemin :  

 

- Tu vas bien ?, se demandèrent-ils, inquiets pour l’autre plus que pour eux-mêmes.  

 

Ils se regardèrent et, malgré la tension, se sourirent, se sachant soutenus.  

 

- Vas-y., l’invita à parler Ryô, prenant un air sérieux.  

- J’ai trouvé qui était le lécheur., lui apprit Kaori.  

- Il est ici ?, fit le nettoyeur, devenant impassible.  

 

Elle lut cependant dans son regard toute sa colère et sa froide détermination à punir le scélérat.  

 

- Où est-il ?, lui demanda-t-il.  

- Là-haut, il se cache., lui expliqua-t-elle.  

- Ryô… C’est Azor., lui apprit-elle.  

 

Le nettoyeur entendit une libellule passer derrière lui.  

 

- Azor ?, répéta-t-il, incrédule.  

- Oui, Azor… Ce qui explique le comportement. Je te dois des excuses pour les massues non méritées, lui dit-elle, penaude.  

- C’est pas grave : tu m’as annoncé une trêve de massues., se régala-t-il.  

 

Elle le regarda et plissa les yeux avant de se détendre.  

 

- Tatatata ! Ca, c’était si tu le trouvais mais c’est moi qui ai trouvé donc ça ne vaut pas. Tu as juste le droit à mes excuses., lui dit-elle, malicieuse, tapant sur le bout de son nez.  

 

Il ne put s’empêcher de sourire, oubliant un instant son propre drame personnel.  

 

- Et toi ? Que s’est-il passé avec Zora ? Elle s’est laissée aller sur le divan ?, s’inquiéta-t-elle.  

- Pire que ça…, fit-il piteusement, une grosse larme à l’oeil.  

- Elle n’a pas fait qu’uriner dessus ?, grimaça-t-elle, écoeurée à l’idée de devoir nettoyer les déjections canines.  

- Oh non… Elle est propre pour ça., la rassura-t-il.  

- Elle a juste fait ce à quoi je m’attendais que tu fasses depuis des années., lui apprit-il.  

 

Il prit sa main et l’emmena jusqu’au salon où Kaori, une main devant la bouche, observa le spectacle.  

 

- Bon sang, Ryô… Je suis vraiment désolée… Si j’avais su, je n’aurais jamais…, souffla-t-elle, se sentant vraiment coupable des agissements de la chienne.  

 

Elle contempla le divan dont les coussins avaient été retournés et qui était parsemé de chiquettes de papier glacé où l’on pouvait voir ce qui restait de la plastique dénudée des filles qui s’exposaient dans les revues érotiques de son partenaire. Elle ne pouvait nier que c’était l’oeuvre d’un chien et, vu comme Azor semblait apprécier la lecture, ça ne laissait que la vengeance d’une chienne délaissée. Elle comprenait Zora mais elle comprenait aussi la colère de Ryô qui chérissait ses revues comme s’il s’agissait de vraies personnes.  

 

- Si tu savais… Bon sang… Je ne sais vraiment pas quoi te dire et je n’ai aucune idée de la façon dont je dois la punir., lâcha-t-elle, déconcertée.  

- Tout comme Azor., répondit Ryô, la prenant par la taille.  

- On ne lèche pas impunément les fesses de ma compagne., fit-il très sérieusement.  

- Ce n’était pas mes fesses…, objecta-t-elle.  

- Tout comme…, éluda-t-il.  

- Ta compagne ?, répliqua-t-elle avec un sourire niais.  

- Tu préfères peut-être presque compagne ?, rétorqua-t-il avec un peu moins de morgue.  

- Non, ta compagne, ça me va bien…, admit-elle, posant la tête contre lui.  

 

Il pressa sa hanche, simplement heureux de faire son bonheur et de découvrir que ce n’était pas si compliqué ni effrayant que cela, avant de la laisser.  

 

- Azor, Zora, au pied !, les appela-t-il d’un ton sévère.  

 

La chienne arriva bien avant son compagnon et se posta au pied du nettoyeur. Azor arriva la queue basse et préféra resta un peu plus éloigné.  

 

- Vous avez été très vilains tous les deux ! Zora, on ne déchire pas les revues même lorsqu’on n’est pas contente ! Azor, on ne peut pas lécher les jeunes femmes comme tu le fais, c’est inconvenant !, les houspilla-t-il, agitant son doigt devant eux.  

- Tous les deux couchés maintenant !, leur ordonna-t-il, désignant leur couche.  

 

Un peu plus piteux, les deux animaux gagnèrent le lieu de leur punition et s’allongèrent. Azor se colla à Zora mais elle détourna la tête.  

 

- Je ne pensais pas qu’un chien pouvait être aussi cabochard…, s’amusa Kaori.  

- Moi non plus. Finalement, les coups de massue, c’est aussi une manière de s’exprimer., admit Ryô, riant légèrement.  

 

Kaori leva un sourcil avec un léger sourire avant de partir vers la cuisine.  

 

- Moi, je me demande quand même…, commença-t-elle.  

- Quoi ?, lui demanda-t-il, la suivant.  

- Est-ce que tu l’aurais aussi bien pris si j’avais réduit en miettes tes précieux magazines ?, acheva-t-elle, lui lançant un regard interrogateur.  

 

Il la contempla pensivement, retraçant les dernières années et l’évolution de leur amitié un peu particulière.  

 

- Certainement pas. Parce que je n’aurais pas pu accepter la seule chose qui aurait pu m’apaiser quand je suis ici., lui dit-il.  

- Boire ou fumer ?, fit-elle, curieuse.  

- Non., fit-il, la sondant d’un air énigmatique.  

- Aller retrouver une fille ?, suggéra-t-elle, régnant sur sa jalousie.  

- En quelque sorte., admit-il.  

- Tu m’excuseras mais j’ai un peu de mal à y croire. Tu n’as jamais eu de mal à aller draguer et je pense qu’il en aurait fallu peu de ta part pour que tu réussisses plus souvent à ramasser la fille., fit-elle, légèrement acide.  

 

Fâchée même si elle avait un peu cherché ce qui lui arrivait, elle se retourna et attrapa l’éponge pour nettoyer le plan de travail. Ryô vint derrière elle et attrapa l’éponge.  

 

- Je suis assez d’accord avec toi. Si j’avais voulu, j’aurais été bien plus occupé., affirma-t-il.  

- Seulement pour pouvoir me contenir en étant ici, il aurait fallu que j’accepte que tu étais la seule qu’il me fallait et que je m’accorde le droit de t’approcher et de te salir., ajouta-t-il.  

- Me salir ?, souffla-t-elle, stupéfaite par la dureté de ses mots.  

- Oui, te salir. Un homme comme toi n’aurait jamais dû approcher une femme comme toi. J’ai du sang sur les mains, Kaori, et une morale à deux vitesses. Toi, tu es honnête et droite. Tu l’as toujours été., lui répondit-il.  

- Toi, tu as toujours été trop sévère envers toi-même., objecta-t-elle.  

- Je t’aime tel que tu es. Je ne suis pas parfaite et tu n’as pas à l’être. Le tout soit qu’on se sente bien l’un avec l’autre. Moi, je suis bien avec toi., lui affirma-t-elle.  

 

Il l’enlaça et la serra contre lui, touché par ses mots.  

 

- Moi aussi, je suis bien avec toi., lui affirma-t-il.  

 

Il sentit ses mains glisser sur les siennes et ferma les yeux un instant, les rouvrant en entendant un léger bruit.  

 

- Regarde qui est là., fit-il, désignant les chiens à la porte.  

- Venez., les appela Kaori.  

 

Azor et Zora vinrent les rejoindre et se réfugièrent dans leurs jambes, obtenant les caresses qu’ils recherchaient. Le couple se regarda et se sourit, complice. 

 


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