Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 31 chapitres

Publiée: 01-12-21

Mise à jour: 31-12-21

 

Commentaires: 25 reviews

» Ecrire une review

 

HumourRomance

 

Résumé: C'est l'histoire de deux nettoyeurs et un chien...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un beau cabot de Noël" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Qu'est-ce que les ratings veulent dire?

 

La classification des fanfictions repose sur le système américain utilisé pour le cinéma et par simplicité ce système est repris pour le classement des fanfictions. Les classifications les plus courantes sont: - G : pas de violence, pas de situation ou de référence à caractère sexuel (pas de nudité, pas de sexe, pas de drogue, ...) - Tout public - PG: Accord parental souhaitable - Abscence ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Un beau cabot de Noël

 

Chapitre 26 :: Chapitre 26

Publiée: 26-12-21 - Mise à jour: 26-12-21

Commentaires: Bonsoir, voici la suite de ce calendrier de l'avent qui continue après Noël, pour nous amener au Nouvel-An. Merci pour vos reviews qui font chaud au coeur. J'espère que vous avez pu vous reposer après ces deux jours de fête. Bonne lecture^^

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31


 

Chapitre 26  

 

Dimanche 26 décembre.  

 

- Tu devrais peut-être l’essayer pour voir s’il te va encore…, suggéra Ryô.  

 

Kaori se tourna vers lui et lui lança un sourire amusé.  

 

- Je sais qu’il me va encore., fit-elle, posant le soutien-gorge dans le bac.  

 

Il l’attrapa et le déplia, l’observant avec beaucoup d’attention pour une pièce de lingerie toute simple en coton blanc.  

 

- Tu n’es vraiment pas drôle…, soupira-t-il, inspirant l’odeur du textile.  

- Je connais ta capacité à rester concentré alors si je veux espérer avoir fini ce soir, il vaut mieux que je ne me plie pas à toutes tes doléances…, le sermonna-t-elle, le regard malicieux.  

- Oui mais une de temps à autre, ça ne fait pas de mal., objecta-t-il.  

- Une de temps à autre nous a fait déjà prendre pas mal de retard si tu te souviens bien., lui rappela-t-elle.  

 

Il ne répondit pas mais lui adressa un sourire coquin et assez satisfait en repensant lui aussi à leurs apartés sensuelles de la journée.  

 

- Tu sais ce qu’on dit : il n’y a pas de mal à se faire du bien., finit-il par lâcher en se relevant.  

- Oui mais on dit aussi que tout vient à point à qui sait attendre., rétorqua-t-elle, plongeant dans son armoire pour récupérer d’autres vêtements.  

- Moi, je suis à point., lui fit-il savoir, se mettant juste derrière elle et posant les mains sur ses hanches.  

 

Kaori frissonna en sentant son membre dur contre ses fesses mais se redressa cependant sans chercher à perdre le contact.  

 

- Je savais que j’aurais dû faire ça en étant seule…, pipa-t-elle avec un sourire mutin.  

- Tu y aurais pris beaucoup moins de plaisir., lui dit-il, posant les lèvres sur sa nuque.  

- Et surtout beaucoup moins de temps que tu aurais pu mettre à profit…, lui opposa-t-elle.  

- Je n’aurais pas eu le plaisir de pouvoir fouiller dans tes affaires légitimement., insista-t-il, empaumant ses seins.  

- Comme si tu avais encore besoin de savoir ce qu’il y a dans mon armoire…, laissa-t-elle échapper, ondulant contre son mokkori.  

- Je ne connaissais pas ton dernier pyjama., objecta-t-il, sentant son excitation grandir sous ses doigts.  

- Certes mais j’ai retrouvé quelques otages dans ton armoire., lui fit-elle remarquer.  

 

Il la tourna vers lui et l’embrassa langoureusement, mêlant leurs langues avec avidité. Plaquée contre l’armoire, son corps pressé contre le sien, Kaori se laissa faire obligeamment, ne refusant pas ce nouveau rapprochement entre eux.  

 

- Je n’avais fait qu’anticiper certaines évolutions., chuchota-t-il contre ses lèvres quand il s’écarta d’elle, un regard de braise posé sur elle.  

- Menteur…, souffla-t-elle avec un sourire amusé.  

- Mais je ferai semblant de te croire., ajouta-t-elle, nouant les bras autour de son cou.  

 

Elle se sentit soulever par deux bras puissants et ceignit ses hanches de ses jambes. Il leur fallut moins d’une minute pour arriver dans l’autre chambre, ne prenant même pas la peine de refermer la porte, et une autre minute pour se déshabiller mutuellement tout en s’embrassant. Ils se retrouvèrent nus l’un contre l’autre, les lèvres scellées, les mains courant sur leurs corps sans retenue avant de trouver le lit sur lequel ils laissèrent leurs sentiments s’exprimer physiquement.  

 

- Qu’est-ce que tu attends ?, demanda Mick à Saeko alors qu’il arrivait sur le palier.  

- J’ai frappé mais personne ne répond., lui apprit-elle.  

- Ils sont peut-être sortis. Je reviendrai plus tard., fit-elle.  

- Ils n’ont pas mis le nez dehors depuis le réveillon., l’informa Mick.  

- Tu les surveilles ou quoi ?, l’interrogea l’inspectrice.  

- Moi ? Non !, fit-il d’une voix traînante.  

- Enfin… un peu… Bon d’accord, je voulais savoir à quel point c’était sérieux cette histoire. S’il a réussi à empêcher Kaori d’aller à la gare, c’est que c’est vraiment parti…, conclut-il.  

- Tu en penses quoi ?, lui demanda-t-il malgré tout, soucieux.  

 

Saeko le regarda puis la porte comme si elle pouvait voir à travers le couple évoluer. Elle remit une mèche en place, toujours pensive.  

 

- Je pense que c’est bien parti effectivement. Mais avec ces deux-là, c’est parfois le calme avec la tempête. Si ça se trouve, Kaori est seule et fomente une vengeance contre Ryô., fit-elle, les bras croisés et un doigt sur ses lèvres.  

- Je dis qu’il faudrait qu’on entre et qu’on s’en inquiète. Ce serait dommage de ne pas intervenir si leur histoire risque de capoter., suggéra Mick.  

- Je ne peux rentrer chez les gens sans leur accord, je suis inspectrice de police., objecta Saeko d’un air digne.  

- Ca te préoccupe maintenant ?, ironisa l’américain, un sourcil levé.  

 

Elle eut l’obligeance de ne pas répondre et de paraître un peu gênée.  

 

- Regarde, la porte est ouverte. Il n’y a pas d’effraction., fit Mick d’un air innocent après avoir tourné la poignée de la porte.  

- Ce n’est pas comme s’ils ne prenaient jamais la peine de fermer la porte à clef après tout…  

- C’est vrai. Bon, allons-y. C’est vrai qu’ils étaient mignons ensemble tous les deux vendredi soir. Ca serait dommage de les laisser gâcher tout ça., fit Saeko, passant devant lui.  

- Personne en bas., constata Mick à voix basse.  

 

L’inspectrice revenant de la cuisine acquiesça et ils regardèrent tous les deux vers l’étage.  

 

- Tu sais que si Kaori n’est pas seule, on risque de les trouver dans une situation compromettante ?, lui fit remarquer Saeko.  

- Je sais…, ricana Mick, la bave aux lèvres.  

- Hmmm. Je sais… mais je suis vraiment inquiet pour Kaori., se reprit-il, très sérieux.  

- Tu m’en diras tant…, pipa-t-elle.  

- Bon, on va voir mais si on entend quoi que ce soit qui laisse suggérer qu’ils sont dans un moment intime, on redescend immédiatement., le prévint-elle.  

- Parole de scout !, lui promit-il.  

- Tu n’as jamais été scout…, lui fit-elle remarquer.  

- Comment tu le sais ?, s’étonna-t-il faussement.  

 

Elle leva les yeux au ciel et ne prit pas la peine de répondre avant de monter les escaliers. Ils examinèrent les pièces annexes avant de se diriger vers la chambre de Kaori. La porte étant ouverte, ils purent voir les portes de l’armoire grandes ouvertes, le linge éparpillé par terre et sur le lit. Sans un mot, Saeko sortit son arme mais Mick fonça dans la pièce et se vautra dans le linge, attrapant les sous-vêtements sortis et les portant à son nez. Jugeant qu’il n’y avait pas de danger de ce côté-là, elle avança vers la dernière porte, la chambre de Ryô dont la porte était aussi ouverte. Hésitant mais un peu curieuse malgré tout, elle jeta un œil dans la pièce et vit les vêtements éparpillés par terre puis le couple tendrement enlacé sous les couvertures, s’embrassant. Elle sourit, touchée par leur sérénité et leur complicité apparentes. Elle rangea son arme, déposa un carnet sur le sol et rebroussa chemin.  

 

Elle trouva Mick, bavant sur un soutien-gorge, et l’assomma d’une massue trouvée dans l’armoire avant de le prendre par le col et le traîner hors de là.  

 

- Aïe ! Ouille ! Aïe ! Ouille !, lâcha-t-il à chaque marche descendue.  

 

Saeko le jeta sur le palier avant de prendre la clef et de verrouiller la porte, glissant le sésame en dessous avant de partir.  

 

- Tu l’as vue ? Elle est en sécurité ?, fit Mick.  

- Elle est protégée de très près… ce qui n’est pas le cas de ses sous-vêtements…, répondit Saeko, tirant sur une bretelle de soutien-gorge dépassant de la poche de l’américain.  

- Je ne sais vraiment pas comment s’est arrivé là…, se défendit-il, prenant un air bête.  

- Je me le demande…, soupira-t-elle avant de s’en aller.  

- Attends ! Tu as vu qu’il a mis des revues érotiques en carton ?, lui demanda-t-il, courant après elle.  

- C’est vrai ? J’avais bien vu un carton mais pas ce qu’il y avait dedans…, admit-elle.  

- Je vais peut-être pouvoir les lui demander… Ce serait dommage de jeter tout ça…, ricana Mick, se frottant les mains.  

 

Ignorant la conversation qui se tenait quelques étages plus bas, le couple toujours enlacé échangea un regard.  

 

- Ils sont partis, tu crois ?, demanda Kaori à son compagnon.  

- Oui. Heureusement que c’est Saeko qui est venue voir et pas Mick. J’aurais été forcé de quitter mon repaire préféré., fit-il d’un ton coquin.  

 

Il la fit basculer sur le dos, se mouvant en elle comme ils le faisaient lorsque l’entrée de leurs amis les avait poussés à s’interrompre. Ryô avait été prêt à se lever pour aller les foutre à la porte mais Kaori avait refermé la couverture sur eux puis l’avait embrassé et il n’avait plus vu l’urgence de se lever. Si les choses s’arrêtaient là, c’était aussi bien ainsi. S’il avait fallu plus, alors il se serait défait de cette étreinte… à regrets.  

 

- Pourquoi ils sont venus d’après toi ?, l’interrogea-t-elle, quelques temps plus tard alors qu’ils se reposaient dans le lit.  

- Curiosité pour l’un et pour l’autre… je ne sais pas. Peut-être qu’elle avait un travail à me confier mais je ne suis pas pressé de le savoir., lui répondit-il, les doigts glissés dans ses cheveux, jouant avec.  

- Moi non plus. Je suis bien ici dans tes bras., soupira-t-elle, se sentant à sa place.  

- Et dire que tu voulais te priver de ce moment…, la taquina-t-il.  

- Je voulais travailler de manière efficace…, se défendit-elle.  

- Tu es beaucoup trop rationnelle… Il faut savoir profiter des bons moments quand ils sont là., lui dit-il, caressant son visage.  

- J’ai compris, Ryô. J’ai compris et je ferai en sorte de m’en souvenir., lui promit-elle.  

- Et moi, je ferai en sorte de m’adapter à ta façon d’être aussi. Ca va dans les deux sens après tout., lui répondit-il.  

 

Touchée, elle l’embrassa avant de reposer la tête sur son torse. Ils restèrent encore un moment alanguis avant de se décider à se lever de nouveau.  

 

- Je vais te laisser finir de déménager et je vais aller jusqu’à la gare. Tu auras au moins ce temps-là pour avancer., lui dit-il.  

- Il me faut une petite heure et ce sera fini., lui fit-elle savoir.  

- D’accord. Je m’occuperai pendant ce temps-là., fit-il avec un clin d’oeil.  

- Au fait, une heure, ça comprend aussi le temps de bouger tes massues ?, lui demanda-t-il.  

- Tout dépend… J’en aurais encore besoin ?, lui retourna-t-elle.  

- On ne pourra pas s’afficher à tout va mais, non, tu n’en auras plus besoin., lui affirma-t-il.  

 

Il l’enlaça et l’embrassa avant de la laisser. Elle le regarda, une boule au ventre malgré ses promesses. Ryô était un homme avec ses besoins et ses habitudes. Elle avait suffisamment confiance en lui pour ne pas aller coucher avec une autre mais pour ne pas draguer, c’était autre chose. Il y avait suffisamment de femmes plus belles qu’elle pour le tenter et c’était un jeu pour lui. Elle se reprit. Elle ne devait pas penser au pire, elle devait juste lui faire confiance pour la surprendre comme il l’avait fait avec Azor et Zora.  

 

Comme promis, une heure plus tard, elle avait fini. Contemplant ses affaires dans l’armoire de Ryô, elle se souvint du moment où son cœur avait battu plus fort que de raison.  

 

- Ce lit me semble enfin parfaitement dimensionné depuis que tu y es., lui avait-il dit alors qu’ils venaient de se réveiller.  

 

Il l’avait enlacée, embrassant son épaule dénudée.  

 

- Tu vas me dire que tous les jours où j’ai dû te réveiller vers midi, tu n’étais pas bien dans ton lit ?, avait-elle répondu, dubitative.  

- Si mais aujourd’hui, c’est le deuxième meilleur matin de ma vie., lui avait-il avoué.  

 

Elle s’était sentie rosir de plaisir et avait réussi à avoir le courage de lui répondre.  

 

- Moi aussi. Je me sens bien ici avec toi… dans tes bras.  

- Alors ne change plus de lit. Reste dormir ici avec moi., lui avait-il proposé.  

 

Elle s’était retournée dans ses bras et avait plongé dans son regard gris sombre.  

 

- Tu es sûr de toi ? On a le temps., lui avait-elle opposé, craignant qu’il ne regrette une décision prise à la va-vite.  

 

Il lui avait souri, avait caressé son visage, serein, calme, avant de la serrer contre elle.  

 

- Le temps… J’en ai eu assez pour réfléchir et savoir ce que je voulais. Il me fallait juste un bon coup de pied dans les fesses pour me décider et penser que je te perdais, ça a eu cet effet-là., avait-il admis.  

- Je ne t’aurais jamais quitté, idiot., avait-elle soupiré, nichant sa tête contre lui.  

- Je n’arrive pas à y croire… même encore maintenant., lui avait-il confié.  

- Reste dormir avec moi, Kaori. Je veux m’endormir contre toi et me réveiller contre toi.  

- Toutes mes affaires sont dans ma chambre., lui avait-elle rappelé.  

- Alors, amène-les ici. Il y a de la place dans mon armoire… sauf pour tes massues., avait-il plaisanté.  

 

Elle l’avait observé, incertaine, mais elle s’était laissée gagner par sa sérénité, sa confiance et elle avait fini par acquiescer.  

 

- D’accord… C’est d’accord…, avait-elle soufflé.  

- Cool…, avait-il lâché avec un sourire éclatant comme celui d’un enfant devant une glace.  

- Ca se fête…, avait-il annoncé, venant l’embrasser.  

 

Ca ne s’était pas arrêté là mais elle avait vraiment eu la sensation qu’il s’était concentré sur son plaisir, qu’il avait eu besoin de lui dire merci de cette manière et elle en avait été touchée.  

 

- Tu as fini ?, entendit-elle soudain.  

 

Elle sursauta, sortie de ses rêveries, et croisa le regard chaud de son partenaire. Elle ferma les portes de l’armoire et alla l’enlacer.  

 

- Oui. Tout y est et tu auras même encore un peu de place., lui affirma-t-elle.  

- Je n’ai pas besoin de plus de place. En avoir moins me va encore mieux., lui assura-t-il.  

- Donc tu as fini…, reprit-il.  

- Oui…, lui répéta-t-elle.  

- Cool… Ca se fête…, lui fit-il savoir avant de l’embrasser.  

 

Elle noua les bras autour de son cou et répondit à son baiser avec empressement. Leurs lèvres se happèrent, glissèrent les unes sur les autres, pendant que les mains commençaient à voyager sur leurs corps.  

 

- Pourquoi j’ai l’impression que ça va finir comme ce matin ?, lui demanda-t-elle quand ils se séparèrent.  

- Parce que ça va finir comme ce matin., répondit-il avec un sourire narquois.  

- Au fait, il n’y avait pas de message au tableau., lui apprit-il, la soulevant par les fesses.  

- Pas de travail égale plus de loisirs., répliqua-t-elle avec un sourire mutin.  

- Tu apprends vite., apprécia-t-il.  

 

Il la posa sur le lit et s’allongea sur elle, cherchant de nouveau sa bouche. Il l’effleura, embrassa sa joue avant de se redresser légèrement pour la regarder.  

 

- Mes yeux peuvent enfin se repaître à leur faim. Aucune femme n’a trouvé leur grâce pendant ma petite balade et pourtant, j’en ai rencontrées bon nombre., lui apprit-il.  

 

Elle lui sourit, rassurée et enchantée par le compliment, et l’attira à elle.  

 

- Alors donnons leur ce dont ils ont besoin sans attendre., lui suggéra-t-elle.  

 

Ils s’embrassèrent avant de commencer à se déshabiller. Caressant les fesses de son partenaire, Kaori sentit une épaisseur qui n’y était pas lorsqu’il s’était habillé et extirpa un calepin de sa poche de jean.  

 

- Qu’est-ce que c’est ?, l’interrogea-t-elle, étonnée, la chose lui disant vaguement quelque chose.  

- Le carnet à coups de Saeko… Elle l’a laissé ce matin. Elle a dû se dire que ça ne lui serait plus d’aucune utilité., répondit-il avant de poser les lèvres sur sa nuque.  

- Tu vas le lui rendre ?, le questionna-t-elle.  

- Pour quoi faire ? Ca ne m’est plus d’aucune utilité puisque tu es là et qu’on est ensemble., répliqua-t-il.  

- D’ailleurs, c’est ce que m’a dit aussi Mick en me demandant s’il pouvait récupérer le carton avec les revues érotiques qui traînait dans le salon…, lui apprit-il avant de saisir la pointe de son sein et de la triturer délicatement.  

 

Même si elle était plus concentrée sur le plaisir qu’il lui donnait que l’avenir dudit carton, elle croisa son regard qui lui faisait comprendre qu’il attendait la question qui devait logiquement venir.  

 

- Et que lui as-tu répondu ?, lui demanda-t-elle donc, légèrement haletante.  

- Qu’on ne donne pas ses cadeaux de Noël… C’est très impoli… même s’ils n’ont plus le même intérêt pour moi…, conclut-il.  

 

Elle lui sourit et l’attira contre elle pour l’embrasser. Le temps de la conversation était fini. Celui de l’action était venu. 

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de