Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 31 chapitres

Publiée: 01-12-21

Mise à jour: 31-12-21

 

Commentaires: 25 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: C'est l'histoire de deux nettoyeurs et un chien...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un beau cabot de Noël" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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Qu'est-ce qu'une fanfiction NC-17 ?

 

Un fanfiction NC-17 est interdite aux moins de 18 ans. La violence est autorisée, et les scènes d'amour peuvent être descriptives. Le contenu peut être considéré comme strictement réservé à un public adulte. La façon de percevoir ce genre de choses reste subjective, donc certains seront plus vite choqués que d'autres. Nous essayons de respecter certaines limites pour les fanfictions R, mais nous pouvons lais ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Un beau cabot de Noël

 

Chapitre 22 :: Chapitre 22

Publiée: 22-12-21 - Mise à jour: 22-12-21

Commentaires: Bonsoir, voici la suite de ce calendrier de l'avent. Plus que deux jours avant le réveillon de Noël. Comment s'en sortent nos chouchous avec leurs toutous? Comment évolue leur relation? Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 22  

 

Mercredi 22 décembre.  

 

- Regarde-les… Ils sont si beaux tous les deux ensemble., murmura Kaori, se lovant contre son partenaire.  

 

Elle regardait les chiens qui jouaient ensemble tranquillement. Zora avait été débarrassée de sa collerette le matin même et, après un temps passé à la surveiller de près pour qu’elle ne touche pas trop à sa cicatrice, ils l’avaient laissée tranquille. Allongés dans le divan, l’un contre l’autre, après le déjeuner, le couple profitait d’un moment de calme en regardant seulement les animaux s’ébattre joyeusement.  

 

- Oui, c’est vrai. J’adore le spectacle., fit-il à son oreille, se préoccupant moins des chiens que de la jeune femme dans ses bras pour laquelle il craquait.  

 

Il posa les lèvres sur sa tempe, descendant sur sa joue quand elle tourna légèrement le visage vers lui. Voulant garder la maîtrise, il s’arrêta là, esquissant un sourire chaud et intime.  

 

- Très beau spectacle., murmura-t-il, contemplant ses joues légèrement rosies, son regard lumineux.  

- Je trouve aussi., fit-elle, se tournant complètement vers lui.  

 

Elle posa les doigts sur son front et le caressa avant de descendre sur son nez, sa joue. Elle traça doucement le contour de ses lèvres qui s’écartèrent légèrement. Imaginait-elle à quel point elle brisait ses résistances une à une ? Ce simple toucher électrisait ses sens et il ne savait combien de temps il garderait encore la maîtrise de ses sens…  

 

- Tu joues avec le feu, partenaire…, la prévint-il.  

- J’ai été dans des situations beaucoup plus dangereuses…, lui rappela-t-elle.  

- Entre mes bras, jamais. Tu atteins mes limites, Kaori., lui dit-il.  

- Je ne veux pas atteindre tes limites. Je veux qu’on repousse nos limites ensemble. Je veux qu’on soit plus forts ensemble., lui affirma-t-elle.  

- Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée, Kaori., lui assura-t-il, la serrant contre lui.  

- Toi aussi., répondit-elle, fermant les yeux contre son torse, entendant son cœur battre.  

 

Elle l’entendit rire cyniquement et leva les yeux, déçue de devoir quitter ce point chaud et rassurant.  

 

- Tu ne me crois pas, n’est-ce pas ?, murmura-t-elle.  

- Comment je pourrais être la meilleure chose qui te soit arrivée, Kaori ? Tu avais une vie normale, calme, loin du danger, une vie où tu pouvais espérer te marier et avoir des enfants, ne pas avoir des mecs qui t’enlèveraient, te tireraient dessus, j’en passe et des meilleures…, ironisa-t-il, tournant le regard vers le plafond alors qu’il se sentait incapable de la regarder en face.  

- J’ai une confession à te faire., lui avoua-t-elle soudain.  

 

Surpris, il tourna la tête vers elle, le regard sombre. Qu’allait-elle lui avouer ? Il pensait tout savoir d’elle même son amour pour lui alors quel secret avait-elle encore ?  

 

- Tu as caché un autre chien dans les pièces du bas ?, lui demanda-t-il avec un sourire pour masquer son anxiété.  

- Peut-être… Non…, lui assura-t-elle en riant à son regard courroucé.  

- Je… Je suis tombée amoureuse quand j’avais seize ans., lui apprit-elle, lui lançant un petit regard avant de rebaisser les yeux et lisser un pli sur son tee-shirt, un peu nerveuse.  

 

C’était idiot, se dit-elle, puisqu’il connaissait déjà l’histoire.  

 

- Tu m’as déjà fait le coup de la jalousie, Kaori., lui rappela-t-il, fronçant les sourcils, faussement sévère.  

- Tais-toi et écoute., le sermonna-t-elle gentiment.  

- Je suis tombée amoureuse d’un homme que je prenais pour un salaud pervers et qui s’est avéré être un type plutôt bien., commença-t-elle avec un petit sourire.  

- J’ai eu de la chance de retrouver cet homme quelques années plus tard. Il n’avait pas beaucoup changé mais depuis, je l’ai vu évoluer, je l’ai vraiment découvert et je n’en suis plus amoureuse. Je l’aime., lui dit-elle, plongeant dans son regard.  

- Tu m’entends, je l’aime. Il est en moi, dans chaque fibre de mon corps, de mon cœur.  

 

Elle se tut et prit sa main dans la sienne, contemplant leurs doigts qu’il entrelaça, avant de relever les yeux vers lui.  

 

- Je t’aime, Ryô, depuis que j’ai seize ans. Je n’aurais pu rencontrer quelqu’un d’autre après que nos chemins se soient croisés. Ma vie sans toi… Ca aurait été comme être morte de l’intérieur., lui avoua-t-elle.  

- Mais je ne t’ai pas facilité la vie pourtant…, murmura-t-il, le cœur serré par son aveu.  

- Je m’en fiche. Je suis bien avec toi. Tu as l’impression que je compromettrais ma vie avec toi. Moi, j’ai la sensation que je vais enfin la vivre., lui affirma-t-elle.  

- Alors… si tu cessais de te tourmenter ?, lui suggéra-t-elle.  

 

Il l’observa et sourit même s’il n’était pas tout à fait convaincu d’être bien pour elle. Malgré tout, il ne reculerait plus maintenant. Il ne voulait plus lui faire de mal en reculant à nouveau. Il lui en ferait peut-être si leur histoire foirait mais au moins ils auraient essayé et, après ce qu’elle venait de lui dire, ça lui permettrait certainement de tourner la page s’il devait y avoir un après.  

 

Kaori caressa sa joue et glissa les doigts dans sa chevelure sombre, si douce et soyeuse. Elle le regarda et se sentit enfin le courage de faire ce dont elle avait envie. Elle approcha de lui et posa les lèvres sur les siennes. Ryô frémit à ce premier contact comme il sentit sa partenaire le faire lorsqu’il répondit à son baiser. Il passa un bras dans son dos pour la tenir encore plus près de lui, être sûr qu’il ne rêvait pas. Il avait échafaudé plein d’hypothèses pour leur premier baiser, une branche de gui le soir de Noël, un matin au réveil, après un dîner romantique, mais finalement, c’était le bon moment, le meilleur moment qui soit, spontané, intime, discret comme ils avaient toujours su l’être.  

 

- C’était…, murmura Kaori, s’écartant de lui, le souffle court.  

- Magique ?, proposa Ryô à mi-voix, se disant qu’elle penserait un truc du genre, ne voulant pas s’avouer que c’était ce que lui-même avait pensé.  

- J’allais dire parfait., admit-elle, le regard pétillant.  

- Mais… Je me demande si je n’ai pas rêvé., pipa-t-elle, se mordillant la lèvre.  

 

Il la caressa du pouce, la libérant, avant de se pencher sur elle et de l’embrasser à nouveau. Leur baiser se fit plus sauvage, leurs lèvres se pressèrent, s’effleurèrent, se mordillèrent avant de s’écarter. Rouvrant les yeux au même moment, ils s’observèrent avant de se lancer à l’assaut de l’antre de l’autre. Kaori gémit sous les caresses douces et sensuelles que lui prodiguait son compagnon. C’était… divin…, se dit-elle alors que ses doigts glissaient des cheveux aux épaules de Ryô.  

 

Ce dernier n’était pas en reste. Ses mains d’abord fermement posées sur les reins de sa partenaire commencèrent à voyager sur le reste de son dos avant de partir en exploration de ses épaules, ses fesses, ses cuisses. C’était comme il l’avait prévu, il perdait doucement toute mesure. Maintenant qu’il avait goûté au fruit défendu, il ne voulait plus s’arrêter. Il avait envie de tellement plus. Il ne voulait pas seulement ses lèvres mais goûter sa peau, la toucher et pas seulement les endroits accessibles à l’instant présent. Il voulait la caresser et sentir ses mains sur son corps, savoir si c’était aussi doux que dans ses rêves. Il voulait fusionner avec elle, se perdre en elle, crier son prénom en la regardant droit dans les yeux et non dans ceux d’un de ces substituts anonymes.  

 

Kaori se sentait aux anges, volant dans une bulle chaude et sensuelle où elle perdait tout sens de la réalité. Elle sentait que les choses allaient devenir sérieuses entre eux et, comme elle l’avait senti, elle n’avait pas peur. Elle se sentait en confiance dans les bras de son partenaire même s’il se montrait empressé. Elle en était même flattée même si elle se mit à rougir en ressentant quelque chose contre sa cuisse.  

 

- Dis…, interpela-t-elle Ryô, s’écartant légèrement de lui.  

- Je suppose que ce n’est pas ton magnum que je sens…, fit-elle, lui lançant un regard malicieux légèrement voilé.  

 

Il posa les lèvres dans son cou, le parcourut avant de remonter jusqu’à ses lèvres.  

 

- Non…, souffla-t-il avant de les reprendre avec avidité.  

- Tu veux qu’on arrête là ?, lui demanda-t-il, se raccrochant aux dernières bribes de maîtrise de lui qu’il pouvait encore avoir.  

 

Elle le contempla avec un sourire ravi et caressa sa joue, se sentant encore plus en confiance.  

 

- Non, tout va bien., lui affirma-t-elle, sereine.  

- Tu es sûre ? Je peux encore m’arrêter, ce qui ne sera plus le cas dans quelques minutes., lui avoua-t-il.  

- Oui, je suis sûre., lui dit-elle, se redressant un peu pour se mettre sur lui à califourchon.  

 

Elle posa les doigts sur les boutons de son chemisier et le déboutonna lentement sous le regard attentif de Ryô.  

 

- Laisse-moi faire., lui dit-il alors qu’elle attrapait le tissu pour le faire glisser sur ses épaules.  

 

Elle retira les mains et sentit les siennes se posaient sur son ventre. Il explora lentement la zone avant de remonter le long de ses côtes. Kaori ferma les yeux lorsque ses mains effleurèrent sa poitrine mais il ne s’arrêta pas et remonta jusqu’à ses épaules et les dégagea de son chemisier qu’il fit glisser le long de ses bras.  

 

- Encore plus belle que dans mes rêves., soupira-t-il, caressant ses mains.  

 

Transportée par ses paroles, elle se pencha sur lui et l’embrassa langoureusement avant de Ryô ne la fasse basculer sur le dos. Ils se sentaient seuls au monde, indifférents à tout ce qui les entouraient mais soudain…  

 

- Kyyyyyyyyyyyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !, hurla Kaori, sentant une langue humide la lécher juste en dessous de son soutien-gorge sur le côté.  

 

Ryô bondit du fauteuil et vit Azor s’enfuir en courant.  

 

- Az… aaaaaaaaaaaaaaïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuhhhhhhhh !, put-il seulement crier lorsque Zora lui sauta dessus, attrapant son mokkori dressé entre les dents.  

 

Kaori vit la scène avec horreur, Ryô virer au bleu avant le blanc alors que la chienne tentait de le secouer comme elle l’avait fait avec le mannequin.  

 

- Zora, arrête !, lui ordonna-t-elle, terrifiée de ce que la chienne pouvait infliger comme dégât à son compagnon.  

- Zora, couchée !, fit-elle d’une voix ferme et sévère en deuxième tentative.  

 

La chienne, surprise par le ton employé par la jeune femme, s’arrêta et la regarda.  

 

- Couchée !, répéta Kaori, lui indiquant la couche.  

- Ryô ?, s’inquiéta-t-elle, le prenant par les épaules.  

- Putain, ça fait mal…, grogna-t-il, plié en deux.  

- Ca me faisait marrer d’entendre cette histoire mais beaucoup moins de la vivre., murmura-t-il.  

- Viens, je t’emmène chez le Professeur., lui dit-elle, inquiète.  

- Même pas en rêve !, gronda-t-il, lui adressant un regard outré.  

- Ca peut être grave., souffla-t-elle.  

 

Il sentit l’inquiétude dans sa voix et prit sur lui pour se redresser un peu.  

 

- Elle n’a pas percé le jean. Ca fait mal mais ça passera. Tu peux m’apporter de la glace ?, lui demanda-t-il d’une voix où sa douleur transparaissait moins.  

- J’y vais. Je reviens. Zora, tu ne bouges pas !, lui ordonna-t-elle, méfiante de la chienne qui posa la tête sur ses pattes.  

 

Elle attrapa le bac à glaçons dans le frigo et le vida dans une poche qu’elle ramena dans le salon. Elle n’eut pas le temps de dire un mot que le téléphone sonna et, Ryô lui faisant signe, elle alla répondre.  

 

- J’arrive pas à croire que tu me laisses en plan ainsi !, entendit-elle Miki hurler d’une voix où la colère se mêlait à l’excitation.  

- On avait rendez-vous ?, s’étonna Kaori, ne se souvenant pas en avoir fixé un.  

- Non ! Mais devoir apprendre par Mick que tu étais enfin en couple avec Ryô ! Franchement, tu aurais pu venir me le dire ! Alors c’est comment ?, l’interrogea la barmaid.  

- Mais comment Mick sait qu’on est en couple ? Ca vient juste d’arriver ?, lui retourna la rouquine.  

- Ne mens pas ! Il est arrivé il y a deux jours tout en foufette et il nous a expliqué que Ryô avait le nez dans ta culotte. D’ailleurs, c’est pas très glamour de sa part…, remarqua-t-elle, le ton rieur malgré tout.  

 

Kaori revint deux jours en arrière et se rappela de la scène et comprit l’incompréhension.  

 

- Non, il ne s’est rien passé il y a deux jours… à part qu’on a découvert l’identité du lécheur à mes dépens., expliqua-t-elle, stoïque.  

- Arrête… Je ne te crois pas. Ce n’est pas la peine de chercher à te couvrir…, répliqua Miki.  

- Je ne cherche pas à me couvrir. C’était Azor le lécheur et on l’a découvert parce qu’il m’a léché la cuisse. Ryô était là et c’est juste une coïncidence que Mick soit arrivé au moment où il regardait ce qu’il s’était passé., la contra la rouquine.  

 

Elle entendit le long silence qui accueillit son explication.  

 

- Alors, vous n’êtes pas en couple depuis deux jours ?, fit Miki d’un ton plus réservé.  

- Eh non… Si tu veux bien m’excuser, le mokkori de Ryô a été blessé par ma faute. Il faut que je m’en occupe. À bientôt, Miki., la salua-t-elle d’un ton amusé.  

 

Elle raccroche et se tourna vers son partenaire qui lui lança un regard pétillant malgré la douleur qu’il ressentait toujours.  

 

- Tu tends le bâton pour te faire frapper., lui fit-il savoir.  

- Je sais mais je ne pouvais laisser une erreur de jugement durer plus longtemps… ni laisser mon amie s’inquiéter plus longtemps pour ma vie amoureuse., lui répondit-elle avec un sourire.  

- Tiens, enfile ça avant qu’Azor soit de nouveau tenté., lui dit-il, lui lançant son chemisier.  

- Je ne pourrais le blâmer parce que la vue est plus que tentante. Je vais cependant éviter de t’en faire la preuve. Je ne voudrais pas tenter notre amie là-bas., fit-il, lançant un regard sans colère vers Zora tout en gardant une main sur le sac de glaçons posé sur son entrejambe.  

- Je te trouve bien calme après ce qu’elle t’a fait., fit-elle remarquer, se rhabillant.  

- Je ne dirais pas que je ne suis pas frustré d’avoir été interrompu dans notre élan… mais je la comprends., lui répondit-il.  

 

Fronçant les sourcils, Kaori vint s’asseoir près de lui, appréciant son bras qui vint entourer ses épaules.  

 

- C’est vrai que tu as parlé d’une histoire… Tu m’expliques ?, lui demanda-t-elle.  

- Il y a quelques mois on a parlé de plusieurs hommes qui s’étaient fait « choper » par les parties intimes par un chien alors qu’ils étaient en bonne compagnie. A bien y réfléchir, ça fait quelques semaines qu’il n’y avait pas eu de nouvel incident., pensa-t-il à voix haute.  

- Peut-être depuis qu’elle a rencontré Azor… ou qu’elle a été blessée., suggéra Kaori, posant la tête sur son torse.  

- Ca, on ne le saura jamais sauf si tu m’as caché des talents secrets…, la taquina-t-il.  

- J’espère bien t’en avoir caché mais parler aux animaux n’en fait pas partie…, lui répondit-elle, levant le visage vers lui.  

 

Il baissa le sien vers elle et l’embrassa. Malgré son envie, elle évita d’approfondir les choses et s’écarta quand elle sentit qu’elle commençait à perdre le contrôle.  

 

- Tu penses que tu mettras longtemps à t’en remettre ?, lui demanda-t-elle, caressant sa cuisse du bout des doigts.  

- A peine plus que lorsque je me prends un coup de massue… mais il faudra éviter d’inciter Zora à me sauter dessus. Ce ne sont pas ses lèvres à elle qui m’attirent…, fit-il avec un sourire coquin.  

 

Kaori rougit, se demandant si elle trouverait le courage d’aller au bout de ses désirs. Celui-là était certainement faisable mais il y en avait peut-être d’autres qu’elle n’oserait jamais entreprendre. 

 


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