Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 31 chapitres

Publiée: 01-12-21

Mise à jour: 31-12-21

 

Commentaires: 25 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: C'est l'histoire de deux nettoyeurs et un chien...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un beau cabot de Noël" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un beau cabot de Noël

 

Chapitre 17 :: Chapitre 17

Publiée: 17-12-21 - Mise à jour: 17-12-21

Commentaires: Bonsoir, voici la suite de l'histoire. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 17  

 

Vendredi 17 décembre.  

 

- Prise en flagrant délit de fainéantise…, fit Ryô, descendant les escaliers.  

 

Kaori le regarda en souriant. Elle se sentait bien, détendue, de bonne humeur même s’il n’y avait toujours pas de travail en vue. Elle avait deux chiens dont elle devait s’occuper et une relation en évolution avec son partenaire.  

 

- De rêvasserie tout au plus…, se défendit-elle.  

- Et tu rêves à quoi ?, lui demanda-t-il.  

- Pas grand-chose. En fait, je regarde Azor et Zora. Ils sont mignons tous les deux., lui dit-elle avec de la tendresse dans la voix.  

 

Le nettoyeur observa les deux chiens allongés l’un à côté de l’autre. Zora avait posé sa tête à côté de celle d’Azor et dormait alors qu’il la regardait d’un air protecteur. Il avait un sentiment de familiarité avec la scène. Un peu mal à l’aise mais passant au dessus du sentiment, il vint s’asseoir derrière elle et, avant de perdre tout courage, l’enlaça.  

 

- Ryô ?, s’étonna Kaori.  

- Tu crois qu’on est aussi… mignons ?, lui demanda-t-il, butant sur le dernier mot qui lui semblait bien trop sirupeux.  

 

Elle se sentit sourire à sa question, sentant sa gêne également dans la tension qui habitait ses gestes.  

 

- Non, je ne crois pas… On manque de poils…, plaisanta-t-elle, ce qui le détendit.  

- Mais c’est très agréable., lui avoua-t-elle, se laissant aller contre son torse.  

- Je trouve aussi., admit-il.  

 

Ils restèrent ainsi silencieux pendant un mot, regardant les chiens, appréciant leur proximité nouvelle qui avait été encouragée par leur grande discussion dans l’escalier la veille.  

 

- Tu… Tu attends vraiment une réponse ?, lui avait-il demandé.  

- Si je te pose la question, bien évidemment., lui avait-elle retourné, régnant sur son agacement.  

 

La situation était inédite et sensible. Un seul faux pas et Ryô risquait de se défiler alors que tout pouvait changer entre eux. Il avait hésité, l’avait observée avant de détourner le regard, de revenir sur elle pour regarder de nouveau ailleurs avant de la regarder de nouveau, se décidant à lui parler. Pendant tout ce temps, elle avait attendu patiemment même si c’était dur et que l’attente lui paraissait interminable.  

 

- Ton véto…, avait-il fini par lâcher du bout des lèvres.  

- Mon véto ?, avait répété Kaori, incrédule.  

- Masa ?, lui avait-elle demandé comme pour confirmer qu’ils parlaient bien de la même personne.  

- Parce que tu en connais d’autres ?, lui avait-il retourné, levant un sourcil.  

- Non, pas vraiment, juste quelques cabinets., l’avait-elle rassuré.  

- Mais donc… tu es jaloux de Masa ?, s’était-elle étonnée.  

 

Il avait failli reculer et nier pour retrouver la stabilité de leur relation antérieure, le confort de leurs discussions à double sens, des non-dits qui évitaient de se retrouver dans des situations inconfortables comme celle-ci.  

 

- Ryô…, avait-elle soufflé, le rappelant au moment présent.  

- Pourquoi tu étais jaloux de Masa ? Tu pensais que j’avais une relation avec lui ?, lui avait-elle demandé.  

- Non…, avait-il lâché promptement avant de se reprendre.  

- Oui.  

- Mais pourquoi ?, l’avait-elle interrogé, montant une marche supplémentaire.  

- Ben… Tu étais plus légère depuis quelques jours…, avait-il commencé.  

- C’est tout ?, avait-elle dit, montant une autre marche.  

 

Elle n’était plus qu’une marche sous lui. Leurs corps se frôlaient, l’air avait semblé s’électriser quand elle avait levé le visage pour croiser son regard.  

 

- Tu lui apportais à manger., s’était-il justifié, un peu vexé qu’elle ne se défende pas plus, qu’elle ne se sente même pas un peu coupable vis-à-vis de lui.  

 

Il avait alors vu un sourire se dessiner sur ses lèvres et son regard pétiller d’amusement.  

 

- Ce n’était pas à Masa que j’apportais à manger., l’avait-elle alors informé, montant deux autres marches et se penchant vers son oreille.  

- C’était à Azor… et Zora sans que je le sache., lui avait-elle chuchoté.  

 

Il s’était senti bête en apprenant qu’il avait en fait été jaloux d’un chien. Il avait senti ses lèvres se poser sur sa joue avant de l’entendre monter. Mais soudain la colère avait fait surface parce qu’après tout, il avait été induit en erreur par Miki et elle. Au lieu de remonter clarifier les choses, il était descendu à la salle de tir et avait laissé éclater sa fureur sur le bonhomme en papier face à lui.  

 

Ryô posa le nez dans la crinière rousse et en huma l’odeur délicate. Tout aurait pu mal tourner hier si elle s’était arrêté à ce moment-là. Ca aurait été deux semaines gâchées alors qu’ils étaient sur une bonne voie et qu’il devait juste tenir bon, ne pas se réfugier derrière ses vieilles habitudes pour fuir les obstacles. Il aurait donc raté ce moment-là, cette petite interlude de douceur. Il n’aurait même pas eu l’occasion de se sentir encore plus bête que la veille.  

 

- Tu me donneras combien de droit à l’erreur ?, lui demanda-t-il, caressant son avant-bras du pouce.  

- Combien il t’en faut ?, badina-t-elle, un sourire dans la voix.  

- Autant qu’il faudra pour que tu me pardonnes toutes mes errances., répondit-il honnêtement.  

- Tu es exaucé. Je te pardonnerai tout… sauf l’infidélité., lui dit-elle.  

 

Elle n’était pas sûre de ne pas aller trop vite en lui imposant une relation exclusive alors qu’ils n’avaient pas vraiment commencé quoique ce soit mais il devait savoir qu’elle n’accepterait pas de le partager. C’était au dessus de ses forces. Elle pouvait accepter beaucoup de choses mais, s’il voulait d’elle, il n’y aurait qu’elle.  

 

Face à son silence, elle se tourna pour pouvoir le voir et croisa son regard sérieux. Il l’avait toujours su que, si un jour ils étaient ensemble, il ne devrait y avoir qu’elle et ça lui semblait toujours jouable… jusqu’à ce qu’il croise une autre femme qui lui faisait tourner la tête. Il revenait toujours vers Kaori au final mais l’espace d’un instant, son regard s’était posé sur une autre et il ne pouvait s’empêcher de se demander si ça ne durerait toujours qu’un instant ou si un jour ça s’éterniserait sachant que ce jour-là, il lui ferait du mal. Il devait donc maintenant décider s’il pouvait prendre ce risque et se faire confiance.  

 

- Je ne te demande pas d’arrêter de draguer. A l’impossible, nul n’est tenu mais tu me promets juste de ne plus en embrasser une autre et surtout de ne pas coucher avec une autre., fit-elle, anxieuse.  

- C’est bien mon intention. J’espère juste pouvoir m’y tenir., lui avoua-t-il.  

- Il faut que tu te fasses confiance comme je te fais confiance et que tu m’apprennes à avoir confiance en moi pour te donner ce dont tu as besoin., osa-t-elle lui dire.  

- Tu me donnes tout ce dont j’ai besoin., lui répondit-il, étonné.  

 

 

Elle baissa les yeux vers ses mains, triturant ses doigts. Elle se sentait rougir, se demandant comment lui expliquer son propos.  

 

- Tu… Tu es un homme et moi… une femme., balbutia-t-elle, gênée.  

- Jusque là, on est d’accord., répliqua-t-il, taquin, attrapant ses doigts et les serrant dans les siens.  

- Tu as des besoins… des attentes… et moi…, commença Kaori.  

 

Le téléphone sonna et les interrompit. Alors que Ryô grognait face au dérangement, Kaori sauta sur l’occasion de sortir d’une discussion gênante pour laquelle elle ne se sentait pas forcément prête.  

 

- C’est pour toi., lui indiqua-t-elle, lui passant le téléphone.  

- Saeko., lui apprit-elle alors qu’il se levait avec un froncement de sourcils.  

 

Il prit le téléphone et s’éloigna pour ne pas déranger les chiens. Ecoutant son amie, il regarda vers le salon, observant sa partenaire et son air anxieux. Il pensait avoir compris où elle voulait en venir mais il ne trouvait pas de paroles assez rassurantes à son goût.  

 

- Ryô, tu m’as entendue ? Je n’ai pas que ça à faire. Je ne me répéterai pas., gronda-t-elle, fâchée de son silence.  

- J’ai tout noté, ne t’inquiète pas. Merci pour ce service, Saeko. Tu déduiras de ta dette., fit-il, raccrochant.  

 

L’inspectrice observa son téléphone en clignant des yeux. Il n’avait même pas essayé de négocier pour minimiser le nombre de coups qu’elle déduirait. A quoi pouvait-il penser ? Certainement pas à la personne à qui appartenait ce chien dont il lui avait parlé. Son propriétaire était mort et enterré.  

 

- Inspecteur, c’est au sujet de l’attaque d’hier…, l’interpela un de ses collègues.  

 

Songeur, Ryô observa Azor et Zora. Il sentit plus que ne vit Kaori approcher et s’arrêter à ses côtés.  

 

- Qu’est-ce que voulait Saeko ?, lui demanda-t-elle, un peu anxieuse.  

- Rien. Elle répondait juste à une question que je lui ai posée ce matin après être allé à la gare., lui répondit-il.  

- Tu as vu Saeko ce matin ?, s’étonna-t-elle, un peu vexée de l’apprendre seulement à ce moment-là même si ce n’était pas la première fois qu’il le faisait.  

- Oui. Je l’ai interrogée sur le maître d’Azor, l’endroit où on pouvait le trouver pour lui ramener son chien., lui apprit-il.  

- Oh…, souffla la rouquine, jetant un regard triste vers le golden retriever.  

 

Elle s’était attachée à lui et, si elle savait qu’il ne lui appartenait pas, elle éprouvait malgré tout beaucoup de tristesse à l’idée de s’en séparer.  

 

- Alors où vit-il ?, se força-t-elle malgré tout à lui demander.  

- Au cimetière de Tokyo., lui apprit-il.  

- Il est mort dans un accident de voiture il y a trois mois. Il a fait un malaise au volant et son véhicule est tombé dans le fleuve. Azor était dedans mais il a pu sortir de la voiture., lui expliqua-t-il.  

- Comment le sait-on ?, s’étonna-t-elle.  

- Il revenait de chez un ami et il avait son chien avec lui. C’est la seule explication possible., conclut-il.  

- Azor est donc seul comme Zora…, souffla Kaori d’une voix triste.  

 

Une main se posa sur son épaule et l’attira contre un torse musclé. Elle se sentit un peu réconfortée et s’appuya librement contre lui.  

 

- Quoiqu’il arrive, on ne les laissera pas retourner à la rue., lui promit-il.  

- Mais je ne peux pas te promettre qu’on pourra les garder ici. Il faut qu’on y réfléchisse., l’avertit-il.  

 

Elle leva les yeux vers lui et plongea dans son regard, notant son sérieux et sa compréhension. Elle acquiesça, comprenant qu’il ne suffisait pas toujours de vouloir.  

 

- Je pourrais m’habituer à te tenir ainsi., plaisanta-t-il, pressant son épaule.  

- Moi aussi. Ca me fait du bien., admit-elle.  

- Heureusement que tu es remonté hier alors…, pipa-t-elle, lui adressant un regard chaud.  

 

Elle n’avait pas compris pourquoi il ne les avait pas suivis à l’appartement quand ils étaient rentrés. Ils discutaient, il venait de lui expliquer qu’il avait été jaloux de Masa à cause des repas qu’elle amenait à Azor et elle lui avait dit qu’il n’avait aucune raison de s’inquiéter, pourtant, il était descendu et elle avait senti sa colère monter sans en comprendre la raison. Le connaissant, elle avait préféré le laisser un peu seul, d’autant qu’elle devait s’occuper de Zora, de la mettre à l’aise dans l’appartement.  

 

A vrai dire avec la présence d’Azor, la chienne s’était vite sentie chez elle. Elle avait trouvé refuge dans le coin que le chien avait adopté et vers lequel il l’avait guidée et visiblement fatiguée par les épreuves du matin, elle s’était rapidement endormie, son compère veillant sur elle. Elle avait alors vaqué à ses occupations, relu rapidement les consignes de Masa pour les soins avant d’aller préparer à manger. Elle s’était longuement demandée si Ryô remonterait déjeuner ou s’il s’enfuirait draguer des miss mokkori pour se détendre mais il avait fini par arriver et, sans un mot, l’air fermé, il s’était assis à table.  

 

- Tu m’expliques pourquoi tu es en colère ?, avait-elle osé lui demander au bout de quelques minutes.  

 

Il avait posé ses couverts et lui avait adressé un regard noir mais elle n’avait pas baissé les yeux. Elle avait lutté pour le soutenir sans faillir.  

 

- Je n’apprécie pas qu’on se joue de moi, Kaori. Tu le sais pourtant., lui avait-il dit sèchement.  

- Au ton de ta voix, j’ai l’impression que tu me juges coupable d’une telle chose., avait-elle déclaré calmement.  

- Avec Miki, vous m’avez poussé à croire que tu avais une relation amoureuse., lui avait-il alors rappelé.  

- Si Miki n’avait pas parlé au dessus de moi, tu m’aurais entendu nier. Et de toute façon, tu disais ne pas t’intéresser à moi alors en quoi ça m’aurait avancé., avait-elle objecté avant de s’essuyer les lèvres, de reposer sa serviette et de se lever.  

- En plus, tu oses suggérer que je suis capable d’utiliser et blesser les personnes qui m’entourent à des fins égoïstes et ça plus que tout autre chose, c’est blessant, Ryô. Je pensais que tu me connaissais mieux que ça., avait-elle enchaîné avant de partir vers la cuisine, visiblement attristée.  

 

Il était resté seul à la table, seul avec ses pensées et Azor qui était venu le voir. Il l’avait caressé un moment, se remémorant la discussion au Cat’s. Clairement, il ne se souvenait pas avoir entendu Kaori mais revoyant les images, il pouvait lire sur ses lèvres sa dénégation. Il s’en était voulu de s’être fait avoir par Miki et surtout sa jalousie. D’un autre côté sans cela, ils n’en auraient pas été là quinze jours plus tard.  

 

- Je suis un crétin, Azor…, avait-il murmuré, caressant le chien qui avait jeté un œil vers son assiette où des restes étaient encore visibles.  

- Et toi, tu ne penses qu’à ton estomac, chenapan…, avait-il ricané, lui donnant un morceau de viande que le chien avait avalé avec plaisir.  

 

Bien décidé à ne pas laisser pourrir la situation, il avait attrapé les couverts restants et les avait amenés en cuisine.  

 

- Tu accepterais les excuses d’un homme aveuglé par la jalousie ?, avait-il demandé à sa partenaire qui frottait vigoureusement une casserole.  

- Ou tu préfères me mettre un coup avant ?, avait-il plaisanté.  

 

Kaori avait arrêté de frotter et l’avait regardé, gardant un air fermé. Il ne s’en tirerait pas aussi facilement.  

 

- Tu fais un effort, j’en fais un., lui avait-elle répondu.  

- Tu as raison, Kaori. Je te connais mieux que ça. Je fais des efforts mais je trébucherai certainement en chemin. Tu veux bien excuser mes pensées idiotes ?, l’avait-il interrogée.  

- J’excuse et, si tu as besoin d’une main pour tenir l’équilibre, n’oublie pas que je suis là. Si on se parle, ça devrait aller., lui avait-elle rappelé.  

 

Il avait acquiescé et l’avait laissé, ayant besoin d’un peu de temps pour faire redescendre la pression. Beaucoup de choses avaient été dites et avaient besoin d’être digérées.  

 

- On a le temps, Kaori., lui dit-il soudain.  

- Le temps ?, répéta-t-elle, se demandant où il voulait en venir.  

- Tu sais, pour les choses de la vie, le truc avec un homme, une femme… On a le temps. Après des années d’attente, on peut bien prendre un peu de temps pour se sentir à l’aise dans notre relation avant de sauter le pas., lui expliqua-t-il.  

- Je ne veux pas te frustrer. Je sais… que tu en as besoin…, balbutia-t-elle.  

- Ca fait des années que je me frustre tout seul et ce dont j’ai besoin… c’est toi, nous, alors… on peut attendre., lui affirma-t-il.  

- Regarde-les, ils sont bien alors pourquoi nous ne pourrions pas l’être aussi ?, lui demanda-t-il, faisant un signe vers le couple canin, endormi.  

 

Kaori observa les chiens, étonnée et touchée de les voir aussi sereins dans cet appartement qui ne leur était pas familier depuis longtemps, avant de lever des yeux pétillants vers son partenaire.  

 

- Tu me proposes de faire la sieste dans tes bras ?, l’interrogea-t-elle, malicieuse.  

 

Ryô la contempla et sourit à son air détendu et au côté cocasse que pouvait avoir sa proposition.  

 

- Si tu me proposes qu’on se couche ensemble, je ne peux qu’accepter., fit-il avec un grand sourire.  

 

Il la vit rougir légèrement, peut-être intimidée à l’idée de se retrouver si proche de lui et en sachant ce qui pourrait arriver s’ils ne faisaient pas preuve de retenue, et il posa les lèvres sur son front d’un air protecteur.  

 

- Chaque chose en son temps. Prends-les comme elles viennent., lui conseilla-t-il, lâchant son épaule et allant chercher sa main.  

 

Il l’emmena vers le canapé, s’allongea au fond et attendit qu’elle le rejoigne. Kaori hésita, se souciant plus de la position dans laquelle se mettre que de savoir si elle devait vraiment accepter, et finit par se mettre face à lui, posant la tête contre son torse. Elle posa la main sur sa taille et sentit les siennes sur son dos.  

 

- J’en connais qui seraient fous de voir ça., plaisanta Ryô.  

- Ca te gêne ?, l’interrogea Kaori un peu anxieuse.  

- Non… Ca vaut le coup., murmura-t-il, serein. 

 


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